La journaliste

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La journalistela journaliste 33/ Retour en enferJe blêmis, réfléchis rapidement puis retire le tee-shirt rageusement, libérant ma poitrine arrogante et fais glisser le pantalon, je me retrouve nue devant lui, mon pubis entièrement épilée… je rougis sous son regard… comme toujours dans ces situations ma respiration devient plus forte“, je suis prête… allons y…”Il me mate prenant son temps, puis continue ses commentaires. “Humm vraiment tu es à damner un saint, Betty, Superbe. Et avant ce combat pour sauver deux demoiselles en détresse, peut être mon dernier, je n’ai pas droit à un calin de ma chère prisonnière…”. Il s’approche de moi, pose ses mains haut sur ma taille, ses yeux se plantent dans mes grands yeux bleus, il avance ses lèvres vers les miennes. Lentement, il s’enhardit, je sens une main pressant ma nuque, massant mes cheveux blonds. Je sens son envie, son énergie. Sa respiration s’accélère, il m’embrasse profondément plaquant ses lèvres contre les miennes. Je me laisse faire, serre fort mes bras contre lui, il me rassure. Je frissonne, me laisse aller. Ses mains me serrent par la taille fermement, je me sens comme soulevée du sol. Je n’ose pas bouger, je ferme les yeux, essayant de garder le contrôle, je pense à Damien, mon fiancé…Je sens mon pantalon trop large glisser, il ne forme plus qu’un chiffon, en tire bouchon autour de mes chevilles, laissant mes fesses à l’air. Je sens une main caresser ma fesse, la presser lascivement. Puis il est pris d’un fou rire, mi nerveux, mi causé par la situation. Il me repose à terre. “Tu es trop rapide pour moi Betty, ta technique du pantalon trop grand qui tombe tout seul, pour exhiber ses fesses, je n’avais jamais vu cela. Il faut abandonner le journalisme, ce n’est pas ta voie.” Il s’écarte légèrement, fixe ma croupe, puis flattant ma joue il conclut : “Y a pas à dire, quel popotin… et après une pause sur un ton plus sérieux, merci, si nous y restons, je quitterai ce monde sur un petit nuage rose”. “Allez on y go now!”.“Désolé Betty, mais il va falloir que tu payes de ta personne pour que mon stratagème soit opérationnel.. Avec ma tenue de mercenaire Serbe, ces salauds seraient surpris si je ne t’avais pas fait subir quelques mauvais sévices et mise hors d’état de nuire. Jean ouvre son sac à dos en sort un ruban de scotch large, épais et transparent..Il me force à mettre mes bras pendants contre mes cuisses en plaquant mes paumes contre elle.. Me voyant ouvrir la bouche, “chut, on ne discute plus on obéit si tu veux qu’on sauve ces femmes sans finir dans un charnier, compris. “Il se met à genoux devant moi, avec sa main, sans ménagement ni brutalité, juste d’une manière professionnelle, il me force à ouvrir les cuisses. “Laisse toi faire, n’ai pas peur, un sourire je ne vais pas te violer” … Il sourit… “Je vais te ligoter à la Serbe, je ne serrerai pas trop, c’est humiliant, mais sans douleur”. Saisissant le Scotch, il fait plusieurs tours autour de ma cuisse droite et de mon poignet. Il tire sur le ruban, ma cuisse et mon poignet sont maintenant compressés, complètement bloqués. Ils deviennent solidement liés.Il replie mon autre jambe contre la cuisse et garde le bras pendant à côté. Voyant mon inquiétude dans mes yeux, il rétorque “Impressionnée ma Bimbo, en 20 ans de guerres pourries on apprend beaucoup de drôles de choses.”Et il renouvelle son opération, cuisse jambe et poignets sont serrés liés solidaires à l’aide du gros Scotch. Il me lâche, j’en suis réduite à sautiller, luttant pour garder mon équilibre sur ma jambe droite.Je me sens ouverte et ce salaud se rince l’œil et cherche à m’humilier encore plus “en plus regarde Betty c’est très pratique..” Jean fait semblant de tendre sa main deux doigts en avant … N’ayant qu’à moitié confiance dans cette brute, j’essaie de m’écarter. Mal m’a en pris, je roule à terre. Il m’aide à me redresser. Droit dans les yeux, “Je crois que la leçon est rentrée dans ta petite tête de fille à papa blonde, alors maintenant, je me limiterai au strict indispensable. Je le dis une dernière fois, si cela ne te plaît pas, tu pourras te tirer, il tend la main, Belgrade c’est par là”.Il fouille dans son sac à dos et en retire un de ses slips. Un bleu marine. “Je te rassure, il est neuf et propre”. II s’approche de moi, “à la guerre comme à la guerre, je te bâillonne cela t’empêchera de les énerver, et cela me crédibilisera.”Sans attendre mon accord il met le slip en boule, me pince le nez et profitant de mon réflexe il enfonce la boule de tissu dans ma bouche. Il appuie avec un pouce, son autre main bloquant ma nuque, pour l’enfourner à fond.Je manque de vomir, je salive, hoquette. . Puis il termine en faisant passer le gros ruban transparent sur ma bouche et derrière ma nuque. Un tour complet …Je me débats, affolée, ayant du mal à respirer, le haïssant à nouveau, tremblant de rage. Il me regarde se marrant, de me voir neutralisée. Il ajoute “ ma bimbo blonde, ainsi je serai sûr que tu ne me casseras pas mon montage”.Il rajoute, “La final touch, la signature des salauds serbes pour humilier leurs prises, leur marque de fabrique la Miss… il presse un sein, le prend dans sa paume, le soupèse, évalue mon tour de poitrine. Il lâche laconiquement “du 95 C je dirai… l’archétype de la poupée Barbie, blonde, gros cul, gros seins …”. Je le foudroie du regard, le vicieux, il ne perd rien pour attendre.Il tire 20 cm de ruban serre la base de mon sein droit, il colle le ruban puis tout en tirant sur le rouleau, il enserre mon sein à sa base. Il le presse, le fait jouer. “Tu vas exciter nos amis leur occuper leurs petits cerveaux à te mater ainsi…”. Je gigote de la tête, je trépigne, j’aurai sa peau à ce salaud, je visualise mes ongles lui griffant les joues, le dos… Il presse la base de mon autre sein, et avec le même professionnalisme il le transforme aussi… Je les vois virer au violet… Voyant ma panique, il lâche, “J’ai juste serré pour que tu sois obscène, c’est normal Betty dans quelques jours tout sera redevenu comme avant.” Je secoue la tête, “C’est normal, il est détraqué ce mec, j’hallucine… réveillez moi moi, c’est un cauchemar…”. Puis “Pour faire réaliste, il faut qu’ils aient l’impression que tu t’es débattue.” Et il me bouscule dans une flaque de boue… Splatch je m’étale… Jean s’approche de ma tête et avec ses rangers de marche il donne des grands coups dans la gadoue. Mon corps est vite maculé, enduit de boue. Mon visage n’est pas épargné. Il me masse avec ses mains couvertes de boue. Il se lève m’examine en détail, “C’est parfait, ce déguisement, la bourgeoise française violée nue dans la boue par une brute Serbe.” Il prend son smartphone, et me photographie. “Souriez, quand tu seras grand mère, tes petits enfants, n’en croiront pas leurs yeux. Clic. Clic”.Il me jette sur ses épaules puissantes comme un fétu de paille, je ne pèse pas bien lourd pour lui. Je tremble de peur pendant le trajet, me disant que c’est de la folie, qu’il aurait mieux valu laisser ces pauvres filles à leur triste sort, je me sens lâche de ces pensées mais je ne peux pas m’en empêcher. Je me crispe à l’approche du village, redresse la tête, tremblante…“C’est le moment d’être courageuse petite!!” sa main libre me tapote les fesses, je tressaute, quatre hommes s‘approchent, “ho mon dieu… aidez moi…” priant dans ma tête. Je les entends parler entre eux. Jean me laisse tomber brutalement sur le sol à leurs pieds. Ils rient en me regardant, je n’ose pas les fixer, détourne les yeux, tremblante.La meilleure défense c’est l’attaque… il les insulte en serbe … “Connards vous laissez vos putes s’évader maintenant. En plus une française… Je n’ai pas envie de voir Interpol débarquer… Voila comment on neutralise une pute elle ne risque pas d’aller loin. Vous pouvez lui donner des ordres en anglais … La franzouze ne parle pas le serbe … “Je ne comprends pas leurs échanges animés en serbe, leur chef montre à Jean, le hangar. il me reprend, râlant dans sa tête puis me dépose sans ménagement, un peu plus loin,sur un vieux matelas puant le moisi, la vieille pisse. Il précise “Ils te trouvent mignonne Betty… Tu as fait une touche … A plus Chérie, je vais prendre un bon café avec eux”. Celui qui semble être le chef de la bande lui prend le bras et l’entraîne vers une bicoque délabrée.“Ho non mon dieu!!” me voyant seule avec les trois autres, je n’ose pas bouger, toujours avachie sur l’épave de matelas. canlı bahis şirketleri Je pousse un petit cri de douleur alors qu’une des brutes me donne un coup de pied dans le ventre en me hurlant après.Je me redresse, comprenant son ordre au ton de la voix et le suis, j’avance en sautillant sur une patte, tremblante, humiliée et il me pousse brutalement en entrant dans le hangar. mes seins ligaturés ballottent., je tombe en avant, m’étale dans une flaque d’eau croupissante, ils éclatent de rire et l’un deux me donne à nouveau un coup de ranger dans les reins, me faisant hurler de douleur.Je tremble de peur, aperçois les deux autres filles dans des cages en grille, elles semblent prostrées, sans réaction à mon arrivée.Des cages spéciales les forcent à s’exhiber entièrement. les cages sont suspendues depuis le plafond à environ un bon mètre du sol. Dans la cage, la prisonnière est à l’étroit et doit se tenir accroupie les cuisses écartées, exhibant son entre cuisse, son sexe et sa croupe. On peut les violer aisément ainsi sans même avoir à les sortir de leur prison. Elles sont toutes les deux nues, très sexy une brunette et une rouquine. Les mains attachées dans le dos .“Aie vous me faites mal lâchez moi espèce de salaud!! Je hurle dans ma tête en me débattant. Il me redresse en me tirant par les cheveux, je grimace, sa tête affreuse près de mon visage, le Serbe pue l’alcool, son haleine est fétide et il plaque sa bouche sur mes lèvres, au travers du bâillon je manque de vomir au contact et me débats, une gifle me fait pivoter sur place et je me heurte la tête contre un poteau de bois.. Je suis sonnée sur le coup et chancelle un peu, me tenant que par la pression qu’exerce mon corps sur le bois.Un des hommes s’approche des cages et libère les deux filles et les entraînent au dehors, je les suis du regard et me rend compte qu’il les amène vers la bicoque où le mercenaire est entré.Jean se laisse conduire, expliquant qu’il a trouvé cette blonde dans les bois et riant avec le tatoué, lui détaille la sodomie dans les bois lui présentant le cul de Betty bien ouvert et concluant par une bonne claque sèche. Il leur donne un cours, sur comment neutraliser une prisonnière et aussi l’humilier, la rendre honteuse, brisée tant physiquement que mentalement. C’est pour cela qu’il l’a travaillée avec ce Scotch, déformer leurs seins et les faire marcher sur une patte. Et en plus comme cela on peut les baiser quand on veut comme on veut. Le bâillon les fait baver c’est humiliant, toujours la même méthode en une semaine elle sera docile …Vous avez de la vodka il faudrait la saouler pour la rendre alcolo dépendante.“Tiens l’ami, tu as bien fait, ces salopes ne demandent que ça!! à la tienne” levant un verre douteux en le portant à sa bouche.“Ah?! voila Sonia et Beth… tu vas voir l’ami, on s’y connaît nous aussi en dressage, rien que pour toi, elles vont s’occuper de toi un moment, tu l’as bien mérité, la blonde va être une bonne gagneuse” , voyant entrer les deux filles conduites par l’autre gardien.Elles arrivent attachées ensemble dos contre dos un collier autour du cou un bâillon boule dans la bouche les poignets de l’une devant le ventre de l’autre et vice versa. Des marques rouges zèbrent leurs poitrines. Le mercenaire s’approche des deux femmes leur parlent en anglais , en français et en serbe . Il glisse deux doigts dans le sexe rasée de la rouquine brutalement, conditionnée bien dressée elle écarte les cuisses elle cherche à s’enfoncer en lui, à se frotter contre lui. “Pas mal Ivan, je suis impressionné je l’avoue, j’aimerai avoir la blondasse quand vous l’aurez dressée.” .Je titube, toujours sur une patte, râlant dans ma petite tête, j’ai du mal à me contrôler, je hurle malgré mon bâillon, je respire mal. grimace… en larme… les deux salauds s’approchent, ce que je lis dans leurs yeux ne me plaît pas du tout…“JEAN!!! AU SECOURS!! AIDES MOI!!”, hurlant dans ma tête en me collant au poteau de bois… voulant reculer, me dégager et je tombe sur le côté“Stand Up Bitch” il hurle en me tirant à lui par ma tignasse, je tremble sans pouvoir me contrôler, ses mains se plaquent sur mes seins, je cris, la douleur est atroce, les seins congestionnés par le gros ruban plastique… Il rit, sa dentition est déplorable et il me lèche le visage.Un des gardes extérieurs revient dans la pièce, il titube, à moitié saoul, avec deux bouteilles de vodka bon marché et en tend une à Jean. Un de moins évalue le mercenaire, les autres eux sont vigilants, inquiets à cause du massacre de leurs complices, les cadavres toujours étalés à terre. Leur boss est le plus menaçant, lourd physiquement… Linus se tourne vers Ivan, goguenard, “Merci on va apprendre à ces femelles l’hospitalité Serbe. D’un coup de couteau, il fait voler le goulot et le bouchon de la première bouteille.Il s’approche de Sonia la brunette et tente en anglais “Where are you from??“Canada.”Jean lui fait un clin d’oeil et rajoute en français, nous sommes des amis jouez le jeu… je dois être dur avec vous pour simuler pour vous sauver la peau.”Il se tourne vers le boss, demande à les détacher, “j’ai envie qu’elles me sucent en duo … Cela fait deux ans que je n’ai pas eu deux femelles en même temps. Tu me dois bien cela Ivan.”Puis il pince le nez de Sonia et lui fait couler un flot de vodka dans sa bouche grande ouverte une grosse lampée . Elle s’étouffe crache cela brûle la gorge. Les yeux pleurent. Il lui enfonce à nouveau le goulot et un autre …Jean n’attend pas la réponse d’Ivan et tranche les liens de la pauvre fille. Il hurle vers les deux canadiennes tout en piquant leur tétons de la pointe du poignard “Make me a blow job Sonia and Beth, quick .. and if I enjoy your mouths … You will get a gift.”La brute rit bêtement, Jean assurant la traduction simultanée en Serbe. Il se dit qu’il a bien mérité une gâterie de ces deux canadiennes sexy vu les risques pris, avant d’égorger ce porc puant. Il pense “à la guerre comme à la guerre”.Linus tend l’autre bouteille à leur chef, “fais chercher la franzouze,!”.Le serbe hurle un ordre. Rapidement Betty est amenée , trainée comme un sac poubelle dans la pièce commune.Jean montre à la captive les canadiennes s’activant, le comblant. “Regarde comme elles sont conditionnées, dressées, tu vas vite leur ressembler “.Il garde un œil sur la journaliste, pensant, “Dans quel guêpier, je n’aurai jamais dû laisser cette boy-scout m’influencer, j’ai trop donné dans le passé, à vouloir jouer les zorros. Ces Serbes sont des sadiques pervers, cela peut vite dériver… Il se laisse aller à une dernière pensée machiste “Peut-être que cela va même lui faire du bien, cela va la décoincer…”Ces salauds s’y connaissent en dressage, ces canadiennes sont devenus des bêtes de sexe, leur langues, le dos de leurs ongles, elles s’activent dans un ballet bien réglé remuant leur croupe, jouant aussi de leurs seins … Un spectacle total pour Jean qui n’en peut plus … Une lui serre la base du sexe pour retarder son éjaculation … l’autre le pompe, le mordille, le lèche, sa respiration devient rapide, visiblement il a du mal à résister , à se concentrer … Ivan se moque de lui, le traite d’éjaculateur précoce …Tout en continuant sa traduction simultanée, Ivan se tourne vers Jean et lui demande de traduire ses paroles : “il faut quelle soit aussi saoule, on va la bourrer aussi. Elle doit être aussi accro, dépendante et on va la transformer en bête de sexe. Elle a de bonnes bases pour la pipe et la sodo mais il faut qu’elle se jette sur les mecs comme une chienne en rut. A la santé de nos femelles Jean.” Voyant la mine déconfite, paniquée de Betty, Ivan éclate de rire.L’affreux débouche la bouteille. et part dans une longue tirade. Affolée, je comprends le mot franzouze prononcé à plusieurs reprises. Je regarde Jean, inquiète, quand va t-il intervenir? Ivan éclate de rire et s’approche de moi. Il traduit en Français et explique “comme tu es bâillonnée, il va te faire boire par les muqueuses. C’est le même principe que les suppositoires en pire.”Ivan me soulève par la taille et me plaque sur une petite table en bois grossière, graisseuse, sentant le graillon. Mes seins dépasse de la petite table Par le bas, la table s’arrête à mon nombril, je suis affalée, à plat ventre. le Serbe m’attache les chevilles à l’aide deux cordelettes en nylon qui pendent d’une poutre en hauteur. Mes jambes sont en l’air les cuisses grandes ouvertes. canlı kaçak iddaa Pour finir Ivan me glisse une planche épaisse sous le ventre pour rendre le sexe et l’anus encore plus accessibles. Je suis totalement exhibée à la vue de tous.Satisfait de son bondage, il saisit la bouteille, en boit une rasade, puis avec deux doigts m’ouvre le cul, et crache le liquide de feu dans mon anus béant. Et avec ses doigts, il me masse, me doigte pour faire pénétrer le liquideJe me débats, plaquée contre la table sale, maintenue fermement par un des gardes, affolée, jetant un regard désespéré vers Jean qui regarde la scène en souriant, l’air détendu, tripotant cette fille, appréciant visiblement les deux bouches qui s’activent sur son sexe.Je me crispe et crie dans le bâillon en sentant le liquide s’enfoncer dans mon fondement, l’alcool coule dans mes entrailles, ça me brûle.Ivan recommence son manège, faisant bientôt pénétré près de la moitié de la bouteille.Ma tête me tourne, je me sens pompette, perdue…Ivan vide la bouteille, une dernière rasade. Puis cette brute, la bouche pleine il embrasse mon sexe et crache dedans le reste de Vodka. Et se laisse aller à un commentaire. Jean traduit “il veut être sûre que tu sois propre la blondasse, sans maladie sexuelle …” Les autres brutes rigolent. Il reste juste un fond puis Ivan la balance contre le mur où elle se brise en miettes.Mon bourreau continue ses massages deux doigts côté pile deux côté face il accélère progressivement se calant sur ma respiration l’alcool diffuse au travers de mes muqueuses, il me goûte avec ses doigts … parle en Serbe, Jean traduit ses propos obscènes… “Ta mouille est délicieuse, un goût de miel … Puis il commente Vu la dose qu’il t’a versé c’est comme si tu avais bu une demi bouteille de Vodka. “Je tourne la tête vers lui, frémissante et marmonne dans mon bâillon “espèce de salaud, ça te plaît, je le vois bien… je te hais!! salaud!” Ivan sort ensuite de la poche de sa veste un paquet il en tire deux cigarettes du H premium Il allume la première tire deux bouffées puis enfonce dans ma narine droite le joint.Gênée, bâillonnée, je ne peux qu’essayer de respirer par le nez plus fort plus vite augmentant l’effet du H. Le chef dégage son sexe déjà bien raide. Mon dieu, même Jean est surpris, un pieu épais et court, la brute se branle le décalotte.Il hurle “fuck fransouze” en me soulevant la taille. Mon sexe ouvert du fait de la manière dont je suis ligotée est juste au-dessus de cette énorme bite raide dressée. Puis il me laisse tombée sur son pal improvisé, en donnant un coup de rein. .Je pousse un hurlement en le sentant me posséder brutalement, mon corps se cambre, se crispe, je suffoque, voulant respirer par la bouche.Le deuxième garde rentre dans la pièce attiré par les cris il veut aussi profiter de la franzouze. Il tient en laisse un énorme chien. Le premier revient avec des drôles de gods, Il les propose à Jean qui décline, “je suis un débutant, je veux apprendre”.Son cerveau tourne à toute vitesse, il cherche une solution, encore une fois, il a joué à l’apprenti sorcier, il ne maîtrise plus la situation, ils sont trop nombreux, trop attentifs, ils ne baissent pas leur garde et cette pauvre journaliste qui lui a fait confiance. Comment mettre fin à cette escalade dans l’horreur.Le monstre Serbe les donne à l’autre garde qui équipe les deux canadiennes. Jean se tourne vers moi, il a pris un air vicieux, il précise, “tes amies vont s’occuper de toi Chérie, elles vont rendre ma franzouze folle.” J’assiste aux préparatifs, impuissante, lançant un regard haineux vers “mon sauveur”Le garde saisit une grosse ceinture god double un rentre dans le sexe de celle qui porte la ceinture l’autre pour celle qui va se faire embrocher. L’autre modèle le même principe mais c’est un bâillon, il enserre la tète, le front, la nuque et bien un double god aussi qui va jusqu’au fond de la gorge. Ivan commente Fabrication maison on a rajouté quelques options, Jean tu vas voir.Le chien aboie il sent la tension. Il est dressé, il a compris qu’il allait avoir sa saillie.Je tressaute malgré mes liens, sous les assauts du salaud qui s’active dans ma chatte en riant comme un bossu. je fixe jean, les yeux hagards, tremblante, suffoquant avec ce maudit bâillon.Les serbes rient, commentent le viol en s’esclaffant, je suis secouée comme un prunier et gémis de douleur, ils prennent ça pour du plaisir et le gars redouble ses efforts dans mon dos, me griffant les hanches en râlant de plus en plus et il se répand enfin dans mon ventre.S’écroulant contre moi, je grimace, tremblante, sentant son sperme dans mon intimité, un rictus haineux envers lui qui observe, riant tranquillement en se faisant sucer par ses deux salopes. Je redresse la tête malgré les liens, tremblante, une douleur lancinante entre les cuissesL’alcool, le H, commencent à me faire de l’effet levant les inhibitions, la douleur …. Le joint se rapproche de ma narine. Je le fixe avec terreur.Le deuxième garde arrive, Il tend la laisse au boss. le chien aboie voudrait me monter, ces odeurs de sexe le rendent fou. Ivan parle à Jean. Il éclate de rire Puis me traduit. “Ranic, le klebs est une star du porno Betty. Sonia et Beth peuvent en témoigner. Ivan veut savoir si tu veut sa bitte dans ton cul ou ta chatte. Il veut parier 200 euros avec moi que tu vas jouir en moins de 5 minutes … C’est un expert Je compte sur toi baby” Jean pose deux billets verts sur le tabouret. “Ne me fais pas honte Betty. Je compte sur toi, des que les Serbes vont être absorbés à te mater, groupés côte à côte je pourrai agir. “ Il conclut “avec ce que tu as absorbé, le mix vodka H lève les inhibitions, cela va être jouissif, n’aie pas peur la blonde, c’est pour la bonne cause”. Je blêmis à l’écoute, n’en croit pas mes oreilles. Je hurle dans le bâillon en me débattant comme une folle ce qui augmente la crise de rire de ses salauds alors que le second garde me place en position sur un tabouret, les fesses bien en l’air, me liant à nouveau les mains et les chevilles sur le tabouret.Incapable de bouger, je regarde Jean, l’implore du regard mais il semble hermétique à toute pitié et caresse la rouquine qu’il semble affectionner particulièrement.La rousse se déchaîne, elle lui caresse le sexe décalotté avec ses longs cheveux de feu bouclés. Ce salaud lui palpe ses seins fermes en pomme, lui tapote la poitrine qu’elle offre, cette salope j’en suis sure, fait exprès de gémir pour l’allumer encore plusDes larmes s’écoulent sur mes joues souillées de boue, de foutre, je tremble, suffoque à nouveau, voulant respirer par la bouche. Je tressaute, la langue râpeuse du chien fouille entre mes cuisses, je prie dans ma petite tête, ferme les yeux, subissant en tremblant de tout mon corps. Je hurle alors que le monstre me monte, son poids écrase mes reins, il se branle sur mes fesses, je pleure tremblante, humiliée, honteuse.Les serbes rient de plus belle, ils scandent Ranic, Ranic … . Le garde, fort de son expérience de salaud guide le sexe bestial entre mes fesses et le fais pénétrer dans mon anus dilaté, je me sens défaillir en me sentant prise, la bête s’active rapidement, me secoue sans relâche, je me cambre, essayant d’apaiser la douleur de ma position, gémissant de plus en plus.Mes cuisses zébrées de griffure, je tressaute, hoquette, le sexe enfle dans mes entrailles.Jean fixe Beth, il ne peut s’empêcher d’être fasciné par le manège de Ranic, la posture cambrée de la femelle, ses gémissements, son regard, la langue du klebs s’active. L’atmosphère lourde comme irréelle chargé de sexe glauque, de vice, obsède Jean, son sexe dur tendu raide lui fait mal tellement gorgée de sang malgré la bave des deux femelles. perdant son contrôle, il se laisse entraîner par son rôle, il saisit la rouquine par la taille, la retourne sur la table de cuisine lui hurle de tenir ses jambes en l’air écartée avec ses mains., en cadence calé sur le chien. Il évalue la situation, il va falloir que cela cesse vite, il est en train de perdre le contrôle.Sonia le regarde aussi le matte, jalouse de voir que c’est son amant qui viole cette blondasse, elle ferme les yeux pour penser au chien, l’alcool, la drogue, une semaine dans cette folie, l’ont détraquée. Craintive, paniquée, elle fait l’amour comme un robot bien dressé, Elle le serre avec ses muscles intimes.Le mercenaire observe incrédule, sa blonde, prendre ainsi son pied canlı kaçak bahis avec ce fauve, labouré par les grosses pattes de ce klebs et en plus dans le cul … Il perd son envie malgré les efforts de la canadienne. La cigarette de H enfichée dans la narine de Betty accentue le caractère bestial du spectacle, avec les halètements de notre journaliste bcbg parisienne.Je ne comprends pas ce qui se passe, je sens une chaleur en moi. je redresse la tête, voulant respirer plus fort, une boule de feu dans le ventre, je ne me contrôle plus et gigote comme une folle, un lien se défait avec mes mouvements désordonnés, je redresse le bras, me cambre, le chien continue de plus en fort, cela coule dans mes fesses, je le sens bien, ça coulisse de mieux en mieux, je gémis, hurle de plaisir malgré l’humiliation qui me submerge. Les Serbes sont étonnés de me voir jouir ainsi, aussi vite.Tout s’arrête d’un coup, le monstre s’immobilise dans mon petit cul dilaté, je tremble, et d’un coup je sens un torrent de sperme qui emplit mes entrailles et déclenche un feu intense dans mes reins. je m’écroule en avant en manquant de m’évanouir.Tous restent silencieux à ce moment, je suis secouée de petits spasmes, frémissante, pleurant enfin de cette honte de ce coït bestial qui vient de me faire jouir malgré moi. La bête se dégage enfin et vient lécher le sperme qui s’écoule de mon œillet béant.Jean me lâche rageur Bonne à rien?! Ivan ramasse les billets, triomphant, il commente. Jean pour achever ma honte traduit “ elles aiment toutes Ranic surtout la première fois. C’est comme une révélation, après elles y pensent. Il a un don ce monstre. “.Ivan fixe Jean et veut continuer à le plumer, tout en prenant son pied avec les femelles. Il ajoute “Tu veux ta revanche l’ami? ta pouliche t’a déçu, t’es moins bon baiseur que mon klebs. Ton orgueil en prend un coup.” Il rit grassement. .“La bête est endurante il va la faire jouir en lui limant le vagin à ta Franzouze. Tu veux tenter ta chance côté sexe. Il agite les billets 400 ce coup ci. “Je regarde le salaud qui parle à Jean, ne comprend rien a ce qu’il se dise, tremblante,Jean m’interpelle, m’explique, il me propose de me refaire si tu ne jouis pas en 5 minutes, perdant mes repères dans cette ambiance de folie, je hoche la tête comme un bon petit soldat. Il me renvoie “J’espère que tu sauras te tenir, je vais intervenir… tu tiens le coup? ils sont nombreux, cela va être compliqué.” Puis reprenant mes esprits, Non pas ça non arrêtez je vous en prie.. je l’implore du regard, voulant que ça cesse enfin…en écoutant la traduction mais mes plaintes dans le bâillon restent lettre morte et je sens dans mon dos le garde qui place à nouveau le monstre sur moi en riant grassement, me claquant les fesses pour que je me cambre mieux. Jean détourne son regard, il n’ose pas me regarder en face.Il laisse faire l’horreur, les serbes ne sont pas groupés, il ne peut pas intervenir. Il a eu tort d’écouter la boy scout, il aura du laisser tout ce beau monde entre les mains de ces sadiques et sauver sa peau. Il sort 4 billets, et regarde sa montre.Salaud t’es qu’un salaud!!! nonnnnnnn, je hurle à nouveau alors que le chien se plante brutalement dans mes chairs intimes, je me tends d’un coup, le feu reprend immédiatement dans mon corps, je tressaute, regarde fixement ce salaud de mercenaire qui sourit en me regardant me faire prendre par ce clébard.Ho nonnn arrêtez je vous en prie!!! je hurle dans ma tête en sentant cette chaleur s’emparer de mon corps sous les assauts canins. La bête redouble d’effort, je le sens dans mon ventre, je ferme les yeux, ivre d’un plaisir honteux, je les rouvre, mon regard indique clairement l’intensité de ce que je ressens au fond de moi, je m’écroule faisant sortir le sexe rouge de ma chatte trempée, le garde rit en le replaçant et aussitôt la bête me reprend encore plus fort encore plus loin dans mon ventre, me faisant hurler à chaque coup de rein.Ivan montre de la tête à Jean les deux canadiennes. Les deux autres femelles, leurs yeux brillent elles se font faites défoncer par Djanic 15 fois au moins c’est une drogue pour elle, les hommes ne peuvent plus les satisfaire. “Observe ta franzouze regarde elle aime cela. Elle l’accompagne, elle en redemande je suis sûr …”Linus est fasciné, me mate incrédule, il pense, “il a raison ce salaud ma blonde aime cela…” Jean me voit soulever mon ventre, me tendre pour m’’empaler encore plus en lui, me frotter l’aspirer profond en moi … Le chien me lèche le dos … encouragée je la lui offre obnubilée de satisfaire mon besoin de sexe , ce besoin augmenté sous l’effet de l’alcool, de la drogue, qui me donne envie d’assouvir mes pulsions sans aucun tabou ou aucune limite.Je me colle à lui, tend mes fesses contre son sexe, ivre, saoule du plaisir que je ressens au plus profond de ma chair, je suis une chienne, sa chienne maintenant et mon corps ne fait plus qu’un avec ce monstre, sa salive me coule sur le dos, je m’écroule à nouveau en avant malgré les liens qui me tiennent encore un peu sur le tabouret qui pivote, me fait tomber sur le sol dans un bruit étonnant, le chien sort de ma chatte béante, se retrouvant désaccoupler de sa nouvelle chienne.Ivan explique Djanic est dressé, il a une technique imparable sa bitte longue tape au fond du vagin et le lime. Sa queue est rugueuse dure aucune femelle ne peut résister. Cela fait trois jours que l’on l’attache à deux mètres de chiennes en chaleur. Il va te la défoncer ta franzouze et elle va en redemander.Le serbe se lève Voila c’est la mise en route, tu vas voir au bout de 2 ou 3 jours, à ce régime sexe, drogue, alcool, tu vas voir, elle sera prête pour l’abatage dans nos bordels. Il se lève, curieux de voir sa nouvelle conquête, Jean reste spectateur.La brute me saisit par les cheveux, me fait mettre assise sur les fesses. Il att**** une corde avec au bout une sorte de harnais spécial. Il lace les liens autour de mon crane, l’attachant à ma longue chevelure bouclée blonde, de ma nuque au menton. Ma tête est totalement enlacée par les liens en cuir.Puis Ivan me soulève lentement. je me retrouve sur la pointe des pieds, suspendue par la tête, une douleur forte. Il glisse sous mes pieds une plaque garnie de pointes. Je sautille, m’épuise, je n’en peux plus, je hurle. Les deux gardes se rapprochent de nous, ils sont côte à côte me palpant comme un a****l, ils viennent pour la curée.Mes hurlements réveillent, enfin, Jean. Les Serbes se sont enfin regroupés. Je le vois se reculer mine de rien, il prend position pour éviter de mettre Sonia et Beth dans l’axe de tir. Il dégaine son pistolet automatique et cartonne les serbes. Pop, Pop, Pop … chacun une balle dans le bas ventre. Ils s’écroulent paralysés des jambes, la terreur, la douleur, la souffrance sont de leur côté maintenant. Jean achève les deux brutes d’une balle dans le front et force Ivan à sucer le canon de mon arme, tout en le fouillant et le détroussant. Il récupère son fric plus le portefeuille du Serbe et pour toute réponse aux supplications du bourreau, le mercenaire lui tire dans la gueule et l’envoie en enfer.Jean tend le poignard à Sonia. “Libère Betty. “ A ses yeux, il voit sa colère et préfère ne pas être là pour subir la juste colère de sa bimbo qui pensait refaire le monde. Sur ce coup, il n’a pas assuré, il a été dépassé, complètement dépassé. Sa fureur contre cette journaliste qui est venu compliquer une affaire simple, n’a rien arrangé. “Hit and run”. Il devrait être sur le chemin du retour.La jeune femme rousse obéit mécaniquement. Je m’écroule et m’étale épuisée, sonnée, à terre. Bâillonnée, les bras attachées dans le dos. Le Klebs se rapproche encore prêt à continuer. Les deux filles m’entourent moi et mon amant à quatre pattes.Trois jolies femmes, droguées, nymphos à mort et un chien fou de sexe en sa possession dans un coin perdu de Serbie. Jean a la tête pleine de fantasmes tous plus pervers les uns que les autres. Il regarde la ceinture god, le bâillon god, il regarde Betty étalée sur le sol animée encore de spasmes, sous l’effet conjugué du sexe, du H et de l’alcool.Il se ressaisit, prit d’une profonde honte, il découpe le Scotch, les jambes de Betty sont libres. Il la libère aussi du harnais crânien. Il la masse pour réactiver la circulation.Linus m’observe droit dans les yeux, avant d’ôter mon bâillon et de libérer mes bras de mes cuisses. Le chien lèche goulûment mes seins emmaillotés, l’amant parfait. Jean le fait déguerpir puis se détourne. Il reprend le commandement “Sonia, Beth trouvez vous des fringues et aussi pour Betty. Lavez là et essayez de la retaper rapidement.”Je m’écroule sur le sol dès les liens tranchés, à moitié évanouie.

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