Clémence Thermet se prostitue pour des contrats

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Clémence Thermet se prostitue pour des contratsJe m’appelle Clémence Thermet et comme beaucoup le savent, je suis escort-girl depuis mes 21 ans. Je travaille aujourd’hui dans le bâtiment pour un grand groupe de construction et nous ne sommes pas beaucoup de femmes dans ce milieu d’hommes. Quand j’ai commencé à me prostituer, cela me permettait d’arrondir les fins de mois et me faisait découvrir un univers nouveau pour moi tout en me faisant oublier les évènements sombres de ma vie. tout était parti en vrille et il ne me restait rien à part mes étudies.Alors je m’accrochais tant que je pouvais et je travaillais dur et j’enchainais les passes pour pouvoir vivre avec ma petite soeur dont je me suis beaucoup occupée. Alors j’enchainais les études et les écoles les plus accessibles pour moi et les stages étaient super importants pour moi. J’ai fini par rentrer dans une société de Vinci, et je n’y croyais pas j’étais si heureuse ! Je voyais enfin le bout du tunnel avec un poste qui m’était promis, une carriere et la fin de la galère à jongler entre mon compte en banque et mes clients. je démarrais alors mon stage avec motivation et je donnais tout pour prouver ma gratitude et etre fière de mon chemin difficile.Mon stage se passait impeccablement jusqu’à ce jour fatal où, lors d’une réunion avec un client, je suis tombée sur un de mes client ! Je crois qu’il a été aussi surpris que moi sauf que quand moi j’étais genée et ne savais plus où me mettre, lui semblait se délecter de la situation. Mon patron le connaissait bien et lui parlait en toute confiance, et j’étais rouge comme une tomate pendant la réunion. Mon client n’arretait pas en plus de faire des allusion lourdes à mes “talents cachés” et mon “potentiel” et qu’il devinait derrière mes habits timides une “femme avec des talents de négociatrice”. Tu parles, je portais simplement un pantalon, des ballerines et un chemisier fantaisie, rien à voir avec mes tenues de papillon de la nuit ! Je me souvenais que quelques semaines avant j’avais négocié quelques “spécialités” avec lui pour quelques billets de plus… visiblement il s’en souvenait et il en profitait le salaud et il se permettait de me mater de la tete au pied.A la fin de la réunion, je prenais les dossiers et je me suis levée en restant aux cotés de mon patron comme d’ahbitude lorsqu’on racommpagne nos invités hors du bureau. Mais cette fois-ci, mon client fit un petit signe à mon patron puis dit : “j’ai quelque chose à te dire en privé” en me regardant droit dans les yeux. J’étais pétrifiée. Je craignais exactement ce qu’il allait lui dire, je savais que j’allais tout perdre en quelques instants mais je ne pouvais rien dire, je ne pouvais rien avouer au risque de perdre ma place, et il allait tout lui dévoiler ! Mon patron me renvoya d’un geste et je n’avais pas d’autre choix que de repartir toute penaude à mon bureau, le tête pleine de rage et de colère contre moi-même. Comment n’avais je pas pensé que ça pourrait arriver ? Comme d’ahbitude, j’avais agi sans réfléchir, je me croyais maline et j’allais subir les conséquences.Tout tournait dans ma tête et mes pensées se bousculait, que pouvais je faire, quoi dire? J’étais perdue et j’aillais perdre tout ce que j’avais construit avec mon cul, et ce que je croyais m’avoir sauvée allait en fait me détruire. Je m’en voulais d’avoir sombré dans la facilité et la luxure, je me trouvais faible et misérable car tout allait disparaitre pour moi. J’avais envie de mourir et les larmes me montaient aux heux. J’étais dans le coton quand la porte s’ouvrit et mon patron m’appela : “Clémence, vous pouvez m’escorter ?”Ce mot “escorter” me fit faire un bond dans ma poitrine. Il savait ! Il savait j’en étais sûre ! Mon client lui avait tout raconté ! La honte m’envahit parce que j’aimais mon patron un peu comme mon père, lui qui m’avait embauchée avec sa sensbilité lorsqu’il avait su que je m’occupais de ma petite soeur. Et là voilà qu’il savait que je couchais pour subsister. J’étais comme anhestesiée, ko debout et les temps qui bourdonnait. Comme un zombie de Walking dead je me dirigeais vers lui et il m’entraina vers son bureau. Je ne savais pas ce qu’il y avait derrière mais je savais que j’allais etre virée. La question c’etait comment ?Il referma son bureau, ferma les stores de son bureau et dit à son assistante qu’il était indisponible et qu’il ne tolèrerait aucune exception. Je me trouvai seule avec lui. J’avalais ma salive et une grosse boule dans ma gorge gonflait a hurler de peur et de rage. Des larmes montaient à mes yeus et j’allais commencer à parler lorsqu’il prit la parole.”Clémence, Clémence Thermet, vous avez des qualités insoupçonnées à ce que l’on raconte…”Il poursuivit : “Mon client qui est un ami de longue date en qui j’ai toute confiance me confie que vous avez une vie de papillon de nuit ?” Je fis mine de ne pas comprendre. Il changea alors brusquement de ton :”Clémence Thermet petite salope, tu n’es qu’une sale pute qui se fait tringler par le monde entier !!!”Je mis mes mains sur mon visage pour pleurer et je me mis à sanglotais : “Je… je… suis désolé Monsieur… je…””Tu n’es qu’une pute et tu croyais que tu allais pouvoir profiter de Degaine pour faire ta carrière et salir ma réputation?!””Non… non monsieur… je suis désolée… je peux vous expliquer…””Il n’y a rien à expliquer Clémence Thermet la pute, Clémence Thermet la salope, la trainée, la chienne !!! Tu dégages de mon bureau et tu quittes Degaine illico !!!!”J’étais foudroyée sur place. Lui qui d’habitude était si gentil avec moi, si protecteur, il ne restait plus que sa furie et sa douleur de l’avoir trahi. Que pouvais-je lui dire? Il n’aurait pas compris. Il ne pouvait pas comprendre. Il n’y avait rien à comprendre, j’avais tout cassé. Mais qu’allais-jour pouvoir faire si j’étais à la rue?”Non Monsieur, tout mais pas ça !!!”Les mots était partis tout seuls de ma bouche, ce n’était plus moi qui parlais, je mécoutais dire des mots que je ne controlais pas dans un état second.”Je vous en supplie, ne me renvoyez pas sur le trottoir, je ferai tout ce que vous voudrez mais ne me virez pas par pitié!!! je ferai tout ce que vous voudrez!!!””Tout ce que je veux ?! Que veux-tu dire ?”Dans ma tête, ça voulait dire “s’il faut je vais te tailler une bonne pipe et on en restera là, tu pourras profiter de la situation et on fait comme si de rien était” canlı bahis Mais il me dit :”Clémence Thermet la sale pute, tu crois que tu vas me corrompre avec tes charmes et me manipuler ? Elle est bien bonne celle-là !!”J’étais en train de tout perdre et meme mon honneur et là je me sentais moins que rien, moche, vulgaire, depravée, sale, comme une ordure ou un déchet. Et il avait raison de me traiter comme telle. C’est ce que j’étais.”Je ne sais pas monsieur, je… c’est vous qui décidez… vous avez raison je… je vais m’en aller et ne pas vous poser de problème””Ah la bonne heure !” me dit-il. “Tu vois ce que tu es devenue Clémence ?” Oui je le savais. trop bien.”Tu sais, je ne t’en veux pas vraiment, tu as vécu des choses difficiles et tu as du offrir ton corps jeune et bien foutu à des hommes qui t’ont utilisée comme on utilise un kleenex. Très bien. mais tu vaux mieux que ça.”Quoi, il jouait au gentil d’un seul coup ? j’était complètement sonnée, je ne comprenais rien à ce qu’il voulait dire, ou il voulait en venir.”Tout ce que je veux ? C’est ce que tu as dit Clémence ?””Oui””Tu sais Clémence, à quel point il est difficile de négocier des contrats avec des fournisseurs et des clients ? Tu imagines bien que ta réputation de pute va être un handicap pour moi si je continue à travailler avec toi. A moins que…” Il laissa bien une minute me torturant l’esprit car je ne savais pas ou il voulait en venir mais je craignais le pire derrière cette douceur nouvelle.”J’aurais peut-etre besoin de tes talents de “négociatrice”. Qu’en dis-tu ?””Négociatrice ?””Tu m’as très bien comprise Clémence. A présent tu seras très solennellement la pute de la société. Tu arrêtes de tapiner et de te prostituer et en échange tu bosses pour moi. Tu seras largement payée pour qu’on puisse se servir de ton corps”Quoi ? Quel était ce marché immonde ? J’avais les jambes coupées et je tombais dans le siège, comme si on m’avait débranchée la prise. J’avais déjà entendu parler des “négociatrices” dans l’univers du batiment, des putes qui garnissaient les chambres des clients richissimes la veille de négocier un contrat, mais c’était des rumeurs, ça ne pouvait pas être vrai, c’était même un sujet de rigolade… sauf que la garniture là, ça allait être moi ! Quelle horreur !”Alors, tu en penses quoi Clémence ?” dit-il avec un regard vraiment vicieux cette fois-ci, très très loin du regard protecteur qu’il avait toujours envers moi.Autant mon corps m’appartenait d’habitude même avec les clients, autant je trouvais que là c’était l’horreur. Mon corps ne m’appartenait plus !”Tu n’as pas le choix. Tu commence tout de suite. Mets-toi à poil tout de suite.”Mon cerveau n’arrivait pas à croire ce que mes oreilles avaient entendu. Il hurla alors :”A POIL CLEMENCE LA PUTE !!!”Comme un robot, je me releva, et je commançais à ouvrir les boutons de mon chemisier un a un. Visiblement ça ne convenait pas à mon patron.”Putain mais accèlère j’ai pas toute la nuit salope !”Je défis alors le reste des boutons à toute àllure et je me retrouvais avec le chemisier ouvert sur mon soutien gorge à dentelle blanche…”A poil j’ai dit”C’était très clair. Alors je fis tomber mon chemisier sur ma chaise puis je commençais à faire descendre mon pantalon.”Ton soutif aussi”Je m’exécutais et bien que je tremblais je fis tomber mon soutien gorge qui alla rejoindre le chemisier. J’étais nue jusqu’au pantalon qui tomba.J’eus un moment d’arret. J’étais en string devant mon patron.”A POIL SALE PUTE, TU FAIS MOINS LA TIMIDE QUAND TU TE FAIS SAUTER COMME UNE CHIENNASSE !!!”Ses mots vanquirent ma résistance et je me retrouvais nue devant lui dans son bureau au volets fermés et son regard qui coulait comme un serpent sur mon corps en s’agripant a mes seins et ma chatte. Je me sentais humiliée à l’extreme, totalement à sa merci et incapable de penser. Il faisait ce qu’il voulait de moi mais c’était encore pire que ce que j’avais pensé. Au bout de plusieurs minutes il se radoucit.”Bon, je t’ai assez fait souffrir pour aujourd’hui je crois, tu vas pouvoir quitter ce bureau, je vais te garder mais tu seras au service de la boîte. C’est compris ?”Entre deux sanglots, deux frissons aussi, je répondis un timide “oui”.”OUI QUI CLEMENCE ?””Oui Monsieur !”Il se détendit et commença à me complimenter.”Beau chemisier que tu as là! Et cher ! C’est de la soie ça… Je le regardais pendant que tu te foutais à poil, il est assez léger et plutôt long… Ca rapporte bien d’être prostituée ! Remets ton chemisier”.Je pris alors mon soutien gorge pour me rhabiller…”Le chemisier j’ai dit, rien d’autre Clémence Thermet la salope. C’est bien compris ?”La mort dans l’âme, je lachai mon soutien gorge et j’enfilais le chemisier, dont le tissu touchait mes tétons de manière assez désagréable.”Tu pointes en plus petite pute, t’es vraiment une chienne Clémence !”Ses mots me pétrifiaient, je n’osais plus bouger. J’attendais son ordre pour remettre le pantalon, je n’allais pas prendre l’initiative ! Il s’avança alors vers moi et toucha mes tétons à travers le chemisier.”Tu es une vraie salope Clémence, tu es faite pour te prostituer.”Il malaxa alors mes seins et se mit à les pétrir sauvagement à froisser le tissu. Puis comme à contrecoeur il lacha mes seins.”Maintenant tu peux y aller. Sors de ce bureau comme ça Clémence Thermet la pute.”Comment ? Comme ça ?! Mais j’étais totalement nue à part un chemisier un peu trop long qui ne cachait rien de moi ! Je n’allais pas sortir du bureau comme ça ! Devant ma tête incrédule il me dit :”Tu n’auras besoin de rien d’autre à partir de maintenant. Demain tu viens habillée avec ta tenue la plus provocante sous ton manteau. Je vais commencer à te faire travailler dès demain matin.”Tremblante, je tourna la poignée dans ma main et je sortis de son bureau et je n’osais pas lever les yeux. Je dus passer devant certains de mes collègues qui ouvraient de grands yeux en me voyant, d’autres pouffaient en me voyant, certaines collègues étaient simplement outrées ou indifférentes, sachant très bien ce que j’étais devenue le temps d’un entretien dans le bureau du patron. Mais ce qui m’a fait le plus mal, c’était de voir le mépris dans le regard de mes rivales qui en profitaient largement en se moquant même pas discrètement de ma déchéance affichée par la transparence de mon chemisier. Je me sentais vraiment moins que rien, une ordure bahis siteleri tout juste bonne à aller rejoindre d’autres déchets de la société.Mon retour au bureau fut difficile, je ne demandais pas mon reste et je pris rapidement mon manteau pour me rahbiller enfin. Sans lever les yeux par crainte de ce que je pourrais y voir, je partis sans demander mon reste et c’est presque en courant que je quittais l’immeuble pour me retrouver dans la rue, enfin invisible et à retrouver mes habitudes,la rue, les cafés, les pavés et je respirais enfin un grand coup au milieu de mes larmes. Durant tout le trajet de retour j’essayais de me cacher et j’avais l’impression que le monde entier savait que j’étais une pute. Certains me regardaient de travers et certains autres me désahbillaient du regard.L’épreuve dura une éternité pour moi et je remontais mes escaliers quatre a quatre , j’avais besoin de hurler et de crier ma rage et besoin de me laver de toute cette saleté qui était à l’intérieur de moi. Mais quand j’ouvris la porte, ma soeur était déjà rentrée et me voyant toute déconfite prit peur. Je fis un effort surhumain pour faire bien et je partis m’enfermer dans la douche ou je resta pendant deux heures à me laver, me frotter et me purifier, je me sentais dégueulasse. Mes larmes se confondaient avec l’eau de la douche et je ne sais plus comment je me suis endormie comme évanouie dans mon lit avec des pensées horribles qui me tenaillaient le ventre. Qu’avais-je fait ? Pourquoi jétais aussi honteuse? Pourquoi j’avais fait une telle betise ?Le réveil fut horrible car c’est mon patron qui me réveilla sur le téléphone :”Clémence, T’es réveillée ? J’ai besoin d’une bonne pute comme toi ce matin pour un contrat très important. Je te veux dans 30 min à mon bureau sinon tu sais ce qui t’attend haha !!!”Tout me revint en mémoire dans un flash qui me vrilla la tête et je me rappelais de tout, mon client, mon patron, moi nue, le chemisier, mes collègues, la douche et j’avais envie de vomir. Mais je n’avais même pas le temps de réfléchir à tout ça que mon patron m’envoya un SMS :”Clémence Thermet la pute de Degaine est annoncée pour l’ouverture des négociations à 8h au bureau dans une tenue appropriée”L’enfoiré ! J’avais à peine le temps de me préparer, et il m’avait demandé une tenue provocante! Je pris alors mon collier de chienne qu’un client m’avait offert, un soutien gorge en lanières de cuir sans tissu, une culotte ouverte en latex et mes cuissardes. “Tu va voir connard, tu ne vas pas en revenir et je te ferai bouffer ta queue!” A peine le temps d’enfiler mon manteau et je prenais le bus pour rejoindre le bureau. J’en profitais pour me maquiller à la truelle de manière hyper vulgaire, quand on n’a pas le temps de bien faire autant que ça fasse de l’effet à ces connards. Les voyageurs me jugeaint et faisaient des remarques mais j’étais tellement énervée que je n’en avais rien à faire.C’est en poussant la porte du bureau que je me rendus compte de l’immensité de ma dépravation. Mes collègues ouvraient de grands yeux et le silence fut total quand j’entrais. Tous avaient du mépris pour moi, je le voyais dans leurs yeux. Beaucoup de déception aussi. Tous me jugeaint et certains semblaient choqués, surtout les femmes. D’autres contemplaient seulement le spectacle de ma déchéance, en une nuit j’était passé de la petite fille sage de Houdan devenue ingénieur à une vulgaire pute d’hotels à souiller pour négocier de juteux contrats.Mon patron entra alors et sans un mot me pris par le bras en adressant un “bonne journée” à mes collègues. Il m’a fait sortir et monter dans sa voiture garée dans la cour avant de démarrer à toute allure.”Tu ne me refais jamais ça Clémence, jamais tu m’entends ! Pas en public au bureau. J’ai une réputation à tenir moi!”Quel connard ! Alors moi ma réputation on pouvait la piétiner mais la sienne non ! Perdue dans mes pensées, je voyais le paysage défiler et s’éloigner de Paris pour arriver… sur mon chantier de Charonne ! Ce chantier, j’y travaillais jour et nuit pour rénover l’église d’un village qui était historique et tout, j’étais fière de ce que j’étais en train de réaliser avec mes ouvriers !”Clémence, pour bien te faire comprendre ce que j’attends de toi, tu vas dire aux ouvriers que le chantier a pris du retard et que tu veux qu’il soit fini dans un mois jour pour jour.””Quoi ? Mais monsieur vous savez bien que c’est impossible, il reste encore 3 mois de chantier au moins!””Ne discute pas et fais ce que je te dis”Nous arrivions sur le chantier et mon patron me fit mettre le casque réglementaire avant de crier au contremaitre “Réunion de travail ! Tout de suite !” Les ouvriers rappliquèrent et en me voyant, ils furent stupéfaits, certains me sifflaient, d’autres faisaient des commentaire style “je savais bien que c’était une salope celle là” ou “dans le métier faut coucher pour monter” ou “depuis le temps que j’avais envie de me la faire la petite Clémence”… Toute leur perversité s’affichait au grand jour vu que moi j’affichais la mienne, pas besoin de se cacher maintenant haha.Une fois tout le monde réuni avec beauocup de mal à avoir le silence, ils étaient une vingtaine quand même, mon patron dit “Clémence Thermet a une annonce à vous faire”. Je m’avançais sous les sifflets et les paroles salaces et je leur dis comme convenu :”Bonjour, j’ai le regret de vous annoncer que le chantier doit être fini dans un mois” d’une toute petite voix.Silence puis certains rirent, d’autre juraient, d’autres m’insultaient, je crus que j’allais mourir sur place.J’avais tant essayé d’avoir leur confiance, ils m’obéissaient au doigt et à l’oeil et voilà qu’à cause d’un connard il avait tout foutu en l’air ! Ils étaient vraiment en colère. Mon patron les calma et leur dit :”Calmez-vous, calmez-vous mes amis, vous aurez évidemment des compensations!”et il se tourna vers moi en me disant d’avancer. Je me sentais prise au piège. J’avançais comme pour aller à l’abattoir.”Clémence Thermet est ici pour négocier avec vous !”Le regard des ouvriers brillait perversement et certains se léchainet les lèvres dans un geste obsène.”Clémence, enlève ton manteau !”Je ne voulais pas. Je ne bougeais pas. J’étais terrorisée. Je n’entendais plus rien.”Clémence Thermet sale pute tu vas m’obéir sinon je te jette dehors et tu auras tes yeux pour pleurer…” me siffla t’il à l’oreille.Alors la boule bahis şirketleri au ventre, la conscience partie très très loin, je commençais à faire descendre mon manteau qui dévoilà mon collier, les bretelles en latex, mes seins nus entre les lanières, mon ventre… A cette vue les ouvriers oubliaent tout, tout ce que nous avions vécu ensemble de bien et ne devinrent que des bêtes assoiffées de sexe. Leur lubricité me poignarda le coeur.”Elle est à vous, faites en ce que vous voulez !”Ils se jetèrent alors sur moi comme des morts de faim, leurs mains rugueuses sur ma peau encore tendre et certains avaient déjà sorti leurs queues. Ces hommes que je croyais connaître devenaient sous mes yeux des prédateurs de la pire espèce. Leurs doigts s’insinuaient partour en moi, me lacérant les chairs intimes sans aucun respect pour la poupée de chair que j’étais devenue à leurs yeux, j’en pleurais de l’humiliation. Puis une queue arriva dans ma bouche celle du contremaitre évidemment vite suivie par celles des ouvriers.J’étais tétanisée mais leur chaleur me faisait du bien par ce temps froid. Puis le contremaitre s’enhardi et cracha sur sa bite avant de se placer en face de moi entre mes jambes qu’il tenait écartées. “Alors Clémence Thermet, on fait moins la fière maintenant qu’on ne peut plus donner des ordres ? Prends ça sale pute!” Et il rentra sa queue d’un seul coup dans ma chatte sèche. Mes cris étaient étouffés par les queues des ouvriers, j’avais l’impression qu’il me labourait les entrailles. Il fit alors des va et vients d’une horreur absolue comme s’il avait une revanche à prendre sur moi et une frustration a évacuer dans mon ventre. Il me massacrait la chatte en tapant comme un fou au fond de moi, il était en train de me démolir !”Alors comme ça tu veux qu’on travaille encore plus alors qu’on en peut plus ? SALOPE ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ! Putain de salope Clémence t’es bonne, tu me fais jouir !!!”Puis quand il eut joui en moi un autre prit sa place, puis un autre puis un autre, ça n’en finissait pas, quand un avait fini et qu’il se retirait un autre prenait sa place encore chaude et s’infiltrait en moi par effraction. ils étaient une vingtaine, et ils se relayaient dans ma chatte comme un ballet bien rodé, me tenant les jambes dans des positions que je n’aurais jamais pu faire si je n’avais pas été gymnaste. Ca les excitait et plus je donnais,plus ils me fracassaient. L’un d’entre eux eut la très mauvais idée de me faire basculer sur le ventre, mettant mon cul à l’air. “Encule là !!!” lui dirent ses camarades de jeu. Il ne parlait pas français comme beaucoup dans le batiment, mais il savait ce qu’il était venu chercher. Sans autre préparation que son pouce pour tester le terrain il me prit le cul direct à sec, et j’hurlais comme une damnée tellement je dégustais de sa sodomie atroce. Le con, il se faisait plaisir !Il jouit rapidement dans mon cul puis comme la porte des artistes était ouverte, tous voulurent l’enfoncer. Au fur et à mesure j’avais moins mal mais je prenais cher, très cher meme pour ce que j’avais fait. J’étais plus qu’une pute en train de se faire démolir pour rien, j’étais vraiment qu’une sale pute. Mais au final, oui, j’en étais une ! De quoi je me plaignais ? Plus ils me défonçaient, plus je m’éloignais mais quand l’un d’entre eux avec un gourdin à la place d’une queue me prit directement, à peine lubrifiée par la semence des autres. Je revenais brutalement à la réalité tellement sa queue cassait mon cul, j’avais l’impression qu’il me distendait au dela de toute limite, et en profondeur en plus moi qui ne l’était pas très profonde, et qu’il me frotait les parois de mon cul avec une brosse métallique.J’hurlais et ça ne faisait que l’encourager et il accélérait de plus en plus, je n’étais qu’un pantin désarticulé qui subissait sa v******e, et mon cul fit comme il faisait parfois avec mes clients réguliers, il répondait à ses attaques, il se contractait puis se détendait, il faisait comme des contractions hyper violentes en moi avec des spasmes comme lors de mon avortement, mais par le cul cette fois, c’était atroce mais du plaisir commençait à venir, je me sentais possédée par le démon, mon esprit s’allumait d’une chaleur obsène, d’un plaisir immonde à me faire massacrer le cul ainsi envers et contre toute religion. Je devenais une chienne au regard fou, qui avait juste une envie de se faire punir, ce qui fit peur a certains des ouvriers qui regardaient leur pote me détruire. Je bavais, je pleurais et je bougeais comme une possédée pour expier tout ce qu’il me plantait de démoniaque en moi, sa queue d’une méchanceté inouie, qui me perforait comme on démolit une paroi mais la vitesse en plus. Je sentais sa méchanceté ne vouloir que ma mort et c’était bien ça qu’il faisait, il tuait la sage Clémence ingénieur pour faire naître Clémence la pute.”AAAaaaaaAAAAAAaaahhhhhh… iiiiiIIIIIAAAAaaaahhh… hhhh… hhhhhhhhhh… hhhhhhaaaaaAAAAAAAAHHH…”Je ne disais plus rien, je ne ressentais plus rien à force de coup de marteau piqueur dans mon cul, mais une brulure perverse grandissait dans mon corps, je pissais partout face à tant de cruauté. Sa brutalité me faisait du bien, je me sacrifiais pour expier mes fautes, je me sacrifiais pour me racheter de mes péchs et je jouissais, je jouissais comme une damnée sous ses coups de bélier ! Mon cul vivait sa propre existence en avalant sa queue au plus profond de lui san contrôle, précipitant son suicide dans une étreinte sale et odieuse, entrainant mon suicide social par la meme occasion et j’aimais ça ! J’aimais ça !Je finis par perdre connaissance avant même que mon tourmenteur jouisse, il se finit dans mon corps mou, et inerte. Je ne me souviens plus de rien sauf que je me suis réveillée dans le bureau de mon patron, mon manteau sur moi, collante de partout avec une lettre mal écrite posée sur le bureau et qui m’était adressée :”Madame Thermet, suite à notre discussion nous nous engageons à ce que les travaux seront finis dans un mois comme vous nous l’avez demandé. Il faudra venir vérifier l’avancement des travaux deux fois par semaine pour vous assurer le travail que nos ouvriers. Nous exigeons une compensation à chaque venue pour motiver l’équipe. Cordialement, le contremaître du chantier de l’église de Charonne.”Je regardais encore l’enveloppe. J’avais donc réussi à réduire le temps des travaux. Incroyable ! Je soupesai l’enveloppe, il y avait encore quelque chose. Des billets, beaucoup de billets. 5000 euros. En un éclair, je savais ce que j’allais devenir et qu’elles seraient mes missions désormais.Clémence Thermet

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