L’enseignante nymphomane

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Merhaba aksamci.org erotik sex hikayeleri okuyucuları,derlediğimiz en büyük hikaye arşivini sizlerin beğenisine sunuyoruz.Neredeyse tüm google da bulabileceğiniz tüm hikayeleri bir arada..

Brunette

L’enseignante nymphomaneCe matin, dans notre classe de terminale, nous avons eu une nouvelle prof de français. Elle nous a écrit son nom au tableau, mais je me souviens seulement de son prénom : Julie. Elle vient juste de quitter l’ESPÉ, et c’est sa première affectation. Elle est petite, blonde, et très jolie. Elle nous a lu des textes d’Aragon et d’Apollinaire qui sont pour le moins… spéciaux. Par exemple, Le con d’Irène, poème de Louis Aragon. – Madame, a demandé Paul, Irène était une fille qui vivait avec un con ? – Dans ce contexte, non, ce n’est pas une personne stupide. C’est son sexe, a-t-elle répondu en indiquant le sien du doigt. – Ah, d’accord… Pour dire cela, elle s’est assise sur le bord de la table dudit Paul, sur sa jambe, et comme elle était vêtue d’une robe courte et légère – nous sommes fin mai, et le beau temps présente encore l’avantage de raccourcir les tissus qui recouvrent les jambes féminines. Paul était troublé, parce qu’il avait la petite culotte de la prof juste sous ses yeux. On n’aurait pas pu imaginer de provocation plus franche, d’autant que quelques poils dépassaient sur les côtés. J’étais à côté, et c’était magnifique. Une véritable invitation à la tripoter.– Parmi vous, les garçons, lesquels sont puceaux ? Allez, n’ayez pas peur ! Il n’y a pas de honte à débuter. Paul a levé le doigt, un peu gêné quand même d’avouer son pucelage devant toute la classe. Il rougissait comme une tomate en cette saison. C’est un gars robuste, simple et franc du collier, pas très malin, mais fidèle en amitié, bosseur et toujours prêt à rendre service sans rien attendre en retour. Personne n’a eu le cœur de se moquer de lui, pas même la belle Clem, la grande, en taille et en gueule, toujours prête à se payer la tête des autres, en particulier des garçons qu’elle n’a pas encore pu accrocher à son tableau de chasse, et Paul en faisait bien-sûr partie puisqu’il est puceau. Enfin, il l’était jusqu’à ce matin. – Alors, jeune homme, tu n’as jamais vu ce qu’il y a sous la culotte d’une fille ? – Pas en vrai, a-t-il avoué. – Tu veux regarder ? Allez, retire-ma moi ! Paul a obéi et la belle Julie nous a montré sa chatte, à tous. Nous étions quand même estomaqués par tant d’impudeur de la part d’une enseignante. Clem, d’accord, elle ne craint pas de faire la même chose pendant les intercours : c’est sa manière de chahuter. Mais avec une prof, ce güvenilir bahis n’est pas pareil. Paul a été invité à enlever la culotte lui-même. Je crois bien que c’était le plus beau cadeau qu’il soit possible de lui offrir. Il a pris son temps. Elle lui a même donné son cache-sexe, en souvenir. Le parfum de la vulve s’est propagé dans la classe. Une odeur puissante, pas celle des demoiselles qui prennent une douche tous les matins et tous les soirs de peur que leurs fragrances se diffusent. L’exhalaison qui rend fou tous ceux qui aiment vraiment les femmes. Tout le monde a senti ce fabuleux effluve, mais Paul était aux premières loges, et quand il a rangé le morceau de coton blanc dans son cartable, nous savions qu’il ne l’aurait pas échangé, même contre un million d’euros. Elle n’a pas enlevé sa robe, mais elle l’a juste remontée, histoire que ses jambes et son bassin soient bien visibles : tout ce qui est en dessous de la ceinture. De sorte qu’on pouvait nous voir par la fenêtre du rez-de-chaussée, mais selon un point de vue qui ne révélait pas l’action en cours et faisait croire à une enseignante sérieuse se penchant sur un cahier afin de résoudre un problème difficile. Contrairement à celle de la plupart des filles de la classe – je le sais bien, car j’ai déjà copulé avec la plupart d’entre elles -, la fleur intime de Julie est toute poilue : cela dessine un triangle d’or parfaitement délimité. Au passage, nous avons pu vérifier qu’elle est une blonde véritable, ce dont nous nous doutions ; cependant ce sujet faisait débat dans le fond de la classe depuis le début du cours. Au passage, Lucas a perdu son pari : il va devoir se branler sous les yeux gourmands de Clem, qui adore voir les copains à poil pendant qu’elle reste habillée, et plus encore lorsqu’elle les domine. Paul a été invité à découvrir, trifouiller, tripoter, puis à sucer le petit con déjà tout mouillé, le tout sans quitter sa place. Julie s’est assise sur la table, les cuisses largement écartées : à cette occasion, nous avons pu admirer sa souplesse de gymnaste. Il a voulu aussi peloter les seins, mais il a dû se contenter de le faire sous la robe, en glissant ses mains sous le soutien-gorge afin de tâter aux petites poires délicieusement douces au toucher, et même de pincer les délicats tétons. Elle lui a pris les poignets pour le guider dans ses mouvements. Il était si türkçe bahis ému que nous avons craint qu’il s’évanouisse avant d’avoir pu mener à bien sa découverte sexuelle. Mais elle lui souriait afin qu’il soit tranquille, et nous le regardions tous, tout en l’encourageant. Elle s’est penchée en arrière, les pains posées sur le dossier d’une chaise, afin de se laisser sucer par notre camarade qui savourait visiblement son bonheur, plongeant avec délectation sa langue au milieu des replis de la fleur génitale qui s’ouvrait largement devant lui. À force de regarder de la pornographie sur Internet, avec une nette préférence pour les scènes de lesbienne, il savait exactement comme faire. Pendant ce temps, Julie mouillait tant qu’une petite flaque se formait devant elle. La voisine de Paul s’appelle Laure ; elle est lesbienne, copine de Suzy qui se trouve de l’autre côté de l’allée – pratique pour échanger des mots doux en cours de math où la prof est nettement moins sympathique que Julie ! Laure aime beaucoup de goût de la cyprine et ne s’est pas gênée pour un prélever quelques gouttes au bout de son index pour glisser ensuite ce doigt dans sa bouche, avec un air coquin de petite fille surprise en train de commettre une bêtise sous les yeux courroucés de Suzy, jalouse. Ensuite, place aux choses sérieuses : Paul s’est mis entièrement nu, parce qu’il avait envie que la prof le voie sans voiles ; il aurait trouvé ridicule de n’être qu’à moitié déshabillé. À cette occasion, nous avons pu constater qu’il avait beau être puceau, son membre viril n’avait absolument rien de maigre ou de petit, bien au contraire. Il avait sa verge joliment incurvée vers le haut. Et, toujours positionné sur sa chaise, il a pénétré notre professeur de français qui, sans hésiter, s’est assise sur le phallus bandant, en insérant le membre palpitant jusqu’au fond de son ventre. Paul frissonnait ; il était aux anges. Elle a basculé en arrière et en avant, pour mieux faire bouger le sceptre à l’intérieur de son vagin, puis il est venu en elle avec une expression sur son visage qui exprimait la pure béatitude. Julie a redescendu sa robe, puis a poursuivi son cours comme si de rien n’était, avec d’autres textes puissamment érotiques de grands auteurs comme Pierre Louÿs. Les odeurs de sexe demeuraient présentes. Suzy et Laure s’échangeaient des blandices avec leurs pieds en tentant güvenilir bahis siteleri de le faire discrètement, quand la prof leur tournait le dos pour écrire au tableau, mais celle-ci les a vues et leur a demandé d’en faire bénéficier toute la classe, c’est-à-dire nous présenter à tous une démonstration d’acte sexuel lesbien. Les deux amoureuses avaient la possibilité de refuser, mais devant une enseignante aussi sympathique que Julie, elles n’en ont pas eu le cœur. Elles sont venues à la place du prof, couchées sur le grand bureau, et se sont déshabillées mutuellement, très doucement, très câlinement, comme elles le font lorsqu’elles sont seules, sauf que trente paires d’yeux les regardaient avec émerveillement. Même les filles hétérosexuelles ont trouvé cela charmant, voire excitant. Dans la position du soixante-neuf, langues et les doigts ont fourré dans tous les orifices, et elles ont joui en même temps, dans un concert de gémissement qui ne pouvait laisser personne indifférent. Ensuite, elle a voulu illustrer avec nous la notion essentielle de la sodomie. Je me suis porté volontaire et je me suis allongé nu sur le bureau, tandis que la belle Julie a enfoncé mon braquemart bien levé dans son petit trou du cul lubrifié – elle avait tout ce qu’il fallait dans son sac à mains. Accroupie sur moi, elle montait et descendait son bassin au rythme des sonnet luxurieux de Pierre l’Arétin qu’elle nous récitait par cœur : nous avons constaté sa très grande pour ces choses-là. C’est à ce moment que le proviseur du lycée, monsieur Duchemin, réputé pour la sévérité de la discipline et de la morale qu’il entend mener dans son établissement privé catholique, est entré pour nous annoncer différentes informations, somme toute nettement moins importantes que ce que nous étions en train de faire. Julie, qui ne l’avait pas vu de la journée, lui a dit poliment bonjour, avec un grand sourire, comme si de rien n’était. Elle était toujours impeccablement coiffée et maquillée, élégamment vêtue jusqu’au niveau de la ceinture ; en dessous, cela se gâtait un peu à cause de la pénétration anale qu’elle pratiquait avec moi. Duchemin est devenu tout rouge, un peu comme Paul au début du cours, mais sa cravate trop serrée n’arrangeait rien. Puis il s’est évanoui ; heureusement que Suzy et Laure, qui ne s’étaient pas éloignées après leur présentation, ont pu amortir sa chute pour qu’il ne se fasse pas mal en tombant. Ensuite, la récréation a sonné. J’ai éjaculé dans le petit trou accueillant de Julie, et nous avons pris congé de notre belle professeure de français que nous craignons bien de ne jamais revoir.

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bir yanıt yazın