Princesse Lamballe

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Princesse LamballePhil et moi tapions souvent la balle avec le fils de Mme Lamballe, joliefemme de quarante ans. Au club de tennis elle nous faisait tourner latête. Je veux dire des garçons et des hommes. On put dire qu’elletouchait une large coterie de 7 à 77 ans. Nous avions eu de vagues échosque deux, trois moniteurs du club la bourraient des fois dans levestiaire. C’était une vicieuse, une garce. Je faisais la part del’exagération et cependant à sa façon de déambuler et de vous fixer iln’y avait guère de doute. Elle était une affamée de sexe. Je l’eus voulupour moi seule.J’avais en ce temps dix-sept ans et en faisait davantage. Je n’étais paspeu fier de ma taille et de mes biscotos. J’avais été débauché il y apeu par la mère d’un copain. Elle m’avait branlé puis sucé dans savoiture. Peu après et régulièrement nous baisâmes dans des boisalentour. Je devins ainsi son amant. J’y appris beaucoup. Je devinsaccro à la chose et notamment à ce genre de femme mature etexpérimentée. Je n’avais cure des fredaines de l’amour et quitte àm’épanouir dans du sexe physique autant que ce fut avec une femme vraie .Je n’osais espérer qu’un jour mon chemin croisât celui de Mme Lamballe.Le hasard a plus d’un tour dans son sac et le monde n’est-ce pas, estpetit. Je venais souvent taper le carton et faire des parties de babyfoot chez l’oncle. Il n’était pas le dernier à me motiver sur lesfemmes. Lui-même Don Juan émérite, il collectionnait dans la ville pasmal de conquêtes. Il me confirmait qu’il me fallait taper dans lesquadras. Les plus garces qu’il me disait. canlı bahis Lorsqu’une venait le visiter,je me retirais dans ma chambre avec mon jeu vidéo. Cependant j’avaisdroit des fois de mater par un petit trou.L’oncle flattait mon côté voyeur tandis qu’il m’infligeait sasupériorité bestiale. Ainsi il m’en remontrait. J’apprenais ce quevoulait dire baiser, sauter une salope. Dans le vice j’avais encore duchemin à faire. J’étais impressionné par la brutalité des saillies et lareconnaissance rencontrée auprès des amantes qu’on eût pu dire sesvictimes. N’empêche celles-ci en redemandaient et y revenaient souvent.Il y avait des habituées, bourgeoises dont on eût bien été étonné dedécouvrir le vice. Je ne les croisais pas sans sourire dans les rues dela ville. Leur secret m’excitait.Mon oncle considérât un moment que je pouvais passer dans la classesupérieure. Il m’associa à ses jeux. Quelques garces aimaient à êtreprise par deux mâles en même temps. Dans le même ordre d’idée je cruspouvoir recruter l’ami Phil autant que moi porté sur la chose. L’onclele trouva sympa et accueillit volontiers ce nouveau stagiaire. Plus eston est de fous, plus on rit. Nous prîmes un jour une garce à troisensemble. Nous formions une sacrée légion étrangère. Puis un jour jedécouvris par le trou la belle Mme Lamballe entrain de se faire enculerpar mon oncle.J’en conçus un peu de dépit voire de jalousie. Autant il m’importait peuque cette garce se fit sauter partout ailleurs. Autant ici j’étaisécœuré que ce fut presque sous mes yeux et ce par les soins de l”onclecoquin. bahis siteleri Je n’en laissais rien paraître à celui-ci. Cependant il devinaquelque chose après qu’il m’eut demandé ce que je pensais du cul del’autre salope. Il évoquait bien sure Mme Lamballe. Je haussais desépaules. Il comprit que je la connaissais et roublard m’en fit cracherle morceau. Je lui balançais tout. Aussi beau joueur me dit-il : “Je tel’offre. Elle est à ta portée de fusil.”Pouvais-je refuser et paraître me dégonfler. Phil au courant m’exhortaisd’y aller et même me menacer avec l’assentiment de l’oncle de meremplacer. Il avait moins de scrupule que moi à sauter cette salope.Bref je dus rentrer dans l’arène. Entre temps temps et pour charger lamule l’oncle monta une autre séance où la garce fut offerte à M Trump,son voisin de palier. Notoire retraité et vicieux que je méprisais parailleurs. Je le croyais unique amateur de tendrons. Je ne pensais que cejuif ventru put se délecter du corps admirable de Mme Lamballe. Ill’enculât.Je pus mesurer ce jour-là mesurer la lubricité de cette femme. Ellen’avait cure qu’un tel amant fut si vilain et répugnant. Même celasemblait l’exciter. Elle l’en suçait avec pas moins de frénésie. Elle nemarquait nul dégoût qu’il voulut l’embrasser tandis qu’il la besognait.Mon oncle aux anges se contentait de contempler ces deux-là qui sedébauchaient. J’étais résolue à la baiser avec un parfum de vengeance.Il ne serait pas dit qu’elle me refuse après avoir consenti à ce qu’unignoble porc put la saillir. J’étais juste mortifié de devoir bahis şirketleri passeraprès ce maudit Trump.Elle sourit ce jour-là après m’avoir reconnu. J’eus droit à un proposflatteur. “Tu étais sur ma liste. Tu m’as toujours plus.” Ceci meconsolât du reste et me fit entrer avec d’autant d’ardeur dans la danse.Mon oncle après qu’il eût pris sa part nous laissa. Il comprit mon émoiet que je voulais davantage faire l’amour avec sa femme plutôt que de labaiser. Elle-même perçut mon émoi et accepta volontiers qu’il y eût cezeste de tendre dans mes gestes. Ce qui la changeait de son quotidien.Nous restâmes au lit durant deux longues heures. Une sorte d’intimités’installa.Je savais que Phil regardait par le trou. Il m’engueula que je ne fisplus de chose à cette garce et ne l’ai enculé plus sauvagement. Ilvoulait à son tour chevaucher la bête et me montrer. Je l’en gardais. Jela voulais pour moi seul. L’oncle accepta. Phil en fut pour son reste etrongeas son frein derrière le mur. Cette fois j’ajoutais dans messaillies une plus grande vigueur et assurance et n’en conservait pasmoins une passion délicate dont elle me sut gré. Je ne pus cependantdavantage faire barrage à la concupiscence et de l’oncle et de Phil.La fois suivante nous devions ensemble la sauter. Au bout d’une minute,je disparus manifestement écœuré. Phil d’un regard de victoire l’enculasadiquement tandis que je sortais de la chambre. Je l’entendis hurler.L’orgie dura une heure. Nos deux mâles rigolaient. Je compris qu’ils sevengeaient de moi en souillant mon idole. Nous convînmes de ne plus enparler entre nous. Mme Lamballe vint encore deux, trois fois. Et l’oncleet Phil à chaque fois de s’en repaisser largement. Ils ne surent pas queje la revis plus tard et que nous fûmes amants sincèrement.Dédié à Emma

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