Jeannine (suite)

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Jeannine (suite)Nous profitons tous les deux de ce délicieux baiser, elle embrasse avec du douceur et une sensualité inouïe. Nos langues se caressent, s’enroulent, dansent dans nos bouches. Mes mains caressent son dos perlé de minuscules gouttes de sueur. Elles parcourent ses reins, ses flancs, ses hanches et ses fesses, remontent vers ses genoux repliés de part et d’autre de mon torse, en passant par la peau douce de ses cuisses. Je la laisse quelques minutes profiter d’un peu de répit, en laissant, ma queue inerte mais tendue au maximum dans son vagin crispé par la succession des orgasmes, se détendre. Mes mains la parcourent inlassablement, avant de s’immobiliser sur ses fesses rondes et tendues. Je glisse mes doigts jusqu’à la base de ma verge, et att**** délicatement ses grandes lèvres presque thermoformées autour de ma queue brulante. Et j’entreprends de délicats et lents va et vient. Mes mouvements commencent par prendre de l’amplitude, puis de la vitesse. Jeannine, secouée par le rythme de la pénétration, abandonne ma bouche et vient caler son visage au creux de mon épaule en se laissant aller à des délicieux gémissements. Mon bassin vient percuter ses fesses et l’arrière de ses cuisses par dessous, dans des claquements proche d’applaudissements. Mon membre lubrifié en permanence par le plaisir de Madame, provoque des « floc floc floc » délicieusement excitants. La vitesse soutenue et le rythme que j‘imprime, transforment les miaulements en véritables rugissements de plaisir. Les mains de Jeannine ont glissé sous mes épaules et ses ongles sont plantés dans ma peau comme s’il s’agissait des griffes d’un chat, d’un tigre, d’une véritable tigresse qu’elle est. C’est quand elle a brutalement relevé la tête qu’elle a recommencer à jouir, en s’écriant :« Putain que c’est bon, vous allez me rendre folle »Sans répondre, en la maintenant plantée sur ma queue, je la bascule sur le dos et la tire vers le bord du lit. Me voilà debout, la bite toujours fichée au plus profond de son sexe, elle, sur le dos, les jambes en l’air, ses pieds sur mes épaules. Je contemple son corps, ses gros seins agités par les secousses du coït, ballottent merveilleusement. Ses yeux clos, sa bouche entrouverte d’où sortent des paroles incompréhensibles, son ventre plat, son sexe recouvert d’un petit duvet de poils courts, ses lèvres rouge sang et gonflées par le plaisir de cette longue cavalcade, et mon sexe gluant entrant et sortant de son vagin brulant, m’offre un tableau des plus excitant. J’att**** ses seins, les malaxe sans retenue, pince ses tétons bandés, les fais rouler entre mes doigts puis les tire comme pour lui arracher. La douleur et le plaisir associés ont eu raison d’elle, attrapant un oreiller à portée de sa main, elle vient s’en recouvrir le visage pour étouffer le hurlement de ce nouvel orgasme fulgurant et intervenant seulement, deux ou trois minutes après le précédent. Ces cris partiellement étouffés ne me font pas m’arrêter. Son corps se tord, tremble, je plaque ses cuisses contre moi pour la maintenir tout en mettant de grand coup de reins puissant. Je la pilonne violement, puis me retire brusquement. Ce calme soudain fait réapparaitre Jeannine, elle semble surprise et le vide occasionné par l’absence du corps étranger et chaud qui la pénètre depuis plus d’une heure maintenant, lui manque presque, et lui fait dire :« Vous en avez assez de me voir jouir ? »« Pas du tout, j’espère bien vous voir et vous entendre encore. Je voudrai jusque charger de position. Mettez vous à genoux, je vais vous prendre en levrette. »« Avec plaisir » ajouta t’elle en se positionnant les genoux sur le bord du lit.Je profitais pour admirer cette paire de fesses superbes. Ces fesses qui m’avaient faite bander alors qu’elles étaient encore serrées dans le pantalon de cuir, la veille au bureau. Les fesses d’une femme mature, mais quelle femme. C’était la première fois, et j’avais déjà beaucoup d’expérience, que je voyais une femme capable de jouir à répétition. J’avais connu des femmes capables de jouir plusieurs fois au cours d’une soirée, mais à cette fréquence, jamais. J’admirais ces deux globes blancs, cette vallée les séparant jusqu’à la vulve béante et pleurant de plaisir, et cet œil brun qui me regardait d’un air presque inquiet.Je l’obligeais délicatement à écarter se genoux, à reculer ses fesses pour les tendre au maximum et à pratiquement poser son sexe baveux sur le bord du lit. Les fesses ouvertes et tendues à fond, ne faisait presque plus qu’une, seulement séparées par un léger sillon, Jeannine semblait attendre une nouvelle pénétration. Mais c’est ma main droite qui se posait sur elle, caressait cette croupe voluptueuse avant de parcourir la petite vallée en direction de cette extraordinaire zone marécageuse. Mon majeur glisse le long de cette belle ligne de démarcation, s’arrête masser le muscle brun, plissé et trempé par les débordements successifs de la source voisine. Après quelques massages de cette zone délicate, ma main se faufile, écartant bakırköy escort encore les grandes lèvres, jusqu’au bouton de plaisir de Jeannine. Mon doigt effleure le petit bourgeon hyper sensibilisé par tant d’attention. Je fais de douce caresse concentrique, Jeannine s’électrise. Je m’agenouille, prolonge la caresse en écrasant de mon pouce le clitoris prêt à exploser tel une grenade offensive et ajoute quelques coups de langues assassins sur la vulve agonisante. Les gémissements de la belle s’accélèrent, je glisse directement quatre doigts dans cette chatte bouillonnante et les introduit jusqu’à la garde du pouce. C’est sans mouvement de la main et en seulement pliant et dépliant mes doigts dans son intimité que Jeannine est au nouveau traversé par un orgasme. Le vagin se crispe et presse mes doigts, crachant un nouveau petit torrent de cyprine qui s’écoule le long de ma main. Je me relève, retire mes doigts et les remplace immédiatement par mon pieu, que j’enfonce d’un trait jusqu’à écraser mon gland contre le fond de son fourreau d’amour, obligeant Jeannine à crier son bonheur.Après quelques brutaux coups de reins contre ces superbes et délicieuses fesses, je me retire lentement et tout en posant mon gland sur la rosette brune, je dis tout en commençant à forcer l’entrée :« Maintenant, je vais vous enculer »« Mon Dieu, vous voulez vraiment me faire mourir de plaisir »« Et vous aimez ça, en plus » dis-je en voyant mon gros membre s’enfoncer sans difficulté dans le fondement de cette mature totalement débridée.Ma queue disparaît entièrement en une seule poussée. Jeannine s’est, simultanément à ma pénétration, relevée sur ses bras tendus. Elle se tient la tête haute, la bouche grande ouverte, en recherche d’air. Elle n’a pas émit le moindre cri, le moindre son, n’a eu aucun signe de refus, n’a tenté à aucun moment de se soustraire à cette nouvelle introduction. La taille de l’intrus l’oblige à hyper-ventiler, comme si l’air se raréfiait. Elle est simplement distendue, et attend, sans bouger, que ses chairs s’habituent à la taille bien supérieure de celle du plus gros jouet qu’elle avait osé s’introduire. Je suis immobile, caressant délicatement toutes les parties de son corps se trouvant à la portée de mes mains. C’est après moins d’une minute d’attente, que je la vois retrouver sa position d’origine, sur les coudes et le front posé sur le lit. Elle entreprend de minuscules mouvements, décollant juste ses fesses de mon bassin, de lents va et vient d’à peine un centimètre ou deux. Ma verge est étonnamment peu serrée, elle a glissée en elle sans aucune difficulté, et je dois l’avouer, à ma grande surprise. Ce qui était étonnant, c’est son comportement, elle réagit comme si elle était sodomisée pour la première fois, mais sans douleur, seulement gênée par l’intrusion. Un peu inquiet de cette attitude, je lance :« Je vous ai fait mal Jeannine ? Vous vous sentez mal ? »« Non, ne vous inquiétez pas, aucune douleur, même si j’ai eu un peu peur. Mais par contre avec votre longueur, vous visitez des contrées encore inexplorées. J’ai eu l’impression que vous alliez me traverser. Une sensation étonnante, mais finalement pas désagréable. »« Ah tant mieux, j’étais un peu inquiet » « Allez y, me ne suis habituée »Je pose mes mains sur ses magnifiques petites poignées d’amour, et commence à me retirer lentement jusqu’à ne laisser que le gland à l’intérieur. J’att**** un petit flacon de gel posé sur la table de nuit, au milieu de la collection de sextoys, m’arrose la verge et le repose. Après m’en être enduit le manche, je réintègre de rectum en une poussée régulière. La présence du gel me permet de glisser si facilement que j’ai l’impression d’être revenu dans son vagin. Son cul est tout aussi accueillant et seul le petit soulèvement de la tête qu’elle a au moment où je me plaque contre elle, diffère. Je commence par de lents, mais longs allers et retours. Il n’en faut que trois ou quatre, pour que Jeannine commence à exprimer son plaisir par de petits gémissements. Je continu à la travailler lentement, je ressens des pressions régulières autour de ma queue, comme si son anus se détendait puis se contractait au rythme de ses respirations. C’est divin, je calle mes vas et viens sur sa respiration, elle se détend lors de la pénétration et se crispe, comme pour m’empêcher de me retirer, lors du retour. Au fur et à mesure, que le temps passe, des allers et retours, ses gémissements montent en intensité sonore, sa respiration s’accélère, et mes mouvements s’adaptent. C’est un cercle infernal, j’augmente la vitesse pour suivre le rythme, et la respiration accélère encore. Je suis obliger de me cramponner à ses poignées d’amours pour éviter tout dérapage. Le rythme devient délirant, ma queue plonge tellement rapidement dans son fondement que le claquement de mes hanches sur ses fesses devient de véritables coups. Ses fesses sont rouges, mes doigts marquent sa peau. Chacun de mes glissements vers ses profondeurs, beşiktaş escort la font avancer sur le lit et m’impose de la tirer vers moi pour la maintenir. Je suis en transe, elle commence à hurler de plaisir, ses mains se cramponnent à la couette. Son anus se crispe, se contracte au maximum, me presse littéralement, comme s’il s’agissait d’un simple fruit dont elle voulait en extraire le jus. Et, c’est ce qu’elle a fait, elle m’a pressé jusqu’à ce que je sente monter mon jus brulant. Elle se relève sur les genoux, son dos contre mon torse recouvert de sueur, mes mains viennent presser ses énormes seins. J’expulse ma lave par une succession de jet et inonde ses intestins. Dès le premier jet, la sensation du liquide chaud qui commence à se déverser en elle la fait partir dans un orgasme incontrôlable, long et puissant. Il me faut utiliser toute ma force masculine pour la maintenir en position, mes bras sous les siens, me mains remontées jusqu’à ses épaules et forçant vers le bas, pour qu’elle finisse de prendre son plaisir et que je vide complètement mes couilles au plus profond de son cul. Une jouissance simultanée, un plaisir intense partagé, nous prenons notre pied ensemble, un véritable bonheur. Je relâche la pression, mes mains glissent sur ses mamelles douces et blanches. Elle est épuisée, cet orgasme à été long à venir, surtout en comparaison des autres, mais a été très fort, très puissant et les spasmes ont duré une bonne minute. Sa respiration retrouvée, elle tombe à plat ventre sur le lit, les bras en croix, m’éjectant rapidement de son rectum chaleureux. Je pose mes mains sur ses fesses rouges et les caresse délicatement. J’approche ma bouche et viens les embrasser pour les remercier du plaisir qu’elles viennent de nous donner. Je les couvre de baisers, mes mains les écartent et je contemple son anus encore bien ouvert et libérant un jus, mélange de mon sperme et d’un peu de matière fécale bien remuée lors de se quart d’heure de sodomie. Je me relève après avoir posé un dernier baiser sur chacune d’elles, regarde mon sexe légèrement souillé et décide d’aller prendre une douche tandis que Jeannine semble s’être assoupie. Je suis sous la douche depuis cinq bonnes minutes, lorsque je vois Jeannine qui entre dans la salle de bain, puis dans la douche. Elle vient m’enlacer, sa joue droite écrasée sur mon torse et me dit :« J’ai du mal à marcher, mais c’était tellement délicieux. Je ne pense pas avoir déjà eu un tel orgasme. C’était divin »« Je dois vous dire que j’ai vraiment apprécié de vous faire l’amour, vous êtes une femme superbe, et surtout, une sacrée jouisseuse » « Merci » me dit-elle en montant sur ses pointes de pieds pour m’embrasser. Et ajoute :« C’est grâce à vous, et je peux vous dire que vous êtes un sacré coup » Après un très long baiser, je sens ma queue durcir contre son entre-jambes. Sentant mon membre retrouver de la vigueur contre son pubis, elle s’écarte un peu pour le laisser se lever, l’att**** délicatement pour le caresser doucement d’une main et dit :« Vous êtes infatigable ? »« C’est vous qui me donnez cette ardeur, c’est un tel plaisir de vous faire jouir, que je n’ai pas envie d’arrêter »« Merci, mais moi, mon vieux corps est au bout du rouleau »« Je comprends » répondis-je.Nous terminons de nous laver et sortons de la salle de bain. Une fois dans la chambre je m’approche de la porte ou nous avons laissé nos vêtements éparpillés. Elle se penche devant moi, m’offrant une vue magnifique sur sa vulve et son anus rougis par tant de vas et viens. Je comprends qu’elle puisse être rassasié. Ses orifices sont d’ailleurs plus irrités que rassasiés, et je ne veux pas insisté pour éviter de remplacer le bonheur par une quelconque douleur. Mais cette vue, et m’imaginer l’honorer encore et encore, a un effet radical. Une érection difficile à cacher. Jeannine la remarque immédiatement, me regarde en souriant et me dit :« Je ne peux pas vous laisser partir dans cet état »« Ce n’est rien Jeannine, ça va passer »« Non, avec le plaisir que vous m’avez donné, vous laisser partir comme ça, va m’empêcher de dormir. J’ai bien un fantasme à satisfaire qui pourrait bien nous satisfaire avant de nous séparer »« Ah, lequel » dis-je intrigué.« Et bien, ce par quoi nous avons commencé… sous la douche. J’ai bien compris que vous vous êtes contrôlé pour ne pas jouir. Et bien, mon fantasme, c’est celui là, mais en finissant en éjaculant sur les seins et mon visage. »Je la regarde interloqué et dis :« Je n’aurai jamais imaginé de faire ça avec vous, mais si c’est un fantasme, je suis près à vous aider à l’assouvir »« Vous devez me prendre pour une grosse cochonne, mais je crois que voir des films X en solo, ça donne des idées inavouables, mais bon, avec vous c’est si bon que pourquoi pas assouvir quelques désirs ? »« Avec plaisir, c’est un honneur pour moi. »« Vous en avez déjà assouvie un, ce soir. »« Vous n’aviez jamais pratiqué la sodomie ? » dis-je incrédule. « Ce n’est pas possible, beylikdüzü escort je vous ai sodomisé avec une telle facilité, que j’ai du mal à vous croire »« Non, la sodomie je connais, enfin je connaissais, mais en solo, avec un jouet. Mon fantasme était l’éjaculation interne. Et vous avez vu ce que vous avez déclenché. Mon plus bel orgasme. »« Je comprends mieux. »Elle m’att**** par la main et m’entraine vers le lit. Elle att**** le petit flacon de gel sur la table de nuit, grimpe sur le lit et s’allonge sur le dos. Elle m’invite à la rejoindre. Je monte et une fois à genoux, elle approche sa bouche de mon membre en érection. Une main vient flatter mes bourses et les soupèse comme pour vérifier si je vais être capable d’assouvir son second fantasme de la soirée. Ses lèvres viennent se poser à la base et remontent, laissant une trainée de bave sur le parcours de sa langue. Arrivé au sommet, sa bouche s’ouvre en grand et absorbe mon gland, sa langue caresse mon extrémité sensible. Sa bouche et sa langue sont de véritables délices. C’est après quelques minutes de ce merveilleux traitement qu’elle me libère, s’allonge, presse le flacon de gel entre ses énormes et fantastiques seins, qu’elle me propose de m’y installer. Je l’enjambe, mes genoux sous ses aisselles, j’appuis sur ma queue tendue pour la maintenir dans cette profonde vallée. Ses deux mains serre ses deux merveilleux melons, l’un contre l’autre pour emprisonner ma verge. Ses seins sont si gros que malgré la très belle longueur de mon sexe, le gland dépasse à peine de cette vallée de plaisir. C’est là que je commence une longue et belle chevauchée pour atteindre un plaisir plutôt rare et par la même occasion, assouvir un fantasme de Jeannine. Je glisse et coulisse entre ses belles mamelles pendant de longues minutes. La sensation est délicieuse, bien plus agréable que la plupart des branlettes espagnoles qui m’a été donné de pratiquer. Certainement améliorée par la souplesse, la taille, la lourdeur et la douceur de la paire de seins dans laquelle je manœuvre. Les deux outres moelleuses me laissent naviguer dans une recherche du plaisir solitaire. Jeannine ne sourit, elle semble heureuse de me faire profiter de ce que la nature lui a offert. Et pour en profiter, j’en profite, le plaisir monte petit à petit en moi, je sens bouillonner mes couilles, ma queue et mon gland sont presque douloureux, mais je continue à m’activer entre ses merveilleux seins. Je sens monter mon sperme lentement dans ma verge jusqu’à la porte d’expulsion, puis comme s’il y avait un bouchon, un sas de compression, une légère douleur me traverse de sexe. Je ne lâche rien, un va et vient, puis un autre et encore un autre. Je grimace, et explose. Un premier jet surpuissant est craché, s’écrase sous son menton et formant une trainée jusqu’à la vallée de ses seins. Je libère ma bite et me masturbant d’une main, j’expulse trois autres beaux jets arrosant son nez, ses yeux, sa bouche, ses joues, jusqu’à son front et ses cheveux. Jeannine jubile, m’exprime son bonheur en me remerciant et en me souriant. Les yeux clos, recouvert de ma semence épaisse, elle essuie délicatement son visage avec un doigt qu’elle lèche régulièrement pour le nettoyer. Elle se délecte, et une fois quasi propre, Jeannine ré-ouvre les yeux. C’est à ce moment que je lui offre mon gland cramoisi d’où s’écoule les dernières gouttes de sperme. En deux coups de langue, me voilà lavé. Je m’allonge à ses cotés, l’embrasse et lui annonce mon départ imminent.Quelques minutes plus tard, je l’abandonne à une nuit réparatrice bien mérité. Pendant le trajet qui me sépare de chez elle jusqu’à mon domicile, je repense à cette merveilleuse soirée. Une soirée basée sur le plaisir et j’ai beau me re-visioner notre partie de jambe en l’air, je ne suis plus certain du nombre de fois où Jeannine à atteint l’orgasme. Cinq, peut-être six, ou même plus, qu’elle jouisseuse. Jouir autant de fois en à peine plus d’une heure, cela reste une prouesse. Le lendemain, en fin de journée, Jeannine passe au bureau pour sa visite commerciale. Elle s’approche du patron pour le saluer et il lui lance :« Qu’est ce qui vous est arrivée, vous boitez ? »« Oui » répondit-elle « Je suis tombée dans les escaliers, hier soir »« Et bien, vous avez eu de la chance, vous auriez pu vous faire très mal, par contre vous êtes resplendissante. Qu’avez vous changé ? »« Rien, à part peut-être, ma crème de nuit, c’est une Saint Laurent » dit-elle en jetant un regard dans ma direction« Et bien elle est très efficace » ajoute le patron, puis s’adresse à moi :« Laurent, tu en es où du projet et du devis de Jeannine »« Il faudrait que je retourne sur place pour confirmer deux, trois trucs et je pourrai le terminer en fin de semaine. »« Ce serait génial » me dit-elle « Vous êtes un saint Laurent, passez ce soir si vous voulez »Elle avait vraiment appuyé sur le « saint Laurent » et j’ai senti le rouge monter à mes joues.« Ok, je passe »Dans une heure chez moi ? »« Oui, c’est bon pour moi »« Je vous attends » ajoute t-elle en saluant le patron avant de quitter nos bureaux.Le patron me regarde et me dit :« Cette fois, elle sera chez elle… et crois en mon expérience, la Jeannine, elle en pince pour toi »Il ne croyait pas si bien dire, cette soirée allait encore être un véritable « feu d’artifesse »

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