Le billet Surprise

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Le billet SurpriseElle :Cet après-midi de fin d’été, je profitais de ce temps libre dans mon emploi du temps pour faire un peu de shopping afin de renouveler ma garde-robe. Je venais d’obtenir ma mutation dans ce lycée, à environ une demi-heure de route de chez moi et je comptais bien donner une bonne impression à mes nouveaux collègues. Je passais d’un petit établissement de campagne à cet immense groupe scolaire de centre-ville, le plus huppé et soi-disant le meilleur de la région.Je flânais dans cette galerie marchande à regarder ce que je pourrais me trouver. Dans cette boutique, les prix étaient dans la marge haute du budget que je m’étais fixé, mais je me disais que je pouvais prendre un ou deux ensembles qui seraient de meilleure facture que ce que j’avais l’habitude d’acheter. J’en achèterais régulièrement ensuite.C’est alors que je le vis. J’étais en train de choisir un tailleur en lin. Il devait avoir entre trente et quarante ans. L’archétype du mâle tel que je l’avais toujours imaginé, grand, brun, un regard ténébreux, sportif sans être culturiste. Bref, l’homme qui respirait la santé et la vigueur. Mais allait-il seulement me remarquer, moi, une femme quadragénaire, sans charme spécifique même si je savais que mes formes généreuses me valaient des remarques et commentaires par toujours très fins, lorsque je me promenais seule dans la rue. Que remarquerait-il ? Ma chevelure rousse, mes yeux verts, mon visage couvert de taches de rousseurs ? Ou plus sûrement ma poitrine généreuse et mes fesses rebondies ?Ce fut alors que prise d’une impulsion subite, comme j’aurais pu en avoir à quinze ans, j’écrivis mon numéro de téléphone et mon prénom sur un bout de papier, juste après avoir réglé mes achats. Je l’avais vu entrer dans une cabine pour essayer un costume de lin blanc. Alors qu’il tournait le dos au rideau mal fermé, je glissais le billet dans une des poches de sa veste puis je sortis de la boutique.Je repris mon souffle, assise à la terrasse d’un café, profitant du soleil. J’écoutais un musicien de rue qui jouait un vieux tube de Louis Armstrong.— Qu’ai-je fait ? Je suis folle !Mais je pensais aussi qu’il y avait peu de chances que mon téléphone sonna ou qu’un message arriva sur ma boîte de réception.Pourquoi avais-je fait cela ? J’étais mariée depuis presque vingt ans avec le seul homme que j’avais jamais aimé, je n’avais jamais eu la moindre envie de le tromper. Si parfois notre relation n’avait pas toujours été au beau fixe, elle avait trouvé un équilibre certain, depuis quelques années, maintenant que nos filles étaient grandes et commençaient à vivre leurs vies. Un petit bisou le matin et le soir, un gros câlin le week-end et occasionnellement en semaine en fonction de notre état de fatigue et surtout une grande complicité entre nous. Peut-être était-ce pour cela ? J’avais sûrement besoin d’ajouter du frisson, avoir une part d’ombre, passer du côté obscur.Lui :Le magasin marchait bien et commençait à me procurer une aisance financière qui m’avait manqué ces dernières années. Les premiers dividendes m’avaient permis de me racheter une moto avec laquelle je pouvais me déplacer rapidement. De plus l’aspect et le design néo-rétro de cette moto entraient en adéquation avec mon look d’homme viril et élégant. Ma Triumph Bonneville m’apportait ces compléments et des bénéfices initialement non attendus, mais elle m’apportait bien plus encore ! Cette moto avait réveillé ma libido, car il n’était pas rare qu’une accélération me procurât une érection instantanée et très dure, ce qui ne manquait pas de m’étonner à chaque fois. Je considérais d’ailleurs cette moto comme ma compagne la plus fidèle ! Je n’étais pas un Apollon, mais mon allure élancée, mon sourire franc et mon regard noir étaient des atouts auxquels les femmes n’étaient pas insensibles. Cependant, je devais admettre que ces derniers mois, je m’étais un peu oublié, mon énergie était tendue vers le démarrage de cette nouvelle activité professionnelle qui me donnait entière satisfaction.Ces réflexions me venaient toujours sur la route du retour, les quelques kilomètres d’autoroute et le ronronnement de la Triumph aidaient en cela à cette introspection journalière. Je me promettais intérieurement un changement pour redéployer cette énergie vers des activités plus sexuelles.Le magasin pour cela était une mine d’or, j’étais entouré de femmes. Mes collaboratrices étaient toutes plus charmantes les unes que les autres et je me félicitais de mon discernement lors des entretiens d’embauche. Le critère physique n’avait pas été la priorité lors des embauches, mais je devais admettre que l’équipe féminine dégageait une puissance érotique qui m’avait jusqu’alors échappé. L’équipe masculine était moins nombreuse et plus effacée. Telle en était ma perception à ce moment-là. Je m’étais cependant promis de ne pas mélanger les genres, pas d’aventure au magasin, conduite quelque peu stricte à laquelle je m’étais toujours tenu jusqu’à ce jour.Cela dit, il me restait un champ d’action vaste et inépuisable ; les clientes ! J’avais monté un Concept Store dans cette nouvelle galerie marchande qui proposait tout ce qu’une mère de famille un peu aisée rêvait de s’offrir. Des lampes design des parfums, mais également quelques sex-toys discrets en passant par une collection de prêt-à-porter confortable, tout se vendait à des prix indécents. J’avais commencé quelques approches avec des clientes sans pour autant parvenir à mes fins, mais je ne m’avouais pas vaincu, certains regards appuyés, certains déhanchements me confortaient dans mes approches. Me refaire une garde-robe était également une nécessité, je devais rafraîchir mon look ce qui m’a conduit à effectuer quelques achats.Il y avait peu de monde en ce début d’après-midi, quelques clientes déambulaient dans ce magasin un peu tendance, sans être ostentatoire. Je remarquai tout de suite une grande brune dans un pantalon blanc moulant qui hésitait sur le choix de chemisiers ainsi qu’une jolie rousse plantureuse très souriante qui alla enfiler un tailleur dans les cabines d’essayage. Les cabines étaient mixtes. J’essayais un costume clair. J’entendais les bruits de froissement de vêtements que l’on retirait des cabines attenantes. La brune essayait-elle un chemisier ? J’imaginais déjà des seins en poire bien pleins, frotter contre le tissu, ou était-ce la rousse qui essayait le tailleur ? Je l’imaginais se retourner pour regarder sa chute de reins dans le miroir, des fesses bien pleines moulant un tissu crème, c’est peut-être ce qui se passait à quelques centimètres de mes yeux.Je sortais de la cabine avec des idées lubriques en tête, regardant au passage si je pouvais apercevoir une de ces deux femmes, mais hélas sans succès.Instinctivement, je cherchais mon téléphone dans la poche de ma veste, aucun appel en absence, aucun SMS, les affaires avaient un peu de mal à reprendre avec la rentrée scolaire. bahis firmaları Je remis mon portable dans la poche en retirant par la même occasion un petit papier mentionnant un nom : Élodie, un numéro de téléphone et un message sibyllin : appelez-moi !Je décidai de suite de répondre par un SMS simple et direct : Rencontrons-nous !Les planètes s’alignaient.Elle :Soudain, mon téléphone se mit à vibrer. Je regardai rapidement l’écran, un message en provenance d’un numéro inconnu. Serait-ce cet homme dans le magasin ? Si c’était lui, il n’avait pas tardé à répondre. En ouvrant le texto, je tremblais. Que contenait ce message ?Je lus juste quelques mots : “Rencontrons-nous…”Sans hésiter et sans réfléchir, je lui envoyais : “D’accord ! Demain 18h à la Brasserie du Lac”.Tout le monde connaissait cette brasserie, en dehors de la ville, au bord de ce petit plan d’eau au milieu de la forêt, le rendez-vous incontournable des amoureux romantiques et des amateurs de randonnées forestières.Je réfléchissais rapidement, je finissais mes cours à dix-sept heures, en quittant le lycée ) sans traîner, je pourrais y arriver avec un peu d’avance. Cela me permettrait de le voir s’approcher. Je finis mon café et je repris la route pour rentrer chez moi.Par bonheur, en ce mardi après-midi, il n’y avait encore personne à la maison. Je montais rapidement dans la chambre et retirais mon pantalon puis je me suis allongée sur le lit. Pendant le trajet du retour, la pensée de ce rendez-vous avec cet homme mystérieux m’avait émoustillée. Je fis ce que je faisais régulièrement quand je me retrouvais seule avec un désir à combler, je me caressais. Mes doigts trouvèrent rapidement le chemin de mon bouton entre mes cuisses et je fus rapidement submergée par une vague de plaisir. Je me caressais la poitrine au travers de mon chemisier, mes tétons pointaient. J’imaginais les mains de cet homme sur moi. Je pouvais sentir son sexe me pénétrer. Je gémissais seule dans la maison.Je sortais juste de la salle de bain où je m’étais rafraîchie après ce plaisir solitaire quand la première de mes filles rentra. Elle ne remarqua rien, ce qui me rassura. Je n’arrivais pas à sortir de mon esprit ce rendez-vous, cet homme dont le regard m’avait transpercée.Plusieurs fois au cours de la soirée, mon mari dut me répéter certaines choses. Je n’étais pas attentive.Je passais une nuit agitée à rêver de ce bel inconnu et au matin je dus faire un petit effort de maquillage pour masquer des cernes un peu trop visibles à mon goût.Mon mari et mes enfants furent surpris de me voir avec une jupe longue et une tunique pour me rendre au travail. Ils savaient que je préférais nettement être en pantalon pour me rendre au lycée. C’était une tenue bien plus pratique pour être au contact de certains énergumènes submergés par leurs hormones.Je réussis à rester concentrée pendant mes cours et seule une collègue me demanda si tout allait bien à la pause de midi.— Tu es bien joyeuse ! me dit-elle. Que t’arrive-t-il ? — Oh ! Avec mon mari, nous avons un projet de voyage… Mais je ne peux pas t’en dire plus pour le moment…Elle fit une moue perplexe en replongeant dans ses préparations. Je souriais intérieurement. J’arrivais malgré tout à cacher mon émoi. Lorsque la cloche annonça la fin des cours, je ne me suis pas attardée en classe et après avoir rassemblé mes affaires, j’ai pris la route de la forêt. J’arrivai à la brasserie avec de l’avance. Je me suis installée à une table qui me permettait de voir la route d’accès. Je tournais la tête à chaque nouveau client qui entrait. Allait-il venir ? Me trouverait-il à son goût ? Ces questions et d’autres taraudaient mon esprit.Un bruit de moteur assez inhabituel attira mon attention. Je vis une moto d’un autre âge se garer sur le parking. Mon cœur fit un bond dans ma poitrine quand le motard retira son casque. C’était lui. C’était mon inconnu.Quand il s’approcha de la terrasse, je lui fis un signe en souriant. Il s’approcha de moi. Je me levai. Il était encore plus grand que dans mon souvenir.— Élodie ?— Oui ! Dis-je rougissant et baissant les yeux.Ses lèvres s’approchèrent de mon visage et ses mains me prirent par la taille. Lui :Cela faisait quelques heures que j’avais reçu ce message et malgré moi, quelques interrogations égocentriques tournaient dans ma tête ; comment m’habiller, quel parfum, quel sujet de conversation, comment allait se dérouler la soirée, devais-je prévoir la suite, serais-je à son goût , serait-elle au mien, la rousse ou la brune… en un mot ce message et ces deux SMS m’avaient fait retrouver un sentiment perdu depuis quelque temps ; l’excitation ! Ce mélange de nervosité et d’impatience se manifestait par une furieuse envie d’être au lendemain, mais également d’une érection interminable que je n’osai pas exploiter. Pourtant, je n’avais d’elles que quelques images fugaces, deux femmes d’une quarantaine d’années, mais cela suffisait au déclenchement de mes fantasmes. J’avais une légère préférence pour la jolie femme rousse aux courbes harmonieuses, je me voyais déjà parcourir son corps de mes mains insistantes, ses hanches, ses seins, la respirer entièrement, l’envahir de mes doigts. Je présageais un scénario qui n’aurait peut-être pas lieu le premier soir ou, peut-être même pas du tout. Cette soudaine pensée me calma et me força à revenir sur Terre. Dans le registre de la séduction, rien n’était jamais acquis.J’avais eu il y a quelques mois une aventure avec une très jolie femme au caractère bien trempé et légèrement dominatrice qui n’avait eu de cesse de me répéter que le sexe pour le sexe n’était d’un intérêt que très limité, ce mantra m’était resté et faisait toujours son chemin dans mon cerveau. La journée passa très vite et je filai vers les seize heures en direction de cette brasserie discrète et un peu éloignée du tumulte de la ville. J’avais fait simple, basique, un jean, une chemise blanche et un nuage discret de Terre d’Hermès. Je garai ma vieille Bonneville et je me dirigeai d’un pas que j’espérai viril vers la terrasse ensoleillée. En fait, malgré une apparente sûreté, je n’en menais pas large ! D’une des tables, une jolie femme rousse me faisait un petit signe charmant de la main, je lui rendis son sourire en m’approchant d’elle, prononçant un prénom : — Élodie ?Elle :Je sentis son souffle près de mon visage. Je fus un peu surprise quand ses lèvres se détournèrent pour se poser sur ma joue. Un chaste baiser, je m’attendais à toute autre chose et j’étais prête à lui offrir le baiser d’une femme amoureuse.Cela ne me ressemblait pas, je n’étais plus une adolescente capable de tomber amoureuse du premier bellâtre qui croisait sa route. Pourtant j’étais vraiment dans cet état d’esprit.— Cédric ! Ravie de vous rencontrer dans ces circonstances si inattendues.Son regard dans mes yeux, j’eus l’impression qu’il pouvait lire à livre ouvert en moi. Je fondais littéralement. Mon ventre kaçak iddaa était parcouru de frissons.Dès que nous fûmes assis, un serveur vint prendre nos commandes. Comme il était encore bien trop tôt, je choisis un simple cocktail de fruits alors que mon inconnu qui ne l’était plus demanda quelque chose de plus fort.— Pourquoi ce petit mot et votre numéro ?Aléa jacta est. Je ne pouvais plus faire machine arrière.— Lorsque j’ai croisé votre regard, j’ai ressenti quelque chose que je n’avais plus ressenti depuis des années… Mon cœur s’est mis à battre la chamade… Il me sourit sans répondre. Il m’écouta lui décrire mes sensations et les raisons pour lesquelles j’avais osé lui laisser ce petit billet dans la poche de sa veste.Il me prit la main et la porta avec délicatesse à ses lèvre et il y déposa délicatement un baiser qui me fit frémir.Nous avions fini nos verres, il me proposa alors de marcher un peu le long du lac. Côte à côte, nous nous sommes éloignés de la terrasse et le chemin nous fit traverser le petit bois.Lui :J’étais sous le charme de cette jolie femme rousse. Des effluves de Flowers by Kenzo m’incitèrent à me rapprocher d’elle. Je le fis discrètement.La conversation s’était engagée sans ce moment de gêne qui arrivait très souvent entre deux inconnus. Elle m’expliqua pourquoi elle avait glissé ce mot dans ma poche, d’une manière très directe et très touchante.Il n’était pas encore l’heure de dîner et après deux cocktails, je lui proposai de continuer le tour du lac afin de faire plus ample connaissance. J’avais, bien sûr, pris le temps de détailler son corps lors de cette promenade, pas très grande, tout en courbes et avec une chevelure flamboyante magnifique. Les contours de son corps m’affolaient, je devinais de très jolis seins lourds en poires sous cette tenue très sage ainsi qu’une belle chute de reins. J’avais maté sa croupe à plusieurs reprises et je pensais qu’elle s’en était aperçue, mais nul reproche dans ses yeux, nous savions tous les deux pourquoi nous étions là. Nous avons marché dans ce sous-bois et je l’aidai à passer à certains endroits en appuyant volontairement mes mains sur ses hanches. Je dus avouer que mon désir était visible et bien qu’il ne se fût encore rien passé, je bandais dur en cette splendide fin d’après-midi. . La soirée s’était passée merveilleusement bien, une connivence évidente nous rapprochait et nous sommes tombés d’accord pour nous revoir très vite.Je l’ai invité le samedi suivant au Concept Store où je possédais un bureau très accueillant, j’y dormais d’ailleurs de temps à autre. Elle :Cette promenade autour du lac et le dîner qui s’en était suivi s’étaient merveilleusement bien passés. Nous avions parlé de nous, de ce que nous aimions. Ce fut ainsi que je découvris qu’il possédait une boutique où il vendait des objets “vintage”. Je lui avouai que je n’avais jamais été très attirée par ce genre d’objets, mais je comprenais la passion des gens pour cela. Chacun avait le droit d’avoir ses préférences.Pour ma part, je lui ai parlé de mon métier d’enseignante, du plaisir que je trouvais à transmettre mon savoir de professeur de philosophie aux élèves, mais aussi de ma frustration par leur manque d’investissement dans cette matière.Lorsque nous nous sommes séparés, il m’a embrassée tout aussi chastement que lorsqu’il était arrivé.— Venez me rejoindre à ma boutique samedi soir… je vous ferais découvrir mon univers.Il me tendit sa carte de visite que je pris. Je suis restée songeuse en le regardant s’éloigner sur sa Triumph. Je tournais et retournais longuement le bristol entre mes doigts.Je repris mes esprits et je montai dans ma voiture pour rentrer chez moi.Les jours suivants, je pensais souvent à cette nouvelle rencontre. Ce rendez-vous ne serait pas dans un lieu neutre, mais chez Cédric. J’allais en découvrir un peu plus de sa personnalité même si cela avait lieu à sa boutique.J’informais mon mari que ce samedi soir, je sortais avec une copine. Je prévins Muriel, de mon projet et elle me promit de me couvrir.Vêtue d’une jupe et d’un chemisier, je franchissais la porte de la boutique à dix-neuf heures, juste avant la fermeture.Cédric était là. Il me souriait. Je m’approchais de lui. J’étais prête à m’offrir totalement.Lui :Elle m’avait prévenu qu’elle serait un peu en retard. J’en ai profité pour fermer le magasin et ranger ce que j’appelais mon bureau, un espace plutôt atypique où j’avais installé une capsule japonaise me permettant de dormir quand le besoin s’en faisait sentir. J’avais également récupéré une banquette-lit Guillerme et Chambron des années soixante-dix en parfait état, idéal pour des préliminaires. Élodie semblait intéressée par les objets vintages sans toutefois s’attarder longtemps dans la boutique. Mon bureau, en revanche provoqua en elle un vif intérêt, s’arrêtant sur des livres de photos, mais aussi de vieux appareils argentiques, elle parcourut les étagères commentant à voix haute sa surprise de retrouver certains romans et surtout cette collection de Barjavel dédicacée. J’avais ouvert une bouteille de Chablis que nous buvions, assis sur le canapé, je lui expliquais que les nombreux bouquins de photos venaient de mon studio photos, que j’avais eu à Nantes pendant de nombreuses années. J’avais profité d’un relâchement dans la conversation pour approcher mes lèvres de son cou m’enivrant de son parfum. La nuit était tombée et la pièce était maintenant dans la pénombre faiblement éclairée par cette vieille chaîne BO qui jouait un vieux Dexter Gordon. Les choses sérieuses commençaient, nous étions encore habillés, mais pour combien de temps encore ? Les doigts d’Élodie avaient remarqué cette légère protubérance qui déformait mon docker, ses doigts glissaient légèrement sur le tissu, appuyant de temps à autre comme pour deviner la longueur ou la grosseur de mon membre en érection. De mon côté, je caressais ses seins lourds à travers son chemisier, explorant en même temps ses cuisses charnues au travers de la robe.Elle :J’avais hâte de découvrir ce magasin dont il m’avait longuement parlé lors de notre soirée au restaurant. Je n’avais jamais été très portée sur la mode vintage, mais je dus avouer que certains objets que l’on pouvait trouver dans ce genre de magasin ou lors de foires aux antiquités, me procuraient des réminiscences, comme la madeleine chez Proust.Pour mon mari, je trouvais l’excuse d’aller passer la soirée avec une amie pour voir un ballet contemporain. Il fut un peu surpris que je misse une robe pour sortir, car j’en portais rarement.— Je ne peux pas en mettre au lycée alors autant que j’en profite le week-end, lui dis-je en lui posant un baiser sur les lèvres.J’avais un peu sous-estimé mon temps de trajet et j’appelais pour prévenir de mon retard.Quelle ne fut pas ma surprise de découvrir au-dessus du magasin, ce petit studio aménagé, une vraie garçonnière.La vieille chaîne Hi-fi diffusait un morceau kaçak bahis de jazz que je ne reconnaissais pas, même si c’est une musique que j’affectionnais. Je n’en étais pas une amatrice éclairée au point de reconnaître un morceau dès sa première mesure.Assis sur cette banquette, un verre de vin délicieux nous parlions à peine. Oui ! J’avais passé une bonne fin de semaine et mes cancres de lycéens ne m’avaient pas trop fait tourner en bourrique. Oui ! J’avais beaucoup pensé à ce nouveau rendez-vous et imaginé ce qui allait se produire, même si je n’en savais rien…Je le vis sourire et je sentis sa main se poser sur ma cuisse. Il la massait au travers du fin tissu de ma robe.J’avais enfilé une petite robe noire à fines bretelles qui me moulait un peu la poitrine et qui une fois assise dévoilait une bonne partie de mes cuisses.Pour ma part, j’osais poser ma main sur le haut de sa cuisse, sur cette bosse qui se dessinait sous son pantalon.Je remontai ma main et je commençai à masser cette proéminence.Alors que mon regard se tourna vers lui, il approcha son visage du mien. Je ne me dérobai pas et je le laisser prendre mes lèvres. Doucement sa langue se présenta devant ma bouche que j’entrouvris et je me laissais pénétrer par sa fougue. Cette pénétration en augurait-elle une autre, plus a****le et plus profonde ? Je ne le savais pas.Sa main était redescendue sur mon genou et remontait lentement sur ma cuisse nue. Il faisait encore doux et je n’avais mis ni collant ni bas. J’écartai un peu mes cuisses quand sa main glissa sous ma robe. Cela permit à son doigt d’atteindre la fine dentelle noire qui protégeait mon intimité et ma vertu.Lui :Nul doute, nous étions prêts pour aller plus loin. Je lui proposai de rejoindre ma capsule japonaise, trois échelons étaient à gravir pour accéder à cette alcôve qu’Élodie montait maintenant souplement. L’endroit ressemblait à un gros tube en plastique d’une surface de deux mètres sur un pour une hauteur d’un mètre vingt-cinq que j’avais équipé d’un éclairage minimaliste ainsi que d’une couchette confortable. La seule activité possible était lire ou dormir et ce fut dans cet antre feutré et intime que je voulais poursuivre nos ébats. Nous étions maintenant allongés l’un contre l’autre, nous touchant avec l’empressement de collégiens. Pendant que je l’embrassais, mes mains partaient en exploration vers ses seins lourds, son ventre, ses fesses. Je me maudissais intérieurement quant à la pauvreté de l’éclairage, je voulais découvrir cette femme en pleine lumière alors que la pénombre me laissait deviner un corps ferme et puissant avec une peau très blanche. Élodie n’était pas en reste et avait pris avec délicatesse mon sexe tendu qu’elle commençait à masturber lentement. J’étais entre de bonnes mains, Élodie était une femme d’expérience qui manipulait ma queue avec dextérité, caressant mon gland avec douceur et serrant mes couilles avec une fermeté contrôlée. L’exiguïté et la forme ronde de la capsule nous faisaient rouler sur nous même, ses doigts enserrant mon sexe et les miens pénétrant son intimité. Les bruits de succion de nos bouches se mêlaient aux soupirs de plus en plus appuyés, ils couvraient le saxo plaintif de Dale Turner. Des images me passaient devant les yeux, je me voyais lécher goulûment son sexe, ses jambes impudiquement écartées. Je me voyais la renverser et immiscer ma langue dans son sillon fessier en écartant son cul. Je chassais ces visions me promettant de leur donner réalité prochainement, mais pour l’heure, je me devais de vivre et de rester concentrer sur le moment présent en ne brûlant aucune étape. Certes, Élodie était une femme accomplie, mais je ne voulais pas l’effrayer par mes envies de découvrir plus avant son joli et ample fessier.Elle :Après ce baiser et cette main qui explorait mon entre jambes et avait frôlé ma poitrine en déclenchant dans mon corps une cascade de frissons, il me proposa de le suivre dans cette espèce de caisson qui lui tenait lieu de lit, de chambre. Je ne saurais le dire.Je dus m’y introduire à quatre pattes. Je le sentais derrière moi, il devait pouvoir admirer mes formes de près.A l’intérieur, il n’était pas envisageable de faire de grands mouvements. Je me suis allongée sur le dos, il est venu contre moi, enfin presque sur moi. Rapidement, tout en me caressant, ses mains ont su comment me dévêtir dans cette espace restreint.Il s’est déshabillé avec autant d’aisance que dans une chambre normale et il a commencé à remonter sur moi. J’ai senti sa bouche frôler ma fine toison rousse puis ses lèvres sur mon ventre.Sa langue a joué quelques instants dans mon nombril et mes tétons ont frissonné sous son souffle chaud. L’un après l’autre, il les a aspirés avec sa bouche, il les a mordillés en douceur. Je gémissais.J’ai attrapé sa tête avec ses mains et je l’ai guidée vers mon visage. Je voulais ses lèvres, sa bouche, sa langue.Alors que je l’embrassais, il s’est un peu reculé et je l’ai vu prendre un préservatif et l’enfiler. J’avais complètement oublié ce détail. Avec mon mari, je prends la pilule et n’ayant jamais eu d’aventure extra-conjugale, je n’y pensais même pas.Je lui ai souri et j’ai écarté mes cuisses pour lui permettre d’entrer en moi.J’ai gémi et fermé les yeux. Son sexe me remplissait. Il a commencé à aller et venir lentement en moi. Je lui caressais le dos, les fesses. J’accompagnais ses mouvements qui s’accéléraient peu à peu.Nos grognements et nos cris remplissaient ce caisson. Je me laissais aller comme jamais je ne l’avais fait.Son ventre butait violemment contre mon ventre. Je poussais des râles de bien-être. Soudain submergée par un orgasme que je ne pouvais plus contenir, je hurlais mon plaisir. Cela eut un effet immédiat sur mon amant qui jouit en même temps que moi.Appuyé sur ses coudes, il me souriait en restant en moi. Des ondes de plaisirs continuaient de parcourir mon ventre.— C’était merveilleux… Reste en moi…Malheureusement tout à une fin et avec délicatesse, il s’est retiré. Je l’ai vu ôter le préservatif et j’ai fait alors quelque chose que je n’avais jamais fait.J’ai fait descendre mon visage sur son ventre et j’ai pris ce sexe un peu ramolli entre mes lèvres. Je le léchais, le suçais. Je goûtais au jus de cet homme. Cette queue remplissait ma bouche. Je la caressais avec ma langue, j’aspirais avec mes lèvres.Je la sentis durcir de nouveau. Je cessai ma fellation et je le regardais en souriant. Il était allongé sur le dos. Je me mis sur lui et tout en le regardant, je guidais son sexe dans ma chatte.— Pas besoin de capotes, je prends la pilule…Il ne me répondit rien, il souriait.Je m’empalais complètement sur son membre et ce fut à mon tour de danser sur son ventre. Je me soulevais avec mes mains et il en profita pour venir jouer avec ma poitrine qui pendait au-dessus de son visage. Il me pinçait les tétons ou il me pétrissait les seins, alternativement. Je montais et descendais sur sa queue. Je guettais les signes du plaisir et je jouis à nouveau en même temps que lui.Après ce nouvel orgasme, je m’allongeai sur lui. Il me caressait le dos et nous fûmes emportés par un sommeil réparateur.

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