Le gros cul de la femme de mon pote

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Le gros cul de la femme de mon poteVoici bien des années que Thierry et moi nous étions perdus de vue. Copains comme cochons pendant plusieurs années, nous avions tiré notre célibat malheureux ensemble en trainant dans les mêmes bars sans âme et les mêmes boites pourries. Puis nos destins professionnels ont mis une vraie distance : il est parti travailler en Haute-Savoie, à des centaines de kilomètres, dans une vallée lointaine, et moi j’ai pris un job dans le centre de la France. Inutile de dire que nos apéros du vendredi soir en ont pris un coup.Avant de partir dans la montagne, Thierry avait sympathisé avec une jeune femme qui travaillait avec lui dans son ancienne boite. Il me l’avait présentée rapidement une fois ou deux, en se marrant un peu. En effet, pas vraiment jolie, ni belle, elle avait l’air un peu sotte, timide aussi. Mais surtout elle avait, surtout pour son âge (une petite vingtaine), un cul énorme. Blonde (mais un blond assez laid), un grand nez, le visage parsemé de tâches de rousseur (ce qui est assez joli), elle avait visiblement le tempérament d’une coincée timide, une jeune déjà vieille. En la croisant une fois ou deux, je ne gardais pas l’image d’une bombe sexuelle. Thierry lui même la dédaignait un peu.Je n’ai pourtant été qu’à moitié surpris quand, quelques années plus tard, j’ai appris que Thierry avait aménagé avec Laurence. Car il l’avait en fait revue plusieurs fois, quand il rentrait le week-end voir sa famille, de fil en aiguille il l’avait sortie, couchée et même engrossée. Laurence travaillait à l’époque à l’usine, Thierry était ingénieur dans sa nouvelle boite, elle n’a pas tardé à larguer les amarres pour le suivre et ils ont bien eu raison. Un petit garçon était né de l’union et il était installé donc, depuis plusieurs années, quand je les ai revus. J’ai surtout su, par la suite, que mon pote avait délaissé tous ces a priori sur cette grosse jeune femme un peu bête quand elle s’est avérée une grosse tailleuse de pipes baveuses qui lui avalait le foutre jusqu’aux dernières gouttes… mais j’y viendrais plus tard.Je ne les ai que recroisés, en fait, qu’une fois ou deux. Ça m’a fait plaisir. Thierry avait un peu accusé le coup physiquement : pris du bide, etc, le symptôme du type “installé” qui tire son coup avec maman quand il veut. Elle par contre s’était arrangée. Toujours son gros cul, mais plutôt apprêtée, bien coiffée… le syndrôme là de la femme “qui a les moyens” et qui vit dans son confort. Et surtout je percutais pour la première fois sur son énorme paire de seins, qui aillait avec son cul, mis en valeur ce jour par un décolleté lui aussi couvert de tâches de rousseur. Laurence n’était pas grosse de partout (visage assez fin malgré tout, pas de bide, bras et jambes corrects), mais juste donc un bon gros pétard énorme et deux gros melons à tomber par terre. On les imagine immédiatement recouvres de foutre, mais la miss n’avait pas trop une tête à ça… les apparences sont parfois trompeuses.L’histoire s’accélère quand je dois, pour des raisons professionnelles, aller dans la région ou ils sont installés, pour une présentation commerciale. Sur la route, je passe un coup de fil à Thierry : c’est la première fois güvenilir bahis siteleri que je passer vers chez lui (je déteste la montagne) et il serait un peu bête ne pas faire une halte.Il est au boulot mais me réponds quand même : je le sens occupé et ma visite ne l’intéresse pas outre mesure. Il est cordial, sympa, mais il est “dans autre chose”, dans son boulot, ce que je peux comprendre et je vois bien que mon passage ne perturbera pas sa journée de travail. J’ai rendez vous avec mon client potentiel en fin de journée, à 17 h. et lui termine au même moment. Il me donne son adresse, me demande d’arriver “dès que je pourrais”, de toutes façons Laurence sera là avec les enfants (ils en ont deux maintenant) et il arrive dès que possible, il sort un peu plus tôt s’il peut, sinon je bois le café avec elle et on verra bien.Dont acte. A 15 h, j’étais déjà sur place. Inutile de nier : tout comme vous l’auriez fait à ma place, j’avais déjà bien en tête de me retrouver seul avec cette femme que je connais à peine, en train de faire causette dans le salon : j’étais déjà bien excité. Excité parce que tout réfléchi avait son air à pas y toucher elle a quand même bien une bonne tête de salope, excité par ses gros seins, et enfin et surtout parce que j’avais appris, entre temps, qu’avec d’être avec Thierry, elle n’était sortie qu’avec des blacks, beaucoup de joueurs de foot de l’équipe locale, qui se l’étaient refilée durant longtemps, et qu’elle avait dû se faire tringler comme une chienne dans des parties à plusieurs. Les putes à black sont les meilleures, une fois bien défoncées du cul et ce de notoriété publique, elle ne peuvent rien refuser, faut juste aimer les grosses chattes.J’étais fasciné par le fait que cette nana, au physique particulier, qui faisait bien timide, ait pu sucer des grosses queues noires à la chaîne. Elle avait même été un bon moment avec l’un deux, elle l’avait présenté à ses parents, et puis un 2e, un 3e, spécialisée dans le “black love” et donc et son père, un monsieur connu dans le secteur avait dit “stop”. Les types la prenaient comme une bonne petite pute qu’elle était et puis étaient repartis comme ils étaient venus, mais les couilles vides. Aucun mal à ça, tout le monde s’était amusé mais quand elle a rencontré Thierry, célibataire, belle situation, elle s’était dépêchée de refaire sa vie, loin.J’aillais donc boire le café avec cette suceuse de queues, cette dilatée du cul (gros cul), cette défoncée de la chatte, aujourd’hui bien casée dans son petit appartement bourgeois à la montagne. J’en étais raide d’avance. Quelle pute. Thierry m’avait bien fait quelques allusions sur le fait qu’elle “aimait bien tout”, avec un clin d’œil, je pense que ce n’était rien de le dire. Je sonne et elle m’ouvre. Première surprise, elle est seule. Evidemment, à 15 h, les enfants sont à l’école. Première année pour la petite dernière, le grand déjà en primaire, le temps passe ! Il faudrait donc qu’elle aille les chercher vers 16h30… voilà qui ne colle pas tellement avec l’emploi du temps suggéré par Thierry, mais moi aussi de toutes façons, pour être à l’heure, il faudra que je parte avant, donc je la verrais elle, Laurence, mais kaçak bahis pas lui. Pas bien grave.Elle est souriante et a été prévenue de mon passage par son mari, car ils sont mariés. Elle a un petit brushing bourgeois, ne travaille pas, s’ennuie un peu sans doute. Tout est parfaitement rangé et l’intérieur est douillet. Une vraie bonbonnière.Elle me propose le café bien sûr j’accepte. Je lui demande si les journées ne sont pas trop longue, elle me dit que “un peu, si, bien sûr”, elle a une robe qui lui moule le cul et une espèce de veste qui recouvre assez mal ses deux gros boobs qui pendouillent visiblement et qui bougent de façon incessante. J’ai une méchante trique et je lui dit que j’ai rencontré un ami commun : on refait l’histoire, on rigole. Je lui dit aussi qu’il la connaissait bien du temps ou elle était “assez proche” de l’équipe de foot locale. Gêne. Rougeurs délicates. Elle me dit que “oui, oui, à cette époque là, c’était un peu la fête, et un peu n’importe quoi aussi”. S’en suite une discussion philosophique, comme j’adore en mener, y compris parfois en groupe d’amis, j’aime voir les réactions, sur le sexe et ce jour là sur “est ce que les femmes qui aiment les hommes noirs uniquement pour des raisons sexuelles, en partie ou ça n’a rien à voir ?”. Question à la con, réponse à la con, elle me dit bien sûr que ça n’a rien à voir. Je lui réponds que je suis rassuré, notamment en raison de mon sexe de taille “conventionnelle” et que donc si ça n’a rien à voir, j’ai encore mes chances avec “une belle femme comme elle”. Elle est troublée, sans plus, elle sourit et me dit que je ne suis sans doute pas si mal gâté par la nature que ça et que de toutes façons pour sa part “elle ne prends pas garde à la taille”. C’est ça : soit elle ne s’avoue par qu’elle est une grosse salope du cul qui aime se faire défoncer par des gros pieux, si possible plusieurs à la fois, soit elle se moque de moi. J’hésites encore. J’ai vu, dans des expériences précédentes, des femmes convaincues d’elle même quand elles racontaient que petite (pas trop quand même) ou grosse, une bite est une bite et que ça ne change rien, et devenir de vraies folles du cul complètement trempée à la vue de la première tablette de chocolat avec une grosse queue en dessous. Des vraies furies ! Faites un tour en club, vous constaterez, comme par hasard, que les mecs avec une grosse queue n’ont pas à s’en faire pour pouvoir fourrer de la chienne. Expérience vécue !Bref, à ce stade, entre Laurence et moi, la conversation est moite, je suis bien excité, ça se voit et elle l’est tout autant, ça se sent. Je lui demande donc si elle aimerait “juger sur pièce”, de façon assez maladroite. Ça m’est sorti assez naturellement, je bande comme un âne et la situation est trop excitante. Elle éclate de rire et je me dit que la partie est perdue.Aucunement : elle se lève, s’agenouille devant moi et défait mon bouton. Elle n’y arrive pas, je l’aide donc. Ma pine explose dehors, devant sa tête de pompeuse de queues, et elle me prends en bouche ni une ni deux.Je suis surpris du côté “facile”, presque naturel avec lequel elle fait ça. De mon côté, j’ai fait une tentative, j’ai osé un truc que j’ose rarement dans illegal bahis ma vie, et elle, on dirait qu’elle fait ça toute la journée. Je suis troublé, je pense à Thierry et suis soudain convaincu qu’il est cocu, obligé (y compris par moi). Et si c’était son plaisir à lui ? En tous cas, je repense que j’ai à faire là à une bonne chienne à blacks : chienne un jour, chienne toujours ? La réponse est yes.En tous cas, elle m’avale ma queue comme de rien et je vais lâcher la purée en 2 minutes à ce rythme (et encore !). Je la stoppe donc et lui demande de me sortir ses grosses miches. J’hallucine alors de voir ses gros ballons blancs, laiteux, qui pendent terriblement. Je les malaxe, passe ma queue contre, elle agit vraiment en pro, pas plus émue que ça, alors que moi je suis au bord de cracher à chaque instant. De ma bite s’écoule un permanent filet de pré-sperme, qu’elle nettoie toujours en bonne fille appliquée. En fait, c’est une pro du cul qui en a vu d’autres.Je découvre son énorme cul et moi qui n’aime pas trop les grosses, je suis servi : je dois reconnaitre que vu de l’arrière, la vision est ma-gni-fi-que ! Son trou du cul s’ouvre comme une fleur et sa chatte bien rouge semblerait pouvoir happer des kilomètres de bitte.Ce qui devait arriver arriver : je grimpe dessus, je lui lime la chatte façon doge, son trou est étonnamment énorme pour une grosse : je ne touche pas vraiment les bords, elle mouille abondamment si bien que je ne suis pas trop comprimé et je peux lui taper dans la butte de longues minutes. Malgré tout, son gros cul blanc est trop excitant et je jouis au fond de sa chatte comme un goret assez rapidement. Elle semble un peu déçue, elle est sans doute habituée à plus sportif, mais on se love quand même l’un contre l’autre. Même en ayant jouit, je malaxe quand même son imposante paire de loches… c’est admirable.Nous discutons un peu : elle est heureuse avec Thierry et il est assez branché cul. Elle ne regrette pas sa période “chienne à black”, elle me dit être passée à autre chose. Ils libertinent un peu parfois et il leur est arrivé de sortir en club, ou elle se fait prendre comme une bonne pute par des mecs à la chaîne, ce qui excite beaucoup son mari. Je ne suis pas très gêné vis à vis de Thierry, tout s’est fait naturellement, il m’en a toujours un peu parlé comme d’une bonne baiseuse et j’ai juste un peu plus l’impression de faire partie de la famille.Ma jolie grosse cesse la conversation et me pompe joliment le dard pour que je reprenne de la vigueur. Ce qui n’est pas très dur (je peux bander sur commande) et son corps de belle truie m’aide beaucoup à reprendre force. Je la culbute en missionnaire cette fois ci, plus longtemps et voir ses gros seins se barrer dans tous les sens, c’est comme dans un film. Je crache d’ailleurs dessus, des jets vigoureux, on sent que je suis bien excité. Elle va faire un brin de toilette, nous rebuvons un verre. La conversation passe avec facilité sur autre chose. Entre gens adultes à l’aise avec leur sexualité, tout est plus simple. L’heure tourne et il faut qu’elle y aille, moi aussi. Je n’aurais pas vu Thierry, mais je vais lui faire un SMS pour voir quelle genre de question il me pose, etc. Coquin comme je le connais, et vu leur sexualité, il se doutera peut-être de quelque chose. On en parlera. En tous cas c’est sûr, je repasserais les voir. Sacrée Laurence.Ce genre de cul, en plus gros, plus blanc. Même coupe de cheveux :

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