Monsieur P. (la suite)

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Monsieur P. (la suite)Monsieur P. (La suite)Il m’avait demandé de le laisser se déshabiller seul. Je lui avais respecté et suis sortie vérifier que tout allait bien du côté de ma fille. Elle dormait comme un ange. A ce moment, je me suis dite qu’il valait mieux d’emmener le couffin dans la chambre, au cas où elle se réveillerait. En rentrant de nouveau dans la chambre, je le vus, assis sur le lit, complètement nu. Malgré son imposante carcasse, il n’osait à peine me regarder, gêné par son mal-être corporel. Sans rien dire, j’avais déposé le berceau près du radiateur et j’avais vu tous ses habits soigneusement pliés sur une de deux chaises. Je m’étais approchée de lui :Comment vous sentez-vous, Gilles ?A vrai dire… Nerveux, comme un adolescent…N’ailliez pas crainte ; tout va très bien se passer.J’avais proféré ces mots tout en lui caressant la tète, glissant ma main sur son visage, passant mes doigts sur ses lèvres, à peine visibles sous la touffe de poils de sa moustache et de sa barbe hirsute. Il entrouvrit sa bouche et j’y laissai entrer mon index, qu’il se mit ‘a siroter, ses mains posées, immobiles, sur ses cuisses. Il était très velu. Dès ma position, je pouvais voir ses épaules, le haut de son dos, sa poitrine, son ventre, le tout recouvert d’une fine couche de gazon grisonnant. Un vrai primate, un gorille au dos argenté :Combien mesurez-vous ?Presque deux mètres, me dit-il, plus honteux que fier.Et votre poids ?Sandra… Euh, Madame… Ne vous moquiez pas de moi, je vous en prie.Vous pouvez m’appeler Sandra… Et je suis très loin de me moquer de vous, je vous assure.Cent trente kilos… Mais, je n’ai pas toujours été aussi gros.Une image extrêmement morbide s’était mise à trottiner dans ma tête. Je me suis vue, les jambes écartées, écrasée par cet homme. Du coup, je me suis rendu compte que je n’avais, même pas, son pénis. Je m’étais accroupie, lentement, en caressant de la pomme de mes mains tout son torse et son gros ventre. Je posai mes mains sur les siennes, drôlement petites par rapport à son envergure :Vous ne bandez pas, Gilles… Je ne vous plais pas ?Son sexe était minuscule. Complètement camouflé dans la masse de poils pubiens, un petit bout de peau mate reposait sur ses testicules. Je ne lui avait pas touché. Je m’étais incorporée et séparée quelques centimètres de lui.Vous me rendez dingue, Sandra… Seulement… Seulement… ça fait tellement de temps.J’enlevai mon chemisier et ôtai ma culotte. Quand j’allais la laisser par terre, Monsieur P. me demanda s’il pouvait la sentir. bahis firmaları Je la lui donnai. Il l’attrapa et la porta à son nez :Dieux du ciel ! Que ça sent bon !Arrêtez… elle est très sale…C’est le parfum d’Aphrodite, que je sens là !Une Aphrodite un peu maigrichonne, vous ne trouvez pas ?Au contraire ; vous êtes parfaite.Je me rapprochai, de nouveau, de lui et en prenant un de mes seins dans mes mains, je lui approchai de sa bouche :Tétez-moi, Gilles… J’en ai très envie… Mais ne les mordais pas, ils sont très sensibles et assez douloureux.Pendant quelques minutes mes mamelons furent sucés, léchés, lapés, traits comme les pies d’une vache, tandis que Gilles émettait de roucoulements de plaisir et que des filets de lait se faufilaient entre les poils de sa barbe. Pour ma part, je ressentais une excitation croissante ; ma chatte ruisselait de cyprine et tout mon corps chauffait à bloc :Mon lait vous plaît, on dirait…Mmm ! Je n’ai jamais eu d’extase pareil, SandraMerci… Mais, maintenant, la tétée est terminée… Il faut qu’il en reste pour ma petite, quand elle se réveillera. Là, je vais m’allonger et, si vous le voulez bien, vous pourrez vous occuper de mes pieds… et de tout le reste.Avec grand plaisir, Madame…Euh, SandraJe m’étais allongée sur le lit. Je lui donnai le flacon de lait hydratant, lui demandant de me badigeonner, tout le corps et en lui disant qu’il pouvait, avant, faire ce qu’il voulait avec mes pieds. Il resta assis au pied du lit, prit un de mes petons, le caressa et le porta à sa bouche. Il me lécha les plantes, ce qui me chatouillait. Ensuite, il me suça les gros orteils, comme si c’était de bonbons… Tous y passèrent ! C’était la première fois pour moi, d un tel traitement. Je fermais les yeux et laissais mes mains s’occuper de caresser et mes seins et mon minou.Que c’est bon de vous voir faire ça, Sandra !J’ouvris les yeux. Il était à genoux sur le lit, à coté de mes jambes. Les verres de ses grosses lunettes étaient couverts d’une fine couche de buée :Gilles, venez me caresser la foufounette avec votre belle barbe !J’écartai les jambes et lui ouvris la chatte :Et donnez-moi vos lunettes… Vous n’en avez pas besoin pour ça !Le soir même, quand je lui avais raconté à mon Didi, comme il le voulait, avec les moindres détails, il s’était exclamé : qu’est-ce que tu perds ton temps à être prof !Mais, revenons à l histoire :Vous savez, Madame, sans lunettes je ne vois rien…Mais, vos autres sens vous fonctionnent correctement, n est ce pas ?Je le regardais faire. kaçak iddaa Le pauvre, il avait un mal fou à se retourner et se positionner convenablement pour me bouffer le minou :Attendez. Je vais venir au bord du lit. Descendez et mettez vous à genoux entre mes cuisses. Tenez ! Mettez cet oreiller sous vos genoux. Et arrêtez de me regarder comme ça !Pardon, Madame… Je vous regarde… Euh… comment ?Comme un mouton qu’on emmène à l’abattoir. C’est… J’ai peur de ne pas savoir faire … A ma femme… Je n’ai jamais fait ça, je veux dire…Dieu bénit, j’étais en train de me comporter comme une salope avec un gros puceau de 50 piges et 130 kilos !Gilles… Soyez tranquille ; je vous guiderai !A mon tour, je plaçai un coussin sous mon bassin et lui offris ma vulve, fort poilue à l’époque, en écartant les grosses lèvres. Il ne tarda à me lécher la fente :Mmm ! Bien, mon nounours ! Que vous dit-il, votre sens du goût ?C’est très chaud… un peu salé… Quel bon nectar !Votre langue est une merveille, Gilles ! Oui, oui, ooohhh ! Et votre odorat ? Vous sentez très bon ! Vous sentez le sexe ! Très fort ! J’ai la tête qui tourne !Caressez-moi avec votre barbe, s’il vous plait ! Enfoncez-moi-la dans mon vagin !J’étais en train d’atteindre le seuil de non retour. Des ondes de plaisir électrisaient mon corps. Je me suis incorporée pour guetter ses manœuvres. Il m’enfonçait l’extrémité de sa longue barbe timidement, avec le bout de ses doigts charnus :Encore, Gilles… Mmm ! Je la veux toute en moi !Voulais-je vraiment sa barbouze dans ma chatte ou souhaitais-je sentir sa main dans moi, comme celle du bon docteur qui m’avais appris à jouir de cette pratique ? Les deux, sûrement !Je crains de vous faire mal …Mettez-moi toute votre main, nounours ! Et il le fit. Mettant ses cinq doigts comme un bec de canard, les poils de sa barbe entre leurs bouts, il enfila sa main toute entière, dilatant mon vagin à l’extrême. Je m’étais propulsée en avant, ouvrant grand les yeux et la bouche et émettant un cri, grave, guttural, caverneux…Giiiilles… Hóóó ! Encore, encore… Encoooore !Monsieur P., à cause de ma demande farfelue, était resté avec sa joue scotchée à mon pubis. Mais, je m’enfichais de sa position inconfortable. J’étais en train de devenir folle de luxure. Je saisis mes seins entre mes mains, les collant l’un à l’autre , à faire que les deux tétons s’unissent en une seule et multiple giclé de lait.Bougez votre main ! Ouvrez-la ! Frottez votre barbe partouuuut !Mes mamelles ne cessaient de projeter des paraboles kaçak bahis liquides qui s’écrasaient un peu partout : sur mon bas-ventre, sur le visage figé de Monsieur P., sur la foret de mon mont de venus… Et quand je sentis le bout de ses doigts toucher le col de l’utérus, je crus que j’allais m’ évanouir :Je … Aaaaaaahhhggg ! Je meurssss !Monsieur P. prit peur et retira sa main, et sa barbe, de mon vagin. Simultanément, mes cuisses se mirent à trembler et, sans que je puisse faire quoi que ce soit pour l’ arrêter, un jet puissant, comme l’était mon orgasme, jaillit de mon méat urinaire :Oh ! Sandra ! Oh ! Que vous arrive-t-il ? Vous…Oh ! Vous êtes en train de pisser…Trop lourd pour se lever et s’écarter à temps, il resta en position de prière à accueillir sur tout son corps la pluie dorée que si généreusement lui offrait ma vessie. Je suis terriblement désolée, Gilles… Ce n’était pas du tout mon intention de vous humilier comme ça…Moi, humilié ? Vous…Sandra, je me sens l’homme le plus heureux de la terre ! Avec du mal, il réussit à se mettre débout. Une vraie loque ; souillé par ma pisse, les poils de sa barbe feutrés et collants… Mais, il bandait !Votre petit oiseau s’est enfin réveillé, mon nounours ?Il porta ses mains à la hauteur de son pénis en un geste de honte, comme si le fait d’avoir une érection était pour lui un acte blâmable. Soudain, ma fille se mit à pleurer. Je me rappelle à quel point ça m’avait fait rire : elle n’avait bronché pendant que sa maman gueulait comme une jument en train de se faire monter par l’étalon du conté, et, là, que le calme était revenu, elle se mettait à pleurer ! La pauvre petite… C’est à nouveau la tétée ?, demanda Monsieur PNon… Elle a perdu sa sucette… Ça y est, mon bébé, chantonnai-je en lui remettant dans sa petite bouche. Venez ! Où, Sandra ?Je vous laisse cinq minutes dans la salle de bain… Vous prenez une petite douche et …Oh… Vous allez me laisser…Ha, ha, ha ! Partir ? Bien sur que non, mon nounours ! Ça vous embête que je vous appelle ainsi ?Au contraire… Vous savez… Je n’ai pas du tout l’habitude de qu’on me traite autrement que de gros lard, ajouta-t-il, le semblant vraiment piteux.Allez… Je veux m’occuper de vous, comme il se doit… Mais je veux que vous soyez tout propre !Oh, mon Dieu ! Je vais me pincer pour confirmer que je ne suis pas en train de rêver !Je me suis approchée de lui, si près pour pouvoir sentir la puanteur que dégageait son corps. Je saisis ses boules, les pressant doucement :Est-ce que je vous parais un rêve ?Ahhh… quel douceur, quel plaisir sentir votre mainJe sais que là dedans vous avez quelque chose que j’adore, mon nounours… Venez !A suivre, dans la troisième et dernière partie… Si vous le voulez bien !

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