CLARA

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CLARAClaraBlonde, Clara, 42 ans, divorcée, 2 enfants tombés du ciel trop tôt, et qui ont quitté le nid…Et, oui ! Me voilà à un carrefour dans ma vie de femme…Il y a un an, je demandais le divorce, Yves me trompant sans trop se gêner, profitant que j’étais occupée à gagner l’argent de notre couple…Ingénieur, je partais souvent dans toute la France, 3 ou 4 jours par semaine, pour porter la bonne parole de la Direction vers nos nouveaux partenaires régionaux…La chaîne de magasins qui m’employait, ne regardait pas à la dépense en ce qui concerne mes remboursements, souvent un 3 étoiles, parfois un 4… Cela dépendait de la région et de la période…Il était temps !… Je devais avoir des cornes grosses comme celles d’un Yack !… Les enfants avaient grandi trop vite et maintenant, volaient de leurs propres ailes…Blonde, coupée court, avec quelques mèches auburn ou roux selon mon humeur, je plaisais sans aucun doute à nos commerciaux que je formais en permanence et qui s’intéressaient à mes galbes féminins, que parfois je mettais en valeur…. Je n’avais pas le temps de penser à autre chose que mon boulot, et je le faisais du mieux possible, en me donnant les moyens de contrôler mes actions et mes réactions…3 ans que j’avais pris cette voie, après avoir fait mes classes au sein de la Direction Commerciale, basée en Rhône-Alpes…Produits de luxe, produits technologiques, systèmes à haute performance, ces produits demandaient une pratique et une dextérité que j’avais su acquérir… Un don, en quelque sorte…Je passais du temps à tester nos nouveautés à Lyon, où se situait l’usine et le QG, avec notre Boss…Après 18 ans de mariage (2002), mes jumeaux étaient partis vers Nancy dans une Société agroalimentaire, ultramoderne… A dix-neuf ans, ils avaient le Bac et un DUT en poche, et avaient opté pour une formation d’ingénieur en alternance… Leurs CV avaient conquis le DRH…Seule, je pris le temps de me poser quelques semaines, pendant la crise du coronavirus qui me fit prendre conscience qu’Yves me blousait, me cocufiait, et que de mon côté les années étaient passées et que je ne voyais ainsi plus le loup…Amoureuse quand je m’étais tournée vers le métier que j’avais choisi et préféré délibérément, mais oubliant le reste…Ma faute avait été de négliger ma vie de famille, bien que je fusse là pour mes enfants…Week-ends et vacances ensemble, nous avaient réunis, fondant un creuset sain et agréable dont ils avaient profité. Leur père apportait le quotidien des soirées, et la surveillance de leurs passages délicats… Mais c’était pas trop mal dans l’ensemble et ils étaient tous deux ravis de notre vie familiale… Je les appelais souvent, chaque soir que je passais hors de la maison.Voilà, c’est acté, nous sommes des divorcés…Je prends conscience que j’ai abandonné pas mal de choses, dont la maison, qu’il nous faut partager ou vendre, mes habitudes, déménager ?Je suis bien en campagne, la nature me ressource, je vis avec les arbres, les fleurs, immuables merveilles qui nous entourent…J’ai finalement rassemblé mes économies, fait un prêt, j’ai gardé la maison… Il recevra un beau chèque, de quoi voir venir pour se reloger…Je suis bien chez moi, silence… Mes quelques amies et relations m’appellent assez souvent, me demandent si ça va, si je supporte la solitude…J’ai pris quinze jours pour gérer les problèmes de la maison à vider, je voulais contrôler, et j’ai bien fait !…Il n’emporte que ce qui est à lui… Adieu barbecue de légende, sono de DJ, réseau Wifi spécial famille, fibre optique pour la maison et j’en passe, comme le superbe téléviseur dernier cri qui trône au salon…M’en fiche… Au moins les enfants retrouveront leur confort quand ils seront ici, aux vacances ou… Et peut-être un jour, avec leurs progénitures…Ma première nuit solitaire… Une plénitude pendant laquelle je fais ce que je veux…RIEN !Café, douche, puis je sors à pieds faire quelques courses au village…Quelques mains serrées, on me demande des nouvelles de ma famille, de moi…Je ne partage pas, c’est frais, c’est en cours de validation…Enfin, il faut vous en parler… Côté affectif, je suis larguée… Pas fait l’amour depuis 3 ou 4 mois, mon cœur est sec, le reste aussi…Je n’ai jamais été une cougar, je n’ai jamais trompé mon mari, j’avais eu des relations amoureuses, quelques amants, j’avais pris le temps de papillonner, et amassé quelques expériences, pendant mes années d’étudiante… Par la suite, au début de mon parcours professionnel, j’ai habité dans un studio. J’y avais testé ma liberté, des coups d’un soir, des points de chute en cas de blues, quelques aventures épisodiques, des flirts romantiques, des amours nostalgiques… Quelques expériences plus hard, soirées de partage, amis rencontrés en vacances, un été de sexe débridé, à vingt ans, avec initiation lesbienne, un bon souvenir…Donc, voilà, pour me présenter, j’aime tout dans le sexe, tout ce qui fait planer et qui rend différente, rassasiée, pantelante, assoiffée, jalouse, épuisée, combattante, amoureuse aussi…Avec mon époux ce fut un aéropage de situations, de tests, de débordements, de rires…Depuis, je ne n’ai pas tout oublié, mais mis de côté, comme enfoui sous une tonnes de priorités et de décisions…Et si je…Oui, et si je… ?Il faudra bien le faire un jour ou l’autre ?Revivre… Clara Phénix…Sur le marché, je prends quelques fleurs, des légumes, je croise des hommes et je me pose la question… Des beaux, des jeunes, des vieux ?Ah, les jeunes !…J’avais une copine de bringue qui aimait ça… La trentaine, active, démariée, elle aimait se réfugier dans des bras vigoureux, s’abandonner sur les sofas moelleux de clubs fréquentés par de jeunes éphèbes… 20 ans et pleins de testostérone… Quand quelqu’un lui plaisait, qu’elle l’avait suffisamment évalué, flirtant sans retenue, elle sortait avec sa proie et faisait le saut de l’ange… Dans les break et les SUV, dans les cabriolets et les limousines, elle aimait s’allonger, se contorsionner, se délurer, s’inventer, connaitre le plaisir de ces moments furtifs, avec des machos pressés, imbus, mais performants… Elle revenait s’assoir contre moi, sentant le parfum, la sueur, pour siroter une boisson alcoolisée, et rêver d’une autre rencontre…J’étais bien plus sage, ne flirtais que lorsque je ressentais une attirance, et si continuer me paraissait possible et que tout était réuni, physique, gentillesse, partage, prévenance, je me laissais aller à un premier baiser et quelques attouchements.Au moment de partir, je jugeais si j’avais envie de continuer et le ramener chez moi, ou bien repartir bredouille…Les élus étaient rares, mais suffisants pour entretenir ma libido…Je me demandais si ces clubs privés existaient toujours… Ils se situaient souvent en campagne ou perdu dans une ruelle de la ville la plus proche… Je rencontrais Josy, une collègue d’antan, sur un stand de légumes et de beaux fruits de Provence…Après le marché, on prit un verre en discutant de nos vies. Mariée, elle avait 2 enfants et heureuse, son mari était tendre et gentil… Ils sortaient encore de temps à autre et me donna le renseignement que je cherchais…Le soir même, je fis les vingt kilomètres qui me séparaient de ce club…Je fus très bien accueillie, une belle femme, seule, jeune et agréable, ça sentait la bourge en chasse ou en manque…J’en testais quelques-uns, dansant avec agilité, souriante, et polie… Je ne cherchais rien de précis, juste me replonger dans cette ambiance, attendant l’instant…Il arriva très tard, peu avant la fermeture…Beau brun, yeux marron clair, grand et svelte, me rappelant un commercial du siège…La quarantaine, en couple épisodiquement, il aimait danser, se faire des amis, la musique, et ces heures de nuit souvent porteuses de rêves…Il me faisait rire, je pressentis une opportunité…Après quelques rocks, nous étions en phase, il dansait bien, il m’invita au comptoir pour une coupe de champagne…On dansa encore, s’échauffant, s’étouffant, puis on regagna le bar pour finir nos coupes.C’était déjà l’heure de la fermeture… On s’embrassa en se disant aurevoir, devant le parking…Ce fut le premier à entrer dans ma maison…Il me déshabilla dans ma chambre, puis m’enlaça et vint boire mon calice en m’allongeant…Il était doux, gentil, comme je voulais…Sa langue mit le feu à mon intimité, mon ventre me fit mal, mon désir devint insupportable, je m’empalais sur son sexe sans autre forme de préliminaires…Serrée contre lui, son sexe me labourait, on s’embrassait tendrement en faisant l’amour passion…Il voulut goûter mes seins, caresser ma chatte détrempée, je le pris en bouche et lui prodigua une fellation, longue, subtile, enivrante…Excité, il me bascula à 4 pattes et me prit en levrette…Je ahanais de plaisir, allant et venant à son rythme, me prenant d’autant plus, qu’il me défonçait…Il me fit jouir des orgasmes oubliés, des caresses insensées, en travers du lit, dans toutes les positions et même à terre, en poirier, fesses relevées, je sentais son sexe me pénétrer avec fougue et recommencer jusqu’à me faire jouir…Il me souriait, il m’embrassait, je le voulais encore…On jouait, on partageait, léchant, suçant, mordillant, je fis le tour de son corps d’homme, m’arrêtant partout, goûtant à tout…Puis il me demanda s’il pouvait…Je répondis que oui, mais…Je sentis ses doigts parader autour de ma rondelle, puis doucement, son sexe me pénétra…Je poussais un grand soupir en le sentant pleinement, je me détendis… Un autre soupir en éprouvant du plaisir…Il me sodomisait, et j’aimais sa douceur, ce rythme tranquille, et ses mains qui voyageaient sur mon corps, mes seins et venaient ensorceler ma chatte… Mon clitoris explosa sous ses doigts, j’eus un orgasme de folie, entrant en transes et le voulant dans mon vagin, qu’il remplit par de nombreux coups de reins qui m’emportèrent dans les nuages…Il me faisait l’amour, me faisait un enfant, je sentis sa semence quand il se libéra…Quelle nuit de folie !…Ma première nuit de sexe chez moi !…Il s’appelait Matt, était un peu anglais…Il partit vers midi, ne voulut pas rester plus tard, je respectais…Le samedi suivant je retournais à ce club… Je me laissais porter par la musique, entraînée par le rythme, vibrer, et un homme s’approcha, m’offrit un verre… Je n’avais pas pris de table, nous étions au comptoir…Blond, yeux verts, une peau claire, tachetée, un physique engageant… Il se présenta, se décrivit rapidement, ingénieur thermicien, marié mais plus trop, en déplacement pour un mois dans la région… Limpide et direct… Je me dévoilais à mon tour, et on se retrouva sur la piste… Les autres dansaient, nous on bavardait, on s’étudiait…Puis il me fit signe… Je le suivis… Un canapé s’était libéré, on se rapprocha pour mieux s’entendre, on se dévisagea, il m’embrassa… Je restais dans ses bras, tendrement enlacée… D’autres couples flirtaient avec passion… L’ambiance était propice, la lumière tamisée, les tentures sombres…On les imita… Ma robe se relevait, découvrait mes cuisses, sa main s’insinua, remonta, écarta…Je ne pouvais plus dire non, il venait de me toucher… Ses doigts englués dans ma mouille… Il approuva…J’avais pris son sexe dans ma main… Je le branlais doucement, cachée par la pénombre…Mes cuisses s’ouvraient de désir, son sexe devenait un gourdin, j’avais envie de le prendre dans ma bouche pour y goûter…-Chez moi ou chez toi ?-Chez moi, suis-moi avec ta voiture…Pas le temps de me déshabiller, il me colla contre la porte d’entrée une fois verrouillée…Il s’agenouilla, retroussa ma robe, et je sentis sa langue…Quelle douceur ! Quelle intensité ! Je ne pouvais attendre, je le voulais…Il fit glisser ma culotte, puis il se releva, sortit son engin et le guida contre mon minou affolé… Mes cuisses s’ouvrirent naturellement… je m’accrochais à son cou…Il donna un simple coup de rein… J’émis un simple « Hic ! », assourdi…J’étais punaisée contre ma porte d’entrée…Il me serrait contre lui, nos bassins rivés, son sexe me portait vers des rivages de tendresse et ses coups de reins m’emportèrent vers un orgasme inouï…Jamais je n’avais été baisée ainsi… Une rage, un partage… Je m’échappais de son étreinte ; je fis glisser ma robe, je me jetais sur le lit, dégrafais mon soutien-gorge, il était prêt, nu, il s’allongea sur moi en repliant mes cuisses, sans autre forme de procès…Sa queue pénétra mon antre détrempée, il me baisait avec fougue, je balbutiais une forme de langage inconnu, qui me calma par la même occasion…Je ressentais son désir, je masquais le mien, j’aurais voulu être défoncée…Continuer ce qu’il avait commencé à ma porte… Prise comme une chienne, comme violée, culote arrachée, robe déchirée, portée à un paroxysme du plaisir, un tsunami de pénétrations perverses, soumise à sa volonté, subissant des assauts inouïs, me retrouvant sans forces, épuisée, ma chatte éventrée…J’aurais aimé cela, mais il me lutinait, me tourna et me reprit en levrette. Là, il accéléra et se fit plus intense et je me lâchais enfin, je me masturbais en même temps, il serrait mes seins, ses doigts plongèrent dans ma chatte, excitant mon clitoris et me portant à une extase, une explosion de mes sens, je criais mon plaisir, vibrant sous ses coups de queue qui ne s’arrêtaient plus, faisant trembler le lit…-Oui, viens, oui ! Maintenant !Il éjacula enfin dans mon vagin meurtri… Je gémissais toujours, écrasée, emportée par ce plaisir de m’être vidée, transportée dans un autre monde…Je suintais sa semence, il était toujours fiché en moi, en modèle réduit, je pus me tourner et l’enlacer…Plus tard, après un repos mérité, je compris bien des choses quand je voulus le sucer, il n’entrait pas dans ma bouche quand il était au plus haut de sa forme !… Il en avait honte…On recommença, plusieurs fois dans la journée, et il repartit vers 18h00, repu et les yeux en amande…Lui non plus je ne le revis pas. Je repris le travail et suivis mes chantiers, mes magasins, mes hommes de l’ombre…J’avais du travail par-dessus la tête.Mon Boss inaugurait un magasin sur mon secteur. Il me conviait gentiment…Discours, apéro, puis soirée offerte… J’avais ma chambre de retenue et ma valise déposée…Excellente soirée… Bon repas, gens connus pour la plupart, on m’invita ça et là, car mon travail portait ses fruits, tout avait été facile… J’avais organisé un lancement de produits, canlı bahis sur tous les supports médias, et ce fut une explosion dès le lendemain…Le jour suivant, on m’appela, le Boss voulait me parler…5 étoiles luxe, robe décolletée, au bord de la piscine, il m’expliqua…Il aurait besoin de mes compétences ailleurs… mon sens de l’organisation, mes connaissances des techniques et des produits faisaient de moi un cadre de premier ordre.J’attendais…Voilà qu’il me proposait un poste de direction régionale, en remplacement de son ancien bras droit parti à la retraite…Cela ne changeait que mon poste d’attache, je serai moins sur le terrain, superviserai mon remplaçant… Et de plus il me proposait de rentrer dans le comité de direction… Quelques voyages à Lyon, ou à Paris…Accepté ! On fêta cela avec ses proches collaborateurs… Le restaurant m’éblouit…-Ah, Clara ! j’ai fait transférer vos bagages ici, vous n’aurez pas à retourner dans l’autre hôtel… Demandez votre chambre à l’accueil…La chambre était divine, SPA, balcon, salle de bains luxueuse, serviettes et peignoirs, télé grand écran… Frigo, et une vue magique sur Lyon, et le parc de Tête d’Or…Je descendis au bar, j’avais envie de fêter cela à ma façon…Le barman me servit un Mojito, délicieux… Il n’y avait plus grand monde, presque minuit…Je sirotais assise au comptoir…Je demandais s’il n’y avait pas un club ouvert, où je pourrais passer la fin de la soirée… Il me montra une affiche… Oui, c’est à côté…Je partis immédiatement, ma robe longue, décolletée faisait effet, je n’eus qu’à changer de trottoir…Accueil, sourires, je me présentais en toute discrétion de la part du barman…On me conduisit à une pièce, des gens parlaient, dansaient, du beau monde, on se retourna, on m’invita pour faire ma connaissance…-Être invitée par Roger… Cela vous donne accès à cette pièce, pour préserver votre incognito et vous avez accès à tous les niveaux, comme dans un jeu…-Et les thèmes ?-Je vous laisse regarder… Voici notre menu…Salons privés, massages, saunas mixtes, soins du corps, service de compagnie…Je demandais ce que signifiais le dernier… On me répondit compagnie… De quoi passer la nuit accompagnée… En compagnie de…Le choix étant à l’entrée…Je tentais…Salle, photos, un grand black attire mon attention… Un fantasme…Je clique, et en réponse : « Attente quinze minutes ».Une porte s’ouvre, pièce feutrée, lit immense, téléviseur, chaînes internes… Je clique…Du porno… Ah, non, les autres pièces !… Les chaînes sont annotées… Couples, Lesbos, Gays, Multi sports… Surprise…Comme j’ai pris une personne, je dois attendre son arrivée…-Bonsoir, je suis Melville… -Moi, c’est Clara…Il m’explique, les chaînes sont ouvertes, on peut rester ici ou rejoindre maintenant ou plus tard une autre chambre, et ainsi de suite…On bavarde, on boit un verre, on fait connaissance, il se montre gentil agréable, et même sympathique…Puis il me désigne le lit…-On saute le pas ?-Avec plaisir, aidez-moi pour la robe, c’est un peu juste…Tout est paré, je m’allonge en peignoir et là j’ai un sursaut !Il est nu, allongé sur le dos et son sexe est dressé comme un mat de voilier, mais sans les voiles !!!Il ouvre mon peignoir et vient goûter mes fruits…Deux minutes et je l’embrasse, j’aime consommer de suite…IL me serre contre lui, je prends cette magnifique verge dans ma main, un plaisir…Ma bouche parcourt la distance, mes lèvres s’ouvrent…Le gland est déjà bien plus gros que tout ce que j’ai eu…Sa main fouille ma chatte à loisir…Je dépose un peu de salive et m’active lentement…Il semble augmenter encore… Ses doigts jouent à l’entrée de ma salle de jeu…Ils font leur effet et je me sens chaude… Ma langue parcourt la hampe, mes lèvres glissent autour du gland délicat, je le pompe, enfin essaie de lui donner ce qu’il attend…Quand à moi, je coule entre ses doigts qui ont sorti mon clitoris de sa torpeur et le malaxent tendrement, me faisant haleter…Je tourne la langue, le gland tourne aussi, il bande comme un cheval !…-Ouh ! Bonne glace !… Une épreuve…-Tu en es l’origine, princesse…Je m’active sur sa queue, il masse mes seins, m’invite à monter sur lui…Et je descends lentement, craignant d’être ouverte par ce monstre…Mais non, ma porte s’ouvre, et il glisse dans mon vagin… Quel délice…Je le sens en moi, je le vis ce vît…Je me soulève et recommence…Je râle et mon bassin commence des allers-retours, lents et puissants, m’embrochant de plus en plus profondément… Je feule mon plaisir, je coule, je me berce de son pieu…Il me tient par les hanches et accompagne mon plaisir, me donnant la cadence, m’aidant à glisser, je suis écartelée, ma chatte grande ouverte et son membre plonge comme dans un fourreau…Il repousse mes limites, repousse mes organes et je sens qu’il est entré en entier !…-Oui, ma douce, je suis en toi… A mon tour de te conduite au paradis…On fait volte-face, je me retrouve sous lui, son dard encore fiché… Il replie mes jambes, et me refait l’intérieur, repeint, re dessine, ponce, fait la finition…Je suis scotchée…Je suis écartelée devant lui et il me baise !Puis il me retourne encore et me rebaise, en levrette, il me défonce, il explose ma chatte qui crie au désespoir !…Je viens d’orgasmer sans crier… Sans voix… Clouée sur le lit par cette épée magique…Je jouis sans relâche… Poupée entre ses bras, et il me retourne et me plie et me suce, et me lèche et m’aspire, je jouis de lui de ses doigts, de sa longue langue râpeuse, un régal pour mes petites lèvres timides…Il masse mon anus, je ne sais que penser, il me calme et me dis de penser à ce que j’aime le plus au monde…Il m’a défoncée le cul !…Pas en entrant, mais après !… Il bande de toute sa chose et me sodomise dans effort, faisant de mon sphincter, un second terrain de jeux…Je pensais qu’il allait ressortir de l’autre côté !…Mais non, il m’emporte avec force et je jouis du cul, débitant des choses horribles, comme une salope en plein rut !Il y met toute sa science et m’emmène au-delà de tout ce que j’ai connu…Mon pauvre trou défoncé, ma chatte en lambeaux…Ses beaux yeux me sourient, j’ai eu ce que j’étais venue chercher…Il me suce entièrement, passe un baume aux parfums de vanille, et je sombre dans un sommeil léger, m’en remettant à ses doigts de fée…-Tu veux quoi après ?-Il est quelle heure ?-Minuit…-Qu’est-ce que tu préfères ?-J’aime sucer des chattes, les apprivoiser, comme la tienne, les baiser… -Alors des couples ça me réveillera ! Et merci, c’était divin…-Tu es belle, princesse, j’ai eu de la chance, tiens mon numéro, si tu te sens seule…-Ton nom ?-Melville, tu as oublié ?-Vrai, beaucoup de stress depuis… Mais super… J’avais besoin de ça…Nous nous retrouvons dans une salle plus grande, 1 seul couple nous accueille, un peu plus vieux que nous, la quarantaine, femme belle mec normal, amène, sympa…Melville nous présente, puis une boisson que l’on partage, et on se regarde en chien de Fayence…Venez mes amis, nous allons faire connaissance, dans la chambre on peut être 4. Ou alors si une dame préfère, on peut se séparer… On change de partenaire avant…-Ça me va, je prends Melville et toi Clara tu prends mon mec…-On reste ensemble dans la grande pièce ?-Oui, je ne suis pas farouche, et si quelqu’un me veut…-Salope…Maryse riait, et se pend au cou de Melville, ils sont nus en un clin d’œil, je fais connaissance avec Samy, un bel homme, grisonnant, mais jeune…Samy vient contre moi, me caresse les seins, les embrasse, sa bite pend jusqu’à ce que je la prenne dans ma main… Il me sourit, me parle à l’oreille…Il passe entre mes cuisses et me suce… Je pars en vocalises… Sa bite est devenue imposante, ses doigts me troussent, jouent avec mon bouton d’amour, je suis trempée…Après un 69, je lui offre mon cul…Il me baise tendrement, puis me caresse longuement, excitant ma chatte, tournant ses doigts avec agilité et me reprend en levrette, tandis que sa femme vocalise à son tour…Il la regarde jouir de la queue énorme de Melville, écartelée sur le dos, s’offrant en chienne haletante…Melville l’attire sur lui et la prend…Alors son mari me délaisse et la sodomise en même temps…Maryse se pâme, devient blanche… Elle jouit des deux sexes… Ils ne la ménagent pas, et s’entendent comme larrons en foire pour lui donner du plaisir et surtout la faire débiter des mots crus…-Oh, yes, encule ta salope de femme, et toi, baise-moi comme une soumise, faites-moi jouir, explosez vos compteurs, messieurs, je suis votre chienne… Allez, oui ! Oh, putain ! Encore ! Et videz-vos couilles dans mes trous ! J’adore me faire mettre !Je me sens dans un autre monde, loin de ce que j’avais ressenti avant, avec Melville, mais aussi avec les autres…Puis ils arrivent…Je me laisse prendre par derrière par son mari et Melville me baise par devant, et leurs deux queues reprennent du service après un temps de récupération…Ils m’explosent à mon tour, je les ressens toutes les deux et mes orgasmes se succèdent… Je crie, je gémis, je suis en sueur de me contorsionner, d’être projetée, violentée, exténuée…Je tombe aux côtés de Maryse qui nous regardait avec attention, une main dans sa chatte qui s’activait violemment…-Que c’est bon de regarder une belle femme se faire démonter la chatte et le cul par mon mari et son amant…-Oui, ils sont performants…-Tu es lesbienne ?-Oui, à l’occasion…Elle me tend sa main et m’attire contre elle… Ses baisers me sortent de ma léthargie, ses doigts viennent ressusciter mon désir…Elle me goûte, j’ouvre sa chatte, je découvre une huitre bien juteuse, délabrée par nos lascars…Je suce, je lèche, je caresse, son bouton sort, assez gros, excité par ma langue, comme un beau bourgeon de printemps… Elle gémit, feule, s’écartèle, caresse ma tête en la plongeant entre ses cuisses….On se retrouve en 69…Moment de folie, d’échange intense, de découvertes mutuelles, sans tabou, isolées dans notre monde, on se donne, on partage, on apporte notre expérience… Ecartelées, sexe contre sexe, nous nous frottons comme des bêtes, jouissant par nos vulves surexcitées, détrempées, échange lesbien de haut niveau de plaisir… On jouit l’une et l’autre, on change de position, on se doigte, on s’exploite, s’exprimant dans nos langages bien imagés…Elle est nature, aime le sexe, tous les sexes et elle me transmet son plaisir…Je me conduis en homme, massant ses seins pleins, ses tétons pointus, épais, adorables à sucer…Elle aime mes fesses, me lèche avec frénésie, perturbe mon clitoris, me porte à des extases passionnées…Je tombe d’épuisement…Nos hommes reviennent, échangent, nous reprennent, assoiffés de sexe, assoiffés de voir nos corps abandonnés, sans pudeur, ouverts…Le dard me fait du bien, tendre et puissant, il me prend sur le dos, classique, mon intimité ouverte, offerte, bien dégagée, et ce dard foncé qui trempe dans ma chatte blanche, et s’enfonce tel un pieu, et me tire des sons de chatte en chaleur…Oui, je me fais prendre de nouveau, baisée, portée encore à l’extase, par un Melville surpuissant, tendre et patient…Je jouis et sa semence gicle en moi, au moment où je tremble de plaisir…Maryse se fait douce v******e en avalant le sexe de son mari, qui la retourne et la prend en levrette, sa position préférée, baisée comme une chienne, jouissant et criant jusqu’à l’extase finale…Elle vient sucer le sperme entre mes cuisses, je goûte à la semence de son mari, dans un superbe 69 qu’on leur offre bien involontairement…La soirée se termine au bar, habillées, je sors prendre ma voiture sous le regard protecteur de Melville, j’ai gardé sa carte, au cas où…J’oublie rapidement mes frasques sexuelles, dès le lundi, le Boss a eu une idée, à nous de la mettre en forme, tester, valider… Dure semaine…Le week-end arrive, je me repose dans mon jardin par un temps printanier superbe et doux…Je ne regrette pas d’avoir racheté la maison à Jean… J’hésite pour ce soir… Sortir encore ? Changer d’endroit ? De méthode ?Chercher d’autres établissements ? Un Casino ?Je porte ma longue robe rouge, fendue jusqu’au haut de la cuisse droite… Le bas est biseauté, le décolleté descend profondément entre mes seins, que je laisse libres… J’aime me montrer, lorsque je chasse… J’adore penser, me faire un film, ressentir des sensations…Ne vais-je pas trop loin ? Attention à ne pas tomber dans le vulgaire ! Devenir une aguicheuse de service public et risquer une agression ?Mais ma profession, c’est aussi d’évaluer le risque…Je connais un Casino pas loin de Lyon…Pourquoi pas ? Je regarde sur Internet…Classique… C’est en principe bien fréquenté et la sécurité est assurée… Les services sont classiques, salles de jeu, machines à sou, restaurant, hôtel et SPA…Je roule le cœur léger, j’adore partir à l’aventure…Pourquoi pas m’offrir une nuit dans un palace aux senteurs d’évasion, goûter aux charmes et la douceur de soins dans le Spa ?Je pense que je suis en train de changer… 3, non, 4 amants en quelques semaines… J’ai de plus en plus de besoins, j’ai soif de sexe…Au premier abord l’établissement est super contrôlé, parking surveillé, gardé, etc…Je commence par le classique, la salle des machines à sous…Détronchée, cartographiée, autorisée, mes jetons en main… Je rentre dans le cœur du monstre… Celui qui va me dévorer, (enfin mes économies…).Celle-là me plaît et je lui confie quelques rondelles…La chance de bienvenue fonctionne, je reste un moment, puis tout part… Aspiré par le sort cruel… J’ai besoin d’un verre…Je me dirige vers le bar… Calme, douillet, je m’assieds au comptoir, demande un Mojito…Ma robe, dévoile ma cuisse par sa fente, les yeux du barman plongent dans mon décolleté…Je me sens en forme… Mes seins pointent…L’alcool me fait du bien, je sens que la chance va me sourire, surtout après le second Mojito…Un couple s’est assis non loin de moi, ils parlent à mots étouffés…Deux hommes discutent un peu plus loin accoudés au comptoir… Celui qui est face à moi, semble me regarder… Mais ma vue se trouble…Je ne peux éviter de regarder dans leur direction…Le barman s’approche, un Mojito dans sa main…-Offert par ce monsieur…Mon vis-à-vis me fait un signe de la main, en souriant… Je réponds par une moue…Il est de trop celui-ci, je le sens… Je bois doucement, il me faudrait manger…Je demande ce qui irait avec ma boisson…La garçon m’apporte un plateau, avec des apéritifs à bahis siteleri grignoter…Je picore, en souriant, buvant à petites gorgées…Mon vis-à-vis est parti…Dommage… Il avait l’air pas mal…Le revoici… Tout seul cette fois…-Excusez mon audace, mais je vous vois trop seule, le nez plongé dans l’alcool… Je peux ?-Mais oui, je vous en prie et merci pour le verre…-De rien, c’était un hommage à votre robe… Elle met en valeur votre féminité, de près c’est encore plus vrai… On en aperçoit les détails… Je crois que j’ai rougi, je ne m’attendais pas à une attaque verbale si directe et si humoristique…-J’espère que cela vous rassure, au troisième Mojito, je suis encore debout, et mes charmes opèrent toujours…-Vous m’en voyez ravi… Vous approcher ainsi, pouvoir détailler vos formes, respirer votre parfum… Tout cela m’enchante, c’est mieux que perdre sur le tapis vert… Ici, je récolte des jetons…-Hum… Vous êtes courtois et coquin…-Je noie ma solitude, comme vous…-Oh ! Largué ?-Non, oui… Enfin c’est fini… Et vous ?-Pareil… J’en avais marre de regarder pousser les arbres de mon jardin… Une nuit sans eux me récréera… Voir du monde, gagner au jeu, faire des rencontres…-Un programme optimiste… J’ai rencontré un copain, vous l’avez croisé, c’est la seule personne que je connaissais ici… Maintenant il y en a deux… J’aimerais y accrocher un nom…-Clara, et vous ?-Pierre… Vous avez diné ?-Non, pas encore…-Le gastro ? Un établissement plus sympa, celui à l’intérieur ? Avec ma chambre j’ai droit au second…-Je n’ai pas de chambre, je suis entrée pour tester, et j’ai perdu… Je me remontais le moral ici… J’habite à une soixantaine de kilomètres…-Vous faites quoi dans la vie ?-Ingénieur systèmes. Je surveille, conçois, répare des usines, des magasins, que je passe aux normes, les modernise…-Oh, moi je ne suis que notaire… Enfin, pas à mon compte encore, c’est mon épouse qui l’était, et donc je vais être viré du cabinet…-Vous avez le diplôme ?-Oui… Mais cela ne suffit pas, il faut les fonds…-Vous êtes divorcé ?-Oui, en cours… Et vous ?-Pareil… C’est moi qui l’ai largué, je vous préviens…-Oh, encore !… Non, moi c’est elle, mais j’avais fait un accro… Une petite clerc…-Regrets ?-Si j’ai regardé ailleurs, c’est qu’il manquait quelque chose…-Moi, c’est mon travail qui est passé avant… Alors il est allé voir dans le champ d’à-côté si l’herbe était plus verte…-Des enfants ?-Oui, un duo de majeurs…-???-Jumeaux garçon et fille, et partis ensemble… Ingénieurs agronomes dans le même groupe…-Bien, quelle réussite !-Notaire c’est bien, vous n’en avez pas eu ?-C’est une des raisons… Stérile…-Vous ? -Non, elle…-Le plus simple m’ira, mais on partage !-Pas question, c’est mois qui l’ai dit avant !Je le suis, il me montre le Spa…-Ça vous dirait après ?J’ai failli lui demander « Après quoi ? »…Je me suis retenue… Finalement, je suis un peu grisette…On nous conduit vers une table, il bavarde avec le garçon… -Bon, on peut dîner… Vous aimez les spécialités lyonnaises ?-Oui…Nous faisons notre choix, il est prévenant, son humour me plait, il est beau…Le repas est simple, une entrée préparée à base d’andouillette de chez Bobosse (de veau), quenelles à la Nantua, salade du jardin, dessert glacé…Il prend un café…-Alors ? Un tour au SPA ? Digestion par massage ?-Je n’ai ni maillot, ni… Et ma valise est dans ma voiture, j’ai simplement un rechange au cas où je restais une nuit, avec une tenue plus décontractée pour demain et des tennis…-On peut demander ce qu’ils offrent pour un cas d’urgence…On nous remet un menu détaillé des services, et effectivement, il existe une heure de SPA, pour un couple, avec massage inclus… Maillots et peignoirs fournis avec astérisque…Je demande discrètement le but de l’astérisque, à notre hôtesse…-C’est si vous voulez vous habiller dans le Spa…Effectivement, c’est destiné aux couples… où avais-je la tête !Je ne dis rien, on prend le SPA pour 1 couple, sans options…On nous ouvre le local, une pièce avec salle de bains, et le SPA, avec les instructions… Vue sur la campagne, fauteuil de repos, télévision, flâneuses sur le balcon … 2 peignoirs sont accrochés dans la penderie…-C’est très… intime…-Oui, on se baigne nu ?-Les bulles vont masquer nos nudités… En principe se sont des couples… Donc ils se connaissent…-Oui… C’est fâcheux, nous non…Il a la décence de se tourner lorsque je sors de la salle de bains avec mon peignoir, et entre dans le SPA bouillonnant, en l’accrochant au porte-manteaux, avec les serviettes de bain…Il rentre à son tour, et ce que j’ai eu le temps d’apercevoir, me réjouit…Ça pendouille, mais de bonne taille…Le bruit du système nous fait nous rapprocher… On n’a que la tête hors de l’eau… Le reste est flouté par les bulles et les sels parfumés…Si je me cale sur les sièges intégrés, mes seins vont sortir…On se frôle, les mains sous l’eau, on cherche à s’assoir, cela est possible… Là, je suis sur le fauteuil incorporé… Mes seins sont nus…-Je ne peux pas les cacher !-Ce que je vois ne me gêne pas… Ils sont trop beaux…-Je ne voudrais pas passer pour ce que je ne suis pas… Je ne peux pas me tourner autrement !-Je n’ai rien contre, mais si vous désirez une serviette…-Si vous…-Oui ?-Cela vous dérange ?-On pourra se tutoyer…-Ah, parce qu’on est intimes, et nus dans une baignoire à bulles ?-Parce que vous montrez la marchandise avant de consommer…-Oh, quel goujat !Son baiser est délicieux et évidemment ses mains viennent prendre mes seins… Il s’est tourné vers moi, et ce que je ressens confirme ma première impression…Je lui rends son baiser, ma main trouve ce qu’elle cherchait… Je serre son sexe…-Oh, il y a des poissons…Il vient sur moi, j’écarte mes cuisses…Ses mains découvrent mon corps, je caresse ses épaules, son sexe frôle mes merveilles, je commence à feuler de désir…Il le fait exprès, il ondule sur moi, porté par l’eau, nos bouches sont rivées ; nos langues s’agitent, je soulève mon bassin…Il est en face, juste au-dessus… je vais y passer, il va me baiser… me pourfendre, m’épingler à son carnet de chasse…Le gland s’est niché devant ma porte…Je suffoque en moi-même…Il n’a qu’à pousser un peu…Je rentre ma langue dans sa bouche, et la tourne avec délice…Il caresse mon sein…J’enroule une jambe autour de ses hanches…J’halète de désir…Il pousse !…Oh ! Il m’a prise !…Oh ! Que c’est bon !…Il ne bouge plus, fiché dans mon minou…-Oh, oui… Viens !…Il commence…Dieu comme c’est bon, je suis excitée comme jamais ! Les Mojitos ? Le délicieux repas ? Le bon vin ?Il est en moi, tendre, et me fouille…Je mordille ses oreilles…Je le sens grossir en moi… Il ressort et re-rentre…C’est une explosion dans mon ventre !…Son dard a ouvert ma chatte et je ressens les bulles…Il glisse un doigt sur mon clitoris…Je gémis !…Il me prend doucement et le doigt tourne, tourne, tourne…Je jouis !… Je feule contre lui…Il accélère, l’eau s’agite…Je suis écartelée, genoux repliés, offerte…Et il me lutine avec passion, en rythme, et je jouis encore…Il glisse en moi, comme dans un rêve, doux, tendre, patient… Je ressens sa verdeur…J’adore… Prise dans un SPA, par un pseudo inconnu…J’ai envie de plus…Je me lève d’un bond, m’appuie au bord du SPA, lui ouvre mes fesses et il me reprend en levrette… Il me défonce, il me saccage, le SPA ronronne et couvre mes débordements vocaux…-Oui, prends ma chatte, fais-moi l’amour, je suis à toi, j’aime jouir…-Tiens ! Tu veux ma bite dans ton cul ?-Oh, oui, encules-moi… Je suis ta chienne… Avilis-moi, comme une salope…-D’abord, tu vas la sucer comme une pute…-Oui, viens, approche…Je suis agenouillée et il enfourne son membre énorme dans ma bouche… Il triture mes seins, puis me reprend dans la même position, arc-boutée sur l’appareil…IL me prend sans relâche, puis il change d’orifice et m’encule…Oh, le salaud… Il m’a pété la rondelle, il y est allé franco, et me fais jouir du cul, je le sens ramoner mes tripes… -Oui ! Pierre, ramone mon trouffignon, j’aime être sodomisée, mon mari ne le faisait plus…-Quel mufle, c’est si bon de te prendre par derrière, par l’entrée de service et sentir ton cul vibrer sous ma bite… Voir tes seins sautiller à chaque coup de reins, t’entendre jouir, te voir onduler du bassin, tu jouis comme une reine autant pas là que par devant !…-Oui, j’ai manqué de sexe, je travaillais, m’occupais des enfants, l’esprit ailleurs…-Tiens ! Je viens ! Tu me veux où ?-Sodomise-moi comme une chienne, mets-y ta semence, je suis heureuse !Il me détruit, lacère mes hanches… Je crie mon plaisir, le SPA s’était arrêté, le son me revient aux oreilles…Pierre me calme, ses derniers coups de reins expulsent sa semence… C’est fini…Je me redresse… Fière… Il me prend dans ses bras… Je sais combien nous sommes proches…On passe la nuit ensemble, dans sa chambre, il me refait l’amour tendre… Je jouis pleinement, ma chatte est comblée, je m’endors dans ses bras, lovée contre lui, heureuse d’être femme !Il doit repartir vers midi, un rendez-vous fixé, il regrette et désire me revoir…On échange baisers, numéros de portable, baisers, mail, baisers, et il sort de la chambre…Que de plaisir cette soirée… Cet homme est parfait ! Doux, intelligent, tendre, beau, aisé, bonne situation, il va retrouver du travail…J’ai du mal à me réveiller, il est pourtant l’heure de laisser la chambre…Mon sac est prêt, je reprends la route, et me retrouve chez moi une heure plus tard…Pierre… Moi aussi je veux te revoir… Voici mon adresse, téléphone-moi…C’est dit… Je n’ai pas pu attendre… Je m’avoue plus que conquise…Pourtant, si nous avons fait le tour de la question, je suis certaine que nous pouvons encore progresser…Le lendemain, il confirme… Samedi soir chez moi, si je suis d’accord pour le recevoir…Je réponds que rien n’est intervenu pour contrecarrer mon invitation…Il est là, beau, en décontracté, il est 18h00… On bavarde dans mon salon, je lui montre la chambre…-Tu n’as jamais parlé de rester cette nuit ?-Oh !-Viens dans mes bras alors, je n’ai cessé de penser à toi…Cette remarque m’enchante, car moi aussi…Coup de foudre ? Du à une entente parfaite…Une occasion mutuelle… Une rencontre de deux êtres fait l’un pour l’autre ?Je vais trop loin, et quand il me déshabille dans ma chambre, je ne dis rien, je ne peux pas, son baiser est sans fin, et je me retrouve allongée, les cuisses ouvertes, léchée, excitée, reléchée…Alors je m’invite en amazone et lui prodigue mes meilleurs soins…Que de passion… Je ne reconnais pas et me donne à lui, sans réserve… Je lui fais tout, fellation, cravate de notaire…Celle-là je m’en gave de plaisir, le branlant entre mes seins, jusqu’à ce qu’il éjecte sa sauce blanche sur les tétons…Mais je sais le régénérer, tendrement, doucement, jusqu’à assez de feu pour reprendre mon tirage…On s’entend si bien qu’on oublie de manger, et c’est tard que l’on descend à la cuisine…En peignoir, je suis assise sur lui, nous buvons à nous, il semble conquis par mes charmes, mais nos étincelles viennent seulement que d’être allumées et il est trop tôt pour apporter le bois…Je suis heureuse avec lui, toute la nuit, le matin et jusqu’au soir…Comme si je le connaissais depuis des années, et il fait pareil avec moi, libre, amoureux, et parle de début d’une histoire en soulignant la fragilité de nos sentiments…Oh, on ne parle pas s’amour, juste de ce que le plaisir du sexe nous apporte et nous lie…Attaches fragiles… Je pars au boulot guillerette !… La semaine est pourtant dure, mais je résous tout, avec tact, énergie, diplomatie, et célérité…J’étais en déplacement, dans le centre de la France, ville sans trop d’attraits touristiques, hôtel deux étoiles style VRP, proche de mon client, mes horaires me collent au fond ma chambre avec juste ce qu’il faut de repos et rebelote… Vendredi soir, je reviens crevée, mais réjouie de le retrouver…SMS + mail + j’attends…Douche, soins du corps, je me sers un verre au salon, regarde la télé, l’esprit embrumé…Mes jumeaux se manifestent, eux aussi sont surbookés, mais heureux de leur sort…On s’embrasse…Il a répondu enfin !…Il est à Paris ! Il revient dans la nuit…Inutile de lui dire qu’il est le bienvenu, l’inespéré, l’attendu…Son image est partout devant mes yeux…Je deviens folle…Je deviens accro…J’ai oublié ce qu’était d’être amoureuse ? Je n’ai plus vingt ans…Mais est-ce de l’amour, ou un besoin de me ratt****r ?22h30, un SMS… « Suis devant ta porte »La nuit est infernale… Je passe toutes les pages du kamasoutra, il ne débande pas…-Je te fais tant d’effet ?-Je rêve de toi, même éveillé…On recommence…Je me donne, je m’offre, je me tords, je fais le grand écart, pour qu’il me prenne en poirier, tête dans mes bras sur le sol, les jambes écartées à 180 degrés…Il plonge son dard dans mon calice en fusion, position plus qu’incertaine, mais au ressenti merveilleux… Lui en macho, moi en soumise…Ce matin, j’ai avalé son sperme, après une cravate de notaire qu’il adore, et une fellation très tactile…Il a tout lâché dans ma bouche…Je ne suis plus la même… Je prends les initiatives, il a l’air d’adorer…J’ai arrêté de mettre une culote dans la maison… Il me les déchire…Il me court après autour de la table du salon, me renverse sur le tapis et me suce, me lèche, m’aspire, me branle, tandis que je câline ses coucougnettes, en suçant sa queue veiné de bleu… Mais plus rien n’en sort… Tarie…Je me moque, me gausse, mais j’ai mal au dos, on rit, on s’embrasse… Il me prend dans ses bras et s’endort devant le télé…Le matin il prépare le petit déjeuner, confiture, fleur du jardin, jus d’oranges, pain grillé…On mange comme des ogres, je range la vaisselle…Il me prend sur la table, la baie vitrée ouverte…On rit, on va se doucher… Il aimerait m’emmener à la campagne, me payer le restaurant…On sort une heure plus tard, une vingtaine de kilomètres, en pleine campagne, et c’est délicieusement romantique…On a faim, on dévore… Il y a un lac, on en fait le tour… Pas grand monde cet après-midi… Je me glisse dans la forêt pour un besoin naturel, il fait le guet, portant mon sac à main…Il est craquant…On repart, et il m’entraîne dans d’autres fourrés, isolés, il me découvre, me palpe, me suce, me lèche et me viole !…Je me laisse violer, accrochée au fut d’un bel arbre, en ahanant ses coups de rein, ma robe retroussée aux hanches, son membre glissant dans ma chatte, bahis şirketleri pénétrant vertement mon vagin, me faisant crier au loup sans retenue…Je me relève dégoulinante de sperme frais…-Tu vois ce que tu as fait vilain !-Pardon maitresse, si j’ai fauté, si j’ai abusé et souillé votre corps superbe…-Alors prends mon cul, ici, sans témoins…Il s’allonge par terre, et je me sodomise sur son dard infatigable en pleine nature, jouissant sur sa queue, écartelée devant lui, puis il me tourne vers mon arbre préféré, et explose ma rondelle, me troue le cul, à m’en mordre les lèvres…Ma robe a craqué, je suis une salope, une truie, une gourgandine…En rentrant, on prépare notre semaine… Il va me manquer, moi aussi sans doute, il me le dit…Je suis seule, je rappelle ma fille, mon garçon est là aussi…La semaine se passe loin, à Londres… Centre stratégique de stockage… Je passe partout, refait es calculs, délègue, 3 mois de développement et de mise en œuvre des robots. Tout est automatisé, une première, un test pour mes compétences…Finalement j’y reste une semaine de plus…Vendredi soir, après cette prolongation, j’appelle Pierre…Il est déçu, moi aussi…Des collègues me convient pour une sortie nocturne, j’accepte pour me changer les idées…On finit dans un pub, avec force bières assez fortes… Je me laisse emporter…On me parle, on…-Pierre ? Tu es là ?-Ah, non, moi c’est Lou… Mais si je peux faire quelque chose, le remplacer ?-Oh !… Excusez-moi, vous ressemblez à un ami…-Oui, à Pierre, aussi beau que moi…-En quelque sorte, oui…-Une autre bière ?-Non, merci, mes amis m’ont trop servie… Je chancelle…-Quels amis ?Mince, ils ne sont plus à la table… J’ai du m’endormir…-Je… Ils sont rentrés ! Il est quelle heure ? Pas tard pourtant, minuit pour un vendredi soir… Je pense devoir sortir et prendre l’air…-Je peux vous accompagner ?-Je… Hic… Oh ! Oui…Je prends mon sac, et sors… L’air me fait du bien… Il est là, il m’a prise par l’épaule, car je chancelais… Je souris…-Si on continue on va vers le Parc… Il y des banc, des lacs, des animaux…-J’aime les animaux…-Moi c’est pareil… Et vous c’est ?-Clara… Une française qui s’est perdue dans Londres…-On vous a perdue… Vos collègues ?-Oui, on travaille vers le port, un entrepôt gigantesque… Mon œuvre…-Bien ! Une intello !-Oh, mais j’aime bricoler, je suis aussi manuelle…-Hum !-Pardon, je suis saoule et dis n’importe quoi…-Lou ? Quel est le vrai prénom ?-Jean-Louis…-French !…-Oui, dans la banque ici… Je fais mes classes… Tiens Clara, regarde les oies…Les pelouses sont magnifiques, quelques animaux en liberté, canards, oies, profitent du calme de la nuit… Le lac est proche…Je ressens sa chaleur… Je suis bien dans ses bras…Le lac s’étale devant moi… Des arbres éclairés par des spots, créent une ambiance nocturne très sensuelle… Des couleurs, des… Il me montre le rocher, des singes… Je frissonne…Il me serre contre lui… Il est dans mon dos et me montre, son visage à ma hauteur, les spécificités du parc…Je sens son souffle, son parfum…Il a passé ses bras autour de mes épaules, j’ai bien chaud, avec lui dans mon dos, qui protège mes reins…Il ne dit plus rien…Ses mains descendent…Empaument mes seins…Je me laisse aller en arrière, contre lui… Je sens son sexe…Mon dieu ! Clara, tu es folle !… Soule et folle !… Tu es en train de séduire un étranger ! Dans un parc après minuit, dans un pays que tu ne connais pas…Il me les masse doucement… Je suis immobile contre une rambarde en fer, tétanisée…-Je… Non… Ses mains me font oublier le fraîcheur du soir… Il cherche à les passer sous mon pull…Je sens mes téton s’ériger, il les excite…Le sexe a doublé de volume contre mes fesses… Je passe une main derrière moi… Je le sens…Il me donne un baiser furtif, dans le cou…Les mains sont sous mon pull, il a extrait mes seins des bonnets…Je soupire comme une locomotive à vapeur…Je serre le sexe entre mes doigts…-Tu le veux ?Je coule de désir…-Non… Je veux rentrer… J’ai un ami…-J’ai une amie, ce n’est que du sexe… On est pas en train de s’aimer…-Tu vas me faire l’amour ici ?-Sur un banc…Il était caché par un bosquet, un banc… Il est froid quand je m’assieds à côté de lui… Je soupire… Il m’attire et me pose sur lui… Son sexe contre ma culote… Mon dernier rempart…Ma chatte est trempée…Il bouge sous moi… Ses mains passent sous ma robe, soulèvent… Elles me frottent le ventre, remontent vers mes seins sous mon pull…C’est délicieusement chaud et intime, et ça remue tout mon ventre…Le sexe grossit, durcit, s’installe…Je le sens à ma porte, il est venu doucement, il écarte ma Sloggi…Le membre se fait pressant, mes cuisses flageolent de désir…Je bouge mon bassin… C’est atroce ! Il va me prendre sur un banc de square, comme une catin, ou une ado chaude, comme la braise !… Je le sens entrer… Je veux jouir…Crac !… Il est en moi, le gland a ouvert ma porte…-Oh !… Non !… Je…C’est tout, il glisse…Il prend mes hanches, me guide, me soutient, m’avance, me recule et sa bite va et vient…Il est au fond !… Bien au chaud !… Il est planté dans mon vagin… Il me baise !Il est gros, il glisse et revient… Il est dur comme un pieu, solide, il me met le feu !…-Ouh !… Oui !… Euh…. Euh… Euh…Il a défait sa ceinture et me soulève… Son bassin va et vient à une vitesse folle…Son sexe m’emporte dans un ouragan de plaisir, c’est divin…Mon point de non-retour est largement dépassé…Il me conduit à le vouloir encore, le sentir, en jouir… Je me donne, je le prends, je suis à lui !…Je veux jouir, oui !… Je veux jouir, c’est ça que je veux, prends-moi… Viole-moi, emmène-moi là-haut !…Ma robe s’est retroussée, mes cuisses dénudées, mes seins se sont libérés et ballottent sous mon pull…Je m’aide, je l’aide, ma chatte glisse le long de cette hampe, avale ce sexe, je continue…Il accompagne mes mouvements, soutient mes fesses, je suis à moitié sur le banc, à califourchon sur sa bite…Oui !… Encore un peu, je vais jouir de toi…Oui, retient-toi…Je m’active, j’ai mal aux cuisses, mal aux chevilles…C’est bon ! Il s’est vidé ! J’ai joui en le sentant exploser, en sentant sa chaleur, son dernier coup de bassin… On a gémi ensemble… Il m’a embrochée…J’étais sage, je suis devenue obsédée au contact de Pierre, de ces 48 heures de folie… Mes premiers amants avaient attisé mon désir, ils avaient fait remonter en moi le plaisir du sexe… Ce désir qui nous fait devenir autre… On oublie toute morale et notre corps oublie notre esprit…Maintenant, le moindre contact avec un homme, et je pars… Ma libido est exacerbée…J’ai parlé de Pierre dans mes brumes éthyliques, il a envahi mon corps et maintenant, mon esprit…Dès que je suis saoule, ou que je me sens seule, ou triste, ou pas le moral, je pense à lui, et mon désir se cherche une excuse… Des bras, un sourire, des caresses et je craque…Je ne dois plus me comporter en pute et baiser avec le premier venu…Lou est gentil et me raccompagne… Nous cheminons dans les ruelles, dans l’avenue que je reconnais… Je ne suis plus très loin de l’hôtel…-J’ai adoré… Je ne fais jamais ça… On dirait que tu m’as ensorcelé… Je bouillais de désir en sentant tes seins réagir…-Moi non plus, je n’avais jamais baisé sur un banc public à minuit, avec un inconnu…On s’embrasse, une passion, une tornade…Il me pousse contre une porte d’immeuble…La porte s’ouvre…On continue à s’embrasser et ses mains me pelotent…Et j’ai envie de lui… Je soulève une cuisse, impatiente…Sa bite se faufile vers ma chatte, et plonge dans mon vagin… J’halète, je suffoque, je le sens… Il me baise, me retient, ses coups de reins m’arrachent des râles… Ma voix porte dans le hall…Il me retourne contre le mur, je saisis les boîtes aux lettres…Il soulève ma robe au-dessus des hanches et me pourfend en levrette… Dieu ! C’est plus confortable… Je souffle, je gémis, je pleure de plaisir…Il me soutient par les hanches et c’est un festival, ses coups de reins me transpercent !Je jouis en le ressentant me perforer, me percuter, m’engrosser…Oh, oui, mon bel étalon, mon visiteur du soir et de la nuit, enfile-la, cette bite si agile et perverse que je jouisse de toi une dernière fois…Il essaie d’aller plus vite, mais c’est inconfortable… Je manque tomber, percutée par son bassin plein de désir de me fourailler…Son doigt tourne… Il va me… Si…-Oh, non, pas ici !… Tu me violes encore !…-Je veux tout te faire, je veux t’envoyer au septième ciel, et dans mes méandres de Sodome…Il ouvre mon anus, préparé et humide, il y glisse sans à-coup son dard enchanteur…Je me tiens, il me sodomise, me déglingue l’anus, devient marteau-piqueur et il explose sa semence, quand je pars d’un râle explosif…On se relève, on entend du bruit, ma robe retombe, accoudée aux boites à lettres, on devise gentiment, tandis qu’un papy sort son toutou en nous zieutant méchamment…-Faut pas rester ici, c’est interdit… Mais bon, l’amour n’a pas d’interdits de nos jours…Le chien me sent les chevilles en passant, ma culote y est tourneboulée…-Je ne peux pas te revoir ?-Je ne suis pas anglaise…-Une soirée volée à ton Pierre…-Une soirée volée tout court, volée à ma vie de femme libérée…Le lendemain je reste au lit et soigne mes bleus, je parle avec Pierre, j’ai besoin de lui…Le lundi, je reprends mon chantier, tout concorde… Je me plonge dans le travail…Mardi on fait une réunion…Ils sont tous là, architectes, propriétaires, investisseurs, chef de chantier, et les entreprises du second œuvre…Il est midi, j’ai parlé 5 minutes, éblouie par un projecteur…Comme j’allais sortir de la salle, dans mon tailleur jaune abricot, chemisier blanc, mocassins… Très glamour…J’entends une voix derrière moi…« La nuit, tous les chats sont gris… »Mon dieu ! C’est Lou…Il m’explique, il est associé et partenaire du groupe… Il finance une partie…Il m’invite à diner…Je ne refuse pas, j’ai une faim de Lou…Restaurant tranquille à deux pas… On se regarde dans les yeux, il est craquant…-On en parle ?-Non, c’était en passant, un souvenir londonien, un accro de trop… Mais tu es adorable et je garderai un souvenir…-Tu es si belle et désirable, je ne peux me résoudre à te quitter… Tu restes jusqu’à vendredi…-Oui, je dois driver mes équipes et revoir le plan d’implantation avec l’ingénieur systèmes…-Je vois que tu as les idées claires…-Je ne suis pas saoule souvent… Il était trois heures…-Et ce souvenir ?-Un bleu énorme…Je dois repasser à l’hôtel, on se quitte, il a d’autres visites… J’ai son portable…Le soir, bain dans l’immense SPA, et vers 20h00, j’appelle Lou…-Chambre 345, Hôtel du Roy…Il y a un pub, plus loin, un nouveau… On y va et on dîne rapidement…-On sort ?-J’ai sommeil…-Ah…-Mais je n’aime pas dormir seule…Nus dans le grand lit, il revisite tout ce qu’il m’a fait hier, en plus tendre, en plus complet, en plus direct, en plus long, en plus merveilleux…Il goûte à mes charmes, à mon ticket de métro, sa langue découvre chaque millimètre de ma chatte, de mon sillon, et comble mon clitoris, à m’en faire crier de désir…Impudente, sans tricher, je me donne à lui, pour le remercier d’hier soir, de m’avoir respectée, et de m’avoir comblée…Il est si patient, que je vibre, je piaffe, et nos étreintes deviennent des combats engagés avec pour but, de nous unir…Il me baise comme un fou, et je prends tout ce qu’il me donne et je lui donne tout ce dont j’ai envie… J’apprécie le bateau-ivre, en plein milieu du lit, ma chatte grande ouverte par sa queue de renard, et il me penche pour éviter les rochers, et me redresse pour s’enfoncer à l’abri…C’est de l’art… Je jouis comme une diva, et il me sodomise de nouveau, allongée de tout mon long sur le ventre, sa bite enfouie au plus profond de mes fesses…J’en délire, j’en soupire, j’en vocalise, je griffe les draps fins… Je roule par terre…Amazone et conquérante, je m’offre une cavalcade pour le rassasier, ondulant mon fessier sur sa queue comme une furie, pliant ce dard infatigable, le plantant avec force dans mon vagin, au son d’une charge héroïque…Le l’ai eu… Il est liquéfié… Vidé, et nous buvons pour nous remettre et nous pelotonner lèvres contre lèvres…Je le lèche, il me suce, il me lèche, je le suce…Mon bonbon nettoyé, son membre refroidi et gâté par mes lèvres, on s’endort collés l’un à l’autre…Il se glisse tôt hors de la chambre… Je lui souris…Il me reste 1 heure 22 minutes de sommeil…Plus tard dans la journée, je remets de l’ordre dans mes pensées… Je décide de mettre un terme à ce déchainement… Je me reprends…Je ne sors pas… Ne réponds pas aux SMS, ni aux messages de Lou…Je lis, regarde la télé, comme chez moi… Un appel de Pierre, il est tendre, gentil, sa voix agréable me suffit pour ce soir… Mon voyage se termine, je reviens dans 15 jours pour vérifier le fonctionnement des automatismes et tester le programme réalisé par la société d’informatique…Dans ma baignoire, je pense à cette parenthèse, Pierre doit passer ce soir, ou rester ?C’est vendredi… Je n’ai rien dans le frigo et n’ai pas eu le temps, ni l’envie de faire des courses…J’était en peignoir quand il a sonné…Embrassades très tactiles, et déshabillage instantané… Mon lit… C’est un tsunami…Cette envie de me retrouver dans ses bras, caressée, embrassée, d’être ouverte par ses doigts, excitée, léchée, ma vulve détrempée par sa langue et par mon nectar…Son sexe, goûté, à la manière d’un cornet de glace… Mes sens en émoi, en folie, ivre de me donner à lui…Son sexe qui me pénètre et me fait délirer…Ma chambre qui se met à tourner…Mes râles, mes gémissements de femme, qui trahissent mes orgasmes…Me sentir prise, tétanisée par ce bout de chair, gonflé de sang…Mon corps s’ouvre comme une fleur au matin, initiée par les rayons du soleil, et moi, mon soleil, c’est lui… En pleine nuit… Je jouis… Il jouit…Ces retrouvailles sonnent le temps d’une prise de conscience de ma part…Oui, je suis amoureuse de Pierre…Je ne pense qu’à lui, dès qu’il n’est pas proche… J’ai envie de lui, de le sentir me prendre, de jouir entre ses bras…Je me souviens ado, de mes sourires béats… C’est pareil, une femme amoureuse n’a pas d’âge…Il me retourne à 4 pattes au milieu du lit…Son sexe me pénètre en levrette… Je me sens partir, ses mains sur mes seins pour me transmettre son amour…Son sexe en moi pour me déposer sa semence…Je m’entends jouir, je me sens femme, je me sens enfantée…Un an plus tard, dans la joie et le partage, un mariage intime, quelques amis, nos parents et nos enfants, dans ma grande maison qui retrouve une vie de famille… Avec ce bébé, Alice, témoin de notre amour dans mon pays des merveilles…FINMarika842010Avril 2020

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