les plaisirs extraconjugaux

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les plaisirs extraconjugauxAuteur : Lammergeyer Après avoir dû déménager de nombreuses fois pour cause de travail, nous avons pu passer une dizaine d’années au même endroit durant lesquelles tout le monde dans la famille a enfin pu tisser des liens d’amitié plus stables. Que ce soient nos trois enfants : deux filles ados de 14 et 13 ans avec leurs copines d’abord, puis leurs copains et, inversement notre jeune fils de 9 ans avec ses potes puis ses fiancées. Ensuite, enfin et surtout, nous, chacun de son côté, ma femme avec son association caritative et moi au boulot avant de nous retrouver ensemble à la maison.C’est en effet à l’anniversaire des quarante ans de ma femme, Mylène, que nous avons emménagé sur le Bassin d’Arcachon pour près de dix ans, jusqu’à mes 55 ans, étant de cinq ans son aîné.Notre couple s’est épanoui durant cette période où il a vraiment atteint pleinement sa maturité, chacun de nous deux ayant pu s’ouvrir plus au monde extérieur sans pour autant remettre en cause notre union dont les liens se sont même paradoxalement resserrés quand nous avons compris l’un et l’autre que la jouissance physique du moment pouvait être dissociée de l’amour qui nous unissait plus fort chaque jour.Il me revient en mémoire la première fois, en dehors des fantasmes distillés au creux de l’oreiller pour maintenir une certaine excitation, où nous avons vraiment concrètement abordé le sujet que beaucoup de couples abordent après une dizaine d’années de mariage, d’aller voir ailleurs si le gazon de la voisine est plus fourni ou le manche du voisin plus long et plus endurant !C’est à mon grand étonnement, Mylène qui relance la discussion lorsque je la prends un soir en levrette. Elle vient au-devant de ma queue lorsque je la pilonne. J’ai les mains sur ses fesses rebondies qui restent fermes sous mes doigts lorsque je tente de les y enfoncer pendant que ses mamelles s’agitent en tout sens.Ses petits seins de jeunesse lorsque nous nous sommes connus ont en effet gonflé au fil des années après ses trois grossesses, laissant apparaître quelques vergetures et de légers plissements sur le ventre me permettant de mieux la saisir lors de l’emballage final en levrette !Je l’aime dans cette position, la tête dans l’oreiller, le cul remonté, les jambes suffisamment écartées et le bassin creusé pour m’offrir à la vue sa vulve poilue trempée de cyprine et son œillet plissé qui me fait de l’œil, mais dont elle ne m’a permis l’usage qu’une fois lorsqu’elle était pompette et que j’avais un peu abusé de la situation. Mais là, je m’enfonce une nouvelle fois jusqu’à la garde dans son vagin grand ouvert. Elle me lance alors sous forme de défi, chose tout à fait inhabituelle pour elle :— Chéri, tu n’arrêtes pas de me susurrer que tu aimerais me voir sucer un mec pendant que tu me besognes comme une chienne. Je sens bien alors à ta queue qui gonfle que cela t’excite, mais je ne suis pas sûre que si cela devait arriver un jour tu ne débandes pas aussitôt !— Attends Mylène tu es en train de me dire indirectement que tu ne serais plus opposée à sucer une autre queue que la mienne ? En as-tu déjà sucé d’autres d’ailleurs ?— Tu sais bien mon amour qu’avant toi j’ai eu plusieurs aventures certes très brèves. Mais le fils aîné des amis de mes parents m’a effectivement forcée à ouvrir la bouche pour y introduire son gland quand j’avais 18 ans et j’en garde un très mauvais souvenir. Mais toi, tu as su délicatement me faire apprécier cette façon de faire plaisir aux hommes. Ahhh ! Ouiii chéri !… Vas-y, pilonne-moi bien fort que je sente tes couilles venir taper sur mes lèvres… Oh que tu es bon, je te sens aussi excité que moi.— Ohhh oui, j’aime quand tu te lâches, dis-le que tu aimerais sucer ton copain Marc de l’assos ! Il te plaît et te fait du rentre-dedans, non ?— Oui, mais il n’est jamais rentré dedans tu sais, il n’y a que toi depuis notre mariage. Ohh ouiii laboure-moi fort, je sens que tuzla escort je vais inonder le lit…— Tiens, prends ça et suce mes doigts en pensant à Marc !— Mais tes doigts sont pleins de ma mouille !— Suce, un jour ce sera le sperme de Marc que tu avaleras !— Déjà que je me refuse à prendre en bouche le tien, je ne suis pas prête à ingurgiter celui de Marc !— Mais à le sucer un jour peut-être, non ? Si je te dis que je n’en serais pas jaloux et que cela m’excitera au contraire quand tu me raconteras le goût qu’il t’a laissé en bouche !— Tu es de plus en plus pervers, prêt à offrir ta femme au premier venu, mais je ne suis pas ta chose et s’il me prenait l’envie d’aller découcher ailleurs, je ne te préviendrais pas et surtout je ne le ferais jamais sous tes yeux ! Mais tu es si bon ce soir que je te permets de venir te finir sur ma figure et mes seins ! Je m’agenouille à tes pieds, branle-toi fort sur moi !— Ohhh merci chérie, mais je veux que tu me pries de le faire en m’appelant Marc et que tu fermes les yeux en t’imaginant que c’est lui qui se répand sur toi…— Tu es le mari le plus dégueulasse que je connaisse. Mes copines, qui ne sont pas avares d’anecdotes sexuelles sur leur couple, ne m’ont jamais raconté pareille demande de leur mec ! Mais bon, si cela peut te faire venir plus vite… Allez, Marc j’ai envie de ton foutre. Regarde, j’ouvre même la bouche, ce que je refuse à mon mari !…— Tu vois Mylène que cela n’est pas si difficile de cocufier son mari, quand tu auras avalé tout mon foutre, tu me suceras pour me nettoyer et aspirer les dernières gouttes. La prochaine fois, c’est dans ton vagin que je me répandrai et tu ne te laveras pas jusqu’au soir pour que ton cocu te prenne avec tes lèvres encore gluantes de jus et puisqu’il aime que tu l’humilies, tu lui feras lécher ta chatte encore odorante de notre saillie…— Je ne crois pas qu’il le fera, j’ai bien trop peur qu’il me gifle au contraire…— Ohhh ça y est je viens, ouvre bien grand ta bouche et tire la langue… Tu m’aimes Mylène ?— Ohhh oui Marc, vas-y… Oh pas si vite, tu m’étouffes ! Tu me fais tousser… euh ! euh ! Pas dans l’œil s’il te plaît Oh… regarde, tu m’en as mis partout, même sur le téton droit. Regarde mon amour, cette stalactite bien épaisse qui a du mal à tomber… C’est mon mari qui va être jaloux s’il apprend que j’avale alors que je le lui ai toujours refusé !— Alors quel goût cela a ?— Eh bien tiens, embrasse-moi tu verras !— Ma foi un peu salé, l’odeur n’est pas terrible, mais le goût n’est pas désagréable, tu crois que tu pourras maintenant sucer à fond ton mari ?— En tout cas, je sais que lui apprécierait, mais j’ai peur que cela lui mette la puce à l’oreille et qu’il se doute de quelque chose !— Mais si c’est lui qui n’arrête pas de te pousser dans mes bras, pourquoi ne pas lui avouer que nous baisons régulièrement ensemble et même à l’occasion de m’inviter un soir chez vous après un repas bien arrosé ? Qui sait, si nous ne finirons pas tous les trois dans votre lit et que tu me suces pendant qu’il te prend en levrette. Qu’en dis-tu ?— Tu m’as fait tellement jouir ce soir, Marc, que je ne dis pas non !Je l’ai alors serrée très fort dans mes bras et nous nous sommes longuement embrassés. Elle avait les yeux embués de bonheur qui me fixaient profondément, semblant me lancer comme un défi pendant qu’elle faisait rouler sa langue autour de la mienne. Nous sommes restés enlacés un long moment avant de finir par nous endormir la tête de Mylène au creux de mon épaule et nos jambes emmêlées.Au milieu de la nuit, une douce sensation me réveille. J’ai du mal de faire surface. Toujours dans mon rêve je ne sais pas si vraiment Mylène s’est emparée de ma queue pour une fellation extraordinaire ou si elle continue de me déballer dans ma tête embrumée son premier faux pas extraconjugal.Mais je ne rêve plus, car je bande vraiment quand je sens sa main saisir ma queue fermement avant tuzla escort bayan de venir s’y empaler et se masturber avec. Toujours dans le noir total, je tends mes mains pour finir par saisir ses tétons durcis que je fais rouler entre mes doigts pour bien me persuader que je ne rêve plus. De son côté, Mylène, tout en se masturbant sur ma queue, est toujours dans son trip de la veille avec Marc puisqu’elle sait maintenant que cela m’excite au plus haut point de me faire passer pour lui dans nos ébats amoureux :— Tu sais Marc voilà plus d’un an que je résiste à tes avances, un reste de mon éducation chrétienne sans doute, mais puisque mon mari insiste pour que je goûte une autre queue que la sienne, me voilà offerte. Prends-moi comme bon te semble, fais-moi jouir, mais sache que c’est toujours le père de mes enfants que j’aime, mais comme il n’y a pas de mal à se faire du bien et si tout le monde y trouve son compte, je ne te dis plus non. Vas-y, baise-moi Marc !— Alors là, Mylène tu m’époustoufles. Tu parles sérieusement ou tu es toujours sous le coup de l’excitation d’hier soir ?— Non, je suis sérieuse et cela t’excite non ? D’ailleurs, je vais en parler franchement à mon mari dès cette nuit sous la couette.— Mais, ôte-moi d’un doute : vous aviez bien réunion hier après-midi à l’association ?— Oui, mais la convocation a dû être mal transmise car nous n’étions que deux.— Marc et toi ?— Oui et il m’a proposé d’aller boire un verre chez lui.— Et tu as accepté ?— Bien sûr, il est très charmant et assez bel homme !— Tu savais qu’il allait te draguer ouvertement ?— Oui, je voulais mesurer jusqu’à quel point il serait capable d’aller sachant que je l’ai toujours sèchement repoussé jusque-là !— Vu que tu es rentrée tard, je suppose que vous n’avez pas bu qu’un verre, ni parler trop de l’ordre du jour de la réunion ?— Non bien sûr. Il est très galant. Il m’a fait goûter du Ti-punch qu’il venait de ramener des Antilles.— Et tu as aimé, bien sûr ?— Cela se boit très bien et te met dans un état cotonneux très agréable.— Au bout de combien de verres tu t’es retrouvée dans ses bras ?— Deux ou trois, je ne me souviens plus, nous étions assis en face l’un de l’autre tu sais, moi très sage, les jambes bien serrées comme je l’ai appris à nos filles. Mais quand j’ai voulu aller au petit coin, je n’ai pas pu me relever !— Alors, il t’a aidée ?— Oui, toujours très galamment il m’a soulevée en me prenant sous les bras ses mains venant naturellement se poser sur mes seins.— Tu l’as alors sèchement repoussé comme d’habitude ?— Eh bien, non. D’abord je n’en avais pas la force et ensuite c’était très agréable, mais ma tête était ailleurs et mon corps appréciait cette caresse.— Il a pris ton attitude pour un encouragement, je suppose ?— Oui. Il est venu coller son sexe dur contre mes fesses. Je me sentais si bien quand il a déposé un baiser dans mon cou. Avec ma tête complètement perturbée par l’alcool, je ne savais plus du tout où j’étais. Je me suis sentie tout à coup dans tes bras quand tu me susurres de penser à Marc.Elle continuait machinalement de m’astiquer la queue avec son vagin en se soulevant et retombant sur moi dans un rythme lancinant calqué sur ses confidences. Je n’osais faire un geste ou dire quelque chose de peur de casser l’ambiance, même si mon excitation était un peu retombée en réalisant alors que j’étais vraiment cocu ! Mais, elle a continué, me voyant sans réaction apparente.— Mon envie de pisser s’est petit à petit transformée en envie de baiser, je me suis mise à mouiller de plus en plus quand il a défait les boutons de ma chemise avant de passer ses mains sous les bonnets de mon soutif pour extraire mes seins et jouer avec mes mamelons comme tu sais si bien le faire. Une fois torse nu, il m’a couverte de baisers dans le dos, ses mains parcourant mon ventre et ma poitrine dans un ballet très agréable, je me tortillais sentant ma chatte dégouliner.Il escort tuzla m’a alors fait faire demi-tour pour m’embrasser à pleine bouche tout en me serrant fort contre lui, sa bite dure se frottant à mon pubis continuait de grossir. Il a appuyé ses mains sur mes épaules et je me suis agenouillée avant de défaire sa ceinture et d’ouvrir sa braguette pour extraire un engin démesuré et des couilles glabres très gonflées.J’ai commencé de le branler à deux mains, l’une au-dessus de l’autre n’arrivant pas à joindre non plus le bout de mes doigts à ma paume. Je me sentais comme dans un rêve éveillé avec la tête dans le brouillard, mais avec les mains qui s’agitaient machinalement jusqu’à ce qu’il me fasse pression sur la tête pour me pencher plus avant !Une fois son braquemard en bouche, mes lèvres étaient si tendues que j’en avais des crampes dans le cou. Son gland énorme une fois décalotté a failli m’étouffer en venant taper contre ma luette ! Il ne voulait pas me brusquer et m’a aussitôt relevée une fois de plus, mais en s’agenouillant ensuite à son tour pour finir de me dénuder et commencer à me lécher la vulve déjà bien ouverte.J’ai beaucoup apprécié son coup de langue pour me pénétrer délicatement ou me titiller le bouton déjà tendu par ses caresses. Mais il s’est plaint des poils qui venaient se coller sur sa langue et m’a fait promettre de m’épiler pour la prochaine fois ou sinon c’est lui qui me raserait de près !XXXSur ces dernières paroles, elle s’est mise à accélérer le mouvement tout en continuant son récit de manière plus hachée, essoufflée qu’elle était de me baiser ainsi, mais surtout excitée de revivre par la pensée son premier après-midi volage hors de notre couple.— Il m’a ensuite fait asseoir sur un fauteuil en cuir, puis a amené mes fesses au bord avant de soulever mes jambes en appui sur ses épaules. Son énorme engin est rentré d’un coup, sans forcer, tant je jutais. Il m’a pilonnée directement comme ça, en s’enfonçant complètement.Je n’avais jamais eu une telle sensation, chéri, mon vagin était aussi dilaté qu’avant l’accouchement des enfants, mais cette fois, que c’était bon ! Il en avait tellement envie depuis si longtemps, m’a-t-il avoué, qu’il s’est rapidement déversé en moi.Mais je vois qu’au lieu de te faire débander entendre que tu viens d’être cocufier, cela t’excite au contraire. Alors vas-y, jute à ton tour dans le sperme de Marc, car je ne me suis toujours pas lavée depuis hier après-midi, c’est bien ça que tu voulais ?— Ohh ouiii… Mylène, je t’aime mon amour. Je n’y croyais pas. Tu ne peux pas savoir comme je suis heureux qu’un autre ait pu te faire jouir !— C’est vrai, tu le penses sincèrement. Tu ne m’en veux pas du tout ?— Non chérie, bien sûr. Tu sais, après quinze ans de baise plan-plan avec ton petit mari, il est bon que tu expérimentes d’autres façons de jouir, si tu me promets de toujours m’aimer autant et tous nos enfants aussi.— Oui, je t’aime mon amour et j’ai bien précisé à Marc qu’il ne s’emballe pas, que cela était du domaine physique uniquement et que s’il n’avait pas utilisé le subterfuge du rhum un peu traître, jamais je ne l’aurai laissé poser ses mains sur moi et encore moins sa queue en moi !— Tu veux me dire que tu considères cela comme une incartade due aux effets de l’alcool qui ont altéré ton discernement, mais que tu n’y goûteras plus ?— Avant, je t’aurais répondu oui et surtout ne t’aurais jamais rien raconté, mais là comme cela a l’air de t’exciter et que j’ai vraiment beaucoup joui, je crois que l’on se fera à nouveau une réunion en tête à tête avec Marc ou plutôt en tête à queue pour moi et tête à abricot imberbe pour lui !— Mais même si je ne suis pas inscrit à votre association, vous m’inviterez peut-être alors à vos ébats ?— Si tu y tiens tant que ça et que tu penses que cela t’excitera, oui, tu pourras te branler en me regardant jouir !— Ohhh je t’aime chérie. C’est vrai ça ! Marc est d’accord ?— Il est prêt à faire tout ce que je lui demande maintenant, tu sais ? Tout comme toi finalement.Et c’est dans une dernière chevauchée que Mylène a réussi à me faire jouir en elle en ayant cette image de Marc qui la baise sous mes yeux.

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