DialNet – Round 8

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DialNet – Round 8ROUND 8Après avoir arraché l’enveloppe pour la jeter sur le siège passager, Truica a bien failli verser dans un fossé en quittant l’usine. Même si la tension est retombée, elle est très choquée par ce qu’elle vient de voir. Elle prend conscience qu’il y a clairement une différence entre des photos – même des vidéos – et une séance de torture à laquelle on assiste. La tension y est palpable, on ressent la peur et la souffrance, les cris et les odeurs. Pour autant, et même si elle tente de se convaincre du contraire, elle ne peut nier qu’elle a été excité par l’horrible spectacle. Mais elle a eu honte aussi. Honte de ne pas être venu en aide à cette femme qui rampait en pleurant de souffrance une fois son calvaire terminé. Honte de s’être masturbée pendant qu’elle était traitée comme une carcasse d’abattoir.Pendant qu’elle avale les kilomètres, retrouvant son calme, elle se livre à un exercice pitoyable, accablant la victime d’être arrivée en retard sans quoi les choses n’auraient pas été aussi loin. Alors qu’elle n’en sait rien. Peut-être que tout ceci n’était qu’un jeu pervers destiné à sa seule intention. Peut-être que la femme blonde finit toujours par avoir les seins piétinés jusqu’à ce qu’elle perde connaissance. Elle en doute. Tout ça faisait « trop vrai ». Non, elle a vraiment assisté à une séance SM qui a dérapé. Vu les sévices qu’elle a subi, la victime doit probablement être à l’hôpital. Peut être pire. Et ce monstre qui l’a laissée seule dans son sang et son urine après l’avoir torturée et vi0lée.Il est encore trop tôt pour rentrer alors Truica décide de se poser dans un endroit discret et de se calmer avec un cognac. Elle avait oublié l’enveloppe lorsqu’elle va pour descendre de sa voiture après s’être garée. Avec un mélange de crainte, de fascination et de dégoût, elle l’att**** avant de sortir de l’habitacle et pénètre dans une espèce de pub. Il est bientôt 15h mais l’endroit vient visiblement seulement d’ouvrir. Probable qu’il ferme tard. L’endroit est vide. Avisant un box à l’écart, Truica s’installe. Un jeune type barbu et gras du bide vient prendre sa commande :-Un cognac s’il vous plaît, demande-t-elle.-Mauvaise journée, madame ? sourit l’autre. Vous voulez en parler ?-Contentez-vous de me servir mon verre je vous prie, répond Truica un peu trop sèchement, stupidement vexée par ce « madame » asséné par ce gros nase qui lui renvoie son âge et ses pulsions dégueulasses en pleine figure.Elle attend que le serveur revienne avec son cognac pour ouvrir l’enveloppe. Elle contient un CD-rom et une lettre manuscrite. Elle ouvre le feuillet plié en deux et commence à lire.« Chère grosse pute, soyons honnêtes, je suis surpris : j’étais certain que tu te dégonflerais ! En effet, si tu as clairement le mental d’une chienne, tu restes avant tout une vieille bourgeoise usée qui s’abrite derrière ses contradictions pour ne pas s’assumer. Et pourtant tu es venue.J’imagine donc que je te dois des excuses pour avoir douté mais je n’en ferai pas. En effet, tu serais plus constante, les choses seraient plus faciles. Tu restes donc une merdeuse lâche et pathétique sur laquelle je pisse. Avoue que tu te demandes si c’était moi qui officiais. « Maître M », ça peut coller pour « Meat » n’est-ce pas ? Allez, je me doute que tu y as pensé. Et bien non, je ne suis pas Maître M. On se connait car nous évoluons dans le même milieu et sommes tous deux considérés comme extrêmes. Il nous est même arrivé de travailler ensemble des esclaves particulièrement masochistes mais ça reste très épisodique. D’une part parce que ce type d’esclave est rare et habituellement trop abimée après être passée entre nos mains conjointes, d’autre part parce qu’il a un style vulgaire et pas assez sélectif. Maître M canlı bahis şirketleri aime « faire le show » devant un maximum de voyeurs. Il aime qu’ils l’admirent et l’encouragent. Il aime les choquer alors il ne choisit pas d’initiés mais des mateurs bien cachés derrière leur écran dans ton genre, des fantasmeurs qui rentrent voir bobonne une fois leurs couilles vidées. C’est un fat et un vaniteux, même si je lui accorde un certain talent à faire souffrir.Cependant, et même si ça risque de me desservir, je me suis dit que tu pourrais être intéressé par lui pour « te lancer ». Il a une grosse queue qui te ramonera en profondeur comme tu aimes et il est capable de te travailler graduellement au lieu de directement te faire subir les pires supplices comme tu le mérites. J’ai donc joint un CD, petit florilège de ses « live show » les plus expressifs – ainsi que ses coordonnées virtuels pour le cas où tu souhaiterais donner suite. Tu ne le mérites pas mais je me dis qu’après être passée entre les mains de cet imbécile, tu seras mûre pour passer entre les miennes et découvrir ce qu’est la vraie souffrance.PS : il a plutôt été bon aujourd’hui et si j’en crois l’énergie avec laquelle tu as branlé ta grosse chatte en le regardant massacrer cette pauvre conne, tu es bien la vieille truie maso que je cherche !Meat » Certes, ça n’était pas lui qui officiait mais il était là et il l’a vue. Vu qu’il a déposé l’enveloppe sur son pare-brise, il a probablement aussi son numéro de plaque de voiture. Il est donc maintenant capable de l’identifier. Truica se giflerait d’avoir été aussi stupide. Meat est de toute évidence un vrai prédateur. Le ton de ses messages, les tourments qu’il inflige à Chérifa, les menaces voilées, le dégoût que sa lâcheté lui inspire, tout porte à croire qu’il est prêt à aller très loin sans se préoccuper des dégâts qu’il causera. Elle sent l’angoisse l’étreindre. C’est là que son portable se met à sonner. Le numéro est inconnu. Elle est sûre que c’est lui. Elle tremble quand elle prend l’appel.-Bonjour grosse pute !-Bonjour, Meat.-Tu n’es pas surprise ?-Pas après le coup de l’enveloppe. L’appel téléphonique ensuite est presque logique.-Tu as peur ?-Oui.-C’est bien de l’avouer. Ça m’excite de savoir que je te fais peur alors que je ne t’ai encore rien fait. -J’ai vu ce que vous avez fait à Chérifa.-Et encore, tu n’as vu que ce que j’ai choisi de te montrer : je ne voulais pas te choquer. Tu verras bien pire si tu es sage et obéissante. Tu vas être sage et obéissante ?-J’ai le choix ?-Bien sûr. -Si je n’obéis pas, vous ne vous vengerez pas en impliquant ma famille ?-Si. Mais tu as le choix.-…-Grosse pute ?-Vous êtes un salaud.-C’est exact. Et tu n’as encore rien vu.-Je vous faisais confiance.-Ah non ça c’est faux : tu t’es toujours méfié de moi – avec raison d’ailleurs. Il a fallu que je monte un truc complètement tordu pour piquer ta curiosité et que tu fasses la connerie de te dévoiler. Tu serais capable de mieux te contrôler, tu n’en serais pas là.-Qu’est-ce que vous voulez de moi ?-Ce que je veux ? La même chose que ce que je veux toujours : faire pleurer, faire supplier, faire hurler en te marquant…-Me concernant, les marques sont rédhibitoires.-Arrêtes avec ça : c’était quand la dernière fois que ton mari t’a vu à poil ? La dernière fois qu’il a tringlé ta chatte de truie ? je suis sûr que je peux te fouetter au sang des pieds à la tête, il ne le verra même pas vu qu’il ne te regarde plus depuis des années. S’il faisait un tant soit peu attention à toi, tu ne ferais pas la pute devant ta cam avec tes godes. Tu es veille et moche. Tu n’intéresses plus personnes.-Taisez-vous…-Il n’y a plus que les vicelards et les pervers qui peuvent avoir envie de tringler un boudin comme toi. canlı kaçak iddaa -Arrêtez ça. S’il vous plaît.-Dis que tu es un boudin.-Salaud…-Dis-le.-Je… je suis un boudin.-Exactement. Un gros boudin. -Oui.-Alors dis-le.-Je suis un gros boudin.-Une vieille salope qui aime se faire enculer.-Je suis…. Je suis une vieille salope qui aime se faire enculer.-C’est bien. Ça te fait mouiller hein de te rabaisser comme ça ?-Vous êtes… Vous êtes vraiment un salaud !-Tu te répètes ! Mais au cas où tu voudrais définitivement t’en convaincre, appelle le serveur et demande-lui de t’enculer.-Ah ça non ! Je ne ferai pas ça.-Bien sûr que si puisque je l’exige.-…-Pose le portable sur la table pour que j’entende, appelle-le et demande-lui.-Vous êtes dégueulasse de me faire ça.-Arrête ton cirque, sale pute mouilleuse. D’ailleurs avant que tu ne la trempes, enlève ta culotte et mets la dans ton sac. -Je porte un collant : je ne vais pas me tortiller sur le banc pour enlever ma culotte dans un lieu public.-Si tu vas le faire. Et tout de suite. Et retire aussi ton soutien-gorge, qu’il puisse profiter de tes pies de vache. Ensuite remonte ton collant sur ton gros cul gras et fais ce que je t’ai dit.Truica pose le portable sur la table puis regarde autour d’elle et constate qu’elle est toujours la seule cliente. Fébrilement, elle s’exécute. D’abord le soutien-gorge puis sa culotte qui dégouline effectivement de mouille et lui tapisse l’intérieur des cuisses quand elle la fait descendre. Elle plie le tissu gorgé de jus et le glisse à l’intérieur de son soutien-gorge puis range le tout dans son sac. Son sang cogne douloureusement à ses tempes et elle est en nage. Elle sent la sueur qui coule entre ses seins et le long de ses reins. Elle regarde le comptoir. Le serveur l’ignore. Pas étonnant après le vent qu’elle lui a mis. Elle lève la main et lance d’une voix mal assurée :-S’il vous plaît ?-Un autre cognac ? demande le type sans lever les yeux de son comptoir.-Non je… Est-ce que vous pouvez venir ?-Pourquoi ? Vous avez une autre saloperie à me balancer ?-Non… Je… Pardon pour toute à l’heure.-C’est bon, je m’en remettrai, lâche le serveur en soupirant et en se dirigeant vers le box. Qu’est-ce que vous voulez ?-Est-ce que vous voulez me… m’enculer ?-Pardon ? souffle le type avec le visage de celui qui n’a pas bien entendu.-Est-ce que vous voulez m’enculer ? répète sur un ton d’excuse Truica au supplice.-Ah ben ça… se marre le type avant de se renfrogner. Tu t’es plantée, c’est pas ce genre de bar, ici. Et je n’ai jamais payé pour ça, je ne vais pas commencer maintenant. -Non je ne vous demande pas d’argent. Je ne suis pas une prostituée.-Tu es quoi alors ? -Je… je suis une vieille salope…Le serveur regarde Truica en silence, décontenancé. Humiliée par ce regard oscillant entre dégout et incrédulité, elle baisse les yeux et répète, des sanglots dans la voix :-Alors vous… vous voulez m’enculer ou pas ?-Ok mais faut que je ferme la porte principale avant, dit-il en s’éloignant sans cesser de la regarder avec stupeur et s’éloigne en ajoutant : Putain, j’y crois pas…Le martèlement de ses tempes devient insupportable. Truica sait qu’elle est rouge comme une pivoine. Le serveur revient et se plante devant le box. Il n’a plus l’air du tout embarrassé quand il crache :-Une vieille salope hein ? Avant que je t’encule, suce-moi ! A genoux.Truica s’agenouille devant lui, détache sa ceinture et baisse sa braguette. Il a une grosse bite veineuse et bien dure qui tend son slip plutôt douteux. Sans hésiter, elle baisse le slip et le prend en bouche. Il laisse échapper un long soupir et lui agrippe les cheveux à deux mains en grognant « Putain ouais, bouffe ma queue, sale pute… ». Truica s’applique. Ça fait longtemps qu’elle n’a pas canlı kaçak bahis sucé une vraie verge et le contexte l’excite au plus haut point. Elle se déchaine et gémit, aspire et salive, léchant ses grosses couilles en le branlant puis reprenant le membre au fond de sa bouche. Le bassin de l’homme est agité de spasmes annonciateurs et il resserre sa prise sur ses cheveux mais elle ne se dérobe pas quand il éjacule en grognant. Au contraire, elle avale sa semence qui explose dans sa gorge puis continue à téter sa verge qui mollit. Embarrassé par son manque de retenue, le serveur relâche sa prise mais avant qu’il ne réagisse, Truica serre la base de ses testicules d’une main et plaque son visage entre ses fesses qu’elle écarte de l’autre avant de lui lécher le cul. Surpris, il se laisse faire quand elle lève sa jambe pour qu’il la pose sur le banc du box et facilite l’accès. A priori pas habitué à cet genre de pratique, il pousse des « ooooh » d’extase tout le temps où elle enfonce sa langue profondément dans son trou jusqu’à ce qu’il se remette à bander dur.Elle enlève alors son ceinturon des passants de son pantalon, se relève et se met de dos en écartant ses fesses d’une main puis le regarde par-dessus son épaule et abat le cuir sur sa raie des fesses, visant l’anus. Elle pousse un cri étouffé à chaque coup, les dents serrées, ses grosses fesses barrées par la morsure du cuir. Le serveur ne bouge pas, fasciné. Elle recommence une dizaine de fois, frappant de plus en plus fort puis se retourne, sort ses seins mous luisants de sueur du chemisier et lui tend le ceinturon. Hésitant, il fouette la poitrine offerte de la main droite sans oser trop appuyer ses coups tout en se masturbant de la gauche. « Cogne ! crache Truica, les narines dilatées, Fais-moi gueuler ! ».Comme si une sorte de verrou mental venait de sauter, il se déchaîne et abat le cuir de toutes ses f0rces. Truica hurle. Ses gros nichons mous virevoltent et sont rapidement marqués de larges stries rougeâtres sous lesquelles perle le sang. Abandonnant la ceinture, il la gifle à la volée. Une fois, deux fois, trois fois. Elle tente de le repousser alors il la frappe dans le ventre à coups de poings rageurs. Surprise et le souffle coupé, elle s’effondre. Sans cesser de se branler, il s’acharne maintenant à coups de pieds. Elle tente de fuir en rampant. Il la croche à nouveaux par les cheveux, descends sur ses cuisses et enfonce son sexe bandé à mort entre ses fesses d’un seul coup. Tout en la besognant rageusement, il prend ses mamelles lacérées à pleine main et les étire comme s’il voulait les arracher. Une minute plus tard, ahanant comme un chien, il éjacule à l’intérieur de son trou du cul éclaté. A ses pieds, les vêtements déchirés, Truica se relève péniblement. Ses grosses fesses sont gluantes de sperme et sa peau de blonde se vi0lasse déjà là où il l’a le plus sévèrement battue. Elle trébuche et il va pour l’aider mais elle le repousse, le visage tordu et vieilli par la souffrance, les cheveux en bataille.-Je suis désolé, commence-t-il, je ne sais pas ce qui m’as pris…-Ça va aller… souffle-t-elle. Alors qu’il reste debout comme un idiot, sa bite toujours bandée encore sortie, elle se rhabille de son mieux en gémissant. Elle ramasse son portable sur la table et le met dans son sac, lisse son tailleur crasseux et referme son chemisier aux boutons arrachés en le tenant d’une main pour cacher sa poitrine abimée, enfile péniblement son manteau puis se dirige vers la sortie. N’eut été ses collants déchirés, son visage dévasté au maquillage qui lui donne la tête d’un clown pathétique, le manteau cache à peu près correctement le reste des dégâts. L’homme la suit, hébété, toujours incapable de savoir comment réagir. Il déverrouille l’entrée et va pour s’excuser à nouveau mais elle farfouille dans son sac et lui donne un billet de 10€ puis dit – en tentant de sourire, la lèvre inférieure fendue et la bouche sanglante – « pour le cognac » puis elle s’éloigne dans la rue en boitant.FIN DE ROUND

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