Confinement Bis Ch. 01

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(Le cadre, une ambiance, des personnages …. Tout a son importance.) J’espère que vous prendrez autant de plaisir à lire cette histoire que moi à l’écrire.

Les commentaires, suggestions critiques et notation sont les bienvenus.

Retraite dans la maison familiale

Hortense est devant l’entrée de la maison familiale. Arrivée vers dix-huit heures elle descend de la voiture pour ouvrir le portail. Elle est saisie par la chaleur en cette fin d’été mais surtout c’est le calme qui la surprend. Il est vrai que peu de gens habitent ce petit hameau. Sur les onze maisons il n’y a guère que deux retraités qui y vivent à demeure et les autres sont des résidents de vacances. Elle pensait tout de même qu’il y aurait quelques personnes mais cela ne semble pas le cas.

Figée devant la grille de la cour au sol pavé, elle observe par reflexe la maison au fond avec toutes les ouvertures fermées, le mur en continuité ou le lierre a continué de grimper, la porte en chêne au milieu donnant sur le jardin et enfin la grange sur sa droite dont le pignon sur la ruelle commence à se lézarder. Elle a l’impression que la maison est endormie, en tout cas elle n’a pas bougé depuis le décès de leur mère il y a deux ans. Hortense et son frère Olivier n’y sont pas revenus.

Sortie de ses pensées, Hortense enlève le cadenas et rentre son auto dans la cour fermée. Elle pourrait garer sa voiture dans la grange en pierre qui sert de garage mais elle n’a pas le courage et puis les allez retours pour vider sa 307 seront moins longs. Son frère n’est pas là pour l’aider, il n’arrive que demain matin. Elle se contente de refermer la grille pour se sentir chez elle.

Il y a 1 semaine son oncle lui apprend, sous le sceau de la confidentialité, qu’un nouveau plan de confinement plus strict est en cours de validation. Hortense prend l’information au sérieux. Capitaine dans les renseignements généraux, son parrain lui explique de se préparer car le virus a muté, il fait déjà des ravages en étant cent fois plus mortel. Il précise ensuite que le confinement sera d’au moins quatre mois et il y a urgence de se préparer car une annonce sera faite dans quinze jours au maximum.

Hortense n’avait pas tergiversé longtemps. Elle avait appelé son frère pour lui exposer les faits et lui demander de la rejoindre dans la maison des parents ou ils pourraient être confiné en sécurité tout en ayant de l’espace pour mieux appréhender cette épreuve. A deux c’est plus facile de supporter ce genre de situation, de plus elle se sentirait rassurée avec Olivier à côté d’elle. Séparée de son copain depuis trois semaines elle ne se voyait pas rester dans leur petit trois pièces avec lui pendant cette période.

Etudiant en médecine sur Toulouse, Oliv, comme l’appelle sa grande sœur, occupe un studio en centre-ville. Son appartement est très pratique de par la proximité de l’université et des transports en commun à proximité, cependant il l’est beaucoup moins pour passer plusieurs semaines enfermées. Il a testé pour le premier confinement, surpris il n’avait pu prendre d’autre dispositions, aussi lorsque sa sœur l’informe des nouveaux événements à venir, il est dépité mais heureux d’avoir une solution de replis. Passer quatre mois cloitrés dans la maison familiale à plusieurs d’une part et sortir de l’habitation sans être inquiété lui parait presque inespéré. De plus Hortense n’est pas contre qu’il invite des amis, trois au maximum. Il pense que le séjour sera plus agréable, convivial.

Le premier nom auquel il a pensé est sa copine Charlotte mais elle a décliné son invitation sous la pression de ses parents, protecteurs et inquiets de nature, ils voulaient qu’elle soit avec eux. La deuxième personne qu’il a appelée est évidemment son amie de toujours, Emma, sa complice depuis le CE2, celle avec qui il partageait tout. Elle a répondu avec enthousiasme à son appel, trop heureuse de ne pas être enfermée pendant cette période, retrouver Oliveur comme elle le surnommait pour partager de bons moments et aussi retrouver Hortense qu’elle appréciait. Elle lui a dit par contre qu’elle ne serait pas seule, elle partage dorénavant sa vie avec Julie, celle-ci serait avec elle. ” il n’y a aucun souci lui répond Olivier”.

Il a ensuite contacté son “pot” Dimitri pour savoir s’il était partant pour l’aventure, or de son côté il a une copine et il passera vraisemblablement la période avec elle. Il est déçu, mais comprend parfaitement la décision de son ami.

Ils seront donc quatre à vivre en commun pendant quelques mois. Hortense est très contente de partager la maison familiale pendant ces quelques semaines même si elle sait qu’il y aura forcément des hauts et des bas ; la vie en communauté demandes des concessions. Néanmoins elle reste persuadée que chacun fera des efforts et surtout elle apprécie de se retrouver avec des jeunes dont les préoccupations ne sont pas fondées sur le matériel mais plutôt sur le plaisir, l’insouciance est encore de mise, il n’y aura pas de monotonie. Ce qu’elle ne Çankaya Escort sait pas et Olivier non plus à cet instant c’est que l’ennui ne les guette pas à coup sûr!!! Une cinquième personne doit s’inviter à les rejoindre, une invitée mystère en quelque sorte, un quidam avec son lot de surprises!!!

Tout doit être prêt pour accueillir les amis d’oliv car ceux-ci doivent arriver deux jours avant le confinement strict. Ils ne peuvent se permettre de les attendre pour préparer les réserves alimentaires, non seulement les magasins seront certainement dévalisés et de surcroît on ne leur permettra certainement pas d’acheter des produits de première nécessité en si grande quantité. En effet Hortense décide de se prémunir contre l’embargo, prévoyante comme l’était sa mère, elle a préparé un plan quasi militaire pour répartir les achats sur dix jours et ceux-ci dans plusieurs centres commerciaux. Il n’y a qu’une épicerie à cinq kilomètres, il faut donc parcourir au moins trente kilomètres et une heure de trajet pour trouver une grande surface aussi elle fait avec Olivier un planning, chaque jours ils achètent une partie des provisions. Les quantités sont somme toutes importante car le frère et la sœur ont compté cinq personnes par sécurité vivant 4 mois en autarcie avec tout ce que cela implique.

Olivier a prévenu Emma de ne pas s’encombrer de victuailles. Son amie lui a alors répondu que cela l’arrange, elle et Julie feront alors un virement à Hortense, il n’est pas question qu’elles soient hébergées gratuitement, la moindre des choses est de partager les frais.

Le frère et la sœur veulent aussi préparer la venue de leurs invités, la maison a besoin d’un bon coup de propre et aussi de rangement. Les derniers temps leur mère n’avait plus la force d’entretenir le logis; il y a du tri à faire dans les armoires et se séparer de souvenirs inutiles, de plus ils réaménagent les chambres pour eux et les arrivants.

Hortense prend d’autorité la suite parentale pour laisser son ancienne chambre à Emma. Retrouvant sa chambre, Olivier n’a lui que très peu de travail aussi, sa sœur lui demande de transférer toutes les affaires de la chambre qui sera celle d’Emma pendant quatre mois, dans celle qu’elle occupe maintenant. Elle fera le tri plus tard car elle a beaucoup à s’occuper au rez-de-chaussée. Comme c’était son amie, elle lui laisse tout loisir aussi de la décorer comme il l’entend. Hortense aime beaucoup Emma, elle tient à ce qu’elle se sente bien, qu’elle soit comme chez elle.

Cela fait presqu’une semaine qu’Olivier repousse cette corvée, le rangement n’est pas sa tasse de thé preuve en est le joyeux capharnaüm dans lequel sa chambre se trouve depuis qu’il est revenu vivre ici, il se force donc cette après-midi, dans un premier temps il va transférer les affaires d’Hortense dans sa nouvelle chambre.

Depuis une heure il dépose tous les bibelots dans un coin de la suite parentale et il commence à vider la grande armoire de toutes les “fringues”. Il les dépose en tas sur le lit et cela le fait sourire d’avance, quand sa sœur va voir le fatras elle ne manquera pas de l’incendier, il a hâte de la voir débouler dans sa chambre en colère. Le sourire aux lèvres il finit par le tiroir tout en bas de l’armoire et aperçoit des cahiers et aussi des albums photo. Lorsqu’il les enlève il y a aussi une enveloppe au papier usé en dessous. ” encore des photos… oh, voyons voir ce que cela nous réserve pense t’il en apercevant une fille en maillot de bain”. Stupéfait, les clichés entre les mains, il s’assoit sur le lit.

Olivier découvre tout un lot de photos d’Hortense seule ou avec ses copines. Il essaye de s’imaginer une situation quand il les voit toutes les trois faisant les folles dans la chambre de sa frangine avant de prendre une douche, se prendre en photo l’une l’autre seins nus au départ et complétement déshabillées par la suite “quel corps elle a ma sœur, punaise ses seins sont terribles…. ” il voit sa frangine comme jamais il ne l’a regardé surtout que sur les derniers clichés elle figure dans des poses coquines, elle s’affiche provocante, aguicheuse, heureuse de s’exhiber … “elle devait être une sacrée cochonne à 20 ans… pffffff”

Hortense a vieilli certes mais à trente-deux ans, elle n’a rien à envier aux jeunettes. Avec son mètre soixante-seize, cette brune aux cheveux long, extrêmement longs, ils lui tombent en bas du dos, un regard perçant avec des yeux verts, est une femme fatale lorsqu’elle est maquillée. Là elle est en vacances, elle ne fait pas attention, elle arbore une tenue cool, cependant on remarque facilement une silhouette de rêve bien proportionnée avec une taille étroite, des hanches légèrement marquées, une poitrine consistante sans être grosse, des fesses bien pommées et des jambes fines se terminant par de petits mollets ainsi que des chevilles aux attaches délicates bref une très belle femme.

Malgré lui toutes ces images le font bander. Il s’étonne Keçiören Escort d’avoir une telle réaction, cependant son instinct primaire est à rude épreuve notamment lorsqu’il aperçoit les dernières photos. On devine les trois coquines de dos avant de prendre un bain, penchées sur la baignoire faisant semblant de prendre la température de l’eau tout en ayant les jambes tendues et écartées avec le visage espiègle tourné vers l’objectif. Dur comme du bois son sexe lui fait mal, ses yeux sont figés sur la vulve glabre et entrouverte de sa frangine. Jamais il n’aurait pu imaginer que sa grande sœur soit une dévergondée, une fieffée cochonne. “qu’est-ce qu’elle m’excite cette garce”.

Le soir dans son lit il repense à cette année 2010 et il lui revient en mémoire une nuit de vacances, c’était en Aout, il avait 9 ans.

Les parents s’était absenté le week-end et avaient demandé à Hortense de garder son petit frère pendant ces deux jours. Le soir, Christian son copain dormait dans la chambre avec sa frangine et Olivier se rappel nettement avoir eu peur pour sa sœur. Il entendait son copain lui dire qu’elle méritait une fessée. Plus tard il perçut les claques tomber, Hortense criait et pleurait, elle le suppliait d’arrêter puis quelque temps plus tard alors que la maison était calme, il entendit un long cri suivi d’une plainte gutturale. Il mit longtemps à s’endormir inquiet de l’état de sa sœur.

Avec le recul il comprend tout, elle aime donc le sexe hard. Il bande comme un fou en imaginant la scène.

Avec charlotte il connait pourtant une jeune femme pleine de ressources!!!

12 jours plus tôt

Depuis une semaine charlotte essaye de convaincre ses parents de la laisser partir avec Olivier, mais ceux-ci sont intransigeant. ” tu le reverras après ton copain lui dit son père, s’il y a confinement ta place est auprès de nous, tu ne veux pas faire mourir ta mère d’inquiétude?” Ce à quoi la fille modèle n’avait pu répondre, elle viendrait chez les parents le temps de la quarantaine.

La veille du départ d’Olivier, ils sortent en boite et prennent un dernier verre chez leurs amis. Ils ne vont pas se voir avant un long moment.

Il est six heures du matin quand tous les deux rentrent à l’appartement. Il n’y a que cinq minutes de la sortie du taxi à leur nid, cependant Olivier a toutes les peines à contenir Charlotte, il ne l’a jamais vue aussi libérée. “elle est complétement stone se dit-il, mais j’aime la voir sous cette angle… Quoique dans la rue!!!”

« Tu aimerais que je te prenne dans ma bou…. chhhe lui dit-elle à voix haute.

Tais-toi charlotte, murmure Olivier en mettant sa main sur les lèvres

Dis-moi mon chéri continue t’elle en se dégageant, tu voudrais jouir dans ma bouche? »

Olivier est stupéfait par la salacité des propos cependant l’entendre de sa chérie si réservée d’habitude, l’excite au plus haut point.

Dans l’immeuble et notamment dans la cage d’escalier, charlotte continue à l’aguicher, le provoquer, mais en plus elle joint le geste à la parole. Elle empoigne la queue de son copain qu’elle essaye de sortir du jean, lui susurre dans l’oreille qu’elle a envie de manger sa grosse queue et qu’elle va lui essorer ses couilles.

Arrivé devant la porte de l’appart Olivier a du mal à rentrer la clef dans la serrure tellement ses sens sont mise à rude épreuve. Quand la porte s’ouvre enfin, Charlotte rentre comme une folle, se précipite vers le canapé et tout en l’appelant se dessape à la vitesse de l’éclair.

Lorsque son copain arrive devant elle, c’est pour la retrouver toujours aussi frappa-dingue, allongée sur le fauteuil, totalement nue, les jambes largement écartées. “que lui arrive t’il s’éberlue Olivier en la découvrant …. C’est sûr, le pétard que lui a refilé Charles doit décoiffer”.

Face à un tel spectacle il se déshabille prestement et s’approche de sa dulcinée. Elle l’a chauffée à blanc, il va la faire mariner!!!

Il commence par passer le revers de sa main sur son ventre nu, puis il remonte doucement vers ses seins dont les pointes sont semblables à de gros cailloux. Il la sent brûlante de désir. Alors, sa main redescend doucement vers son buisson brulant, traîne sur ses jambes pour mieux la faire languir. Dans la position où elle est, rien ne peut l’empêcher d’accéder à son sexe, c’est d’ailleurs tout ce qu’elle demande. Les genoux écartés au maximum, les pieds posés sur les accoudoirs, sa position est impudique à l’extrême, les lèvres de son sexe, distendues par le plaisir, bâillent dans une posture tellement indécente qu’Olivier n’en crois pas ses yeux. Alors, il s’agenouille entre ses cuisses, approche sa bouche des tétons orgueilleux, il caresse doucement son sexe humide avec son gland. Elle frémit de bonheur et d’impatience. Il essaie de retarder le plus possible le moment où il va prendre possession d’elle mais s’il veut la faire languir, il lui est difficile de résister à cette adorable garce.

« Etimesgut Escort Allez baise moi salop!!! »

« Oh oui je vais te la mettre ma belle salope » renchérit Olivier.

Il est dur comme du bois, ses couilles lui font mal, il ne peut plus résister à l’appel de cette satanée femelle. Il est temps de placer son sexe à l’orée de la grotte, elle en profite aussitôt pour se laisser glisser doucement, s’enfilant elle-même, avec une infinie lenteur sur sa verge tendue, chaque millimètre de cette lente progression dans ce fourreau humide est un délice. D’habitude Olivier doit la préparer longuement car il ne peut rentrer son baton de suite. Ce n’est pas parce que Charlotte soit particulièrement étroite, mais Olivier est plutôt fortement pourvu. Si son sexe reste dans la normalité quant à la taille, l’épaisseur de celui-ci est presque démoniaque. Tous ces copains le surnomment le baudet.

Lorsqu’enfin, il est tout au fond d’elle, elle s’immobilise en reprenant sa respiration, puis c’est Olivier qui prend en quelque sorte les commandes avec un langoureux va-et-vient. Il lui faut être délicat au début pour que sa chérie s’habitue progressivement à l’envahissement de son vagin.

Comme il lui embrasse les seins, elle projette son bassin en avant tandis qu’il essaie de contenir tant bien que mal la fougue de sa chérie face au désir de s’empaler au maximum. Olivier sent son plaisir monter, comme le prouvent les mouvements de son bassin qui deviennent de plus en plus désordonnés, de plus en plus aléatoires.

Elle cherche visiblement à le garder au plus profond d’elle-même, elle ondule, frotte son pubis contre le sien et lui écrase la tête contre ses seins, c’est elle et elle seule qui gère leur plaisir à tous les deux, elle s’arrête d’ailleurs un instant comme pour s’assurer qu’il va tenir, puis reprend son petit manège sur la queue de son chéri.

Cela ne dure qu’un court moment, juste le temps de repartir à l’assaut en une cavalcade frénétique. Haletante, elle gémit en continu, râle, crie, toujours au seuil de l’orgasme mais s’y refusant obstinément. Cependant, au bout de quelques minutes d’une chevauchée démentielle où Olivier s’efforce de rester stoïque, la fatigue vient à bout de la résistance de charlotte, elle cède au plaisir dans de longs cris, et jouit voluptueusement pendant des instants qui semblent une éternité. Son orgasme manque bien de déclencher celui d’Olivier, or il ne sait trop comment il parvient à se retenir et sans bouger, il la laisse finir de savourer chaque bribe de jouissance sur son pieu tendu. Le priape toujours fiché au fond d’elle, tandis que Charlotte reprend doucement ses esprits, il la caresse tendrement.

« Tu vas me rendre dingue vilaine fille. »

« Mais toi, tu n’as pas joui » demande-t-elle soudain, inquiète.

« Nanan, tu ne vas pas t’en tirer comme ça… tu m’as promis ta bouche mon adorable salope!!! »

« Tu vas voir… tu vas me regretter chez ta sœur… Je vais t’essorer!!! »

Elle se déboîte alors de son chéri, l’embrasse fougueusement puis descend doucement, parcourant son torse de sa langue. Elle arrive rapidement jusqu’à son ventre, se met à genoux sur le tapis et approche sa tête de l’entrejambe. Là, elle caresse son sexe qui pointe toujours vers le ciel avant de le prendre en main. Elle n’en fait pas le tour néanmoins elle connait bien ses faiblesses.

De toute évidence, c’est à son tour de le faire languir, comme en témoigne cette façon qu’elle a de couvrir son gland de mille petits baisers, tout en l’effleurant à peine du bout de sa langue pointue. L’exercice dure un long moment, Olivier est sur des chardons ardents.

Elle l’engloutit enfin jusqu’à la garde, Olivier est à deux doigts de hurler tant cette sensation est délicieuse, si elle continue de s’activer comme elle le fait, il ne va pas tarder à se répandre dans sa bouche. Il l’attrape alors doucement par les cheveux et lui imprime le rythme qui va le faire partir. Il jouit enfin en grognant et se vide dans la bouche accueillante.

Charlotte s’endort en premier, les mains serrées entre celle de son chéri. Il la regarde s’apaiser peu à peu, le cœur battant, puis après avoir déposé un long, un très long et très amoureux baiser sur son front, il s’abandonne au sommeil.

Avec l’absence de sa copine, un confinement uniquement avec sa sœur, Olivier n’arrive plus à avoir les idées claires. Le corps d’Hortense hante ses rêves, il fait une fixation sur ses formes et toutes sortes d’images plus perverses les unes que les autres lui passent par la tête dès qu’elle est près de lui.

Balade… petit bois … rivière.

Cela fait déjà une semaine qu’ils sont arrivés et aujourd’hui Hortense propose à son frère de faire un break. Elle a envie, comme la journée promet d’être radieuse, d’aller se balader en forêt, oublier pour un temps ce confinement qui se prépare et pique-niquer le midi près de la rivière, tremper un pied dans l’eau puis ensuite revenir tranquillement en milieu d’après-midi. Souvent dans sa jeunesse elle avait emmené son petit frère à cet endroit aussi il est enthousiaste à l’idée de revoir ce petit coin de paradis.

« Super tu vas pouvoir bronzer ma chère sœur » lui dit Olivier, … « il y a combien de temps ta peau n’a pas vu le soleil!! tu es blanche comme un cachet d’aspirine continue t”il en s’esclaffant. »

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