Chaudes vacances

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Chaudes vacancesIl fait beau et chaud sur la plage de Tarare. La mer caraïbe est bleue, l’endroit est idyllique. Il est généralement fréquenté par des nudistes et c’est le cœur battant que Josette et moi nous nous sommes engagés sur le petit chemin, qui au travers la végétation dense, mène à la petite crique à l’abri des regards indiscrets. Qu’allons-nous y découvrir ? Nous avons profité de cette journée de semaine pour venir ici sans nos enfants. Nous avons envie de nous mettre nus et de voir l’effet que cela va nous faire de se montrer à d’autres. Manque de chance pour l’excitation, l’endroit est désert, mais il peut encore arriver d’autres baigneurs.Fébriles d’excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus. Jo est belle de ses trente cinq ans. Allongés l’un à côté de l’autre, nous ne tardons pas à nous embrasser. Cet endroit, même désert, nous échauffe et agit sur notre libido. Je bande et ma petite femme m’ouvre ses cuisses. L’invite est sans équivoque.— Viens, prends-moi, fais-le moi !— T’es folle, et si on vient ?— Il n’y a personne, bine-moi mon chéri, j’ai trop envie !— Coquine ! L’endroit t’excite ?— Oui, il doit y avoir plein de gens qui avant nous l’ont fait ici.C’est trop tentant. Allongé sur ma petite femme, je la baise lentement. Jo, sous moi, ferme les yeux. Moi aussi cela m’excite de faire çà ici. Tout en limant, je regarde autour de nous. Merde, là à quelques dizaines de mètres, à demi-caché dans les rochers, un homme, un pêcheur antillais nous observe. Il a vu que je l’ai aperçu et ne bouge pas. Le cochon se rince l’œil. Voyant que je ne réagis pas à sa présence, il en profite.Sous moi, Jo geint doucement à mes poussées. Mon gland frappe le fond de sa grotte d’amour. Elle bouge sous moi, remue son petit cul et l’autre se régale. La situation m’excite. Le cochon doit bander, sans doute se branle-t-il.— Ma puce !— Quoi ?— Un type, un indien est là bas dans les rochers et nous regarde.— Il nous voit ?— Oui !— On fait quoi ?— Rien ma puce, il mate et alors. Cela m’excite, pas toi, s’il nous regarde baiser ?— Cochon…— Ça ne t’excite pas ?— Euh… !— Petite cochonne avoue, ça t’excite toi aussi ?— Oui… mais tu crois qu’il me voit toute nue sous toi ?— Oui, ma chérie, tu es belle ma petite femme, il en profite. Je crois qu’il se branle.— T’es sûr ? Il se caresse en me regardant.— Oui. Tu l’excites, il se branle en s’imaginant dans ta petite chatte.Sous moi ma petite femme s’anime de plus en plus. Puis elle parle, je vois l’excitation intense dans ses yeux.— Dis, il doit avoir une grosse queue noire.— Oui ma chérie, il bande et s’imagine dans toi en se caressant la bite. Il te baise en rêve le cochon.— Il s’imagine qu’il me baise ! Tu crois ?— Oui, oui ma puce. Il bande pour toi, hatay escort il a envie de te baiser, de te mettre sa grosse queue dans ta petite chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre dans toi… Tu aimes qu’il te regarde, qu’il voie ton petit cul, ta chatte !— Ohhh… Ouiiiiii… Oh ouiiiii ! Sa bite, sa grosse bite noire, dans ma chaaatte !— Tu as envie de sa queue, qu’il te la mettre et te baise devant moi ? J’ai envie moi !— T’es fou !— Non, ma puce, il te ferait jouir. Tu n’as pas envie d’une grosse queue ?— Je ne sais pas. Et toi, tu veux ? Tu ne vas pas être jaloux, s’il vient me le faire ?— Oui, un peu mais c’est tellement excitant. Tu de souviens avec Jean-Pierre quand nous étions gamins.— Oui, il voulait me baiser devant toi. Il en avait une bien plus grosse, mais il savait pas comment me la mettre. Il n’a pas pu trouver l’entrer et a joui sur mon ventre.— Lui, il va pouvoir ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu’un autre baise avec nous.— Ouiii… je sais, je dis ça. Dis, il nous regarde encore ? Je ne le vois pas.— Il est toujours là. Je crois qu’il a compris qu’on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce ?— T’es fou !— C’est l’occasion ma puce, on se connaît pas, après on le reverra plus. J’ai envie de te voir avec un autre.— Oui, oui, vas-y, après tout tu as raison, personne ne nous connaît ici. Rien qu’une fois, pour voir comment c’est. Je veux bien mon amour puisque tu en as envie.— Toi aussi ?— Quoi ?— Tu as envie, qu’il te baisse ?— Oui… mais tu ne seras pas jaloux après ?— Non, promis ma chérie… promis, ça va être si bon de le voir sur toi. De te voir jouir sous lui.— Bon, dis-lui !…De la tête, tout en besognant ma petite femme, je fais signe au pêcheur. Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation sort de derrière ses rochers. C’est un homme de moyenne corpulence, assez petit, un indien. Jo l’a vu. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.— Chéri c’est fou ! J’ai peur !— Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention.L’homme est vite tout près et nous regarde d’un air interrogatif. Je lui souris, tourné vers lui, Jo aussi, mais timidement. Je suis encore sur elle, mais mon membre n’est plus dans sa petite chatte.— Bonjour.Nous lui avons répondu. Il y a un silence, un moment de gêne. Si nous ne disons rien, il va repartir. Alors je me lance.— Elle te plaît ?— Oui !— Tu nous regardais coquer ?— Euh… Oui ! J’ai vu que tu voulais bien, tu ne m’as pas fait signe de partir.— Elle est belle hein, elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans ?Je vois la bosse de son sexe encore bandé sous la toile de son short. Jo aussi le voit et a les yeux fixés dessus. Cela encourage notre nouvel ami.— Oui ! oh oui, elle est belle. C’est ta femme ?— Oui. Elle a envie de… enfin tu comprends… avec escort hatay toi.— Coquer avec moi ?— Oui ! Tu veux ?— Oui, elle est belle ! Je ne l’ai jamais fait avec une blanche !— Viens ! mets-toi sur elle, prends-la, elle en a envie de ta grosse queue !Je me suis relevé lui laissant la place. Jo consentante a gardé les cuisses ouvertes, lui expose sa chatte avec impudence.— Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Josette et toi mon chéri ?— Moi c’est Gédéon, t’es si blanche, t’es belle, tu as une belle coucoune, rose dedans !— Ton cocoro est gros, mets-le moi doucement, viens !Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre, un Indien à la peau noire. Elle a les yeux mi-clos et je devine qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses. Il baisse son short. Il ne porte rien dessous. Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi, car il a bien cinquante ans notre gaillard. Ma petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie. J’espère qu’elle va bien jouir. Car avec moi, c’est rare.— Oh ! Elle est belle, bien grosse, mets-la doucement, mon chéri, ma petite chatte est pas habituée à une si belle queue.Jo me regarde alors que l’homme se couche sur elle. D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qui se guide. Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce. Pour l’aider, Jo ouvre largement ses jambes. Elle m’a tendu sa main et je la lui prends dans la mienne.Jo me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente aux lèvres charnue et gonflée par le désir. Il se place devant l’entrée de son petit conin d’amour, sa petite chatte qui n’a connu que mon pénis depuis notre mariage. Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, sa menotte serre fort la mienne. D’une brève poussée l’homme vient de la pénétrer. D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes. Puis le mâle pousse encore ses fesses en avant et la tige noueuse s’enfonce. Jo pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore. D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge. Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer aux dimensions imposantes de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins. Sous lui, ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros membre qui la prend, s’anime. Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche. Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle. Elle va à sa rencontre, décolle ses fesses du sable pour se l’enfoncer en plus.Ils baisent. Sont l’un à l’autre, moi je ne compte plus. Moi, je regarde et je bande. Je bande comme jamais cela hatay escort bayan ne m’est arrivé. Les grosses fesses noires, ceintes des cuisses blanches de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Jo geint à chacune des poussées de l’homme. Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant.La tête nichée dans le creux de l’épaule de l’Indien, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.Nous sommes seuls sur la plage, tous les trois. À part le bruit des vagues frappant le récif, je m’entends que le bruit des deux corps qui se frottent, leurs ventres qui se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la besogne maintenant depuis plus de dix minutes.Je vois le gros sexe brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de ma petite épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin. Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts de plus en plus rapprochés. L’homme accélère ses pénétrations. Ils vont jouir.Un long cri de femme comblée, le corps de Jo s’arque, soulève son amant pour l’avoir encore plus profond dans son minou. Aux crispations des fesses de l’homme, accompagnées de son râle de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s’épanchent, abondantes, dans le ventre de ma femme. Sans me toucher, j’ai joui dans le sable chaud tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme…C’était il y a longtemps…Ils sont restés enlacés. Lui dans elle, elle le gardant entre ses cuisses rondes. Puis je les ai vus se regarder et ma petite femme a ouvert la bouche et l’a collée à celle de l’homme. Leur baiser a été long, si long. J’en ai encore mal mais j’en bande encore en écrivant ce nous avons fait ce jour-là. Jamais nous n’avons osé recommencer.Puis l’homme repu de ma petite femme, après l’avoir prise une seconde fois devant moi et un dernier baiser d’amour, s’est relevé et est parti sans se retourner.Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et enlacés, en silence car ne sachant quoi nous dire, avons regagné notre voiture. Chez nous, dans notre lit, avant le retour des enfants, nous avons fait l’amour. Ma petite femme était déchaînée et j’en ai profité pour la visiter par la petite porte. Celle que rarement elle m’a permis de forcer. Sans doute a-t-elle alors pensé qu’elle avait des choses à se faire pardonner.Après, après seulement, nous avons parlé de ce qui s’était passé sur la plage déserte. J’ai dit à ma petite femme que pour moi cela avait été un acte d’amour. L’homme, m’a-t-elle dit, l’avait fait jouir si fort.Longtemps après, par la suite, il a été avec nous quand nous faisions l’amour. Quand Jo pâmée sous moi arquait son petit corps, parfois j’ai cru l’entendre prononcer « Oh, Gédéon, ouiiii… ouii… encore mon chéri ! »

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