L’Eté 2016 – Chapitre 1 –

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Babes

L’Eté 2016 – Chapitre 1 -Notre couple vacillait, Yann n’acceptait plus mes écarts, lui qui pourtant partageait ce goût de l’exhibition, du candaulisme et du sexe. Au final, n’ayant quasiment connu que lui, je me suis aperçue qu’il n’était pas si performant que cela, et c’est avec recul que j’écris ceci car j’en étais réellement amoureuse jusqu’à notre divorce où j’ai découvert que l’amour n’existe pas. Tout est étalé sur la place publique, tout est dévoilé, dans l’unique but de ne rien perdre et surtout pas financièrement. Je n’avais rien en arrivant, je repars avec rien, si ce n’est peut-être un peu de maturité et moins d’innocence. Comment tout cela est arrivé ?C’est durant l’été 2016 que tout a basculé. Je fus prise dans l’engrenage sexuel de l’exhibition, du cocufiage et du candaulisme. Cependant, ce qui devrait être un consentement mutuel est devenu en fait une frustration de l’Autre. Mes aventures avec notre voisin, avec des inconnus sur des aires de repos, en nature ou autre continuaient. En revanche, Yann a testé seul et le résultat n’a pas été concluant… Bref.Un dimanche de Juillet, je reçois un SMS de mon gaillard d’à-côté. « Tu fais quoi ? » sans rien de plus. Il sait. Il sait qu’il n’en faut pas plus pour me mettre en javel. Je laisse ce SMS de côté et vaque à mes occupations, Yann est aux champs, le soleil point, il fait bon. Je prépare une petite ratatouille, l’odeur dans la maison est agréable. Je dresse la table pour midi, une douche rapide, quelques vêtements et hop, je patiente en attendant le retour de mon homme. Midi dix, un nouveau SMS : « je ne rentre pas, apporte moi un sandwich, il me reste 30 hectares à faire, je veux avoir fini ce soir ».Ça m’horripile, mais c’est ainsi, être femme d’agriculteur est parfois un sacerdoce. Je range la table, je n’ai plus faim.Second SMS : « Alors ? » Je tremble, ce n’est plus mon mari… Je tourne de droite et de gauche, perdue. Ah oui, un sandwich. Je tartine deux morceaux de pain avec du pâté et des rillettes. Je saute dans le 4×4 et lui apporte non sans un mélange de tristesse et d’énervement ses sandwiches. Il comprend et s’excuse. Je redescends du tracteur et retourne à la maison. 3 SMS, je n’avais pas pris mon téléphone :« pas de réponse ? … »« occupée peut-être… »« je vais me balader, si ça te dis, tu me dis. » Je réponds bahis firmaları naturellement et rapidement.« ok où ? »Je n’ai jamais vu une réponse arriver aussi vite… « Domgermain ».Mais qu’est-ce qu’il y a là-bas ? Je ne connais pas. « Je passe te Prendre »Euh… Vous avez déjà vu un hamster dans sa roue… et bien ce doit être ce que j’ai dû faire pendant 10 minutes. Avec les tripes qui brûlent, le regard hagard. Soudain, un son dans la cour, c’est lui. Son gros 4×4 est là, j’ouvre la porte, souriante. Il est tout fier de lui, short, t-shirt, baskets, casquette. « Le Yannos n’est pas là ? »« Non »« Dommage, il nous aurait accompagné »« Je lui passerai le message » dis-je en rigolant.Je l’embrasse, il sent bon. Il passe sa main sur mes hanches, je frissonne. Je grimpe dans son véhicule. Il est haut et ma petite robe se soulève. Aucune remarque de sa part. En même temps, j’y suis habituée. Et nous partons. Scorpion passe à la radio, il écoute RFM. Nous dialoguons de choses et d’autres, sur notre semaine. Je suis bien, dans un cocon de sécurité et de gentillesse. J’envoie un SMS à Yann pour lui dire que je suis partie me promener. Il est content en me disant que je ne vais pas m’ennuyer comme à l’accoutumée. Mon chauffeur me signale qu’il y a un ancien fort Vauban à Domgermain qu’il souhaite me faire découvrir. C’est un lieu magistral, magique et mystique. Nous montons une longue côte et nous arrivons sur un plateau. Un petit parking près d’une antenne téléphonique où nous nous arrêtons, les bâtiments sont abandonnés, une barrière et de la grande herbe. Nous descendons et il me prend la main. L’herbe me chatouille les jambes et pas que, elle est très haute. Des petites bêtes sautent en tous sens et nous arrivons devant une entrée magistrale, où subsiste encore des rails en acier pour un petit train. Nous entrons, il fait plus frais. Il y a des tags, c’est très silencieux. Nous sommes seuls au monde. Il commence à m’expliquer l’histoire de ce fort et me fait visiter. Je ne vois pas le temps passer et je bois ses paroles. Nous revoici à l’extérieur, il fait à nouveau chaud. Nous montons une colline pour arriver à une vigie. La vue est magnifique sur les contreforts de la Meuse, Nancy au loin. Il se place derrière moi, des frissons me parcourent. Il passe ses mains sur mes fesses, je lui kaçak iddaa suis toute acquise. Il soulève ma robe, me l’ôte, je suis nue là-haut. Il m’observe, jette ma robe en contrebas. Nous descendons vers une coupelle en acier, il m’y assoit, l’acier est bouillant, je me relève immédiatement. Une ligne humide est dessinée sur l’acier. Oui, je mouille. Il me repousse en arrière, je m’allonge sur ce bunker. Il sort son sexe à demi bandé et commence à m’uriner dessus. « Je vais te refroidir… »Je ne sais que répondre, mais me sentir humiliée, offerte ainsi m’excite au plus haut point. Mes seins durcissent et pointent vers le ciel. Son urine est claire, transparente, salée. Il termine. Je me redresse, trempée de son jus, je suce ce sexe pour le nettoyer et joue avec ses bourses pleines. Il commence à bander. Il durcit doucement dans ma bouche. J’adore. Il s’assied dans l’herbe et je joue avec son chibre. Dressé vers le haut. Il joue avec mon minou, ouvert. J’ai envie de me soulager. Je me lève et m’assied sur son visage. Il me bouffe littéralement. Je pousse et commence à uriner. Il râle puis ouvre la bouche. Recrache. La perversité est à son maximum. Il continue à me nettoyer, nous sommes en 69, là, au milieu de ce fort, en haut, à la vue de tout le monde. Je jouis en hurlant. Lui tient. Je me lève et m’assied sur ce chibre magnifique et dressé. Je coulisse au plus profond, il me dilate. Il me prend par les hanches et me plante sur son outil. J’aime. Il me soulève, m’installe au-dessus de ce bunker, crache sur mon petit trou, insère deux doigts. Il joue avec mon petit bouton tout tendu. Puis je sens une main me fouiller la chatte, il me fiste, ça a rentré tout seul, c’est la première fois, je jouis et gicle, il récupère ce jus et s’en délecte. Nous ne sommes que tous les deux, lui n’a toujours pas joui. J’ai envie de l’avaler. Je le suce. Il me retourne, m’arrache le cul. Il me lime littéralement. Je jouis du cul ! Je n’ai jamais vécu ceci, et ça dure, j’ai mal aux abdos. Il commence à venir, il tartine mes entrailles. J’adore.Je suis trempée, de pisse, de sueur, de ma jouissance. Il est fier de lui. Me regarde de haut, il bande encore. Son sexe turgescent me nargue. Je l’absorbe. Il est toujours dur. Il se retire, va vers son short et en sort un joli plug en acier argenté avec un diamant kaçak bahis blanc. Je souris, j’ai compris. Je lui tends mon arrière train, je sens le courant d’air pénétré mon cul. Il y insère son jouet, ça rentre tout seul. Puis il me soulève et m’embroche sur sa bite. Oh c’est bon, je monte, je descends, je viens, je jouis. Il se tend, il jouit à nouveau. Mon cul et ma chatte sont remplis de sa semence. Nous nous allongeons, cette sensation d’être pluguée est très agréable… je parcours mon minou de mes doigts et récupère un peu d’épanchements séminaux que je lèche. Salope.Nous nous relevons, je marche pour récupérer ma robe, le plug appuie sur ma vessie, je m’agenouille pour uriner. Il accourt pour se mettre en dessous. Sa barbe est luisante. Nous sommes pervers. Je remets ma robe, elle colle littéralement à mon corps. Nous redescendons de notre piédestal, personne ne nous a surpris. La sensation du plug est très agréable. Nous remontons dans son Land Rover et reprenons la route. J’en profite pour continuer à jouer avec son sexe. Nous nous arrêtons à une station de carburant pour boire un café, lui a la barbe trempée, moi les cheveux collants et la robe bizarre mais nous ne subissons pas de regards particuliers. Je sens cependant une légère coulée à l’intérieur de ma cuisse. Je file aux toilettes et m’essuie rapidement devant la glace. Une femme sort des toilettes surprise, je lui souris, elle continue son chemin.Nous finissons notre café, il est 18h30, nous rentrons. Arrivés à la maison, Yann est rentré, il nous accueille. Il propose l’apéro. Quelle joie !Il remarque notre affublement bizarre. « Vous, vous avez baisé ! »« Oui, lui dis-je, et si tu avais été là, tu aurais participé »Et là, je sors le plug de mon fondement, lui tend et un bruit de gargouillis et de bulles se fait entendre. Du sperme tombe au sol, je viens d’ôter le bouchon. Lèche ! Lui dis-je. Il s’exécute. Mon accompagnateur est bouche bée. Yann me redonne le plug que je remets dans mon cul. Ça rentre tout seul. Ploup. Nous entamons l’apéro et je raconte tout à Yann, depuis le début. Il ne vacille pas, notre hôte lui n’est pas à l’aise, néanmoins, je note qu’il bande. Yann aussi. « Bon, je vais prendre une douche » et je les laisse en plan là, tous les deux. Je m’éloigne, je fais couler l’eau, ôte ma robe. Je rentre sous la douche. J’entends que le ton monte, je coupe l’eau. M’essuie rapidement. Sors de la salle de bain nue, Yann est seul, le grand barbu démarre son véhicule. J’ai droit à la gueule, il n’y aura aucun mot ce soir.

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