G azon de la voisine

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Anal

G azon de la voisineL’été on observe un certain turn-over. Les annonces de messagerie professionnelle témoignent qu’un tel sera absent sur une certaine période. Que notre dermato idem fera défaut. Que tel axe routier sera fermé pour cause de réfection annuelle. Enfin que l’amant ou la maîtresse sont partis sur la côte avec conjoint et bambins. Ma voisine devait peut-être à ce dernier point son visage maussade qu’elle affichait partout ces derniers jours. Je mis cela sur le compte que son mari s’était absenté un temps pour aller visiter une maman malade, Ma femme m’avait lâché une semaine. Or cela me contentait.Pablo, son mari était un copain. Je lui représentais qu’il lui reviendrait bientôt et que c’était normal qu’il se comportât en bon fils. De toute façon elle ne s’entendait pas avec la belle-mère. Bref il fallait prendre en bonne part de tels événements. J’étais bien nigaud car un autre pote et voisin m’amena à l’autre vérité que cette garce en fait ne se consolait pas que son amant se fut aussi absenté à la même période. Je précise que ledit amant était aussi de nos voisins. Tout cette histoire se déroulant en un étroit périmètre. On se cocufie et s’entremêle ici à tour de bras.Bref la fois prochaine plus sardonique, j’expliquais à la garce que son jardin mériterait outre un coup de tondeuse d’être aussi arrosé. A ma grande surprise, elle ne prit pas mal cette insolence. La sotte ne concevait pas qu’un discours put avoir son second voire troisième degré. Elle me prit au mot. Elle crut que je proposais spontanément mes services pour suppléer au mari. J’étais pris à mon piège. J’étais défait, agacé. Pouvais-je raisonnablement démentir ? Le lendemain elle me fit signe de la rejoindre afin que je partage avec elle l’apéro. Elle croyait ainsi me remercier de mon geste.Maussade je vins la rejoindre une heure après. Je remarquais d’emblée qu’elle s’était pour moi attifée voire maquillée. Une petite lumière rouge sitôt s’alluma en mon cerveau. Avait-elle des vues sur moi ? En tout cas elle m’avait toujours attiré. N’en déplaise pas à l’idiot de Pablo mais il avait une jolie femme et cela méritait d’être cocu. Cependant je ne me faisais nulle illusion sur mon charme, mon sex-appeal. Elle avait jeté son dévolu sur d’autres et plus beaux mâles. Elle ne m’avait jamais concédé quelque regard aimable. Je n’existais pas pour elle. Invisible sur son écran radar.Peut-être me faisais-je quelqu’illusion mais cette hypothèse méritait d’être creusée. Peut-être le hasard pourrait-il en canlı bahis cette période me servir. Il y avait peu de mâles disponibles dans le quartier. Peut-être madame avait-elle des envies. Peut-être daignerait-elle recourir à mes modestes services outre de lui tondre le gazon. J’en voulus avoir le cœur net au cours de l’apéro. Nous parlâmes de la maladie de la belle-mère. Cela s’arrangeait. Cependant le mari serait encore là-bas quelque temps. Je lui répondis que l’herbe serait trop haute d’ici son retour. Que je dépannerais volontiers.Elle sembla ne pas entendre perdue dans sa rêverie. Elle tirait sur sa cigarette. Les volutes de fumée se perdaient dans le ciel. Elle avait croisé haut les cuisses. Je lui savais gré d’avoir adopté pour moi une de ses mini-jupes minimales qu’on lui goûtait dans le quartier. Elle portait des bas couleur- chair dont je distinguais à la naissance, la chair blanche de la cuisse. Ce simple détail me faisait bander. Je pense qu’elle n’espérait pas d’autres réactions. Elle était le genre de garce qui aime à inspirer cela en n’importe quel mâle. N’attendant point d’autres hommages à sa sensualité.J’avais quelque mal à soutenir la conversation et à écarter mon regard de ses cuisses. Elle assortit cela bientôt d’un jeu de balancier de l’escarpin au bout du pied. Je savais peu résister à ce genre de ballet auquel une femme peut s’adonner des fois distraitement. Là je pense qu’elle le fit sciemment. En son petit haut, une ouverture échancrée offrait ses seins. Toute cette chair semblait appeler secours et réclamait qu’un mâle vint secouer cela ou le retourner comme fait le soc d’une charrue dans la terre d’un champ. Outre de tondre je me voyais bien dans ce rôle de cette charrue.Nos regards se croisèrent à ce moment-là. Implicitement et à partir de là fut-il convenu que je m’occuperais du jardin et serait rémunéré en conséquence par madame. Tandis qu’elle me raccompagnait, j’observais qu’elle roulait davantage du cul juché sur ses mignons escarpins. Je ne pouvais que croire que c’était gagné pour moi. Je lui dis : « Tu sais, tu devrais prendre des vacances. Je te trouve si fatiguée. Il faut qu’on s’occupe de toi. » Elle sourit et répondit : « En attendant tu es là et tu vas t’occuper de moi. » On ne pouvait mieux dire. N’est-ce pas ?Je décidais de m’investir dès le lendemain. Pour couper court à toute polémique j’en informais au téléphone ma femme. Je dis que Pablo m’avait demandé d’aider sa femme à tondre la pelouse. Il était déprimé par la santé bahis siteleri de sa mère et je n’avais cru devoir refuser. Ma femme répondit que j’avais bien fait et que cela me ferait au moins transpirer et perdre de ma bedaine. Avec la bénédiction de ma dame je ne pouvais plus surseoir. Je tins cependant à commencer aux aurores quand le soleil n’est pas encore chaud. L’autre garce crut devoir m’assister de loin allongée sur son transat.Le premier jour elle arbora une robe courte et légère sans des bas cette fois. Elle écartait des fois à propos ses cuisses tandis qu’elle parcourait un magazine. Sa culotte de loin paraissait mauve. A un moment elle m’invitât à goûter à l’orangeade fraîche qu’elle avait concocté. Accroupi peu loin d’elle je savourais l’exquise boisson. Elle écarta de nouveau les cuisses. J’eus comme un frémissement. Sa culotte était transparente. On y décelait une chatte lisse bien rasée émaillée cependant de quelques rares poils pubiens. Cette chatte m’était promise et dévolue. J’eus la queue endurcie.Ramassant plus tard l’herbe elle vint jusqu’à moi. Ses cuisses étaient au niveau juste des yeux. Il ne tenait qu’à moi d’y porter la main. Je percevais la fraîcheur et senteur de sa chair. Elle se baissa pour arracher quelque fleur. Je vis son cul à moins d’un mètre. Le fil ténu du string m’offrait tout ce spectacle. Je songeais qu’outre le pauvre Pablo certains avaient œuvré dedans. J’escomptais appartenir bientôt à la cohorte des élus. Vers treize heures je vins lui signifier la fin de ma journée. Elle vernissait ses ongles de pied. Par jeu je lui proposais de lui faire cela. Elle rit et accepta.Elle m’abandonnât son pied chaud et mignon, partie intime chérie d’elle-même. Un moment il y eût un moment suspendu où le regard de l’un se lova dans celui de l’autre. Elle poussa mutinement son pied devenu sauvage contre mon genou. Je répondis faisant glissant la caresse de ma main jusqu’à sa cuisse tout dirigé vers sa culotte. Elle ferma les yeux. Je lui dis : »Tu aimes ? » Elle répondit : « Çà fait du bien. » Elle ajouta : « Déjeune ici. On partagera la salade de riz et un bon rosé. » Pouvais-je refuser ? Je me souviens. Elle était dans la cuisine à parfaire sa salade.»La radio émettait une musique idiote. J’étais en train de lui expliquer que dans deux jours tout serait fini quant au jardin. Elle me répondit : « Ah bon déjà ? » Je vins me coller tout contre elle et l’enlaçais. Elle sembla n’en marquer nulle surprise. Se laissa faire. Elle se retourna et m’embrassa bahis şirketleri simplement. Elle avait une langue habile. Celle-ci tourna autour de la mienne. Elle rit ponctuant cela de ces quelques mots. « Tu es un coquin. Tu ne perds pas de temps. » Le déjeuner fut hâtif et bâclé. Je n’avais de cesse de la caresser et de lui vouloir prendre la main. Elle minaudait.Elle mesurait ses effets, m’intimait à plus de patience. N’y tenant plus je la plaquais contre un mur et lui glissais la main dans la culotte. Elle avait la garce la chatte humide. Elle gémit. Peu après accroupie elle avait commencé à me branler puis me sucer. A ce moment le téléphone sonna. Elle s’écria : « Merde c’est mon mari. Seul cet imbécile passait par le fixe.» Nous étions interrompus comme à dessein par le maître et seigneur de la maison. Je la vis jouer devant moi la comédie de l’épouse esseulée. Elle n’en conservait pas moins ses cuisses ouvertes pour m’animer.Nous finîmes au pieu. J’eus voulu faire les cochonneries dans l’une des chambres d’amis. Elle tint à ce que nous baisâmes dans leur lit au prétexte que celui-ci était plus confortable et la pièce plus fraîche. Je crois plutôt que cette garce en était davantage excitée car perverse. Cela me faisait drôle de me rouler dans des draps où dormait mon pauvre ami Pablo. C’était une chaude, une vraie salope au pieu. Je songeais que si je n’avais proposé mes services elle eut de toute façon recouru à un autre. Bref il lui fallait son comptant de coups de bite. Je parvins à l’enculer facilement. Elle aimait çà.Outre que le jardin fut rapidement tondu et rafraîchi, je fus convoqué même les nuits. Je dus à propos transférer ma ligne directe sur mon portable. Certains dont ma femme eurent été intrigués que je réponde pas là-bas à certaines heures. Je n’étais point habitué à pareilles cadences pour la baise. A un moment d’insoutenable frénésie je fus tenté de lui demander si elle n’avait pas d’autre amant pour prendre le relais. Elle m’aurait peut-être répondu que tous ces abrutis s’étaient donnés le mot pour être à cette période avec bobonne. Bref elle ne pouvait compter que sur moi.Je ne pus m’en plaindre. Certains soirs il lui prenait fantaisie que nous allions en forêt baiser. Il y avait autour tout plein de couples. Une fois je fus contraint à me taper une grosse blonde tandis que le bonhomme de celle-ci se tapait ma garce. L’échangisme était son truc. Ses amants ne revinrent de suite. Aussi le retour et de Pablo et de ma femme ne me désengageât pas. Nous faisions cela en extérieur et dans la bagnole. Plus tard elle eût l’élégance de me compter au nombre de ses amants. J’ai la faiblesse de croire qu’elle ne me trouvait pas si nul au pieu. Mon été en tout cas fut réussi.

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