Une séparation brutale (7)

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Une séparation brutale (7)Le lendemain soir, je rentrai vers 19h30. Ma mère avait fait les courses, en prévision de l’invitation qu’elle avait lancé à Beatrice et Emile, pour le mercredi. Elle avait tout rangé, l’appartement était propre et ordonné, et la table était mise pour nous deux. Elle était en maillot de bain noir deux pièces, et elle me dit qu’elle était à la piscine vers 17h pour se rafraichir un peu. Elle me rendit ma carte bleue, et me montra combien elle avait dépensé. Je fis un peu la moue quand je vis 650 euros. En fait, elle n’avait pas fait que des courses alimentaires, elle s’était aussi acheté des chaussures, et quelques affaires de maquillage.- Ecoute, fit ma mère, je ne vais pas te demander l’autorisation sur tout…- Tu aurais du m’appeller.Et comme ma mère partait vers la cuisine, j’ajoutais :- Et enlève le haut du maillot. Je veux voir tes seins en permanence.Tandis qu’elle remuait le diner qui finissait de cuire, dans une poelle, elle défit le noeu de son maillot dans son dos, et ce dernier tomba, dévoilant sa poitrine.- Il faudrait qu’on parle, fit ma mère.Je fis mine que ce qu’elle avait à me dire n’avait aucune importance.- Qu’est ce qu’il y a ?- C’est par rapport à notre relation actuelle.- Oui ?- J’aimerai redevenir un peu plus ta mère…Je regardais ma mère avec étonnement.- C’est à dire ?- Tu vois par exemple, ça, me demander d’enlever mon haut dès que tu arrives… J’aimerai que tu sois un peu plus respectueux. On peut être proches, mais dans le respect.- Tu ne veux plus que l’on fasse l’amour ?- Est ce que j’ai parlé de ça ? … J’aimerai que l’on ait une relation mère fils normale pendant la journée. Et la nuit on peut se garder un moment intime pour nous.- Je ne savais pas que ça te mettait mal à l’aise comme ça. Je travaille comme un fou pour nous deux, pour que l’on ait les moyens d’avoir une vie correcte, je pensais que tu était d’accord pour cette contrepartie.- J’étais un peu perdue, je ne savais pas quoi penser. Mais je pense que c’est mieux de revenir à une relation plus normale. Cette nuit et aujourd’hui, j’y ai beaucoup réfléchi.- C’est à cause de la giffle que je t’ai donné hier ? – Oui, je t’avoue que ça a du mal à passer.- Comme celle que tu m’avais donné pour rien il y a quelques années. Qui n’est toujours pas passé non plus.- Est ce que tu vas me respecter davantage ?- Si c’est ce que tu veux.Ma mère me fit un petit sourire de soulagement.- Je suis contente que tu le prennes comme ça. J’avais un peu peur que ça t’énerve et que tu le prennes mal. J’ai conscience que je te dois beaucoup, mais je sais aussi que tu suis ta mère. Après mon coeur, on aura nos petits moments à nous, la nuit.Je hochais la tête, en allant me servir un verre de coca. – Ca te gène si je remets mon maillot en place ?Je secouais la tête, et ma mère rattacha le haut de son maillot, couvrant à nouveau ses seins.- J’ai préparé du lapin et des pommes sautées, fit-elle.Quelques instants plus tard, nous nous sommes installés au salon et avons commencé à manger. Elle me posa deux questions sur ma journée, auxquelles je répondis rapidement.Le silence s’installa tandis que nous mangions, et une fois que j’eu fini, je dis simplement à ma mère que c’était très bon. Je partis m’installer illegal bahis dans un canapé, tandis qu’elle débarrassait. Elle me rejoint peu après, et on regarda une serie tv, chacun assis dans un canapé différent. Vers 21h45, ma mère se leva, me dit qu’elle allait prendre une douche et se coucher. Elle s’éloigna, et peu après, j’entendis l’eau couler de notre salle de bain. En général, je me précipitais pour aller la voir, mais là, je restais à regarder le second épisode de la serie, que je ne suivais pas trop d’ailleurs.Ma mère revint me voir vingt minutes plus tard, juste vétue d’une culotte.- Tu viens te coucher ?, me demanda t-elle.- Pas tout de suite, je regarde ça.Ma mère me souhaita bonne nuit et alla se coucher. J’allais la rejoindre vers minuit. Elle dormait. Elle sentit que je me couchais à coté d’elle. Elle posa sa main sur mon épaule, et dormit à nouveau.Le lendemain matin, je me levais de bonne heure, et je laissais un mot sur la table de la cuisine, pour préciser à ma mère que je mangerai avec mes collègues à midi, et que je ne rentrerai que le soir. Elle m’appella à deux reprises dans la journée, mais je ne répondis pas. Je rentrais vers 19h. Ma mère vint vers moi, habillée et prête à sortir, et je vis tout de suite qu’elle était contrariée.- Ca aurait été bien que tu me répondes, j’ai besoin de la carte bleue, j’ai encore des courses à faire pour demain soir.- Tu as déjà dépensé 650 euros. Ca fait beaucoup pour une soirée, non ?- S’il te plait, juste pour quelques ingrédients. Je veux faire un gateau. Tu m’accompagnes ?- Je te laisse la voiture et la carte bleue. J’ai bossé toute la journée, je veux me reposer.Ma mère s’éclipsa rapidement. Elle revint une heure et demi plus tard, avec quelques sacs de commission. Elle avait effectivement acheté des ingrédients pour faire un gateau, mais également deux livres pour elle, et à nouveau une paire de chaussures.- Elles étaient soldées, fit ma mère avec un grand sourire.Elle les essaya devant moi, fit quelques pas, puis vit que j’avais mangé dans le salon.- Oh, tu ne m’as pas attendu ? J’avais préparé un plat.- Non, j’avais faim, j’ai mangé une part de pizza. Ma mère alla se changer, se mit en chemise de nuit, puis se mit à préparer le gateau dans la cuisine. Vers 22h30, elle vint me retrouver au salon. Elle s’asseya à coté de moi, et me dit :- Ca va, tout va bien ?- Je regarde la télé.- Tu veux venir te coucher avec moi ? Je vais me prendre une douche, et on pourrait passer un petit moment ensemble.- Tu en as envi ? dis-je à ma mère.- Je te sens distant… très distant.- Je vais venir.Ma mère s’éloigna, et peu après, j’entendis l’eau couler dans la salle de bain. Je me levais, éteignit les lumières du salon, et alla m’installer dans la chambre. Je me mis à poil, et me coucha sur le lit. J’attendis cinq minutes, j’entendais l’eau finir de couler, et ma mère se sécher. Je l’entendis se mettre du parfum. Puis la porte s’ouvrit. Elle sortit en chemise de nuit blanche très transparente, sous laquelle elle portait de la lingerie blanche très fine et transparente également. Je voyais distinctement les poils de sa chatte, alors qu’elle portait deux épaisseurs de tissu.- J’ai acheté ça aussi, ça te plait ?- Je suis fatigué maman.Ma illegal bahis siteleri mère vint vers moi, pleine d’entrain. Elle retira sa chemise de nuit, et fit glisser son soutien gorge sous ses seins. Elle attrappa mon sexe dans sa main et se mit à me branler doucement.- Maman… demain… je suis fatigué…- Tu es sur ? j’ai acheté cette lingerie pour toi. Prends moi si tu veux… Je vois que quelque chose ne va pas.- Laisse moi dormir.Je me tournais sur le coté. Ma mère se coucha également. Je crois qu’elle me parla un peu, mais je m’endormis entretemps. C’est vrai que j’étais fatigué.Le lendemain, je partis de bonne heure, bien avant le réveil de ma mère, et comme la veille, je décidais de ne pas rentrer à midi. Je terminais toutefois à 18h, afin d’être là pour accueillir Beatrice et Emile. Ils arrivèrent vers 19h30, tous les deux bien habillés. Ma mère s’était habillée et maquillée de façon assez sophistiquée, avait mis une robe noire, des bijoux, s’était maquillée comme elle le faisait quand elle vivait avec mon père. La bouteille de champagne était ouverte dans un seau de glace. Des bougies parfumées étaient allumées sur la table du salon. Le couple me calcula à peine, parlant tous deux à ma mère de la séparation, que mon père était malheureux, qu’il fallait sauver leur couple. En deux minutes, j’avais déjà envi de les foutre à la porte. Mais je fis des efforts. Je décidais d’aider ma mère à faire le service. Après l’aperitif, elle me dit en apparté : “je ne sais pas si c’était une bonne idée de les inviter”.Je répondis qu’elle avait fait trop d’efforts pour rien, qu’ils avaient l’habitude d’être reçus en grande pompe, qu’ils ne se rendaient compte de rien. Béatrice était tellement superficielle, c’était à se taper la tête contre les murs. Et Emile passait son temps à se servir du champagne et hocher bêtement de la tête, sortant de temps en temps une blague pas toujours de très bon gout. Quand ils partirent, vers minuit, ils répèterent encore à ma mère de reflechir, d’appeller mon père. Bref, ma mère se prit la tête dans les mains après avoir fermé la porte, et souffla une bonne fois pour toute.- Dire que je les trouvais interressants, fit ma mère.- Tu as traversé des situations qu’ils ne connaissent pas, tu as changé, et eux non.- Beatrice, elle a été tellement décevante.- La bourgeoise idiote… Mais elle a des gros seins…Ma mère me regarda d’un air moqueur.- Quand j’étais plus jeune je me branlais en pensant à elle.- Ah oui ? fit ma mère.- Je me rappelle quand elle était en maillot de bain, à la maison au bord de la piscine, ou quand on allait à la plage avec elle. Tu l’as dejà vu se changer ?Ma mère me regarda avec un sourire complice.- A la maison des fois on se changeait dans la salle de bain ensemble.- Dis moi comment est sa chatte.- Heu.. comment ça ? que veux tu savoir ?- Poilue ? Epilée ? rasée complète ?Ma mère se mit à rire, elle ne s’attendait pas à révèler un jour ce genre de renseignement.- Exactement comme moi. Je me deshabillais et regardais ma mère avec envie. Je pris la bouteille de champagne, et me servis un verre.- Maman, donne moi ta chatte…-… tu n’es plus fatigué ?… dit-elle, en retirant sa robe, et se trouvant seins nus et en culotte canlı bahis siteleri noire, ainsi qu’en mi-bas.Ma mère baissa sa culotte et s’allongea sur le lit. Elle écarta les cuisses et plia les jambes. J’avais une vue imprenable sur sa fente légèrement ouverte. J’avançais vers elle, tenant toujours la bouteille. Je m’asseyais entre ses cuisses, et présenta le goulot de la bouteille de champagne contre sa chatte. Je glissais la bouteille doucement dans la fente, jusqu’au niveau où la bouteille devenait le plus large. Il y avait encore un peu de champagne dedans, que je fis couler dans sa chatte. Je secouais la bouteille. Ma mère se mit à pousser de petits soupirs, en touchant par moment la bouteille, un peu inquiète que ça puisse lui faire mal. Mais j’y allais avec douceur. Je n’enfonçais pas trop. Je secouais encore la bouteille. Je la sortis d’un coup, et de la mousse gicla de la chatte de ma mère, m’arrosant le torse.- Mmhhh du bon champagne de ta chatte…- Ohhhh, fit simplement ma mère.- Je vais te baiser en pensant à Beatrice. Je vais imaginer que je suis dans sa chatte de bourge.Je sortis ma queue, et m’allongeais sur ma mère. Je la pénétrais, et me mis à la baiser, en prenant mon temps.- Elle merite quoi Beatrice ? que je sois doux avec elle ? ou que je la défonce ?- Elle n’a pas été une vraie amie avec moi ce soir…- Tu veux que je la défonce ?- Oh oui…A ces mots, je me mis à donner quelques coups de queue violents, puis je sortis ma queue, et plongea 4 doigts dans la chatte de ma mère. Ils glissèrent bien à fond, et tout en les secouant, je glissais mon pouce à l’interieur. Il eut un peu plus de mal.- Ouvre toi salope ! c’est pour Beatrice.Ma mère écarta ses cuisses encore un peu plus, et ma main glissa dans sa chatte.Elle poussa de longs rales, tandis que je secouais ma main entière en elle. Je me branlais, et sentant que je venais, j’approchais ma queue d’elle. Deux jets de sperme giclèrent sur son corps, au niveau de ses seins. – Oui… fit ma mère, sentant mes jets chaud gicler sur elle. Elle descendit sa main sur son clitoris, et se mit à se le carresser, tandis que ma main continuait de la fouiller.- Ma main ne te suffit pas, il faut que tu te branles en plus…- Tu veux que je pisse ?Entendre ma mère dire ces mots… Je venais de jouir, mais je sentis une erection revenir. Un jet chaud innonda mon avant bras. elle pissait alors que j’avais ma main dans sa chatte. Et elle ne s’arrêtait pas d’uriner, innondant le lit. – Giffle moi.Ma mère me regardait droit dans les yeux. Je lui donnais une giffle sur son sein droit, et une seconde sur sa joue, bien forte. Sa tête vola sur le coté. Je la fistais de plus en plus fort. Elle poussa un long rale, les yeux plein de larmes, tandit sa croupe vers le haut, et eut un orgasme d’une intensité incroyable.Je sortais ma main doucement. Elle était épuisée. Je m’allongeais contre elle.- Je t’aime, me dit-elle.- Comme une mère ?- Comme une mère… Et comme une salope…- En ce moment tu es soi l’une, soi l’autre. J’aimerai que tu puisses etre les deux en meme temps.- C’est pour cela que tu étais distant ?- Oui, avec tes exigences de respect… Ca m’a saoulé. Tu devrais m’offrir ton cul à chaque fois que tu t’achetes une paire de chaussures.- J’achète souvent des chaussures…- Tu auras le cul défoncé…- Personne n’y a touché pendant longtemps. Je peux me permettre…On s’endormit en s’étant un peu retrouvés.Mais les choses ne sont jamais simple, dans ce genre de relation.

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