Eve et Landru

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Eve et LandruÈve a fait une grosse bêtise. L’affaire est entendue. On a fait uneétrange publicité à son histoire de pomme. Quelle idée d’avoir constituécette dernière comme le bouton rouge de la bombe atomique sur lequel ilne fallait surtout pas appuyer. Et puis outre le benêt d’Adam, il yavait ce tordu de serpent. Bref on a décrété qu’à partir de ce jour toutavait été détraqué ce à cause d’une femme. Ce jour-là dans ce jolijardin public j’étais à mille lieux de songer à cet épisode de notreapocalypse. Je prenais le soleil avec un livre à la main assisebenoîtement sur un banc.Cela faisait dix jours que je venais régulièrement me délasser dans cetendroit. Je m’étais familiarisée avec certains personnages du lieu. Il yavait l’ancien de la légion qui effectuait ses pompes et autresexercices. Il y avait la mémé au sourire immuable et flanquée de sonpetit-fils. Il y avait un arabe terroriste qui psalmodiait dans sonCoran. Il y avait un couple muet d’amoureux dont il n’était pasdifficile de deviner qu’il formerait un jour une union malheureuse.Enfin il y avait M IDRAH, élégant sexagénaire qui affectant de liredraguait aussi partout.Il avait bien essayé avec moi dès le premier jour en me disant deschoses banales sur mon roman de Jane Austen. J’étais mal à l’aise qu’ilregarda ostensiblement mes cuisses. Je concède cependant un peu demauvaise foi. J’arborais en effet souvent une jupe courte pour exhibercette partie de mon anatomie que je savais précieuse et remarquable ensoi. Le pauvre homme tel la mouche tombant dans le piège d’une toiletendue venait que rendre un hommage mérité à cette partie de chairsertie d’un bas non moins chair.En fait j’eus voulu attirer d’autres mâles. J’avais depuis peu uneprédilection pour les jeunes et beaux gosses. Ma cinquantaine avaitrésonné depuis peu. Sortant par hasard avec un stagiaire de vingt ansj’avais une comme une révélation. Il baisait comme un dieu. J’avais ététouché de son regard innocent. J’avais cru devoir interrompre unerelation par trop scandaleuse. Je n’avais eu jusqu’alors de mots assezdurs pour stigmatiser l’engeance fameuse de femmes nommée couguars.J’avais peur d’attirer le mépris des collègues jalouses après mon aventure.Je n’en poursuivis pas moins l’expérience. Tantôt je recrutais sur dessites ou aller draguer dans certains bars le soir. Ayant ma voiture, jepersuadais le type de venir s’y faire sucer et obtenir le reste.L’étonnant est que je revenais de ce genre d’escapade avec une sorte dehonte et de remord. Dans le rétroviseur je ressemblais alors avec mescheveux furieux à une gorgone. Mes bas voire ma culotte étaient encoremaculés du foutre dont l’odeur imprégnait l’habitacle. Je me sentais unepute. casino şirketleri L’état d’avilissement entrait sûrement dans la qualité de majouissance.Je ne faisais cela que le soir dans l’obscurité propice à tous lesvices. J’y pris quelques risques des fois. Je pouvais tomber sur unmalotru qui non content de me violer eût pu aussi me détrousser du peud’argent que j’eus. Cependant il faut croire en effet que la chancesourit aux audacieux. Ce danger sûrement entrait dans mon plaisir. Brefj’en étais là : garce et mangeuse d’hommes discrète et sévissant lanuit. J’avais dans mon jardin public quelque difficulté à trouver etattirer les mignons dont je rêvais. Les deux, trois repérés medédaignèrent simplement. J’en étais réduis à lire.Il y eût pourtant une notable exception. Une fois un jeune et beaupakistanais m’aborda s’enchantant de Jane Austeen et surtout que je sussoutenir une conversation en anglais. Le lendemain il m’invita àdéjeuner dans un kebab peu loin. Le courant passa. Par mes regards jelui signifiais que la dame que j’étais n’était pas indifférente à soncharme. Presque par timidité, il crut devoir céder à mon invitation àvenir dans ma voiture garée à quelques pas de là. Là nous nousembrassâmes et caressâmes. Surtout j’obtins qu’il accepta la fellation,exercice où je savais exceller.Je dus pourtant déchanter car invétéré timide je ne le vis pas revenirles jours suivants. Sûrement mon empressement l’avait du choquer.Décidément seuls les voyous me convenaient. Seuls eux avaient égard etcompréhension pour la salope que j’étais. Comment se fait-il qu’entreles êtres les choses ne soient pas plus faciles et fluides ? J’en venaisà regretter les mœurs des villages vacances où il est établi qu’entre unhomme et une femme l’été, la relation de sexe puisse être obligée. Aprèsun bref baratin on se retrouve imbriqués au fond d’une case.Mon joli jardin public en ce mois de mai n’avait rien du clubMéditerranée. Le hâle sur la peau était encore timide. On y était si peudénudé. J’y portais encore des bas. Je m’y consolais par le jeu de jouerdes pieds et des jambes _ ce fameux dangling _ pour attirer et séduireles hommes. J’ai ce vice depuis ma prime adolescence. Par ce ballet deséduction j’ai maintes fois envoûté quelque futur amant. Moi même celame procurait une excitation forcenée. Je me caressais de cette façon lesexe. J’en mouillais la culotte. Précisons que j’ajoutais des fois unplug dans mon anus.L’obscur IDRAH je ne sais comment perçut cela. A peu de mètres de moi del’autre côté de l’allée, il me faisait signe souriant et affectant deconverser avec un jeune homme étudiant et dont il semblait l’ami. Unesprit grossier et mal casino firmalari avisé eût conclu à un couple d’invertis. M IDRAHjouant le rôle d’un Charlus et celui du jeune mignon et frais d’unMorel. Il n’en était rien. M IDRAH avec son air sournois et sa salefigure faisait plutôt songer à un terrible Landru. Je frémissaismoi-même à deviner ce qu’il pouvait faire à une femme. J’eus préféréplutôt être câlinée par son ami.Ce dernier était par trop timide. Les deux fois qu’il me fut amenéIDRAH, il baissa les yeux tandis que je le fixais. Il n’était point sotet était vraiment féru de littérature. J’étais flattée de l’avoirimpressionné et qu’il eût à sa façon manifesté son désir pour moi. Je nerechignais pas à sortir des fois avec de jeunes empotés. S’y exprimaitsûrement ma fibre maternelle. J’adorais jouer l’initiatrice etd’accoucher au sexe et à la volupté une jeune âme. IDRAH pour mecontenter s’en servait tel un appât. Il se trouva ainsi que les joursdéfilèrent et que le terme de mon séjour ici s’annonçait.J’étais triste et mortifiée. Je n’avais fait en sorte pas grand chosedans ce jardin. J’avais beaucoup espéré et désiré. Hors le petitpakistanais je n’avais fait guère de bêtise. J’eus voulu décidémentattirer en mon escarcelle ce petit étudiant. Ce fut IDRAH qui décantâttout. Le deal fut simple. Nous eûmes une étrange conversation la veillede mon départ. Le jour de celui-ci je disposais de mon après-midi ce quesavait ce Landru. Il me proposait de déjeuner avec lui en un bonrestaurant. Il escomptait obtenir quelque chose en échange de merapprocher de son ami, le jeune homme.En effet j’apprenais que celui-ci était son neveu. Il avait parlésouvent en ma faveur. Il me confirma que j’avais subjugué son jeuneAdonis. Il me dit cyniquement que je pourrais amener sans peine celui-cidans mon lit. Landru cependant voulait obtenir ce que je savais. Je futébranlée et pris de vertige par son propos brutal et sans scrupules. Jen’avais jamais été dragué de la sorte. Le butor ne me marqua aucunégard. Il me signifiait simplement qu’il m’avait dévoilé et ne meconsidérait que comme une putain. Je serais que comme ajoutée à sacollection de garces. J’étais ferrée.La concupiscence me poussa en effet à accepter. Je désirais le jeunehomme. Je n’avais cure du prix à payer. Tant pis pour la répugnance quej’éprouvais pour ce Landru. Le jour venu les choses ne se déroulèrentpas comme j’eus souhaité. Il avait été convenu de s’attendre non sur nosbancs habituels mais à un coin de rue en limite du parc. Quelle ne futpas ma surprise tandis que j’approchais de voir l’ami IDRAH enconversation avec son neveu. Ce dernier ne fut pas moins étonné de mevoir. IDRAH manifestement güvenilir casino avait prémédité cette confusion.L’échange fut court. Le neveu prétexta une course pour hâtivements’éclipser et nous laisser. Il s’enfuit quasiment, le regard hagard. Ilse devait douter de quelque chose. Je regardais un instant par-dessusl’épaule tandis qu’ IDRAH me prenant le bras m’entraînait. Je vis lepauvre neveu qui nous observait d’un regard triste et perdu. J’en eus lecœur contrit comme une mère abandonnant son enfant. Landru au contraireavait à ce moment un sourire diabolique. Il avait réussi son coup. Jemanifestais ma fureur au restaurant. Pourquoi avait-il convoqué son neveu ?Il fit son sot. Il prétexta que c’était le neveu qui de son propre chefétait venu vers lui comme par hasard. De toute façon et protestant, ilm’assurait qu’il avait prévenu la chose en faisant croire à ce dernierque nous allions tous deux rejoindre une connaissance commune pourdéjeuner. Il n’avait laissé rien transparaître d’autre et d’équivoque.Je ne le crus qu’à moitié. Je le soupçonnais de m’avoir voulucompromettre auprès du neveu. Pour marquer sa bonne volonté Landru meglissa un papier sur lequel était inscrit le téléphone et l’adresse maildudit neveu.Je ne pus réprimer le geste avide avec lequel je mis le papier dans monsac. Plus que jamais je voulais accéder au monde de mon prince charmant.Landru triomphait. En effet je me détendis plus heureuse car nantiemaintenant de ce précieux papier. Je me rêvais déjà au bras du jeunehomme à philosopher sur certains auteurs. Je marchais sur l’eau. La vieétait en rose. Je ne vis pas mon verre à mesure se remplir ou du moinsje n’avais cure d’un stratagème grossier de me faire boire. Chancelanteet au bras de Landru, celui-ci m’entraîna à l’hôtel le plus proche mepelotant déjà.L’alcool comme pour certaines me disposent à la lubricité. J’avais envieà présent d’une queue et qu’on me foutât en tous mes orifices. Putain jedevins irrésistible. Peu m’importe le type alors au bout de la bite.Landru fut hâtivement délesté de son pantalon. Je le suçais assise surune chaise. Il me balança des mots orduriers. Nous en étions depuis lafin du déjeuner au tutoiement vulgaire. Il me moquât que je pusm’intéresser à son puceau de neveu. Il s’écria lui-même un peu ivre queje méritais comme salope bien mieux. Sur le lit il commença à m’enfiler.Il usa de moi comme font les porcs. J’étais familière voire sensible àce genre de traitement. C’est ce que j’appelais être bien baisée. Cesjours derniers trônant dans mon jardin je n’étais pas parvenue à pareilrésultat. J’avais dragué et allumé en vain. J’en avais été réduit à cethomme que je détestais et qui m’avait convoité le premier jour. Èvecédait une fois de plus au serpent. Durant une semaine Landru sedélectât de moi puis il me laissa. Je n’eus jamais la force de contacterle neveu après que je sus que l’oncle s’était vanté auprès de lui dem’avoir maintes fois sauté.

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