L’ouvrière Soumise Ch. 07

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Behind

Les trois jours passent très vite et au petit déjeuné de ce samedi matin mon mari m’apporte ses derniers conseils pour la soirée.

– Je veux que tu sois la plus sexy possible, ta petite robe noire, tu sais la courte et légère que j’adore.

– T’est pas bien, elle est trop sexy pour cette soirée, en plus elle dévoile trop mes formes.

– Justement, ils n’en pourront plus et tu seras irrésistible, ils ne pourront rien te refuser.

– Tu abuses et ensuite je mets quoi?

– Je veux que tu mettes des bas à couture, ça embelli tes magnifiques jambes, tu mettras aussi ton petit string noir affriolant en dentelle.

– T’est fou ou quoi, que vient faire là mon string, tu ne vas quant même pas leur montrer mon intimité?

– Mais non, çà c’est pour moi tout seul, j’aurais le plaisir de te savoir aussi désirable alors qu’eux n’en sauront rien, je trouve çà excitant pas toi?

– Si çà te fait plaisir, t’en pis pour toi mon chéri.

– T’inquiète pas, je gère et j’aimerai aussi que tu ne porte pas de soutien gorge, ta poitrine est très belle, tu es bien plus féminine quant tu ne porte rien.

– Ben voyions, les seins nus en plus, tu ne crois pas que tu abuse?

– Mais non, mais non, crois moi tu vas adorer, çà va te chauffer toute la soirée, c’est moi qui vais en profiter après leur départ.

– En profiter après leur départ, tu es sur de ce que tu dis là?

Je n’en crois pas mes oreilles, mon mari va me jeter dans la gueule du loup, il veut que je m’habille comme une vrai salope, rien que pour les séduire, vraiment il n’imagine pas ce qui peut se passer, n’ayant aucune idée de ce qu’ils sont capables de faire, ces deux là.

Mais après tout, en cas de dérapage cela peut m’arranger, je peut toujours lui dire que c’est de sa faute, qu’il m’a trop exhibée et comme tout homme qui se respecte, ils ont craqué et ont abusé de la situation, moi je l’avais prévenu.

La journée passe très vite et mon excitation est à son comble, je ne peut que penser à ce que ces deux pervers vont me réserver.

Je prends un bain pour me relaxer, je vérifie mon épilation pour maintenir ma peau douce jusqu’à ma vulve que j’ai rasé l’autre jour, elle est tellement douce sans aucun poil disgracieux, aucun homme ne peut y résister.

Brushing aérien, parfumé et bien maquillée, je me sens très belle et désirable.

J’enfile donc un mini porte-jarretelles avec des bas de soie noir couture, comme convenu je ne met pas de soutien gorges laissant mes seins à l’air libre, mais je désobéis tout de même en ne mettant pas de string car Marcel me préfère totalement nue sous mes robes.

Je me mets devant la glace de la chambre, j’y vois une très belle femme, apprêtée comme un cadeau que l’on va offrir, mon corps ainsi orné, appelle aux plaisirs de la chair.

Ensuite j’enfile cette fameuse petite robe noire, bien trop courte qui épouse parfaitement mes formes, comme je le crains, on distingue mes seins et les pointes qui s’érigent déjà sous le plaisir naissant, c’est plutôt osé mais c’est mon homme qui le veut ainsi.

Je mets enfin mes plus beaux escarpins en vernis noir qui viennent parfaire ma tenue de femme fatale.

Si ce n’est que moi, je n’oserais jamais me présenter devant d’autres hommes ainsi vêtue surtout en présence de mon mari, c’est une véritable invitation au crime, s’il veut qu’ils abusent de moi, il n’a pas fait mieux.

Je l’ai prévenu, je ne peut répondre de rien, tant pis pour lui.

Mon homme quant à lui, il a préparé les festivités, si je puis dire, traiteur pour le repas, champagne prévu de l’apéritif jusqu’au dessert et pourtant il sait qu’il me monte trop rapidement à la tête.

Il a prévu une table ronde pour le dîner, il m’a dit que cela sera plus convivial.

Il est presque l’heure lorsqu’il me dit :

– Tu es prête ma chérie? Vient me faire voir comment tu es belle.

Je le rejoint dans le salon en me déhanchant comme les mannequins lors d’un défilé.

– Waouh ! Quelle beauté, tu es vraiment appétissante, je ne sais pas si nous allons pouvoir nous retenir ce soir.

– Comment ça? Tu ne compte pas faire de bêtises, chérie rassure moi?

– Mais non mon amour, c’est juste pour te dire qu’ils n’auront d’yeux que pour toi, il ne peut pas en être autrement, mais rassure toi, je suis là, il vient m’embrasser affectueusement sur la joue.

Dring… Dring…

– A les festivités vont commencer.

Il me met une tape amicale sur la fesse et me dit :

– A toi de jouer ma belle, va leur ouvrir la porte.

C’est avec le cœur battant que je me dirige vers l’entrée, anxieuse et impatiente à la fois de revoir mes deux amants.

J’ouvre la porte, Marcel dit de suite :

– Bonsoir, que tu es ravissante !

Repris immédiatement par son ami Jean.

– Tout ça en notre honneur, nous ne méritons pas tant de beauté

– Je vous en pris messieurs, veuillez entrée je vais vous présenter à mon époux.

Ils me laissent passer devant, ils en profitent pour me caresser les fesses au passage histoire de mettre l’ambiance pour le reste de la soirée.

Je rougis immédiatement Ankara escort comme une pivoine, la découverte de leurs mauvaises intentions confirme mes craintes et décuple mon excitation.

Marcel me chuchote à l’oreille :

– Je constate que tu ne porte pas de culotte, j’apprécie ce geste.

– Bonsoir messieurs.

Reprend mon mari qui se pointe au bout du couloir

– Bienvenus chez nous, c’est un réel plaisir que de vous rencontrer.

– Il en va de même pour nous, surtout avec une aussi jolie femme que la votre.

Marcel me regarde du coin de l’œil pour vérifier m’a gène. Ne voulant pas que cette discussion s’éternise au risque de toucher les points sensibles, je leur coupe la parole : – Vous êtes tous des charmeurs mais passons au salon pour prendre un apéritif.

– C’est vous la reine de cette soirée nous ne pouvons que vous obéir.

Là encore, ils laissent mon mari passer devant en direction du salon, ils en profitent pour me peloter outrageusement les fesses tout le long du couloir.

Rien que ces petits gestes déplacés suffisent pour allumer le feu dans mon ventre, encore cette fameuse peur mêlé au plaisir pervers que j’aime tant.

Je réussis néanmoins à leur échapper de crainte qu’ils n’aillent trop loin et surtout trop vite.

– Installez vous je vais vous servir

Mon homme se pose dans un des fauteuils du salon, laissant ainsi nos invités sur le grand canapé face à la cheminé, puis il leur propose :

– Que désirez-vous boire messieurs? Si je peux me permettre nous nous serons au champagne toute cette soirée, Nicole adore çà et j’aime lui faire plaisir.

– Cela nous convient aussi, le champagne est une boisson agréable, d’ailleurs cette boisson divine transforme les femmes, rajoutant à leur beauté la légèreté du cœur.

– Mais vous êtes un vrai poète et vous allez faire rougir mon épouse.

– Mais votre épouse n’a pas besoin de champagne au regard de sa beauté.

Tout en riant mon époux repend :

– Il va falloir que je la surveille si je comprends bien, tu entends çà ma chérie ?

– Je te l’ai bien dit que ce sont des charmeurs, mais intraitables au travail.

Nous trinquons aux travaux, à nos amours, au bout d’un moment mon mari me demande de m’asseoir.

– Chérie assied toi un instant, tu me donne le tournis en restant debout

Sauf que la dernière place disponible se trouve dans le fauteuil face à nos deux compères.

Je m’installe donc dans le profond fauteuil ce qui remonte immédiatement ma robe presque à la limite des bas, ce que personne ne peut louper ni même mon mari.

La scène est impudique, la rougeur de mes joues s’accentue rapidement alors que mon mari regarde fièrement nos invités que ma position ne laisse pas insensibles.

Mon mari remplit de nouveau nos verres.

– Alors messieurs, mon épouse m’a dit que vous dirigez son atelier, c’est bien ça?

– Effectivement, nous avons cette chance, de travailler avec de très belles femmes.

– Cela doit être très agréable de voir travailler toutes ces jolies ouvrières.

– Oui bien sur, il y a peu d’ouvrières, aussi de belles que votre magnifique épouse.

Marcel rapporte toujours les discutions vers moi comme pour me mettre mal à l’aise, c’est vraiment gênant vis-à-vis de mon mari qui pourtant prend très bien tous les compliments qu’il peut faire sur mon physique.

– J’ai effectivement beaucoup de chance d’avoir une si belle femme et croyiez moi, elle est très convoitée si j’en crois les regards que les hommes portent sur elle.

Là encore je dois intervenir pour éviter que les discutions ne dérapent.

– Messieurs, nous ne sommes pas au travail et on peut parler d’autre choses, non?

– Mais, mon amour, au contraire c’est très intéressant, je découvre ton univers au travers de nos hôtes et quoi de plus agréable que de parler de toi.

– Tenez, vos verres sont déjà vides, tient ma chérie, je sais que tu aime çà.

– Doucement, tu sais bien que je ne tiens pas l’alcool.

– Oui, mais elle te rend encore plus désirable

Marcel en profite à son tour :

– Faites attention, plus désirable que çà et nous ne répondons plus de rien.

– Tu vois ces messieurs sont d’accord avec moi, trinquons à ta beauté.

Nous discutons ainsi un bon quart d’heure, les verres se vident et se remplissent sans discontinuer, mon mari sympathise avec mes deux amants, ils rient des blagus sur les femmes

Je l’ai rarement vu aussi détendu avec des inconnus, on peut presque croire qu’ils se connaissent déjà, pour ma part l’alcool commence à me chauffer les tempes, ce qui me libère aussi de tout tabous.

Je ris avec eux, me penche en avant pour mieux les écouter, je laisse ma robe remonter jusqu’à dévoiler le haut de mes bas, mon décolleté laisse entrevoir mes seins.

Les deux invités n’en ratent aucune miette, devant mon mari et sans aucun complexe ils redoublent de compliments sur ma beauté, surtout sur mon corps, mon époux semble aux anges, naïf ou incrédule?

Malgré mon état de gaieté lié à l’abus d’alcool, je me ankara rus escort rends compte que Marcel détaille très précisément mes courbes, mes formes anatomiques tout en parlant, mon mari le suit avec beaucoup d’intérêt mais sans rien dire.

Jean se tourne vers moi pour me dire :

– Ma chère Nicole, se serait agréable d’avoir un petit fond musical pendant ces intéressantes discutions.

Je regarde mon mari comme pour lui demander son avis mais il est toujours concentré sur le discours de Marcel, alors je me lève pour mettre un CD de jazz qui me semble approprié, je me dis qu’effectivement ce fond musical rend le moment plus agréable.

En retournant me rasseoir, le Jean me fait signe en tapotant sur l’accoudoir du canapé près de lui et me dit :

– Ma chère Nicole, ne me laisser pas seul, venez là près de moi.

Je regarde de nouveau mon mari, l’air surprise comme si je n’ai pas compris la demande formulé.

– Vous avez bien entendu, ne vous préoccupez pas de nos amis, ils sont trop occupés dans leurs bavardages, venez là à mes cotés, nous avons tant de choses à nous dire.

Sans savoir si je dois le faire ou pas, je m’approche doucement avec de nouveau cette angoisse malsaine qui me porte au cœur, je regards vers mon mari réclamant sûrement ce que je dois faire.

Mais mon homme ne semble pas percuter ce qui se trame, il est totalement concentré sur le discours de Marcel, qui tout en parlant me regarde avec des yeux gourmands, cherchant à me faire comprendre que les choses sérieuses vont commencer.

C’est la boule au ventre que j’avance vers Jean, celui qui a abusé de moi chez Marcel, il ne va pas abuser de moi devant mon mari, il n’osera quand même pas?

Arrivée à sa hauteur, il me dit :

– Restez donc là, debout près de moi et ne craigniez rien nous sommes dissimulés par votre magnifique bouquet de fleurs.

Effectivement regardant vers les deux autres j’aperçois que le grand vase de glaïeuls sur la table base fait comme un rempart visuel entre nous et eux.

Je reste donc là tel un décor, regardant toujours vers mon homme comme pour me rassurer, lorsque il me chuchote :

– Vous savez bien que vous n’avez pas le choix, alors pourquoi réfléchir?

Je suis horrifié en entendant ses mots, il est fou, quoi qu’il fasse mon mari va forcément réagir il ne peut pas en être autrement.

Tout en restant fixée sur mon mari qui écoute toujours Marcel, je sens une main remonter sous ma robe jusqu’à venir me peloter les fesses, je suis en stress total le cœur battant et la peau moite.

Je ne bouge pas d’un centimètre espérant que mon mari ne s’aperçoive de rien, par contre je sens très bien cette main qui me fouille carrément sous la robe. Des doigts inquisiteurs font des vas et vient dans le sillon de ma vulve et entre mes fesses tout en badigeonnant le liquide poisseux qui dévoile malgré moi le plaisir que me procure cette situation.

Toujours en chuchotant il reprend :

– Je vois que vous êtes toujours aussi réceptive.

Sa main parcoure plusieurs fois mes jambes, caressant le voile des mes bas pour venir se poser sur la chair de mon entre cuisse, me procurant a chaque passage d’agréables frissons.

Puis glissant un doigt sous une jarretière, il remonte jusqu’au bord de ma vulve qu’il parcoure lentement appréciant sûrement l’absence totale de pilosité.

Son doigt s’immisce ensuite dans ma fente humide, séparant mes grandes lèvres qu’il décolle facilement, il le glisse ensuite lentement au travers du sillon en direction de ma rosette jusqu’à venir sur ce petit trou interdit.

Il fait cela avec une telle discrétion, semblant de rien il regarde lui aussi vers nos deux interlocuteurs qui ne se doutent de rien.

Poursuivant son discours Marcel n’en est pourtant pas dupe, il me regarde de temps en temps par-dessus l’épaule de mon mari, cherchant à deviner sur mon visage ce qui peut bien se passer sous ma robe.

Moi j’entre petit à petit en transe, le traitement que ce pervers m’inflige presque à la vue de tous commence à porter ses fruits, j’ai du mal à rester calme et immobile.

Ce salaud doit bien le sentir, car il décide de poursuivre sa fouille, mouillant son doigt dans ma chatte à plusieurs reprises, il retourne appliquer ce lubrifiant naturel sur mon petit trou, pénétrant a chaque fois un peu plus dans mon anus.

Après quelques vas et vient il entre la totalité de son doigt et reste ainsi sans bouger quelques instant comme pour habituer mon cul à cette visite anormale.

Au plaisir est venu se joindre la honte, l’humiliation d’être ainsi doigtée devant mon mari qui fait toujours comme si de rien n’était. C’est irréel, comment peut il ne s’apercevoir de rien, serait-ce ce point particulier qui m’excite autant.

Je sens maintenant le doigt qui coulisse dans mon cul, cherchant à aller toujours plus profondément dans mes entrailles, le mouvement est facilité par l’abondance de ma lubrification à tel point, qu’il y a joint un deuxième, puis un troisième doigt à la fête.

Ma corolle s’ouvre ankara türbanlı escort sans problèmes avalant tout ce qui se présente avec une facilité déconcertante, cela m’humilie encore plus.

Il joue ainsi quelques minutes, m’arrondissant littéralement le trou du cul, tout en faisant semblant de suivre leur conversation.

J’ai les yeux mi-clos savourant mon plaisir, quelle salope je suis donc devenue, non seulement je prends un plaisir indescriptible à tromper mon mari, mais là, je suis presque en train de jouir devant lui sous les caresses d’un véritable pervers.

Une fois que mon cul est bien dilaté il vient ensuite faire le même traitement à ma chatte dans laquelle il entre beaucoup plus facilement tellement je suis humide.

Sans le vouloir, en me fouillant il touche à plusieurs reprises mon clitoris qui sous ce traitement à immédiatement déclencher les vibrations et des frissons qui me mennent vers la jouissance.

Ayant compris que je parts pour le septième ciel, il a stoppe immédiatement la vague dévastatrice en me pinçant fortement le clitoris. Il me provoque ainsi une douleur très vive et insupportable qui stoppe effectivement net ma jouissance, cependant je ne peux retenir un petit cri de surprise.

– HUMM !

Reprenant mes esprits j’entends enfin mon mari.

– Et bien chérie, vous faites bande à part? Vient donc resservir nos verres.

– Ne bouger pas je vais le faire.

Répond Jean.

C’est tout naturellement, comme si de rien n’était, qu’il se lève et remplit leurs verres, se tournant vers mon mari il lui dit :

– Votre épouse et moi, nous refaisons le monde, elle est fâchée que vous ne parliez que de travail.

– Je la reconnais bien là, continuez donc à refaire le monde, nous nous discutons de votre nouvelle fonction, ainsi que de la future nomination de mon épouse à la fonction de cheffe d’équipe.

Mon mari a du boire pas mal de verres car il semblE comme sur un nuage avec un comportement naïf que je ne lui connaît pas, d’ailleurs je réussis à apercevoir le clin d’œil que Marcel fait à Jean, alors qu’il revient vers moi ce qui me laisse à penser que le pire est encore à venir.

Jean se rassoit à sa place il replace immédiatement sa main sous ma robe pour se remettre à me doigter la chatte de plus belle.

– Vous voyez que vous n’avez rien à craindre

Il me doigte pendant d’interminables minutes, il me maintient au bord de l’extase sans pour autant me laisser jouir, je suis tellement excitée que ma liqueur coule le long de mes cuisses.

Au bout d’un moment malgré ma tête dans les nuages je l’entends dire :

– Voulez vous que je vous baise?

Ais-je bien entendu?

Décidément là, il pousse le bouchon trop loin, je lui réponds le plus doucement possible pour que personne d’autre ne m’entende.

– Vous êtes complètement fou, me caresser en cachette passe encore, pour le reste ce n’est pas possible.

– Je ne vous demande pas si c’est possible, juste si vous en avez envie.

– Oui, bien sur, avec ce que vous me faite subir depuis une heure.

– Alors venez allons dans votre cuisine.

– Mais non ? Vous n’êtes pas sérieux ?

Sans attendre il se lève et passe devant les deux autres, il leur dit :

– Pendant que vous vous amusez, nous nous allons préparer le repas.

Mon mari le regarde et en souriant il lui dit :

– Je vous en prie et faites ça bien, votre ami et moi nous nous occuperons du dessert.

Il ne pense pas si bien dire, le Jean me tend la main en disant :

– Venez ma chère, nous avons du pain sur la planche.

Je le rejoints sans dire mot, espérant me faufiler sans que personne ne me remarque, alors que je passe juste devant mon mari, il se lève, me prend dans ses bras pour m’embrasser en me tapotant la fesse.

– Je compte sur toi mon amour, prépare nous un bon repas

Puis en se retournant vers Marcel, il lui dit :

– Venez Marcel, avec tout ça il faut que je vous montre mes photos

Ils se dirige vers le bureau pendant que Jean me prend par la taille en m’emmenant dans la cuisine.

Notre cuisine est ouverte sur le salon avec un grand meuble type bar qui fait office de séparation, en étant accoudé à ce bar, on a la vue sur la totalité du salon, de l’entrée et du couloir qui mène aux chambres ainsi qu’au bureau.

L’endroit est stratégique pour maintenir une surveillance en cas de retour de mon mari, ainsi mon profiteur compte bien se servir de cet avantage pour abuser un peu plus de ma personne.

Ça ne loupe pas, sans dire un mot, il me pousse contre le meuble en pliant mon bassin de façon à relever mes fesses. Je reste ainsi appuyez sur mes avants bras, le regard fixé sur le couloir d’où mon mari peut surgir.

Je sens ses mains sur mes fesses, les caressant comme un bel objet. Il relève doucement ma robe sur mes reins faisant apparaître la blancheur de mes chairs contre lesquelles, il vient frotter son sexe bandé au travers du pantalon.

Se retirant il m’écarte les jambes pour dégager la vue et le passage vers ma vulve sur laquelle, il passe délicatement une main vérifiant du coup l’état de lubrification qu’il a provoqué quelques minutes avant.

Tout doit être comme il le souhaite, car je sens ses doigts écarter mes lèvres et de suite me les mettre profondément dans la moule, quelques vas et vient au ralenti finissent d’étaler ma cyprine sur toute la surface de mes parties intimes.

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