Le patron de papa

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Le patron de papa« Bonjour, vous attendez M. Demetri ? Je me retourne vivement, surprise. – Oui, c’est mon père, vous savez où il est ? Je l’attends depuis maintenant dix minutes, et toujours rien. Je suis déjà persuadée qu’il a oublié et qu’il est rentré en métro, alors que je l’avais prévenu que je viendrais le chercher. Vu que je suis revenue à la maison depuis peu, pour prendre quelques vacances après mes concours et voir ma famille, je me propose souvent pour rendre service, mais visiblement, mon père est toujours aussi tête en l’air. L’homme qui vient d’ouvrir la porte du bureau semble réfléchir une minute puis annonce : – Je ne l’ai pas vu, il va peut-être arriver. Je vais aller voir si je le trouve, ajoute-t-il avec un clin d’œil. Je rougis un peu, étonnée, et acquiesce. Ce clin d’œil avait quelque chose de charmeur, comme le personnage d’ailleurs, dans ses vêtements élégants sans être trop classes, et puis avec cette chevelure gris poivre – allez savoir, ça me fait craquer. A travers les vitres, je le vois s’éloigner d’une démarche très sûre. Je souris, mi-moqueuse, mi-séduite. Après quelques minutes, je le vois revenir et me regarder, je tente un petit sourire auquel il ne répond pas. Je me sens donc un peu gênée quand il déclare qu’il n’a pas vu mon père. Il entre, après une hésitation, et ferme la porte derrière lui. Curieuse, j’attends qu’il parle. Il s’approche et s’appuie contre le bureau, croisant les bras puis me regardant à nouveau. Je me fais toute petite, d’autant qu’il reste silencieux et n’hésite parfois pas à laisser se yeux dériver vers ma poitrine. Je n’arrive pas à décider : suis-je embarrassée, flattée, agacée ? Confuse, j’engage la conversation. – Il est peut-être déjà parti. – Possible. Il décroise se bras et se passe une main dans les cheveux, avant de se redresser et de passer devant moi, à quelques centimètres, pour se diriger vers les vitres. Je l’observe fermer les stores un à un. – Je pense que je vais y aller, ça ne sert à rien que je l’attende plus longtemps… fis-je, croyant que son geste me donnait congé. – Vous pouvez rester si vous le souhaitez, dit-il sans se retourner.J’ai du mal à le suivre. Je me rends compte que je ne sais même pas à qui je parle et je m’inquiète presque. – Vous êtes collègue ? – Oh pardon, je ne vous ai pas dit, je suis le patron de votre père. Philippe Patrick. Cette fois, il se retourne et me sourit, plus aimable. Je me souviens d’une photographie et je reconnais l’homme. Tout à coup à l’aise, je réponds d’un petit soupir et prends sa position précédente, les mains sur le bureau. Il a fermé tous les stores et il revient vers moi, avec encore un grand sourire. – Votre nom ?- Sandra. – Sandra, répète-t-il d’une voix grave.Je frémis discrètement. Il semble capter ce subtil mouvement et se tient face à moi, les yeux dans les miens. Mais que Diable est-il en train de se passer ? Il fait un pas en avant, puis un autre, et voilà que ses pieds sont devant les miens, alors que par réflexe, je recule et m’assieds sur le bureau, sans mot dire. Ma respiration accélère, la sienne reste calme. Je ne sais pas pourquoi, mais cela m’énerve et je veux me dégager, or il place ses deux mains sur les miennes et les maintient à plat. Je retiens mon souffle, surprise, excitée par le contact de ses paumes chaudes. Une petite voix me dit « il a l’âge de ton père, à quoi tu joues ». Mais il m’embrasse. Et je le laisse faire. Sa langue, rapide, câline, m’arrache même un gémissement. Il recule enfin et rit un peu. Il prend ma main droite et la dirige lentement vers son pantalon, je comprends quand il la pose enfin sur son entrejambe, que je sens dur. La situation, aussi surréaliste qu’elle soit, me rend folle. Je mouille abondamment. Alors, je hoche la tête, lui fais signe que je veux bien, et je commence à le caresser à travers le tissu du pantalon. Il respire plus lourdement et me fixe encore. Ce regard m’électrise. Et soudain, la porte s’ouvre. Je sursaute et manque de tomber, lui recule presque tranquillement. Je lève les yeux et vois mon père, qui hausse les sourcils en remarquant ma position curieuse et les stores baissés. Il les fronce ensuite et je me sens obligée de m’expliquer :- Tu m’as fait peur, j’ai renversé ton classeur.” Il semble satisfait et dépose ses affaires avant de saluer son patron, pour m’inviter à partir. Je le suis, frustrée. Une semaine plus tard, assez de temps pour digérer tout ça, je retourne déjà au bahis firmaları bureau, en sachant pertinemment que mon père n’y sera pas. Ce n’est pas lui que je veux voir. Il m’aura fallu des dizaines de masturbations pour me calmer, et encore, je pensais que je ne penserais plus à Philippe, or ça a été le contraire, en pire. Me voilà donc, en jupe, prête à finir ce qu’on avait commencé. Je me rends dans le bureau de mon père – le lieu m’excite déjà – et je patiente. Les stores sont déjà fermés, je m’assieds à nouveau sur le bureau, jambes écartées, yeux fermés, prise par l’envie folle de me caresser, là maintenant. La porte s’ouvre enfin et c’est bien lui, que j’avais prévenu de mon arrivée. Il ferme la porte derrière lui, s’avance sans un mot, contemple mes jambes nues, que je garde écartées. « Eh bien dis-moi Sandra… Tu en as vraiment envie, hein ?Son ton un peu dominant me fait vibrer. – Où est-ce qu’on en était la dernière fois ? Je m’approche et pose ma main sur son pantalon, recommençant exactement comme avant. – Je pense que tu allais me sucer, fit-il d’une voix grave. Je lève les yeux vers lui, n’en pouvant déjà plus. Je n’ai sucé qu’une fois dans ma vie. Il a l’air de s’en foutre complètement et il appuie sur mes épaules, avant de me demander d’ouvrir sa braguette et de… – Vas-y petite, lèche ma queue. Ces mots achèvent de m’exciter et je sens que ma mouille coule sur mes cuisses. J’aspire consciencieusement son membre et l’embouche le plus profondément possible. Il gémit et fait de lents va-et-vient dans ma bouche, si bien que bientôt, je me laisse faire. Les cuisses écartées, je me cambre à plusieurs reprises, inconsciemment, et ça le fait doucement rire. – Je giclerais bien sur ta langue ma chérie, mais j’ai l’impression que tu la veux ailleurs, dit-il soudain en s’arrêtant. Je le regarde, la bite toujours entre les lèvres. Evidemment que je la veux ailleurs.- Lève-toi, penche-toi sur le bureau de ton père, Sandra. J’obéis, et j’ai une honte soudaine à l’idée qu’il voit mon état d’excitation. Seulement celui-ci est tel que j’oublie mes troubles. Il pénètre ma chatte d’un doigt et s’exclame d’ailleurs :- Ah ah je m’en doutais. Dès que je t’ai vue, j’ai su que tu aimerais ça ! Sans attendre, il s’introduit en moi, ses boules claquent et je me sens basculer un peu plus, et gémir, trembler… Il ne bouge plus et me voilà gagnée de spasmes, jouissant là, retenant mes cris. – Tu jouis à chaque coup de queue ? Je vais m’amuser avec toi…Il enchaîne à gros coups de butoir, comme si mon plaisir l’autorisait à se lâcher. Et en effet, je jouis encore, retire même mon teeshirt pour mieux lui être soumise. Je mouille sur le bureau de mon père et ne peux m’empêcher de gémir :- Aaaah je vais jouir… Après un nouvel orgasme, il me soulève presque et me porte jusqu’aux fenêtres. Là, à travers quelques faibles interstices, je vois les employés au travail, tandis qu’il continue de me besogner. Je me mords les lèvres, conscience d’être à la limite de l’exhibitionnisme, et jouis une nouvelle fois à cette pensée. Je sens ses deux mains m’écarter les fesses et je jette un coup d’œil dans mon dos pour le voir mouiller son pouce. Perplexe, mais trop occupée, j’oublie, jusqu’à ce que je le sente sur ma rondelle. Je me brusque mais il la pénètre et fait des va-et-vient tout en me baisant. La sensation est divine, je pousse un léger cri et il vient mettre ses autres doigts dans ma bouche pour me faire taire. Je les lèche avec avidité, folle. Mes jambes tremblent et tout mon corps est parcouru de frissons ininterrompus. – Petite salope, jouis…”Ces mots m’électrisent, et il les répète, encore et encore, jusqu’à ce que mon corps lui obéisse et explose dans un orgasme dévastateur. Mes jambes tremblent, je suis à genoux, juste à temps pour ouvrir la bouche et recevoir docilement sa semence entre mes lèvres, et l’avaler avec tout autant de docilité. Il tapote son sexe contre mes joues, s’essuie ainsi en me regardant, une espèce de sourire vainqueur, satisfait et en même temps plaisant sur le visage. Je reste au sol pendant qu’il se rhabille et s’éloigne, pour sortir du bureau, comme si de rien n’était.« Mon patron et sa femme viennent dîner ce soir, j’aimerais autant que tu sois là. »En entendant ça, je me suis littéralement figée. Je n’avais pas revu Philippe depuis la dernière fois, mais l’idée de l’avoir lui et ma famille dans la même pièce me fit pâlir. J’acquiesçai malgré tout, cachant mon kaçak iddaa émoi. Toute la journée, je me demande comment éviter ce dîner, quitte à subir les foudres des parents. Oh, et puis je suis majeure, je n’ai pas de compte à leur rendre. Mais il est évident pour eux que je serai là. Je songe à prétendre être malade d’abord, puis, plus les heures passent, plus je tente de rationaliser la situation : il sera là avec sa femme, en présence de mon père. Il serait absurde que cela dé****, il se compromettrait… Une partie de moi se dit aussi que c’est l’occasion de se montrer digne, au moins plus digne que ce qu’il a déjà vu, et une autre encore se réjouit à l’idée de le revoir. Mais je préfère ignorer celle-là. Quoi qu’il en soit, le soir venu, me voilà finalement en robe, prête à accueillir Philippe, aux côtés de mon père un peu nerveux et de ma mère simplement moqueuse de son époux. Il arrive enfin, plutôt classe je dois dire, avec sa chemise blanche et son pantalon de velours, suivi de son épouse que je m’étonne de trouver ravissante, vêtue d’une longue robe rouge au profond décolleté. Je laisse mon père et ma mère les saluer puis me présente poliment. Rassurée, je constate que tout le monde reste courtois et professionnel, et que Philippe ne m’accorde pas un regard déplacé. C’est dans cette ambiance que se déroule le repas, presque ennuyeux pour moi, peu intéressée par le travail de mon père, jusqu’à ce qu’on se dirige au salon. Je m’éclipse en entendant la sonnerie de mon portable et j’entends la femme de Philippe demander où se trouvent les toilettes. Une fois dans ma chambre, après avoir éteint mon portable, je repars vers le salon mais m’arrête devant la salle de bain : des bruits de voix m’interpellent. Je reconnais celle de mon père et celle d’Estelle, la femme de Philippe. Intriguée, sans penser à mal, j’écoute et je distingue des mots surprenants, la conversation semble plus intime que ce que leur relation permet… Je m’approche à peine et maintenant, c’est le silence. Inquiète, je me recule à nouveau, mais personne ne sort, je reste sceptique et finis par repartir quand j’entends des gémissements discrets mais dont la nature est sans équivoque. Je me fige complètement en haut des escaliers. Mon père et Estelle ? Je suis entre surprise totale, mélange de dégoût, de colère, et d’excitation (déjà là depuis l’arrivée de Philippe). Et justement, je pense à Philippe et le prends en pitié. Parce que je sais bien que mes parents n’ont pas une relation très épanouie et je soupçonnais déjà les deux d’aller voir ailleurs, mais cette histoire-là me gêne tout de même… J’accuse le coup et rejoins les deux autres au salon, occupés à discuter tranquillement. Je m’assois nerveuse quand ma mère repart dans la cuisine. Seule avec Philippe, je lève les yeux vers lui, lui lance un regard appuyé, comme pour lui faire comprendre sans rien dire. Il hausse les sourcils : – Ca va ? – Votre femme met du temps non ? » Je réponds d’un air entendu, il fronce les sourcils et semble perplexe.Peu après, ma mère revient et on reprend une conversation normale, bientôt nous sommes rejoints par Estelle et mon père. La soirée se termine plus tranquillement et c’est l’heure de leur départ, mais je parviens à glisser un mot à Philippe : « il faut que je te parle, demain tu peux passer si tu veux, je suis seule ». Il me regarde étonné puis sourit et me salue. Il faut que je lui dise. Le lendemain, à 15h, il arrive. Je lui ouvre la porte, tendue, et le laisse entrer, avant de m’asseoir sur le canapé.« Alors qu’est-ce qu’il se passe ? – Hier soir… Votre femme… Il me regarde sans réagir. J’hésite.- Avec mon père, je les ai surpris…- En train de baiser ? Je manque de sursauter. Je le fixe sans comprendre et il se met à rire et à se détendre. – c’est bien gentil de ta part, mais j’étais au courant. Quoique je ne pensais pas qu’ils oseraient hier soir… rajoute-t-il.- Vous saviez ?- Oui. Cela fait un moment, elle m’en a parlé. Il ne le sait pas par contre. Je reste décontenancée. – Tu as un problème avec ça ?- Je sais pas trop…Je suis un peu perdue en fait. – Je crois que ton père et ta mère se sont mis d’accord, comme ma femme et moi. Et puis je te rappelle que je t’ai baisée aussi, dit-il avec un sourire. Je fronce les sourcils…- Vous voulez dire que… c’était une vengeance ? Il semble réfléchir à sa réponse.- Disons que ça augmente le plaisir. Je me sens bête tout à coup et je me lève, puis lui tourne le kaçak bahis dos, vexée. Je sens soudain sa présence derrière moi et son souffle dans mon cou. – Parce que tu n’as pas pris ton pied toi ? Je ferme les yeux. Bien sûr que si. Mais je n’ai plus envie de l’avouer. Il pose sa main droite sur le haut de ma cuisse et la déplace doucement vers l’intérieur, près de mon entrejambe, que je sens humide sous mon pantalon. Non, plus maintenant, me dis-je. Mais je le laisse se rapprocher de ma chatte et frotter son membre dur contre mes fesses. – Dis-moi, tu n’as pas aimé sucer le patron de ton père ? Ne me dis pas que la situation ne t’excite pas non plus ? Sa main glisse sous le tissu de mon pantalon et titille mon clitoris à travers ma culotte, je n’en peux plus et me mets à gémir sans retenue. – Et sentis ma queue dans ta chatte, ça ne t’a pas plu ? poursuit-il.- Aaah, oui… Son petit ricanement à mon oreille n’est pas moqueur, simplement amusé, et je souris en me prêtant à son jeu, de plus en plus excitée.Sa main passe sous ma culotte et il me pénètre de deux doigts, avec force, tout en me tenant contre lui et sa bite avec son autre main.- C’est une torture… dis-je entre deux gémissements. – Appelle-le.- Quoi ?Il s’arrête soudain et continue :- Donne-moi ton portable si tu en veux encore…Je ne comprends rien mais lui donne, trop excitée. Mais je prends peur quand je le vois composer un numéro et me tendre le téléphone…- Qu’est-ce que tu fabriques ? Il reprend le va-et-vient et je ferme les yeux, gémis en tenant le portable tant bien que mal. J’entends soudain une voix répondre. La voix de mon père. Je me tais, me reprends alors que Philippe prend un malin plaisir à me pénétrer de plus en plus vite. – Sandra tu es là ? Je veux raccrocher mais Philippe me prend le portable des mains et se contente de me le tenir à l’oreille. – …Oui…- Ca va ? Qu’est-ce qu’il y a ? Je suis essoufflée mais parviens à répondre :- Oui ça va… ah… Je voulais pas… appeler…- Tu es sûre que ça va ? Tu as l’air bizarre…Je veux écourter la conversation mais il continue, et Philippe, pendant ce temps, descend mon pantalon, sort son sexe et approche dangereusement de ma chatte. – Oh non… interromps-je mon père.- Tu peux pas ?- Quoi ? – Venir me chercher ? Philippe me pénètre d’un coup sec et je pousse un « ah » sourd.- Mais qu’est-ce que tu fabriques à la fin… – c’est bon, je viendrai…Les bruits de couilles contre mon aine résonnent dans toute la pièce et j’espère de tout cœur que mon père n’entend rien, tout en retenant mes gémissements et mon souffle bruyant…- Tu es avec quelqu’un ? – Non, non, c’est la télé… bon papa…- D’accord, à tout à l’heure, dit-il enfin.Philippe reprend le portable et soudain, je lâche tout le plaisir retenu et j’explose, je crie ma jouissance, me tient au mur, alors que la queue de Philippe continue de me labourer dans un bruit mêlé de claquements et de mouille. Il rit et ne s’arrête pas, infatigable pendant que mon orgasme s’estompe. – Tu vois que tu aimes salope…- Ne… me refais… pas ce coup…- Tu me donnes des ordres maintenant ?Il s’arrête, pose ses mains sur mes cuisses, et me soulève, me porte jusqu’au canapé où il me laisse tomber, toujours son sexe planté dans ma chatte. Je suis sa chose : l’effet est foudroyant.- Ne… me… donne… pas… d’ordre… petite salope ! Il me martèle littéralement la chatte, tout en plongeant son pouce dans mon cul. Même effet que la dernière fois…- Aaaah… Aah ! aah ! aah… C’est boooon ! – Tu feras ce que je voudrai et c’est tout ! Je hurle ma jouissance, soumise, folle de lui, de son sexe, de ses ordres.- Oui ! Servez-vous de moi ! Je suis… votre salope… monsieur… aaah…Mes mots le font grogner de plaisir et il sort son sexe, qu’il me tend, humide, pour que je vienne le lécher. Ce que je fais avec empressement, n’ayant qu’une envie : boire son foutre. Il me tient la tête et grogne soudain, explosant dans ma bouche. J’avale consciencieusement, prenant mon rôle de salope très au cœur, au point de ne plus jouer, et lui m’observe faire en soupirant. Je me redresse enfin et il passe sa main sur ma joue, un sourire aux lèvres. Je reprends moi-même un peu mes esprits et reviens sur « l’incident » :- Dis donc, ça t’amuse de me mettre dans des situations pareilles ! Je pensais être en colère mais ma voix sonne bien peu énervée. – Désolé, un petit fantasme personnel…- La prochaine fois abstiens-toi, et j’espère pour toi qu’il n’a pas compris. – Sinon quoi ? rétorque-t-il en se rhabillant. – Sinon… on ne se voit plus, voilà. – Ah ah, arrête, tu ne pourras plus te passer de ma queue, dit-il avec un clin d’œil.- Ne te flatte pas trop ».Mais je sais bien qu’il a raison.

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