Dialnet – Round 9

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Dialnet – Round 9Personne n’est encore rentré lorsqu’elle arrive à la maison. Elle cache ses vêtements irrémédiablement foutus, prend une longue douche bouillante puis se contemple nue devant la glace de la salle de bain. Son corps porte les terribles stigmates de ses excès : de larges hématomes indiquent clairement les endroits où elle a reçu coups de poing et de pied et ses fesses et ses seins sont couverts de stries sanglantes dues au ceinturon. Il lui serait cependant facile de dissimuler tout ça. Elle a déjà caché pire. Par contre, pour le visage, il n’y aura pas de miracle : son œil droit vire déjà au cocard, sa bouche a doublé de volume et elle a probablement une dent déchaussée. Elle s’habille difficilement, minore de son mieux les tuméfactions de son visage et réfléchit à ce qu’elle va bien pouvoir inventer.Quand son beau-fils arrive avec sa copine, elle raconte l’agression qu’elle a subit par la bande de voyous qu’elle s’est inventée avec une assurance qui la surprend elle-même. Pourquoi se trouvait-elle sur ce terrain vague ? A cause de cette stupide panne de voiture – laquelle avait ensuite redémarré sans plus d’explication quand elle était revenue à son véhicule après l’agression. Oui c’est idiot mais elle avait effectivement oublié son portable à la maison ce matin-là ce qui l’avait contrainte à tenter de chercher de l’aide en coupant par cet endroit mal famé. Comme quoi quand la malchance s’acharne…Oui c’était idiot de résister et elle promet que s’il devait y avoir une prochaine fois, elle donnerait son argent tout de suite. Non elle n’a pas été à la Police. Elle a eu peur, elle ne pensait qu’à rentrer chez elle. Même si l’histoire reste bancale, elle est corroborée et commentée par le jeune couple qui se l’est approprié comme s’il avait assisté à toute la scène au fur et à mesure ou le reste de la famille rentre. Dès lors, c’est une tribu unie par son mensonge qui explique l’inexplicable à son époux. Bien que dubitatif sur la légèreté de sa femme à mesurer le danger, Edouard est soulagé de voir qu’il n’y a finalement rien de trop grave. Il promet néanmoins de mettre à contribution ses contacts et ses appuis afin que la police venge cette ignoble agression.Toute cette affaire a épuisé Truica et elle part se reposer avec la bénédiction de tous.Après s’être enduite d’une couche de crème pour les contusions et les ecchymoses, elle avale plusieurs antidouleurs, se met au lit et se repasse le film de la journée. En bonne dissimulatrice, elle sent qu’elle a oublié un détail important, un indice primordial qui pourrait remettre en question sa version fantaisiste et lui apporter des problèmes. Elle est presque à la fin de la journée qu’elle canlı bahis şirketleri a déroulé minutieusement dans sa tête lorsqu’elle lâche un juron. L’enveloppe ! Elle l’a laissé dans son sac avec le CD et la lettre à l’intérieur ! Elle descend l’escalier en catimini. Ils sont tous en train de dîner et débattent de son aventure.Comme d’habitude, son sac est sur le meuble de l’entrée. Il est bien trop risqué de le fouiller sur place alors elle l’emporte à l’étage. Une fois à l’abri de sa chambre, elle fouille fébrilement. Puis elle retourne le contenu sur le lit et fouille encore. Une sueur glacée nimbe son front : pas d’enveloppe. Alors qu’elle est certaine qu’elle devrait s’y trouver. Elle se revoit remettre la lettre et le CD à l’intérieur puis la ranger dans le sac avant d’appeler le serveur. Est-il possible qu’elle ait ensuite glissé par terre durant leurs ébats ?Malgré la fatigue, elle ne dort pas de la nuit et se repasse la journée en boucle.Le lendemain matin, elle est parvenue à se convaincre qu’elle a laissé l’enveloppe dans le pub. Elle doit par contre vraiment avoir une tête de déterrée en plus de son œil et de sa bouche car lorsqu’Edouard vient s’enquérir de son état, il refuse d’entendre quoi que ce soit avant qu’elle n’accepte d’avoir la visite du docteur Menard. Ils conviennent de le faire venir dans la matinée. Edouard propose de rester à la maison pour l’assister si nécessaire mais elle parvient à le rassurer. Après avoir appelé son travail pour leur expliquer la situation, il se rend finalement au ministère – non sans lui avoir fait promettre d’appeler en cas de souci. Les enfants proposent la même chose mais elle les rassure à leur tour, expliquant qu’elle n’a besoin que de repos. Une fois la maison vide, elle peut enfin pleinement se rendre compte des dégâts en se regardant dans le miroir en pied de sa chambre : les ecchymoses dues aux coups et les marques de ceinturon se sont déjà violacées. Pour arranger le tout, son visage est maintenant celui d’une boxeuse qui a largement perdu son dernier match.En bonne perverse maso, se voir dans cet état l’excite et elle se prend en photo avec son portable.Elle a envie d’aller au sous-sol et de se montrer en Cam.Elle est prête de s’y rendre mais c’est la sonnette d’entrée qui l’en empêche.Le docteur Ménard !Elle l’avait oublié, celui-là !Truica enfile une tenue d’intérieur et sa robe de chambre puis descend.Elle ouvre la porte et il est là : trop gras, suant, encore flanqué de ses trop longues mèches de cheveux filasses qui barrent le dessus de son crâne pour cacher sa calvitie.Il sourit avec ses lèvres humides épaisses, presque négroïdes, et elle s’efface pour le laisser canlı kaçak iddaa entrer.-Seule ?-Oui.-Vous avez recommencé ?-C’est compliqué…Il laisse échapper un bruit d’ongle sur un tableau. Son rire. Aussi désagréable que le reste. Ménard rit parce qu’il sait. Il était complice de l’homme qui l’avait dominée par le passé. Il a les yeux brillants et une sueur grasse sur le front quand il souffle :-Montrez-moi.-Ici ?-Pourquoi pas puisque vous êtes seule.-L’est-on vraiment jamais ? Montons…Elle sent son regard sur sa croupe le temps qu’ils arrivent à l’étage. Une fois dans sa chambre, il s’assoit dans un fauteuil comme s’il était au spectacle. Il est répugnant. Et c’est pour ça, pour s’avilir, qu’elle obéit quand il souffle à nouveau « Montrez-moi. »Une fois nue, elle tourne lentement sur elle-même. Vu leur passé commun, il la connait par cœur et elle n’a pas de pudeur à avoir devant cet homme. Il ne se cache d’ailleurs pas non plus pour presser son sexe à travers l’étoffe de son pantalon. -Vous avez recommencé ? répète-t-il.-Je vous l’ai dit, c’est compliqué…-Il est revenu ?-Non. Et même si c’était le cas, je ne recommencerai pas avec lui.-Avec qui alors ?-Des contacts. Nouveaux. Sur Internet.-Le virtuel ne peut pas produire de tels effets. A moins que vous vous soyez infligée ceci vous-même – ce dont je doute vu les angles de certaines marques.-J’ai été à un rendez-vous. Il a mal tourné.-Racontez.Elle raconte. Depuis le début. Ménard se branle, la main dans le pantalon, pendant qu’elle décrit les soirées sur le web, les échanges par chat, la séance de l’usine puis le pub. Il transpire de plus en plus et pousse des petits gémissements féminins.Laurent Ménard est « dual ». Aussi sadique que masochiste. C’est un pervers. Un vrai.Elle se demande à quoi ressemble sa verge et ses testicules après toutes ces années vu sa propension à se torturer ou à l’être. Mais il garde son matériel caché et elle ne lui demande pas de l’exhiber. Elle ignore s’il a joui vu qu’il a toujours la même tête de vicelard quand il demande en se léchant les lèvres : -Vous allez le refaire ?-Non. C’était une erreur. Je ne tiens pas à donner à Edouard de nouvelles raisons de douter.-Il ne s’est jamais douté.-Personne ne peut en être certain.-Si vous recommencez, j’ai toujours mon local. -Je n’en doute pas.-Avec des nouveautés. Pleins de nouveautés. -J’imagine…-Ca j’en doute. Il faudra venir voir. Vous aimerez.Il se lève et s’approche de Truica. Il respire fort. Il tourne autour d’elle en la reniflant comme un a****l. Une fois dans son dos, il s’agenouille et lui écarte les fesses. Elle le laisse faire. Il la dégoutte autant qu’il l’excite. Elle connait ses « talents » canlı kaçak bahis pour les avoir testés plus qu’à son compte. Il enfonce deux doigts dans son sexe trempé et les ressort rapidement : c’est juste à des fins de lubrification car Ménard n’est excité que par l’anal. Homme, femme, trav, qu’importe tant qu’il peut travailler un cul. Il visse ses doigts visqueux entre les fesses de Truica et la sonde. -Fichtre, vous avez retrouvé un trou de pucelle !-N’exagérons rien…-Quand on voit comment vous étiez parfaitement travaillée, quel gâchis ! -Vous délirez : j’étais complètement béante. A tel point que je déféquais sans même m’en rendre compte.-C’est ce que vous méritez : chier sans contrôle ! En étant tellement distendue que vous porterez une couche. -Elégant…-Si je vous prends en main, je vous empalerai sur des poteaux puis j’écartèlerai votre anus. Ce qui en restera pendra entre vos fesses comme les lèvres de votre chatte. -Je ne souhaite pas être mutilée.-Bien sûr que si. Sans vos stupides blocages sociaux et familiaux, vous seriez la meilleure des esclaves anales et vous le savez bien.Il retire ses doigts et les lèches lentement en ajoutant :-Et je le sais aussi.Un instant, elle craint qu’il ne colle sa bouche immonde entre ses fesses et la fasse pousser. Elle connait son goût pour ces pratiques immondes pour l’avoir elle-même « gavé » à plusieurs reprises. Mais il n’en fait rien et se contente de dire sur un ton mielleux :-Si je voulais, je pourrais vous contraindre. Je sais beaucoup de choses…-Ce faisant, vous prendriez le risque de faire les frais de la colère d’Edouard tout comme moi. Et si tel était le cas, vous auriez autant à perdre que moi.-Vous avez raison. C’était pour dire… Bon, revenons à votre état : en dehors de votre visage, quelqu’un a-t-il vu votre corps ?-Bien sûr que non enfin, soyez sérieux ! -C’est heureux. Je vais vous laisser des antidouleurs et une crème qui fait des miracles pour faire disparaitre ces superbes traces de flagellation.-La crème suffira. -Bien entendu… Où avais-je la tête pour proposer des antalgiques à une vieille salope maso ?!-Vous devenez grossier…-Comme si ça vous dérangeait !-Tout est affaire de contexte, cher Docteur !-Comme j’aime quand vous m’appelez comme ça… Promettez-moi de considérer mon offre de visite. Je vous montrerai uniquement l’installation. Dîtes oui !-Très bien, je viendrai…-Quand ?-Quand je pourrai. Ne poussez pas votre chance trop loin ! C’est déjà bien que j’accepte de visiter l’antre d’un pervers infect, non ?-C’est un début. Je ne désespère pas de tester bientôt mes compétences sur votre trou du cul.-Ah l’espoir…-Puis-je faire autre chose pour vous, chère amie ?-En dehors de conforter mon époux sur le fait que je vais bien, non. Et je vous remercie pour la crème.-Vous me remercierez quand je clouerai les lambeaux de votre anus massacré sur un poteau d’empalement.-Je ne vous raccompagne pas, dégénéré que vous êtes ! à suivre…

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