Le sein gauche de ma petite stagiaire

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Le sein gauche de ma petite stagiaireCe soir-là, il y avait une bonne dizaine de personnes dans mon salon. C’était au terme d’un resto qui avait lui-même succédé à l’inauguration d’une expo de photos où nous avions déjà bien bu. Il y avait de la musique, un brouhaha, et, à un moment donné, en revenant de la cuisine avec deux bouteilles de vin blanc, je suis tombé directement sur le sein gauche de Marie qui débordait de l’échancrure de sa fine robe noire à bretelles. En face d’elle se tenait Léo, un collègue journaliste qui était très bavard. Pour mieux entendre ce qu’il lui racontait, Marie s’était avancée vers le bord du canapé et elle avait croisé ses bras sur ses genoux. Son sein avait profité du mouvement pour apparaître.Marie était en train de suivre un stage à la rédaction du journal, sous ma responsabilité. Elle était en deuxième année à la fac de lettres et, au terme de la première semaine de son stage, dans ma voiture de fonction, elle m’avait sucé dans un chemin forestier. J’avais éjaculé dans sa bouche cette fois-là. Puis nous avions baisé chez moi le lendemain.Elle était assez grande et mince. Elle avait de superbes hanches, la peau très claire, les cheveux mi-longs et bruns. Quant à ses seins, ils étaient plutôt petits, fermes et pointus, dotés de superbes aréoles.J’ai déposé mes deux bouteilles sur la table du salon, puis j’ai relevé les yeux vers Marie. Léo n’avait pas eu la délicatesse de lui faire remarquer que son sein gauche était visible de tout le monde. Je me suis rassis à ma place et j’ai débouché les bouteilles. Je n’ai pas pris la peine de contourner l’assemblée bruyante qui occupait mon salon afin de dire à Marie, à voix basse, que tout le monde voyait son sein. Ceci pour une raison très simple : je m’étais mis à bander.Je ne fus pas étonné que mon collègue Léo soit encore là une fois que tout le monde eut quitté l’appartement. bahis firmaları Entre temps, j’avais vu Marie rajuster la bretelle de sa robe, à deux reprises puisque le sein avait débordé une autre fois.J’ai raccompagné les derniers convives vers la sortie, puis je suis venu m’asseoir à côté de Marie, en face de Léo. Nous avions à peu près le même âge, lui et moi : la quarantaine bien engagée. Nous nous connaissions bien. Nous étions bien ivres, mais sans doute pas autant que Marie qui, sans donner l’air de cesser d’écouter Léo lui raconter sa vie, avait les paupières lourdes comme des cailloux sur ses grands yeux de biche.J’ai allumé une cigarette, maladroitement.Un énième verre à la main, Léo était en train d’évoquer je ne sais plus quelle anecdote de sa carrière, et Marie ne cessait d’acquiescer en l’écoutant, les yeux rivés à lui.Elle faisait des petits :« Hum… hum… »L’air de le suivre attentivement, alors qu’elle planait complètement. Je ne suis pas intervenu tout de suite. Je n’ai pas voulu couper Léo. Je l’ai écouté tout en observant les attitudes de ma petite stagiaire qui n’eut pas un seul regard pour moi dans ces minutes. Elle était scotchée au visage de mon collègue qui me regardait de temps à autres. En revanche, son sein ne débordait plus. Elle buvait, elle bougeait, mais le téton semblait avoir décidé d’aller dormir aussi, à l’abri des regards.Il devait être deux heures du matin et j’ignore combien de litres de vin j’avais englouti depuis le début de l’inauguration qui avait débuté à 19h. Je me souviens juste qu’à un moment donné, j’ai pincé la bretelle droite de la robe de Marie pour qu’elle dévale son épaule et que son sein soit bien visible. Elle s’est alors tournée vers moi, avec ses yeux hagards, pas lus étonnée que si je lui avais caressé une joue. J’ai pris son sein dans le creux de ma main et je lui ai dit :« Ça kaçak iddaa ne t’ennuie pas que je te tripote devant mon collègue ? »Elle a fait non de la tête en souriant vaguement.J’ai alors ajouté :« Parfait. Mais pour éviter qu’il soit jaloux, tu veux bien relever ta robe et lui montrer ta culotte ? »Elle n’a pas répondu.Elle s’est tournée vers Léo, puis elle s’est cambrée afin de tirer sur le tissu pour le faire montrer le long de ses jambes, jusqu’à ce que sa culotte soir visible et qu’elle puisse écarter les jambes sans être gênée. Quelques minutes plus tard, j’étais allongé sur mon lit, Marie à quatre pattes devant moi, à poil. Elle me suçait tandis que Léo cramponnait son cul en lui bourrant la chatte, sans capote. Ensuite, il me semble qu’il l’a enculée, mais je ne suis pas certain. Les images restent floues dans ma mémoire. Je me souviens juste avoir giclé sur le pubis de Marie, pendant qu’elle était en train de sucer Léo qui lui tripotait un nichon à quelques centimètres de mon visage.Le lendemain, je fus réveillé par des gémissements qui venaient du salon. Marie n’était pas à mes côtés dans le lit. Je me suis levé et je l’ai trouvée en train de se faire sauter dans le canapé, par devant, par Léo qui avait dormi là. Il m’a regardé au passage et je lui ai fait un sourire. Dans la cuisine, j’ai bu deux verres d’eau et j’ai préparé du café. Je me suis un peu rincé et habillé dans la salle de bains, puis j’ai quitté l’appartement pour aller chercher des viennoiseries. Depuis la cage d’escalier, on entendait Marie qui poussait des :« Oh oui, vas-y, baise-moi… Oh oui… Oh oui, ta bite… Putain… Baise-moi encore, vas-y à fond… Bourre ma chatte… Oh putain… »A la boulangerie, j’ai pris trois pains au chocolat et trois croissants. Je les aimais bien dorés, encore un peu chauds et mous. En ressortant, j’ai croisé une connaissance avec qui j’ai bavardé kaçak bahis pendant quelques minutes. En devanture de la maison de la presse, j’ai appris que l’Algérie avait battu le Sénégal en finale et qu’un homme d’origine guinéenne, qui n’avait rien demandé à personne, s’était fait tabasser à mort par un imbécile, un peu avant le match. J’ai tapé le code de l’interphone et, depuis l’escalier que j’ai grimpé sans hâte vers le premier étage, j’ai entendu Marie qui poussait des :« Han… Han… Han… »J’ai ouvert la porte et l’ai refermée sans faire de bruit J’ai déposé les viennoiseries sur le comptoir de la cuisine. Le café avait coulé entre temps. J’ai sorti trois tasses. Il allait encore faire chaud ce jour-là. Ils annonçaient 38°C pour 16 heures. Dans la rue, j’avais trouvé l’air moite, plombant. Quand je suis entré dans le salon, Léo était en train d’éjaculer sur le pubis lisse de Marie. Elle étalait le sperme sur sa peau et c’était lui qui, à présent, poussait des :« Han… Han… »Ensuite, il s’est mis debout et m’a regardé d’un air un peu idiot, confus. Il était tout nu et une goutte de sperme pendait de son gland.Marie me regardait aussi, en souriant, l’air assommé. Elle continuait d’étaler la semence de mon collègue sur son ventre. Léo m’a donné un petit coup de poing au passage et m’a dit :« Je t’emprunte ta douche, si ça ne te dérange pas. »Je lui retourné le geste et j’ai entendu la porte de la salle de bains se refermer dans mon dos. Le sperme de Léo luisait sur la peau de Marie qui n’avait pas cessé de me sourire.J’ai ôté mon t-shirt.Puis mon pantalon et mon caleçon, dans un même geste.Marie a rouvert grand ses cuisses, puis elle a habilement guidé mon gland vers l’entrée de sa moule qui était trempée, glissante. J’y ai enfoncé ma bite tout en prenant un nichon entre mes doigts. Le gauche. Celui que tout le monde avait vu déborder de sa robe, la veille.Au même instant, Léo a ouvert le jet de la douche.C’était il y a huit ans.Il n’est pas rare que je me masturbe, les yeux fermés, en revoyant ce nichon qui déborde de la robe de Marie, devant tout le monde.:::

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