Julie ou Julien 18

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Julie ou Julien 18Bonjour mes poupées ! Tout d’abord, désolé de cette longue attente. Mes obligations pro ont limitées mon temps libre pour écrire. J’ai essayé d’en profiter pour rajouter quelques détails issus de vos commentaires et messages. J’espère que ce nouveau chapitre vous plaira. Comme toujours n’hésitez pas à commenter ou à m’écrire par message. Kiss mes poupées !Après cette soirée animée, en particulier pour Julie, nous remontons en voiture pour rentrer. En s’installant dans la voiture, Julie me glisse un tout petit “Merci” avant de rapidement sombrer dans le sommeil.Je la réveille à notre arrivée et nous montons à l’appartement familiale.- Déshabille toi totalement, et va te laver- Oui maîtrePendant que Julie se dirige vers la salle de bains je fais un saut chez moi récupérer mon ordinateur, puis reviens et me dirige vers la chambre parentale où je suppose trouver Isabelle puisque le reste de l’appartement est plongé dans le noir.La porte est ouverte, et une lampe de chevet allumée. Isabelle est allongée sur le lit, nue, assoupie. Je me dirige vers elle et m’assieds sur le lit. De mes doigts je viens délicatement lui caresser la chatte que je trouve légèrement humide. Mes caresses ne la réveille pas, mais dans son sommeil elle se met à gémir doucement. Quand je sens sa chatte suffisamment humide je retire mes doigts et saisis un tétons de chaque mains que je pince brutalement. Evidement là elle se réveille et l’esprit embrumé elle me regarde.- Bonsoir, me dit-elle- Alors, tu m’attendais pour être nue sur ton lit comme ça ?- Oui…- Bien. Saches que Julie s’est montrée à la hauteur de ses épreuves du jour. Maintenant je vais voir si Sophie également.Je me relève du lit et me déshabille totalement. Une fois nu je m’installe sur le lit et démarre le PC. Sophie a dû avoir sa soirée imposée et je dois donc avoir l’enregistrement. Avant de le lancer je démarre la caméra en directe. J’y vois Sophie, allongée sur son lit, nue et endormie.Je cherche puis lance l’enregistrement.- Isabelle, tu veux voir comment ta fille chérie fait sa petite pute ?- Oui ! La connaissant elle a pas du faire la timideLa vidéo démarre alors que Sophie rentre dans son studio. On la voit faire plusieurs bricoles sans intérêts puis aller à la salle de bain. elle en ressort un moment après, nue. Elle vient se placer devant la caméra à genoux. Elle att**** son sac de cours et y prend des feuilles. Elle en présente une première face caméra où est écrit”POUR VOUS MAITRE”puis la seconde feuille”CE SOIR JE ME FAIS SODOMISER”puis”ESPERANT VOUS SATISFAIRE AINSI”Elle range le tout à nouveau et va att****r une petite robe très légère qu’elle enfile comme seul vêtement. dessous elle ne porte donc que sa ceinture de chasteté. Elle s’installe ensuite sur le canapé et patiente en pianotant sur son téléphone. Je fais défiler jusqu’au moment où on la voit se lever pour aller ouvrir la porte. Entre alors dans l’appartement en très grand black. Il doit bien faire deux têtes de plus qu’elle, une armoire à glace. Ils se font la bise et se dirige vers le canapé et s’y installe. On les voit échanger quelques mots et rapidement je vois Sophie poser la main sur la cuisse du gars, très proche de son entrejambe. Sa main passe rapidement sur son entre cuisse et commence à caresser. Le type semble content, mais son regard change et son ton à l’air aussi de changer. Soudain, il att**** Sophie par le cou et la plaque contre le canapé, lui dit quelque chose en ayant son visage presque collé à celui de Julie et ensuite se jette sur sa bouche. Il se lance dans un baiser forcé et sauvage, ne laissant à Sophie que peu de possibilité d’interagir. En même temps on voit sa main aller directement entre les cuisses de Sophie, remonter sa cuisse puis se poser sur sa chatte. Le gars s’écarte brusquement et soulève la robe de Sophie. On le voit dire quelque chose à Sophie. Elle lui répond, les yeux bas, certainement ce que je lui ai dit de dire, que sa chatte est ma propriété, mais que son cul est en accès libre. Le type tire Sophie vers lui, la forçant à s’allonger et lui remonte la robe haut. On le voit tenter de retirer la ceinture à Sophie, en vain. Un peu furax, il att**** la robe et d’un coup sec la lui arrache. Il se jette sur ses petits seins dont il saisit fermement les pointes en lui parlant. A en juger la réaction de Sophie, il n’y va pas de main morte. En se levant il la relâche. On le voit ouvrir son pantalon et le baisser et en jaillir une queue d’un gabarit impressionnant bien qu’encore en partie au repos.- Oh la vache, mais quelle queue ! dit Isabelle- Elle te fait envie ? toi aussi t’aimerais te faire défoncer par une queue pareille ?- oui et non. La taille m’impressionne c’est vrai, mais je préfère une queue de taille standard mais bien utilisée !Elle dit ça tout en attrapant ma propre queue en demi molle et commence à me branler gentiment.- Votre queue me procure bien assez de plaisir pour que je n’ai pas envie d’en avoir d’autres… Ho, elle colle un peu… c’est Julie ?- Oui, entre autre, ma queue a visité deux cul aujourd’hui- Ho… d’accordA l’écran, le type a saisi sa queue de la main et la pointe vers la bouche de Sophie. En fidèle gourmande, Sophie se jette dessus, et tout en se plaçant genoux à terre commence à le pomper. La queue continue de grossir et rapidement, Sophie semble galérer a la mettre en bouche. Le type semble ne pas en tenir compte, et en attrapant la tête de Sophie, force le passage de sa bouche. Il va aussi profond que possible et quand il se retire, Sophie a des renvois qu’elle arrive à contenir. Rapidement, sa bouche coule abondamment de bave.Le type att**** alors Julie par les cheveux et la jette, face en avant, contre le canapé. Il l’att**** par les hanches pour élever son cul. Il plante deux doigts dans la bouche de Sophie qui ressortent trempé et les enfonce dans son cul. Il répète l’opération plusieurs fois, de sorte à un peu lui graisser le cul. On voit Sophie se tourner et lui dire quelque chose que le type semble approuver. Sophie se lève et dans un tiroir prend une capote. elle l’ouvre, la déballe et l’enfile au type puis se remet le cul offert sur le canapé. Le gars ne perd pas de temps et vient pointer sa queue contre l’œillet de Sophie. On le voit alors pousser, revenir en arrière etc. jusqu’à que sa queue commence à rentrer. Sans ménager Sophie que l’on voit grimacer, il arrive rapidement à avoir sa queue entière au fond du cul de Sophie. Il démarre alors une valse à coups de reins brutaux.De mon côté, j’att**** Isabelle par la tête et la guide vers ma queue. Elle n’a pas besoin de longues explications pour comprendre mes attentes et elle démarre une pipe comme elle en a le secret.De son côté, le black saisit Sophie sous les cuisses et la redresse tout en se redressant lui-même. Il est debout et porte Sophie, toujours empalée sur la queue du gars. A la force des bras il commence à la faire monter et descendre sur sa bite gonflée à blok. Sophie semble avoir du mal à encaisser, mais elle profite d’être face caméra pour sourire autant qu’elle peut, et lancer un baiser dans le vide. A un moment le type lâche totalement Sophie, qui de fait se retrouve les pieds dans le vide, simplement accrochée au gars par la queue plantée au fond d’elle. Sa respiration est rapide, son visage ruisselle. Il l’att**** alors par les tétons, les tirants vers le haut. résultat, Sophie semble se contracter, du cul notamment car lui semble apprécier le résultat. Il se laisse ensuite descendre sur le canapé et s’assieds. Mettant les pieds de Sophie sur ses cuisses, il l’incite ainsi à gérer elle-même cette sodomie intense. Peu farouche et bien décidée à exécuter mes instructions, je vois Sophie se redresser pour remonter un peu et se laisser tomber d’un coup, s’enculant brutalement elle-même. Elle répète à plusieurs reprise la manœuvre. Le type semble autant apprécier qu’être étonné, car il regarde Sophie faire avec une tête ébahie. Sophie se défonce sauvagement le cul elle-même.C’est à ce moment que Julie arrive dans la chambre, nue et lavée. Elle regarde sa mère me sucer la queue avec gourmandise.- Viens là, montre à ta mère ton corpsJulie vient se placer devant le lit et doucement tourne sur elle. On voit sur son corps de nombreuses marques dues aux coups reçus plus tôt- Ho ma chérie, tu as du déguster ! Tu as aimé ?- Ho oui maman, plus je satisfais mon Maître, plus j’aime !Isabelle se remet à l’ouvrage. de son côté, Sophie est poussée d’un coup sec au sol par le type, qui la positionne à quatre pattes. La queue en main, il vient se positionner derrière elle et la lui plante d’un coup. Il entame alors un pur doggy style et lui ramone les cul, la saisissant un coup par les cheveux ou par les tétons, lui fessant le cul en même temps. cette chevauchée dure une éternité, le type semble infatigable.De mon côté, Isabelle a toujours ma queue en bouche et Julie la regarde faire, toujours debout.- Isa, baise toi sur ma biteIsabelle me chevauche alors, face à moi et s’empale ma queue.- En douceur, fais durer.Les mains posées sur mon torse, me le caressant avec une forme de tendresse, elle commence à se baiser sur ma queue en douceur.de leur côté, Sophie et le type ont changé de position. Sophie est sur le dos, jambes repliées au-dessus de la tête, et le gars la bourre toujours aussi puissamment. D’après le time code, ça fait déjà près de vingt-cinq minutes qu’il lui laboure les entrailles et il ne semble pas fatiguer, contrairement à Sophie qui est semi comateuse. Le type la tient éveillée en lui collant des baffes régulières, pas puissantes, mais assez pour la sortir de sa torpeur.Il la retourne ensuite, allongée à plat ventre, visage contre le sol et se replante en elle en pesant de tout son poids pour continuer à lui éclater le fion. Il la pistonne de nouveau près de dix minutes ainsi.De mon côté, Isabelle est toujours dans sa lente chevauchée, entretenant ma vigueur sans toutefois l’attiser de trop. Julie quant à elle attend toujours sagement, debout, en nous regardant.- Julie, ma petite pute chérie, lèche moi les piedsJulie me regard interrogative. c’est la première fois que je lui fais cette demande. Etape supplémentaire dans sa soumission. Après quelques secondes de réflexions, elle vient se placer à genoux au pied du lit et commence à me lécher très timidement.- Allons, mets y du cœur bon sang !- Pardon MaîtreSa langue s’appuie alors d’avantage. Son hésitation est sans doute liée au fait qu’après une journée entière, je n’ai pas eu l’occasion de passer sous la douche… Dépassant une nouvelle fois ses barrières, Julie lèches me pieds généreusement. sa langue se faufile sur chaque centimètre carré et va entre chaque orteils. au gros orteil, elle démarre une simulation de fellation, que je la laisse faire.Sophie quant à elle, se fait retourner. Le type s’est dégagée d’elle, la mise sur le dos, toujours au sol, les jambes basculées au-dessus d’elle. Il la plie quasiment en deux, et en se plaçant au-dessus de son visage il peut à nouveau investir son cul en profondeur, tout en mettant ses couilles a porté de la bouches de Sophie. Il la tire par les cheveux pour venir coller son visage à son paquet, tirant autant que possible jusqu’à même guider la langue de Sophie entre ses fesses.Ça semble faire son effet car le gars perd de sa cadence et dans ce qu’on devine être de long râle se termine par grands à-coups au fond du cul de Sophie. A bout de souffle il se retire du cul de Sophie, relâche ses jambes permettant à Sophie de s’allonger sur le dos, mais pose son cul sur son visage. Tout en se faisant lécher le fion, il retire sa capote, prenant garde à ne rien perde, et fait un nœud. Il se lève et présente la capote à la bouche de Sophie qui la gobe. Le foutre doit être chaud au fond de la capote, mais ne la quitte pas. C’est son jus de cul qu’elle suce abondamment. Lorsqu’il semble satisfait du travail de Sophie, il pose la capote sur la table basse. Sophie se lève tant bien que mal. Le black lui att**** le visage et lui roule une pelle sauvage puis lui lèche le visage. On le voit lui dire quelque chose (il faut vraiment que j’ajoute le son à ses vidéos !) et jette Sophie dans le canapé.Il se rhabille rapidement et quitte l’appartement. Sophie se replace devant la caméra, à genoux, prends la capote dans sa main, à plat qu’elle tend vers la caméra. Elle passe sa langue gourmande dessus à nouveau et lance un baiser vers la caméra, à mon attention. Elle se lève et disparait dans la salle de bain.Logiquement il n’est plus rien censé se passer après, j’ordonne donc à isabelle:- termine moi, mais fais-moi juter dans ta chatteElle met alors toute son expertise au service de mon plaisir, je sens sa chatte se contracter autours de ma queue, sa cadence augmenter, toute concentrée à mes réactions. Je lui laisse voir le bien qu’elle me fait pour qu’elle me mène à l’orgasme. Julie de son côté est toujours la langue sur mes pieds, me léchant ou me suçant les orteils. Le travail d’Isabelle fait son effet, et je libère mon sperme au fond de sa chatte torride tout en la traitant de salope. Elle aussi semble avoir un orgasme, peu puissant toute fois.Quand j’ai finis de me répandre en elle, je la dégage à côté de moi, sur le dos- Julie, vient boire mon jus dans la chatte de ta mèreSans hésiter, telle une affamée, Julie se jette sur la chatte de sa mère et aspire bruyamment mon sperme fraichement déversé. C’est au final Julie qui mène sa mère dans un orgasme bruyant- Ho ma petite pute de fille, fais jouir maman, ho oui c’est trop bon ! Même ta sous merde de père ne sait pas me bouffer comme ça !- Bon Julie, cette nuit tu dors par terre, au pied du lit, nue. Moi je suis claqué.Je ferme et pose le PC à côté, me glisse sous les draps, éteins la lumière pour dormir, sans me préoccupé des filles. Au bout d’une minute, je sens Isabelle venir se coller à moi, et me murmurer au creux de l’oreille- Merci mon MaîtreEt me déposer un baiser sur la joue avant de poser sa tête sur mon torse. Nous nous endormons ainsi.Comme une routine qui s’est naturellement installée, je me réveil en ayant une bouche qui tête ma queue déjà dressée. Je me réveil doucement sous cette délicieuse caresse buccale, sans ouvrir les yeux, ni me préoccuper de qui s’en charge. La bouche quitte ma queue et aux mouvements que je sens dans le lit, c’en est une autre qui vient prendre le relai. Mère et fille sont donc à l’œuvre de concert sur ma queue, j’adore. A la technique appliquée je devine que c’est Julie qui est à l’œuvre à présent. Les deux n’ont pas la même méthode. Julie semble plus chercher à pomper mon sperme à sa source, là ou Isa elle s’applique plus a masser ma queue raide.Tout en profitant de cette pipe à deux bouches, je me réjouis pleinement de la situation actuelle. Cette prise de possession des vies des 3 petites salopes, la facilité avec laquelle elles se sont offertes et soumises à moi. Les idées, les projets, tout se bouscule dans ma tête. Tant de possibilités s’offrent à moi à présent. L’accès complet à leurs corps, le contrôle entier de leur vie me permet de presque tout imaginer. La prochaine grande étape aura lieu lundi. Julie va entrer dans une vie publique en tant que femme. Son intégration à la formation en vente, le fait de l’intégrer dans un milieu étudiant et professionnel en tant que femme, et non pas seulement femelle sexuelle, me réjouit au plus haut point. Cela va marquer un tournant majeur dans son esprit, et cette étape une fois franchie l’imprègnera définitivement de l’esprit de femme qui est déjà sous-jacent en elle. Le reformatage de son esprit va me permettre de modeler sa personnalité à ma guise.Pour ce qui est d’Isabelle, cette magnifique femme est un atout de taille. Je me plais à pouvoir me promener avec elle à mon bras, de pouvoir profiter de ce corps presque divin à volonté. D’en abuser. L’envie qu’elle inspire aux autres, qui créée une jalousie à mon égard renforce encore plus mon égo, il faut l’avouer. De plus, la petite fortune qu’elle a cumulée avec sa sous merde de mari m’est offerte de plein gré par elle. La jouissance totale, tant physique que matérielle s’offre à moi grâce à elle.Et Sophie, cette jeune femme, au physique aussi parfait que sa mère, pleine de la fougue de sa jeunesse, aussi gourmande de ma queue que le reste de sa famille. Il est aussi très jouissif de m’imaginer tout ce que je vais pouvoir faire avec et d’elle.Grâce à elles, je vais pouvoir forcer des portes qui étaient difficiles à ouvrir jusque-là.Leur ouvrage fait son effet et c’est au fond de la bouche qui me pompe que je me répands. Ma queue a changé de bouche tellement de fois que je suis incapable de savoir laquelle des deux est récompensée. Quand les dernières gouttes sont propulsée hors de mon gland, les draps bougent canlı bahis et en sortent Julie et sa mère, au visage de conquérantes, heureuses de m’avoir fait jouir. Les deux se placent à genoux à côté de moi, Isabelle saisit Julie par le visage, la penche en arrière et viens de placer au-dessus d’elle. De ses doigts je la vois lui ouvrir la bouche et de sa bouche mon sperme s’évacuer. Partageuse elle lui fait couler mon jus frais, jusqu’à la dernière goute, finissant même par un filet épais de bave.- redonnes moi en la moitié ma puceTout en maintenant Julie par le visage, Isabelle s’assieds sur ses talons et guide Julie au-dessus d’elle, bouche grande ouverte. Julie à son tour fait couler dans la bouche de sa mère mon sperme. Mon jus est à présent partagé dans leurs deux bouches, mélangés à leurs deux salives. Fièrement, elle se tournent vers moi et d’un mouvement exagéré déglutissent et avalent mon précieux nectar.- Vous êtes deux belles et bonnes salopes- Merci Maître me répondent-elle en cœur.- Maître, votre petit déjeuner est prêt, me dit Julie, radieuse et affichant un sourire immense.Isabelle aussi est toute souriante. ses yeux, comme ceux de Julie pétillent de bonheur. Leurs deux visages expriment une plénitude, un bonheur qui ne fait qu’augmenter mon plaisir de les posséder.- Maître, me dit Julie, nous avons pris la liberté d’aller chercher des habits à vous chez vous pour vous en éviter la peine.- Espèces de petites salopes, vous vous prenez pour qui ? de quel droit vous vous permettez d’entrer chez moi sans mon accord ?- Pardon Maître, intervient Isabelle, nous avons vraiment cru vous rendre service- Vous avez cru ? Mais petites connes, vous n’avez pas à croire et à prendre ce genre de liberté !Les deux se regardent, effarées, perdues. Je ne doute pas que leurs intentions étaient bonnes, mais cette intrusion est inacceptable. Je me lève d’un bond du lit, j’att**** Isabelle par la taille et la tire au bord du lit, toujours à quatre pattes, idem avec Julie.Leurs deux culs me sont fièrement tendus et la sentence tombe. J’abat violement ma main sur le cul d’Isabelle, faisant claquer sa fesses droites et par la même occasion la faisant crier autant par surprise que par la douleur.Sans attendre, sentence identique sur le cul de Julie. Elles doivent regretter déjà d’avoir voulu faire les allumeuse en étant à poil pour me chauffer. tout comme sa mère, bien que moins surprise, Julie crie sa douleur.- Vos gueules ! je veux pas vous entendre !Ma main s’abat sur la fesses gauche d’Isabelle et aussitôt après sur celle de Julie. Cette fois les deux contiennent leur cri tant bien que mal. J’enchaîne ainsi 10 frappes sur chaque fesses, rendant leur cul rouge cramoisi. Quand j’en ai terminé, Julie comme Isabelle ont le visage trempé de larmes. Leur regard est tourné vers le bas, elles n’osent me défier.- Que ça vous serve de leçon. Maintenant je vais me doucher. Isabelle, prépare toi 3 tenues différentes, je choisirais. Julie pareil. En faisant votre choix, rappelez-vous votre rang !Je tourne les talons et quitte la chambre. Avant d’aller me doucher j’ai une envie de pisser et vais donc au WC. comme depuis plusieurs jours, la lopette de service y est toujours attaché. Au sol a côté de lui une gamelle qui doit contenir de l’eau, mais vide. Isabelle vient lui donner un peu à manger deux fois par jour. On le voit fatigué, un peu amaigris, ce qui n’est pas une mauvaise chose. Quand j’ouvre la porte, il se calfeutre comme il peut dans un coin, regardant le sol, effrayé.- Salut lopette, ça va ? ça fait longtemps que je suis pas passé te voir. J’ai envie de pisser, mets-toi en place.Sans me regarder, Pierre la sous merde se rapproche de la cuvette, pose sa tête sur le rebord et bouche ouverte attendsJe m’approche de lui, le choppe par l’arrière de la tête et lui fourre ma queue au fond de la bouche.- Tu vas tout boire, et je veux pas une seule goutte par terre, compris ?Il acquiesce d’une simple mouvement de la tête et je me lâche. Je le vois déglutir, gorgée après gorgée, et avaler ma pisse. Ma grosse envie s’écoule dans sa bouche, dans son ventre, il déglutit rapidement et pas une seule goutte ne s’échappe. Quand j’ai fini, Pierre s’attèle à lécher ma queue pour la nettoyer. sa nature profonde de bouffeur de bite prend le dessus et naturellement il commence à essayer de me sucer.- Pas de chance petite merde, ta femme et ta fille m’ont pompé à l’instant. Et là tout de suite tu me fais pas envie. Mais t’en fais pas, j’ai bien l’intention de te casser le cul encore. t’en as envie ?Il me réponds d’une simple hochement de tête affirmatif. Je quitte les WC et vais prendre ma douche. dans la salle de bain, je trouve mes habits, proprement disposés. Je dois reconnaitre qu’elles ont visés juste en sélectionnant ce que j’aurais moi même pu choisir.Douché, rasé, habillé, je vais à la salle à manger où je sais que mon petit déjeuner m’attends. Effectivement, sur la table tout est prêt. Je m’assied, Isabelle arrive, toujours nue et me sert mon café. Julie, sur ma gauche me rapproche les toast encore chauds et tartinés. Leurs tâches terminées, elles s’agenouille toutes les deux, de chaque côtés.- mettez-vous à quatre pattes, culs tendus vers moi et doigtez-vous le culSans un mot, elles se positionnent et se mettent à l’œuvre. Rapidement, leurs gémissements envahissent la pièce- En silence et interdiction de jouirSans se concerter les deux ont glissé trois doigts dans leur anus et s’activent vivement.Mon petit dej terminé, je me lève- dans vos chambres, inspection des tenuesElles se lèvent, les jambes molles et se dirigent chacune dans leur chambres. Je passe devant Isabelle et vais dans la suite parentale. Sur le lit, sur 3 tas proprement disposés se trouent les tenues qu’elle a préparé. Je regarde rapidement mais n’en suis pas satisfait. Bien qu’élégantes, les tenues sont trop sobres à mon gout. Je me dirige donc, sans un mots, dans le dressing y faire mon choix. J’opte rapidement sur une tenue que j’avais déjà repérée et reviens avec dans la chambre et la tend à Isabelle qui l’enfile prestement.Il s’agit d’une robe effet tailleur, généreusement décolletée, offrant une vue gourmande sur sa poitrine généreuse. Proche du corps, la robe galbe parfaitement son corps, moulant à la perfection ses fesses et vient s’arrêter à mi-cuisse. Majoritaire blanche avec deux bandes noires sur les flancs, en y regardant bien on distingue clairement qu’elle ne porte rien dessous, et on peut même distinguer ses tétons et ses aréoles.D’une voix timide et le regard baissé, Isabelle me dit- C’est peut-être… un peu osé pour le travail non ?- Je ne crois pas t’avoir demandé ton avis. De plus, comme tu te comportes de plus en plus en petite chienne, cette tenue fera très sobre en rapport.- Pas de sous-vêtements je présumes ?Pour toute réponse elle reçoit une gifle, modérée mais soutenue tout de même. En quittant la pièce je lui dit simplement- Choisis une paire de chaussure en rapport. Et ne t’avise pas de mal choisir.Je me dirige à présent chez Julie qui m’attends sagement, à genoux, tête baissée à côté du lit. Sur son lit elle a sélectionné dans la garde-robe de sa sœur, 3 mini jupes, l’une en jean, une en toile noire, et la troisième blanche style tennis woman. C’est cette dernière que je lui accorde. De la lingerie qu’elle a sélectionnée, composée de parures assorties, string et soutien-gorge, je lui choisis la parure jaune vive. Pour le haut ce sera un débardeur, ventre nu, blanc également. ces vêtements blancs laisseront librement apparaitre sa lingerie jaune dessous. La top met délicieusement en évidence son ventre plat orné de son piercing de nombril rose à strass.- Enfile ça. Aujourd’hui tu auras un peu plus à faire. en plus de tâches habituelles je veux que tu aille faire les courses. J’ai noté quelques choses que je veux que tu prennes, pour le reste fait en sorte que nous ne manquions de rien. Ensuite je veux que tu vide de ta chambre tout élément masculin. Tu vide ton armoire, tu me vire ces déco et tout ce qui rappel ta vie passée. Tu conserves en vêtement uniquement ce qui peut éventuellement être androgyne ou féminisa blé. Tu emballeras tout ça dans des cartons, on les amènera à une association à l’occas. Je veux aussi que tu t’occupes de ton père. tu vas lui bourrer le cul deux fois trente minutes. Choisis un god dans la collection de ta mère.Sans attendre de réponse de sa part je vais dans le couloir au placard à chaussure immense où je trouve Isabelle finir de chausser une paire d’escarpins blancs à talons microscopique en épaisseur mais haute d’au moins 15 cm. Ainsi chaussée, ses fesses se raffermissent encore plus, ses jambes se galbes à merveilles.- Bien, voilà une belle salope presque prête à aller bosser.Je choisis rapidement les mini bottine à talons hauts, qui donnent un effet chaussures de sport sans en être, que j’ai décidé de faire porter à Julie qui arrive juste à ce moment. Je les lui tends sans un regard et vient me coller dans le dos d’Isabelle. Sans un mot, je retrousse sa robe sur son ventre, la poussant par l’arrière de la tête je fais se cambrer à angle droit, la laissant s’appuyer sur le mur. J’ouvre mon pantalon et en sort ma queue déjà bandée et sans une once de préparation viens la coller contre l’anus d’Isabelle. sans la ménager j’en force le passage pour venir me loger tout au fond d’elle. Son anus s’est habitué à être pris régulièrement et elle semble mouiller de l’anus naturellement. Je démarre alors un pilonnage en règle sans me préoccuper d’Isabelle. Mon seul objectif est de lui remplir le cul de mon jus, elle n’est qu’un sac à foutre.- Ne t’avise pas de jouir salopeMécaniquement, je lui laboure les entrailles, la pistonnant en quête de mon unique jouissance. Du menton, je fais signe à Julie de s’approcher. A l’oreille je lui murmure ma requête, puis elle nous quitte.N’ayant comme objectif que de me vider, je ne cherche pas à faire durer et c’est assez rapidement que je me répand dans le conduit anal d’Isabelle. Je fais alors signe à Julie de s’approcher et me donner ce que je lui ai demandé de chercher. Je saisis alors le plug anal , bien plus gros que le rose bud qu’Isabelle a pris l’habitude de porter et le lui insère dans le cul, lui faisant pousser un gémissement.- Voilà, tu auras mon jus chaud au fond de ton cul toute la journée. Ne t’avise surtout pas de retirer ce plug avant ce soir. Je m’en rendrais compte facilement à la souplesse de ton cul la prochaine fois que je te le défoncerais- Maître, c’est un peu gros, je crains d’avoir du mal…Je tends alors la main comme si j’allais la baffer à nouveau, et par instinct de servitude elle s’agenouille spontanément et autant pour se protéger que pour m’amadouer embouche ma queue et se met à me la nettoyer. Ma queue propre, elle la libère et me remballe et rhabille. Je lui fais signe de se relever, lui rajuste sa robe et la fais se tourner dos à moi. Le plug, ayant une base juste assez grande pour le maintenir en place ne se voit pas au travers.- Isabelle, aujourd’hui je veux que tu montes en intensité ton rentre-dedans envers ta secrétaire. Soit plus équivoque, n’hésite pas à insister quitte à faire planer une forme de chantage quant à son avenir professionnel. Je veux que tu l’allume, même que tu exhibe ton dessous de robe.Julie tu as tes instructions. Je vous veux toutes les deux ici à mon arrivée ce soir, le repas prêt. J’ai un programme dont vous ne faites pas partie ce soir.sur ces mots, je quitte l’appartement et vais bosser. Dans la voiture je passe un coup de fil à Sophie- Bonjour Maître- Salut salope. Alors, ton petit cul se porte bien ?- J’ai l’impression qu’il ne se ferme plus complètement… Et en même temps je ressens une sorte de vide; je dois vous informer que je n’ai pas pu m’insérer mon Rosebud comme habituellement. Il ne tenait pas en place.- Ho, il devient donc urgent de t’équiper d’accessoires de tailles supérieures.- c’est vous qui décidez Maitre.- En effet. Aujourd’hui je veux que tu allumes la petite asiatique dont tu m’as parlé. Débrouille toi pour l’aborder dès ce matin, passe le plus de temps possible avec elle. Questionne là, interroge là. Si tu sens qu’elle est open pour toi, mais aussi pour tout un tas d’autres choses, débrouille toi pour l’avoir chez toi ce soir. Je veux une photo d’elle avant 10h. Compris ?- Oui Maître. Je la croise le matin, donc pas de problème je pense. Je vous tiendrais informé Maître.- Bien. je te signale aussi que je n’ai pas été informé de ta tenue petite salope.- Pardonnez-moi Maître, comme vous ne m’avez pas contactée, je n’ai pas voulus vous déranger. Aujourd’hui j’ai opté pour une jupe en jean et un haut fushia. Bien entendu je n’ai aucuns sous-vêtements.- J’espère que tout est aux critères exigés. Tu m’enverras également une photo que je juge.Je raccroche alors sans attendre sa réponse. Je finis le trajet songeur au programme que j’ai en tête pour ce soir. Arrivé au travail trente minute plus tard, en me stationnant je reçois un message de Sophie contenant plusieurs photos. La première on la voit à côté de la fameuse asiatique, en mode selfie. Les suivantes sont des photos d’elle également. Elle me précise s’appeler Lisa. On y voit une très délicieuse asiatique habillée dans un style grunge assez sexy. Une longue robe à carreaux rouge, fendue sur presque toute la hauteur dévoile généreuse sa jambe gauche que l’on voit couverte de bas ou de collant effet résille. La robe et assez largement échancrée sur une poitrine, pas énorme, mais généreuse pour une asiatique. Elle porte un blouson n cuir et au pied des sortes de boots à hauts talons carrés. Maquillée noir / sombre, des piercing, un air lubrique dans le regard. tout à fait délicieuse et au premier regard on la sent assez open. Les dernières photos sont de Sophie, prises dans les WC. On l’y voit porter sa jupe en jean, extrêmement courte, une vraie raz des fesses. En commentaire, en plus du prénom de Lisa elle me dit qu’elle lui a déjà ”accidentellement” palpé les fesses lors des selfies. Ca s’annonce bien. Je réponds à Sophie simplement de se rappeler que la longueur de sa jupe lui donne de bons arguments pour motiver Lisa.Je quitte ma voiture et vais bosser. Vers 10h, Sophie m’envoie un long message, me donnant pleins de détails au sujet de Lisa. Célibataire, habite en studio étudiant, parents séparés, pas de frères et sœurs, bi assumée, fait du charge à Sophie sans s’en cacher et tout un tas d’autres détails sans intérêt. Je réponds à Sophie de se débrouiller pour qu’elle soit chez elle à partir de 20h ce soir.Le reste de ma journée se passe sans rien de bien particulier. Je me débrouille pour réussir à quitter le boulot tôt et rentre.Arrivée à la résidence, je fais un passage par chez moi. rappelez-vous, je m’étais fait livrer divers colis il y a peu. Je n’avais jusqu’à présent pas eu le temps de fouiller dans mes achats ni de les mettre à profit. Je fais une sélection dans divers colis que je regroupe dans un et vais à l’appartement de ma famille préférée.Je n’avais prévenu personne de mon retour, de fait quand j’entre dans l’appartement Julie ne m’attends pas. J’entends juste au loin- Prends ça sale merde. Pour toute les fois où tu nous matais vieux pervers, sale lopette de merde.Le tout accompagné de gémissements partagés entre douleur et plaisir. Aillant mon idée de l’origine de tout ce raffut, je me dirige vers les WC et y trouve Julie entrain de sodomiser son père à l’aide d’un gode ceinture. Pierre à la tête plongée dans la cuvette des toilettes. Julie le défonce à proprement parler. Sans retenue, elle lui enfile le gode à coup de puissant coups de reins. Julie s’aperçoit de ma présence et sursaute. Elle se retire alors du cul de son père et vient se placer à genoux devant moi, le regard vers le sol.- pardonnez-moi Maître, je ne vous ai pas entendu arriver. Je ne pensais pas que rentreriez si tôt.- Je sais, c’est volontaire. Mais c’est bien, tu accomplie tes tâches. Combien de temps ça fait que tu le défonce ainsi ?- J’ai commencé il y a 5 minutes Maître- Bien. Et toi sous merde, ça va ?- Entre deux reniflement, Pierre me répond- Maître, pitié il faut que ça cesse tout ça. Ca a assez duré. laissez-nous tranquille, vous avez suffisamment profité non ?Je lui lance alors un coup de pieds dans les parties, qu’il a au passage toujours encagé- Espèce de merde, tu crois que tu peux me parler comme ça ? Assez profité ? non, de loin pas ! Et c’est pas fini. Et tu crois que ta famille veut que ça cesse ? Julie, tu veux ta liberté ?- Ho non pitié Maitre, pas ça ! nous ne voulons pas ! Maman, Sophie et moi nous vous appartenons !- Alors sous-merde ? pourquoi je devrais arrêter ? d’ailleurs ce matin je t’ai promis de m’occuper de toi.Je quitte alors tous mes vêtements. Julie bahis siteleri voyant ma queue à l’air libre se jette dessus et de sa bouche et ses mains s’applique à me faire bien bander. Quand elle me sent prête elle s’écarte et accompagne ma queue que je guide vers le cul de son père.- Maître, vous voulez bien lui dérouiller le cul pour moi s’il vous plait ?Pour toute réponse je plante ma queue au fond du fion de la lope. Son cul était déjà bien élargit par le god de Julie et je n’ai aucun mal. Je démarre alors à mon tour une défense en règle. Tout en le pilonnant je lui assène de puissantes claques sur le cul, le faisant crier de douleur. je lui plonge la tête complètement dans la cuvette et abaisse les couvercle- Ta gueule et encaisse.Au bout de quelques courtes minutes, c’est un puissant gémissement de jouissance que lâche Pierre et je vois une flaque de jus se former au sol- Et bien alors sous merde, tu jouis ? Je croyais que tu voulais que ça cesse ?Dans la cuvette, je l’entend me répondre- Non, je ne sais plus, baisez moi encore, une vraie queue c’est tellement meilleur qu’un godCe que je ne me retiens pas de faire évidement. Je lui bourrine le cul encore 10 minutes avant de me répandre dans ses entrailles.- Julie, vient le baiser encore un peuLe temps que nous changions de place, mon jus à commencer à sortir de son cul. Julie le racle bien et le repousse dans son fion dilaté- Voilà, garde tout le jus sacré de ton maitre en toi. remercie le pauvre merde.Et elle lui enfonce le god d’un coup. elle démarre une nouvelle défonce brutale, des coups espacés, puissants, lui faisant cogner la tête au fond de la cuvette.Pendant que Julie défonce son paternel, je pioche dans le colis des pinces à tétons. Je relève le haut et le soutif de Julie et pendant qu’elle baise son père je les lui accroches. les pinces sont ornées de clochettes. Rapidement au rythme de ses coups de reins les cloches sonnent. Je pioche alors une autres séries de pinces qui, elles aussi ornées de clochettes, sont destinées aux petites couilles de Julie. Je la bloque enfoncée dans les profondeurs anales de son père le temps de les lui mettre, non sans gémissements de douleur de sa part. D’une tape sur ses fesses, je la fait redémarrer son pistonnage.Quand Julie semble à bout de force, je la fait arrêter et se retirer. Une mousse blanche s’est formée à la sortie anale de son père, mélange de ses propres sécrétions et de mon sperme. Au sol, une grosse flaque de jus de Pierre. Julie sort de la pièce et s’effondre au sol, à bout de souffle. Du colis à nouveau je pioche un nouvel objet. Il s’agit d’un plug gonflable, permettant d’atteindre des proportions XXXL. Sans ménagement je l’insère dans le fion de Pierre et commence à pomper.- Non stop, pitié, c’est trop, se met-il à crier- Ho non, ce n’est pas trop. Tu vas avoir besoin de bien t’élargir car tu n’as pas fini de voir défiler des queues et autres dans ton cul. Je pompe encore un peu, je suis moi-même surpris de la dimension que ça prend.- Bon, pour aujourd’hui ça devrait aller.Je quitte la pièce, éteins, et ferme la porte.Je me dirige dans la chambre de Julie, qui, à quatre pattes me suit, faisant grelotter ses clochettes. Je m’assieds sur le lit, jambes écartées.- Nettoie moi.Julie se place alors entre mes jambes écartées et soigneusement me lèche la queue ramollie et gluante. Elle s’applique à passer sa langue sur le moindre centimètre carré. toutes traces issues du cul de son père finissent par disparaitre.pendant la séance de nettoyage, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir, et au bruit de talons je devine que c’est Isabelle qui arrive.- Au pied chienne ! je lui lance de vive voixJe l’entends se précipiter, à petits pas rapides au son de ses talons. Elle entre dans la chambre, avec encore sa petite veste et son sac à la main. Elle arrive dans la chambre et vient se positionner à genoux au pied du lit aux côtés de Julie- Bonjour Maître, vous êtes rentré tôt- Oui en effet, ça te dérange ?- Ho non, au contraire, merci de nous accorder de votre temps- C’est pas pour vous que je suis rentré tôt. Tiens, ta petite pupute de fille était en train de s’occuper du cul de ce qui te sert de mari. Elle y prend gout on dirait. Je me suis occupé de le terminer- Ho je vois, c’est pourquoi elle s’occupe de votre toilette. Maître, pardonnez-moi, mais j’ai une envie extrêmement pressante d’aller aux toilettes- Ho mais te déplace pas, regarde les toilettes sont à côté toi, lui dis-je en montrant Julie- Julie, couchée, sur le dosSans réfléchir, Julie s’allonge au sol. De même, sans réfléchir, Isabelle, se redresse, retrousse sa jupe et va se placer à croupie au-dessus de Julie.- Je veux pas voir une seule goutte à côté. débrouillez-vous, soyez synchrone toutes les deux.Julie ouvre grand la bouche et va au contact de la matrice maternelle dont elle est issue. Elle plaque sa bouche autour au moment où on devine qu’Isabelle se relâche. je vois Julie déglutir au fur et à mesure que le nectar doré de sa mère se déverse dans la bouche. Isabelle semble aux anges, ravie déjà de pouvoir se soulager et encore plus je pense de pouvoir le faire dans la bouche de Julie. ça semble ne jamais se terminer, effectivement c’est une grosse envie qu’avait Isabelle. Julie boit tout, sans fin et sans en perdre une seule goutte. Isabelle finit par pousser un petit râle de soulagement et de satisfaction- Quand ta maman aura terminé, nettoie la bienAlors que le flot semble tari, Isabelle se relève légèrement et Julie passe une lente langue dans les moindre recoin de la vulve maternelle. S’appliquant, comme elle l’a fait avec ma queue, à bien la nettoyer.- Humm ma petite, mange la moule à maman- Stop, je ne vous ais pas dit de vous envoyer en l’air bande de chiennes affamées ! Debout, et nues toutes les deux.A mon injonction les deux se sont raidies et stoppées. Elles se lèvent et quitte leurs vêtements prestement et se replace à genoux face à moi, totalement nue.- Suivez-moiJe me dirige vers la salle à manger où je leur demande d’attendre à genoux. Je retourne récupérer le colis. Je tire alors deux chaises que je place, côte à côte. Du colis je sors un god ventouse électrique. Je le place sous le nez de Julie et l’active. Le mécanisme a pour effet de faire onduler le god sur lui-même et de mettre en marche un système coulissant faisant accroitre le diamètre. A la vue de la taille et de la mécanisation, Julie parait un peu blême.- Julie, tend-moi ton mignon petit culSe plaçant à quatre pattes, Julie me tend sa croupe. Du colis je sors un tube de lubrifiant qui, du fait du programme que je leur réserve, va être impératif. je badigeonne généreusement sa petite chatte anal et la remplie d’une bonne dose également. D’un doigt, je graisse généreusement son conduit obscure. c’est ensuite le god que je viens insérer en elle.- Assieds-toi sur la chaiseTout en retenant le god en elle vient se placer sur la chaise, sans toutefois s’assoir complètement.- Allons, laisse le rentrer au fond ma poupée, je lui dis tout en appuyant fermement sur ses épaules, plaquant ainsi son cul complètement sur l’assise de la chaise.Piochant à nouveau dans le colis, je sors un harnais permettant de lier les mains dans le dos et au cou. La privant ainsi de tout mouvements. Je l’en équipe. Ensuite ce sont des cordes que je récupère dans le colis, à l’aide desquelles je la ficelles, fermement à la chaise, l’empêchant ainsi de se lever et de s’extirper du sexe plastique niché au fond de son anus bouillant. Je finis son équipement par un gag ball.- Bien, te voilà prête. A ton tour Isabelle, tend-moi ta croupe de chienne en chaleur.Pour Isabelle, j’ai prévu un accessoire légèrement différent. Celui-ci est doublé, permettant d’occuper ses deux orifices, mais mécaniquement, il fonctionne de la même manière. tout comme pour Julie, je lui graisse généreusement ses deux entrées puis la remplie non sans la faire gémir. Pleine, je la fais s’assoir et l’entrave comme Julie.Les deux sont à présent pleines et solidement attachées à leur chaises, ne pouvant se défaire. J’active simultanément les deux dispositifs, déclenchant un gémissement commun de la mère et de la fille.Je quitte la pièce et vais à mon appartement. L’un des colis contenait un objet particulier aussi prévu à mon programme du soir. Je le ramène à l’appartement de la famille. Je vais ensuite récupérer Pierre dans les WV. je le détache de la cuvette et le traine derrière moi au bout de la laisse qu’il porte toujours. Dans la salle à manger, je le fais monter sur la table. A genoux, et à l’aide de diverses entraves que j’ai acheté, je le ligote fermement, cul en l’air, tête collée à la table. Ficelé solidement à la table elle-même, lui non plus ne peut pas se défaire de ses liens ni changer de position.Tout comme pour son épouse et sa fille, je commence par lui tartiner généreusement son conduit arrière de la patte lubrifiante.- Pitié, qu’allez-vous encore me faire ? J’en peux plus.Je le fais taire d’une puissante frappe sur le cul- Quand ma queue te fouillait tout à l’heure tu disais pas ça. Au contraire, tu en redemandait. Ta tête te fait dire stop, mais ton corps tout entier en réclame plus. Et c’est ce que tu vas avoir.Je récupère alors le colis et en sort une fuck machine. A sa vue, Pierre fait les grand yeux, et se met à larmoyer. J’installe la machine sur la table, l’y fixe solidement à l’aide des différentes sangles fournies. Le god fournit reste d’une taille raisonnable. L’objectif de la machine est plus dans la cadence et la continuité que purement dans la dimension. Je retire le plug gonflable que je lui avais mis en place afin de le préparer un peu et positionne le god à la place.- Bien, ma petite lopette, écoute moi attentivement. La machine a de nombreuses fonctions, mais ce soir je vais utiliser un programme automatique. celui-ci va varier, de manière aléatoire les rythmes, la profondeur et les coupures. Au maximum tu auras 5 min de répit.- Combien de temps vous allez me faire endurer ça ?- Tout comme ta chère chienne d’épouse et ton amour de fille, vous allez subir ça le temps que je décide. Et maintenant je vais te bâillonner ta petite gueule de suceuse.Un gagball vient là aussi le mettre au silence. Tout ça m’a plutôt excité et ma queue toujours à l’air libre depuis avant est raide droite. Avant de passer à la suite de mon programme du soir j’ai envie de me purger les couilles encore une fois.La queue à la main je me dirige vers les filles qui pose sur ma bite des regards gourmands.- Alors laquelle veut une petite dose de jus ?Les deux se manifeste comme elles peuvent leur envie de me pomper. Julie ayant eu le nectar de sa mère, je décide de me servir de la bouche d’Isabelle. Je tire sa chaise vers la table sur laquelle je m’assois, lui retire son bâillon et, l’attrapant par les cheveux, lui enfon ma queue directement au fond de la gorge. Je lui fais subir un pur face fuck, venant forcer sur sa glotte et lui provoquer des hauts le cœur. Très rapidement ma queue se retrouve recouverte de sa bave épaisse et Isabelle est à bout de souffle. Je relâche un peu la pression et aussitôt Isabelle me pompe le dard avec gourmandise. Décidément, dans cette famille l’appétit de queue est sans fin.Je la ratt**** par les cheveux, et tout en lui pinçant le nez, je recommence un pilonnage de sa gorge. Cette fois, en plus des hauts le cœur, elle est au bord de l’évanouissement par le manque d’air. A plusieurs reprise j’ai vu ses yeux se révulser et l’ai senti perdre partiellement connaissance. Je l’ai maintenue éveillée ainsi près de quinze minutes, jusqu’à finir par lui lâcher la sauce au fond de la bouche. Je la relâche alors et la laisse déglutir mon jus épais puis, sans avoir besoin de lui dire, me nettoyer impeccablement la queue.- Bien, tu as été parfaite, tu as mérité la récompense de mon jus.Je la rebaîllone et la replace comme elle était. Je vais récupérer mon PC que je viens brancher sur la TV.- Mes petites souillons, ce soir je vais m’occuper de Sophie un peu. Et vous aurez le plaisir de nous regarder à la télé. Prenez votre pieds, toute façon vous n’avez pas le choix. Jouissance sans fin ce soir pour vous. A plus tard mes chéries.Je lance le visionnage de la caméra installée chez Sophie et vais me doucher et m’habiller chez moi. Au passage j’att**** les doubles de clés de l’appartement de Sophie que j’avais repéré.Une fois propre et habillé je saute dans la voiture et c’est partie pour une heure de route. En espérant que tout se passe aussi bien que je l’espère.Je saurais plus tard ce qui s’est passé pendant mon trajet, qui se passe plutôt bien. J’arrive comme j’avais à peu près programmé vers 20h30 au pieds de l’immeuble où loge Sophie. Je monte les étages arrive devant la porte. Je plaque mon oreille à la porte. J’entends rire un peu et quelques paroles que je ne déchiffre pas vraiment, mais aux timbres de voix l’ambiance semble détendue !Discrètement j’ouvre la porte et rentre dans l’appartement. De ce que j’avais pu voir des vidéos, l’entrée ne donne pas sur le salon directement où je suppose que sont les filles. Pour rappel, ce soir Sophie devait faire venir sa nouvelle proie, Lisa. Aux voix féminines que j’entends elle est bien là. Je m’avance discrètement et arrive a apercevoir le salon. J’arrive à assez bien voir Lisa, qui depuis la photos prise par Sophie a changé de tenue. Toujours dans l’esprit un peu grunge qu’elle semble aimer, je vois qu’elle porte un top noir, pas très long lui laissant le ventre à l’air, assortis à une jupe style écossais à carreaux. très cliché, elle a de hautes chaussettes lui couvrant les mollets. Vissé sur la tête, un bonnet couvre sa chevelure noire. Aux pieds, ce que j’aperçois semble être les même boots que le matin.Elles n’ont décidément pas perdu de temps car, Sophie est déjà entre les cuisses de Lisa, la bouche collée à la chatte de Lisa qui se malaxe les seins tout en appréciant.- Ho putain, t’es vraiment bonne, t’arrêtes pas, mange-moi bien, hummJ’entends les bruits d’aspirations que fait Sophie et qui me laisse comprendre qu’elle boit goulument Lisa- Hum, oh oui, putain ! quel dommage que je vais pas pouvoir te rendre la pareil ! quelle idée cette ceinture de chasteté bordel ! Mais la vache le type qui t’a il a du bol ! oh oui, hannn ! si tu le pompe aussi bien que tu me lèche il doit se régaler le veinard ! Han oui… J’avais sentis la première fois que je t’ai vu que t’es une coquine, mais je pensais pas à ce point ! Et dis-moi, il te fait quoi hein ? il te baise ? il t’encule aussi ? T’avale ?C’est le moment que je choisis pour révéler ma présence.- Ho que oui elle avale, je l’encule et la baise autant que je veux !Surprise par mon arrivée, les deux sursaute, par reflexe Lisa cherche à recouvrir sa chatte que Sophie à lâcher. Assez rapidement, elle Sophie à le réflexe de se placer à genoux face à moi, le regard vers le bas- Bonjour mon Maitre ! vous nous avez effrayées !- Nan mais sérieux, vous foutez quoi là ?- Je viens profiter de mon jouet. J’ai envie de la baiser alors je viens.- t’aurais pu me prévenir qu’il risquait d’arriver Sophie !- Lisa, je t’ai expliqué quand tu as découvert ma ceinture que je lui appartient totalement.- Nan mais sérieux, tu vas me laisser en plan là ?-J’interviens alors- Qui a dit que tu devais partir ? reste et profites des talents de Sophie ! je sais que sa bouche est très habille !- Nan mais vous aller rester là à nous mater ?- Non, je t’ai dit, je suis là pour baiser Sophie. L’un n’empêche pas l’autre. Sophie, reprends là où tu t’es arrêtée !Docile comme elle est, elle retourne se placer face à Lisa et cherche à lui faire écarter les cuisses. Lisa résiste un peu, et face à la moue suppliante de Sophie finit par céder. sans hésiter, Sophie se jette à nouveau sur la chatte de Lisa. Pour ma part, je vais m’assoir à coté de Lisa.- Alors, elle est bonne non ?- Carrément ! lâche t’elle puis se reprends un peu surprise.- Allons, ne fais pas la timorée, Sophie m’a dit que tu es bi, que tu t’en cache pas.- Oui mais, hannn putain, j’ai testé les deux, mais toujours à part, haaan- Et bien il est jamais mal de tenter de nouvelles expériences tu crois pas ?Tout en lui parlant, j’ai posé ma main sur sa cuisse pour lui faire écarter au maximum. sans s’en rendre compte, elle s’est laissé aller et maintenant offre sa chatte à la bouche de Sophie et à ma vue. Une jolie chatte, surmonté d’un fin ticket de métro bien entretenu. Ma main glisse de sa cuisse cers sa chatte et délicatement je vais de mes doigts accompagner la langue de Sophie.- Alors, tu en dis quoi ?- Ben, pourquoi pas, faut pas mourir idiot…Sur le dernier mot, je colle ma bouche à la sienne et me saisit de son sein droit au travers de son haut. De mon autre main, je guide sa main à elle vers mon entrejambe, bahis şirketleri que mécaniquement elle se met à palper au travers de mon jean.- On s’arrête ou on continu ?- On continu, me répond-elle d’une petite voix, en saisissant ma queue fermement.- Parfait, mets-toi à l’œuvre alorsTimidement malgré tout elle se bat avec ma braguette du bout de ses doigts. Elle a la main un peu tremblante.- Et bien que t’arrive-t-il ?- Je… han.. Je fais la maline mais j’ai au final pas tant d’expérience que ça. j’ai connu que deux filles, des coups vite faits et quelques mecs. Mais c’était très classique à chaque fois. Là ça dépasse de loin mes expériences.- Détends toi, on est là pour prendre du plaisir. Profites pleinement de Sophie, elle fera tout ce que tu lui demandera, et ne se préoccupera que de ta jouissance.Je finis par défaire mon pantalon moi-même et le retirer afin de faciliter la tâche de Lisa. Une fois rassis, toujours d’une main fébrile Lisa se saisit de ma queue au travers de mon caleçon, déjà bien tendue. Délicatement elle commence à me branler. Histoire de ne pas la brusquer et la laisser prendre ses repères je la laisse aller à son rythme. Néanmoins elle ne tarde pas à glisse sa petite main sous mon caleçon et se saisir de ma queue a pleine main. pour lui faciliter la tâche, soulevant mon bassin je retire mon caleçon et libère au grand air ma queue.Sophie sort la tête de l’entre cuisse de Lisa et reluque ma queue avec gourmandise en se léchant les lèvres.- Allons petite pute, occupe-toi de Lisa. Ma queue est pour elle pour le momentTandis que Sophie replonge sur la chatte de Lisa un peu déçue Lisa me dit- Tu lui parle toujours comme ça ?- Oui, pourquoi ? Tu as l’impression que ça la dérange ?- Non… C’est le plus étonnant d’ailleurs. Se faire traiter de pute comme ça…- t’occupe pas va. Occupe-toi donc plutôt de ma bite avec ta jolie petite bouche- haha, tu perds pas le nord toi ! J’adore ! me répond-elle tout en se baissant vers ma queue.Ma queue saisie à la base, elle la présente devant sa bouche. Sa langue vient passer du bas au haut de mon gland, bien appuyée. Du bout de la langue elle vient titiller mon méat, la base de la corolle de mon gland. Puis, d’une grande aspiration elle me la gobe tout entière.D’une bouche gourmande et généreuse en salive, elle démarre une fellation dans les règles. Pas la meilleure de ma vie, mais de bon niveau. Elle entretien ma dureté sans me mener à la jouissance. Ses doigts viennent caresser mes couilles, me les masser. Elle masse ma queue tout en me pompant, sans difficulté apparente, elle vient taper mon gland au fond de sa gorge. Sa bouche humide, chaude et accueillante me délasse et plait au plus haut point.Bien que derrière sa grande liberté se cachait une petite timidité, avec une bite en bouche plus rien ne semble la retenir? à moins que la langue de Sophie soit à l’origine de sa libération. Sophie ne ralentit pas la cadence et au bout d’un certain finit par mener Lisa à son premier orgasme. Je le ressent tout d’abord à la tension de sa bouche et sa main sur ma queue puis je l’entend dans le long râle de jouissance qu’elle finit par lâcherHann oui, continu, je viens, haaaaaaaaa putain c’est bon !Dans son orgasme, sa main a perdue de la cadence et du rythme bien qu’elle n’ait pas lâché ma queue. L’orgasme passé, Sophie quitte l’entrecuisse de Lisa toute souriante, fière de l’orgasme qu’elle a procuré à sa partenaire du jour. Son regard se porte immédiatement sur ma queue, toujours avec la même gourmandise.- Nonon, la sucette est pour Lisa pour le moment ma petite chienne. Va donc chercher tes joujouxTout en se remettant encore un peu de son orgasme, Lisa a repris sa branlette, les yeux un peu dans le vague. Sophie revient avec son rosebud, son plug et un god et m’interroge du regard.- Selon toi ?- Lui ? me demande t’elle en me montrant le plug à ventouse- OuiElle pose alors le plug sur la table basse et vient présenter son anus contre- Putain mais c’est énorme ! lance Lisa- ne t’en fais pas, elle a l’habitude.- Ho la vache- Occupes toi plutôt de ma queue ma belleLisa se lève du canapé pour venir se mettre à genoux entre mes cuisses, position plus confortable pour me pomper activement. Avant qu’elle n’engouffre ma queue turgescente j’att**** son haut et le lui retire et fais de même avec son soutien-gorge. Une fois les vêtements retirés j’en profites pour malaxer généreusement ses seins- Pour une asiat t’es bien fournie !- Haha, oui, mais je suis métisse, mon père est Thaï, ma mère est française. Eux, je les tiens d’elle !- très bel héritage familiale. Sophie elle n’a pas hérité des seins de sa mère. Et tu sais les rendre utiles ?- Comment ça ?- Tu ne sais pas qu’en dehors de les tripoter ou les reluquer, ils peuvent être utile ?En disant cela, la tenant par les deux seins je les rapprochent de ma queue que je viens glisser entre. Lisa me regarde faire et finit par sourire- Une branlette espagnole, c’est ça ?- Tout à fait !Ses mains viennent remplacer les miennes pour enserrer ma queue et elle entame des mouvements de haut en bas. Quand ma queue est au plus haut elle lui met un coup de langue ou en tête le gland. elle finit par libérer ma queue de ses seins pour venir me la pomper généreusement. Pendant qu’elle est à l’œuvre, je fais signe à Sophie, empalée sur son god de nous rejoindre discrètement. Par des gestes je lui fais comprendre ce que j’attends d’elle. Se déplaçant à quatre pattes, elle vient se placer derrière Lisa qui n’a rien vu venir, et lui passe sa langue sur la rondelle. Surprise, Lisa se redresse- Heu, non, pas là, sens interdit !- Pchhutt ma belle, laisse toi faire, elle va pas te faire de mal- Non, mais je veux pas ça, j’ai jamais fait par là- Allons, t’es plus à une première fois prêt, non ?Je termine ma phrase en posant ma main derrière sa tête, et d’une légère pression je reguide ma queue dans sa bouche. Sous forme de résignation et d’acceptation, elle me repompe alors que Sophie a redémarré son anulingus. A en juger aux petits gémissements de Lisa, ce n’est pas si désagréable. Nous restons ainsi quelques instants, quand je décide de changer de position. Je retire Lisa de sur ma queue, et, la saisissant par le bras je la fais se rassoir sur le canapé. Je me lève et, la prenant sous les genoux, je bascule ses jambes au niveau de sa tête. telle une marionnette, Lisa se laisse positionner. Je passe ses bras par-dessus ses jambes, exposant ainsi pleinement ses orifices.Pour ma part, je monte sur le canapé et vient présenter ma queue à Lisa qui la gobe sans hésiter. Sophie, de son côté ayant compris la manœuvre et venue se placer devant Lisa et a répit son léchage d’anus. Ma position me permet de la voir tout en admirant la bouche gourmande de Lisa. Sophie a commencé à faire tourner un doigt autour de la rondelle vierge de Lisa pour en attendrir la chair? Je la vois doucement préparer le passage. Petit à petit une phalange complète s’insère, délicatement, pour frayer un passage au doigt entier. L’anus de Lisa étant occupé par son doigt qui maintenant fait de petits va et viens, Sophie vient poser sa langue sur la chatte juteuse de Lisa, lui déclenchant un gémissement de plaisir.- Ho putain, c’est trop bon tout ça, mais qu’elle salope, t’avais raison- je t’ai dit, on est là pour prendre du plaisir, laisse nous faire- J’ai envie que tu me baise ! ho putain, j’ai jamais dit ça de ma vie, mais oui, baise moi !- Si tu le demandeSophie s’est poussée d’elle même, me permettant de venir me placer entre les jambes de Lisa.- Sophie, capote !Sophie se précipite vers un tiroir et reviens en ouvrant l’emballage.- sans les mains !Elle positionne alors la capote à l’entrée de sa bouche et se penche sur ma queue. d’un façon très habille, la capote trouve rapidement sa place. En bonne gourmande qu’elle est, Sophie ne peut s’empêcher de commencer à me pomper.- Stop ! je t’ai, ma queue est pour Lisa ! Mets-toi le plug en place et reviens par iciMa queue à la main, je viens la présenter contre la chatte de Lisa, qui d’un regard de braise me fait comprendre son impatience. Je décide alors de l’embrocher d’un trait !- Haaaannnn oui !Je pousse ma queue bien au fond, venant butter tout contre son utérus. Son petit gabarit ne lui permet pas de m’accueillir en entier en profondeur. Je démarre alors un va et viens lent et profond, tout en m’appuyant sur ses jambes pour la maintenir bien ouverte. une fois le chemin bien préparé, j’augmente la cadence. Je me retourne un peu pour att****r Sophie par les cheveux et lui plaquer la bouche sur l’anus de Lisa. Je lui monte ensuite la tête pour la plaquer sur le mien. Sa langue vient me fouiller généreusement. Pour ma part je m’éclate avec le corps de Lisa, que de son côté semble y trouver son propre plaisir.Je ralentis la cadence et me retire en douceur, laissant sa chatte béante du passage de ma queue. Je frotte mon gland contre son anus pour y étaler sa mouille généreuse tout en poussant légèrement.- Ho.. non, pas par là- Laisse toi faire ma belle- Oui laisse toi faire Lisa, tu vas voir, c’est bon ! regarde-moi, je prends par-là exclusivement depuis presque 1 semaine. et j’adore- Bon, ok, mais doucement s’il te plaitJe pousse un peu plus mon gland contre son passage interdit jusqu’à le faire rentrer. Cela la fait se contracter- hun.. ouf… doucement- Détends toiJe recommence à bouger doucement, faisant aller et venir mon gland en elle, poussant un peu plus à chaque fois. Petit à petit ma bite se retrouve totalement en elle. je lui laisse le temps de s’habituer, de reprendre son souffle. Pour le moment elle semble encaisser sans y prendre beaucoup de plaisir. Au fur et à mesure je sens son conduit se détendre autour de ma queue. Toujours haletante, elle beaucoup moins crispée et ma queue a la place de bouger. j’entame donc des mouvements plus amples, allant jusqu’à presque me retirer pour réinvestir son anus étroit complètement à nouveau. J’ai rapidement la liberté d’aller et venir elle. Lisa, détendue semble commencer à apprécier. Elle se mord la lèvre inférieur, se masse les seins à pleines mains, se tord les tétons.une de ses mains vient se poser sur sa chatte, à la recherche de son clito.- Laisse faire SophieJe tire alors Sophie vers la chatte de Lisa, qu’elle s’empresse de dévorer- Ho putain, ouiiiii, hannnnnJe la sens soudainement encore plus détendue et peux alors me lâcher dans son cul. je me mets donc à la pistonner comme il se doit, venant claquer mes couilles contre ses fesses. Lisa a glissé une main entre les cuisses de Sophie, et à défaut de pouvoir jouer avec sa chatte lui triture le cul par le biais du plug enfoncé en elle. Sophie exprime son plaisir par des gémissements étouffés dans la chatte de Lisa.d’un coup Lisa se raidit, son cul se resserre sur ma queue et elle part dans un long et sonore orgasme.Sentant la fin arrivée, je me retire du cul de Lisa, retire ma capote en écartant Sophie. Je me termine à la main et me fais gicler en direction des seins de Lisa. Sophie, affamée fidèle se jette sur mon sperme léchant le corps de Lisa pour en récupérer la moindre goutte. Elle vient ensuite nettoyer ma queue. Ceci fait, elle se tourne vers Lisa et va lui coller sa bouche à la sienne. Les deux se lancent alors dans une valse de langues endiablée. Elles finissent par se séparer.- Ho putain, je suis rincée, vous deux alors- Ton petit cul va bien ?- Humm oui. Si j’avais sus je m’y serais mise plus tôt hahaha. Mais Sophie, elle n’a eu droit elle !- Si, j’ai jouit de votre jouissance… Vous ne l’avez pas vu mais j’ai eu mon orgasme pendant qu’il t’enculait et que tu me torturait le cul- Tu as jouis juste du cul ? sérieux ?- Oui- ha bon… mais j’aurais quand même voulut gouter à ta chatte.- Ca il faut demander à mon Maître…- On verra ça une autre fois. Pour le moment sa chatte est ma propriété exclusive. Son cul par contre c’est open bar ! si t’as envie de te défouler dessus te prie pas. Sinon tu peux juste profiter de sa bouche, a priori elle sait y faire- Ho oui elle se débrouille très bien. Ok, je note, je ne me priverais pas. c’est à volonté alors ?- Oui, Sophie a simplement obligation de me demander la permission avant de s’offrir à quelqu’un. Donc je saurais si elle baise avec toi.- Cool, tant que tu acceptes haha- Ça dépendra de si toi tu es aussi généreuse que tu me demande de l’être- Humm… faut voir dit-elle en me tripotant la queue. faut avouer que j’ai pris un sacré pied et que j’aurais rien contre le fait de recommencer- Intéressant. Et sache qu’on a bien plus à t’offrir si ça t’intéresse- Quoi donc ?- Tu verras, à toi de faire le prochain pas vers nous et de te montrer ouverte- Tu m’intrigues là- Tu n’en sauras pas plus. Bien, un brin de toilette et je me sauve.Je vais à la salle de bain pour me passer sous l’eau histoire de me rafraichir avec de reprendre la route. A peine sous la douche, on toque à la porte- Oui entreSophie franchit la porte, à quatre patte et viens se placer devant moi.- Maître, je viens m’offrir à vous. Je voudrais moi aussi vous faire jouir ce soir- Tu voudrais ??- pardonnez-moi… Enculez moi s’il vous plait. J’ai besoin de vous sentir au fond de moi s’il vous plait- Tu veux que je t’encule ? okToute souriante, Sophie se jette sur ma bite ramollie et s’attèle à la faire redresser. Ses talents buccaux sont tels que ça ne met pas longtemps. Une fois raide, la tirant par les cheveux je la fais se lever et la plaque face contre le mur. Je lui retire le plug d’un coup sec, déclenchant un râle de douleur. Je pointe ma queue contre son anus- J’ai accepté de t’enculer, pas de te faire jouirEt je lui plante ma queue au fond de son conduit anal élargit par le plug. Comme je l’ai fait à sa mère, son cul me sert de défouloir. Je la ramone, sauvagement. Mon objectif est de jouir rapidement au fond de ses intestins. Ce qui arrive rapidement, bien qu’avec une faible quantité de sperme. Quand j’en ai finis, Sophie tombe à terre, pantelante. Je lui remet le plug en place afin que mon sperme ne la quitte pas. dans mon dos j’entends une voix- T’y va pas de main morte avec elle !C’est Lisa qui nous a observé dans l’encadrement de la porte, la main sous sa jupe.- Et ? t’as l’impression que ça la dérange ?- Nan, carrément pas en fait, elle est aux anges. Dit, tu me la prête pour la nuit ?- Oui, fais toi plaisir ! Tu as le droit de la faire jouir, mais tu as aussi le droit de ne PAS la faire jouir. Tu verras, plus tu la frustre, plus elle est chienne- Ok, je note. Tu lui as, enfin, t’as jouis dans son cul là ?- Oui- et.. t’es clean hein ? je veux dire, pas de MST ou autre saloperie ?- Non, pourquoi ?- peut être que j’ai envie de re gouter à ton sperme haha- fais toi plaisir ! maintenant laissez-moi me doucherLes deux sorte de la pièce. je fais ce que j’ai à faire et les rejoins dans le salon. Lisa s’est installée dans un fauteuil, face à la télé où elle zappe. Sophie elle est entre ses cuisse à la lécher. A priori Lisa son programme pour la soirée.- Bon amusez-vous bien toute les deux. Je file- Hey attendsLisa se lève précipitamment et vient vers moi. Elle me saute au cou et m’embrasse à pleine langue et se laisse retomber au sol- Juste pour te remercier, c’était vraiment cool ce soir. Aller ciao à bientôt- SalutJe quitte les filles qui je sais ne vont pas s’ennuyer cette nuit et reprend la route. J’ai mine de rien passé presque deux heures avec elles. La route me parait interminable mais je finis par arriver. Arrivée dans l’appartement, je retrouve la petite famille comme je l’avais laissé, avec quelques cernes en plus- Coucou mes poupées ! comment ça va ? Ho mais dites-moi, c’est quoi toutes ces petites flaques par terre ?Sous les filles comme sous Pierre je remarque des petite marre de mouille.Je retire le bâillon à Julie en premier qui essoufflée- Maître, pitié, j’en peux plus. Je suis vidée, purgée… j’ai jouis tellement de fois, mais là j’ai mal… pitié, je suis votre chose mais ayez la bonté de me libérer je vous en supplie- J’ai pas l’intention de vous faire souffrir d’avantage rassurez-vous.Retirant le bâillon à Pierre et Isabelle- Et vous les amoureux, vous avez jouis ?- Oui, tellement plus ce soir que presqu’en une vie avec cette sous merde, mais moi aussi j’en peux plus…Pierre de son côté ne dis rien, il se contente de garder le regard bas.Je détaches les filles en premier et termine par Pierre, qui sans que je le lui dise se dirige à quatre patte vers les WC qui sont dorénavant sa place. En se déplaçant, on voit son cul encore totalement ouvert.De même pour les filles, je remarque qu’elles sont écartelées.- Bon, allez faire un brin de toilette et rejoignez moi au lit. Avant rattachez bien la lopette. Vous pourrez dormir avec moi cette nuit.- Merci Maître me répondent elle en cœur.Je vais dans la chambre et me glisse nu sous les draps. Rapidement Isabelle et Julie me rejoignent et se glisse chacune d’un côté, sous les draps. elles se blottissent contre moi, me murmurant un merci chacune. rapidement nous sombrons dans le sommeil tous les trois.

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