Réflexions sur le sexe 2ème partie

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Merhaba aksamci.org sex hikayeleri okuyucuları, derlediğimiz en büyük hikaye arşivini sizlerin beğenisine sunuyoruz.okuyup keyif almak ve sırılsıklam olmak işte tüm mesele bu..

Réflexions sur le sexe 2ème partieRéflexions sur le sexe 2Chapitre I – Une autre que moiDans le livre premier de ce mes réflexions sur le sexe, j’ai parlé de moi, de ce que je ressentais maintenant dans ma soixantaine épanouie, avec Romain, et nos accords pour garder une union pérenne, profiter chacun de ce plaisir qui nous guide tant que notre santé et notre corps se prête aux jeux de l’amour.Oui, nous avons batifolé comme des ados, partageant une nouvelle amie, cadeau pour mon Romain que cette belle quinquagénaire dans son lit. Sexe plaisir comme je l’appelle, sans prise de tête, juste être bien dans sa peau, et lorsque les grises matinées d’hiver nous donnent le cafard, se souvenir de ces minutes intenses, ou lorsque je retrouve Romain dans mon lit, profiter de nos élans passés avec nos amants et amantes pour sublimer nos rapports conjugaux…Dans ce livre, je vais vous conter l’histoire de Mireille, 25 ans, laborantine, passionnée de nature, dans laquelle elle compense le stress de son travail, par de la marche et de la photo, rêveuse et découvrant tous les plaisirs de son âge. Il y aura aussi Paule, secrétaire modèle, amoureuse d’André, nouveau PDG, fils de l’ancien, et Agnès sa femme, qui après quelques années de mariage arrangé, aspire à retrouver l’insouciance et la passion de ses années estudiantines…D’autres viendront se télescoper avec ces acteurs, Mine, fidèle amie d’Agnès, Maguy, guide et conférencière, sérieuse en apparence…Chapitre II – MireilleLa montée a été dure… 3 kilomètres sans faux plats, juste un arrêt au détour d’un à-pic, vue magnifique sur la vallée que l’on vient de quitter… Mais il en reste pas mal, bien pire que cela…Il fait bon en cette matinée de septembre, j’ai suivi l’itinéraire conseillé par l’office de tourisme de Montpellier, ainsi que sur la revue municipale de mon village, et me suis garée au parking du marché, puisqu’il n’y en a pas le week-end…Bartavel est un beau village, accroché à flanc de montagne, au pied du Pic de la Grave, à centaine de kilomètres de Montpellier, dans mes Cévennes natales…Le pic est le but de ce week-end de marche que l’on n’atteindra que demain… Un refuge nous permettra de nous reposer avant l’ascension du Pic, lui-même…Le groupe est composé de gens entre 25 et 70 ans, voire un peu plus, certains marcheurs n’ayant pas d’âge, burinés par le soleil et l’air des sommets.2 couples de retraités, 2 couples d’actifs quadras, 4 femmes seules entre 45 et 60 ans, deux hommes entre trente-cinq et quarante, et notre guide, 40 ans environ, guide moyenne montagne à l’office des Cévennes et hôtesse à l’office de tourisme de l’Hérault, aimant cette vie qui l’amène de village en village au fil des saisons, dans les bureaux saisonniers.Elle nous a briffé, donné un ordre du jour, avec les étapes prévues, et distribué une carte de la région, marquée des arrêts dînatoires, et vues et sites découvrir sur notre parcours…Nous bavardons entre femmes, je suis la plus jeune de la bande des cinq, célibataire, jolie, les 2 messieurs me regardent souvent grimper les passes délicates, je les toise de mon regard innocent, continuant l’ascension…L’un d’eux se décide à venir à ma hauteur et engage la conversation, très simplement, très gentiment…-Vous avez la forme ! Nous vous suivons à peine, c’était rude là…-J’ai l’habitude de ces amas de rochers à flanc de coteau dans lesquels il faut se contorsionner et souvent mettre en valeur notre anatomie, j’espère que vous avez apprécié ?-Heu… Certes… Nous sommes contemplatifs… Vous grimpez souvent ?-Oui, je suis inscrite dans plusieurs clubs de la région, et je reçois les sorties programmées des offices de tourisme relayant les activités. La plupart du temps, c’est bien organisé, et comme j’aime la nature… C’était bien le sens de votre question ?Lors d’un arrêt pipi, je m’isole à quelques mètres et me retrouve proche de notre guide… Quelques mots gentils, elle est aux anges, je l’encourage, elle demande si tout le monde suit, on ne fait pas la course non plus… Je la rassure, son pas est aussi mon rythme, et personne n’a fait de demande… Mais la route est longue…Souriante, blonde avec des mèches foncées, ses cheveux mi-longs encadrent un visage avenant, les yeux verts font ressortir son teint pâle, le tout est très agréable… Engoncée dans plusieurs couches de vêtements qu’elle retire au fur et à mesure, je ne peux affirmer que le corps suit la tête… Ces messieurs, les mêmes, me semblent autant attirés par ses formes que par les miennes, malgré près de 15 ans d’écart…-Merci de m’avoir débarrassée des deux machos, pendant l’arrêt en bas…-Oh, il y en a toujours qui essaient de se mettre en avant… Je connais… Une réflexion et ils comprennent qu’il y a un temps pour tout et que le souffle n’est pas inépuisable… -Vous avez de la répartie pour votre âge.-Je suis l’aînée de 3 garçons… Jeux de garçons, plaisanteries de garçons, regards de garçons, etc…-Je suis Maguy, c’est gentil…Nous reprenons la montée, le sentier est assez large, il a été réparé, l’hiver doit le rendre périlleux par endroits.Nous stoppons sur une hauteur, un pré tranquille, et pouvons manger, il est midi, déjà !J’aime ces moments de délassement, sortant nos sandwiches, nos bouteilles, des fruits, des barres énergétiques. Certains ont un thermos de café et partagent…Maguy bavarde justement avec un couple, la quarantaine, venus de la région lyonnaise… Ils adorent cette région, parsemée de sites historiques, traces des batailles du temps jadis, souvent à l’abandon, mais aussi restaurées pour certaines chapelles, que nous visitons avec intérêt.Celle-ci est nichée dans les arbres, au bord de la falaise, il faut connaître. Bien restaurée, elle ne comporte qu’une porte, fermée à clé, un vitrail ogival dans la partie la plus haute. En pierre de la région, elle domine la valléeLe toit en deux pans est recouvert d’ardoises, le clocher ouvert a été tronqué et remplacé par une croix en bois, lui donnant un air cathare.Ce lieu est magique et j’en ressens la quiétude, un banc permet de contempler la vallée à nos pieds et profiter l’été de l’air frais.Entourée de chênes verts, on respire la nature, on imagine les prêtres, les faneurs, en procession, venus faire bénir leurs troupeaux, ou se réfugier d’un ennemi héréditaire.Je me suis assise par terre, Maguy vient boire avec moi et partage cette vue sur les Cévennes et le Mont Aigoual très proche.-On se sent bien ici…-Vous aimez ? Je me souviens y être restée plus d’une heure la première fois en montant, et une autre heure en redescendant… Et j’y reviens souvent…-On peut se tutoyer, je crois que nous avons des points communs…-Tu as raison Mireille, j’aime ton prénom…Nous reprenons la marche, à regret, mais notre but est encore loin…Nous longeons une crête durant plusieurs kilomètres, parsemée d’éboulis, de trouées dues aux intempéries… Nous progressons plus lentement, un des deux compères vient de se blesser à la cheville…-Il faut garder les yeux en bas…-Merci de vos conseils…Ils décident de faire demi-tour tous les deux, amis de longue date, il n’est pas question qu’ils prennent des risques et redescendront tranquillement. Maguy leur donne son numéro de portable, pour l’appeler ou lui laisser un SMS lorsqu’ils atteindront le parking…Un couple de retraités les suit, ayant présumés de leurs forces, cette chapelle est magnifique, nous allons nous en contenter encore quelques minutes…Maguy appelle le refuge pour signaler 4 personnes en moins… Mais il n’y a pas d’autres promeneurs de prévus cette nuit…-Tu les as scotchés… Tu as bien fait, j’en ai marre des cons, marre des mecs parfois…-Tu es mariée ?-Je l’étais, mais j’aime marcher, lui n’aimait pas, il préférait notre canapé et la voisine…-Aïe, divorce ?-Terminé. J’ai tourné la page et vis ma vie, au hasard.-Amants ?-Pas même, trop déçue par les mecs, tu les as vu… Ils n’étaient pas méchants ceux-là, juste bêtes et machos… Eux, baisent la femme des autres, nous on entre dans la catégorie des putes si on en fait le dixième avec leurs copains…Encore deux bonnes heures pour atteindre notre abri…Le pas est plus marqué, quelques passages périlleux où nous faisons attention, un arrêt en haut d’une crête, la vallée se réfugie dans la brume du soir, les lumières s’allument ça et là…Le refuge nous tend sa terrasse, la cheminée fume, Isabel et Henri nous accueillent…Bonne réception, vin chaud, il commence à faire frais dehors.Nous gagnons nos chambres, par 6 ou 8 sur lits superposés, le minimum vital…Salle de bains commune, douches chaudes le matin, WC à chaque étage.Propre, boisé, l’odeur de la fumée est agréable, et on se serre devant la cheminée…J’ai changé de tenue pour un survêtement très féminin, trouvé à Décathlon…Beaucoup ont fait pareil, Maguy est très en valeur dans le sien, en rose et gris.Les deux couples de touristes ont fait connaissance pendant la montée et discutent ensemble. Les dames sont attablées avec le couple de retraités, qui semble en pleine forme, riant et souriant…C’est l’heure d’un thé pour certains, je sors contempler la vue avant la nuit complète, avec mon Nikon en bandoulière.Les couleurs sont encore belles, les contrastes ciel pur, plaine obscure, je surprends un lapin dans le chemin qui s’enfonce dans le bois, à l’assaut du Pic…Le vent se lève, quelques shoots et je rentre.Ces dames jouent à la coinche, les couples lisent les revues laissées à cet effet.Le repas sera servi à 19h, au menu, potage, raclette et charcuterie de pays, tarte aux pommes maison…Il est avalé dans la bonne humeur, les blagues, et les douleurs qui se réveillent…Pas de télé, pas de réseau, le pied !…Nous aidons à débarrasser le couvert, je m’attable, Maguy me rejoint.-Je cherchais un chemin sur l’autre versant, qui passe vers une cascade, et fait le tour d’un petit lac de montagne, mais impossible de le retrouver et les gérants ne connaissent pas…-Moi non plus… Il n’y a aucun réseau ?-Non, mais des cartes… Au moment où elle allait parler, un groupe de marcheurs arrive, harnachés, affamés. Plutôt sportifs, genre trekking, et en effet, ils parlent plusieurs langues entre eux… Plus question de réfléchir…-Viens avec moi, si tu veux, ma piaule est à l’écart, j’ai un traitement de faveur, pour mieux me concentrer et me reposer, de plus, elle est mieux chauffée…Je la suis dans une chambre modeste du rez-de-chaussée, avec ce qu’il faut pour travailler, avec des cartes, une table, le lit est plus petit, le coin toilette est sympa.On s’assoit et on prend différentes cartes qu’elle a trouvé dans l’entrée…-J’aimerais la programmer le mois prochain, octobre est magnifique par là. Pas d’ascension, juste de la découverte, dans la forêt, les fougères, des hêtres, des saules, un mélange d’essences, une nature verdoyante et giboyeuse. On trouve des châtaigneraies aussi, et on peut y loger pour une nuit en gîte…Je vois le sentier, je le lui montre, je trouve le lac, elle marque la cascade, la boucle, les châtaigneraies qui sont notées…-Merci, on est plus tranquilles ici… -Oui… J’adore ce studio…-Tu veux y dormir ?-Je…-Tu n’aimes pas le contact des femmes ?-Pas ça, non… Je n’aime pas déranger… Tu as besoin de repos, plus que moi…-Alors où est le problème ? Je ne suis pas à ton goût ? On n’est pas obligées de se toucher si tu ne le désires pas… Ah, tu as tes règles ?-Non… je… C’est rapide…-Tu me plais…-Toi aussi, tu es une femme bien…-Tu as déjà fait l’amour avec une femme ?-Oui, mais j’ai peut-être oublié…Je regarde la fermeture éclair de ma veste de survêtement descendre, mes bras passer par les manches, libérant mes seins dans un top très féminin…Je me glisse vers elle et la déshabille. Elle enlève sa culotte avec désinvolture…Elle me détaille, nue, elle me sourit et nous nous allongeons dans le petit lit, serrées, en nous embrassant pour la première fois… Baiser tendre, baiser de femme, goûteux, sucré, aux arômes de son parfum très vert, fleuri.Je ressens les effets de ce baiser, j’ai envie d’elle…Nous échangeons nos premières caresses, elle saisit mes seins entre ses mains, j’écarte mes cuisses pour l’enjamber, lui offrant mes nénés à sa bouche sensuelle…A mon tour de profiter de ses rondeurs exquises qui me donnent des idées… Je lèche et mordille les tétons durcis de désir. Elle soupire en se frottant sur mon ventre, et glisse une main vers mon intimité…Nous batifolons quelques minutes, découvrant nos corps, attisant nos désirs, donnant, prenant, sans parole, juste nos yeux…Elle aime le sexe, comme j’aime en jouir…Je me retourne et lui propose un 69, elle passe sa tête entre mes cuisses, elle s’écartèle, je découvre ses trésors intimes que la lumière diffuse me révèle …Pubis rasé, grandes lèvres très développées, un sexe plein de sensualité et de féminité qui s’ouvre volontiers sous ma langue et lui transmet nos premiers émois…Clitoris déjà durci, mon doigt tourne lentement l’amenant à feuler son plaisir…Elle me rend ma caresse et ses doigts savourent mon puits d’amour, ma grotte serrée, petites lèvres ouvertes par le désir, mon nectar qui coule entre ses doigts…Elle plonge ses doigts délicatement en moi…Elle est surprise par mon envolée lyrique, pose sa main sur ma bouche, j’enfonce mes doigts dans sa chatte, elle jouit instantanément, miaulant à son tour…Nous nous masturbons, à genoux dans ce petit lit, seins contre seins, cuisses écartées…Elle m’offre son abricot lisse, écartant ses cuisses, genoux repliés, je la pénètre avec deux doigts, maintenant, délicieusement, et j’entends sourdre ses geignements étouffés, elle ondule sous moi, elle tremble, elle jouit…-Oh, oui… Non, tu n’as rien oublié…Je m’offre, à mon tour, ouverte et indécente…Elle me lèche lentement, puis me suce, m’aspire, triture mon clitoris à me faire délirer.On se frotte l’une à l’autre, pubis contre pubis, on se dresse, on s’embrasse, elle retombe…Je m’écartèle sur sa bouche savourant la douceur de sa langue, puis reviens ouvrir ses cuisses et manger sa chatte détrempée…-Oui… Tu caches bien ton jeu, coquine… On se tourne et retourne, emportées par ce plaisir si intense, de deux femmes en quête de sexe, de jouissance, massant nos seins, nous masturbant réciproquement jusqu’à délirer ensemble… Le lit craque, grince, nos échanges deviennent passionnés, on se contorsionne pour s’offrir ou prendre à l’autre, vibrer, ressentir un plaisir infini et une tendresse profonde…. J’ai joui pleinement…Le premier émoi passé, un peu calmées, l’une contre l’autre, sexe contre sexe, frottant nos vulves, excitant, partageant ce plaisir réciproque, si féminin, le même ressenti, le même émoi qui nous pousse à nous aimer encore…On s’embrasse à perdre haleine, rivées l’une à l’autre, délirantes, jouissantes…Enlacées, dans la fraîcheur de la nuit, lumière éteinte…-Tu es divinement sensuelle, sexuelle, j’ai joui plus qu’avec mes autres amies, on dirait que je découvre la femme…-J’aime faire l’amour, homme ou femme, je sors souvent et me laisse aller au hasard de mes rencontres, parfois dès l’heure suivante… Je ne triche pas, je prends et je donne, espérant que ce sera réciproque. Cela dure une heure, une nuit, parfois on se revoit, et cela devient encore meilleur jusqu’à ce qu’on se lasse… C’est ma façon de vivre ma sexualité depuis mes 20 ans, après mon bac, et deux ans après, lorsque j’ai emménagé chez moi, ivre de bonheur, enfin libérée des contraintes familiales, des études, me concentrant sur mon travail. La pression de mon job, les résultats toujours plus pressés, la peur de se tromper, je m’éclate dès le vendredi soir… J’ai des amis, filles et garçons, je sors ou je les reçois chez moi, on fait la fête de temps en temps…-Tu es libertine ?-Pas trop, mais cela est arrivé, une soirée anniversaire, des amis uniquement, on se connaît et s’apprécie, on boit, on s’amuse, on se plaît, on se sourit, on se caresse, on s’embrasse et on se veut, on s’isole à deux, ou non, à plusieurs, on fait l’amour jusqu’au matin…-Tu me rappelles la fac, les orgies dans les studios, la drogue… J’ai rencontré un garçon, j’en suis tombée amoureuse, je l’ai épousé, sans trop avoir vécu ma vie de jeune femme… J’ai eu un enfant qui est grand maintenant, marié…Puis la routine, le travail, il m’a trompée, j’en ai fait autant. On s’est séparés, il est parti de la maison. Je vis seule depuis 4 ans… Il me manque cette folie, ce relâchement. J’aime la vie, comme toi, j’aime faire l’amour, tu vois… Mais j’aimerais un homme en moi, cinq mois sans me faire baiser par une queue dure…-Il y en a des queues à côté, plein, des jeunes…-Tu irais ?-Pourquoi pas, on peut essayer, ça n’engage à rien de prendre un verre devant la cheminée…On repasse nos survêtements, et on sort sans faire trop de bruit. Il n’est pas trop tard encore. La cheminée est déserte, le bois brûle doucement, une épaisse couverture nous accueille, on s’allonge, en remettant quelques bûches…On entend du bruit dans la pièce, au fond, je me lève pour voir… Il y a les 2 jeunes couples qui sont devenus très proches… Les deux hommes sirotent des verres de gnole, accoudés à la table et regardent nonchalamment leurs femmes qui se caressent, allongées sur cette large banquette, poitrines libérées largement, leurs seins dansant sous la flamme…-Pardon, on vous a réveillées ?-Non, on avait soif. On ne vous voit pas de là-bas…-Tenez, bière, limonade, jus de fruit… Et gnole ! On s’est servis… Largement…-Merci… On ne voulait pas vous déranger…-Oh, elles sont beurrées et la nature agit sur leur libido…-Et vous 2 ?-C’est fait, elles avaient envie de faire l’amour… On a échangé nos épouses dans la grande chambre, mais les jeunes ont débarqué… Maintenant, elle se terminent…La blonde me dévisage, les yeux dans le vague, le chemisier largement ouvert sur de beaux seins parfaits, la main de son amie dans la culotte… Elles échangent leurs caresses en s’embrassant régulièrement…-Tu devrais les inviter, Paul… C’est Maguy et la jeune… Elles ont peut-être envie d’une queue… Roland, viens, lâche sa femme… Regarde qui a besoin d’un remontant, une belle bite très active et délicieuse…-Tais-toi, Lou, tu es saoule…-C’est sans doute l’heure de la mettre au lit, mais elle n’a pas tort pour le reste, on voulait s’allonger près de la cheminée et se réchauffer… Il y a de la place…-J’ai une autre idée, laissez vos femmes continuer, puis dormir ici près du feu et suivez-nous…Nos survêts ne mettent pas longtemps à atterrir sur la chaise, on s’allonge sur le petit lit, en travers, ils nous caressent, Roland n’est pas mal, très actif, il a ouvert mes cuisses et me fait languette, langue de velours, minette et compagnie… Maguy est en train de pomper Paul, les mains plaquées sur les seins de ma blonde amie qui se penche…L’appel du loup est terrible, je suis trempée de désir quand sa main passe entre mes cuisses et un doigt s’attarde dans ma vallée…. J’ai saisi sa bite déjà dure, je lui fais de l’effet…Il caresse, et masse mes seins longuement, continuant à déguster mes trésors, je me retiens déjà de savourer ses caresses…Maguy a ouvert ses cuisses, replié ses genoux qu’elle saisit avec ses mains et lui présente son anatomie ouverte et appétissante…J’en suis au même point lorsqu’ils nous enfilent ensemble… Je miaule de plaisir, elle ronronne à mon côté, nos regards se croisent…Ouh, il m’a prise d’un coup, sans doute exacerbé par notre décontraction et notre désir…Nous jouissons rapidement et ahanons ensemble les coups de reins de nos amants d’un soir…Le lit craque longuement…Roland, prend mes pieds, ouvre mes jambes et me laboure en capitaine de navire, position que j’adore, sentant le sexe me pourfendre dans tous les sens… Je jouis en même temps que Maguy… Nous progressons dans le plaisir et nos gémissements se mélangent, se confondent, transcendant nos amants qui se démènent pour nous emporter dans de merveilleux orgasmes…Sa bite me travaille, revient sans cesse me pénétrer, plus loin, plus fort, glissant dans mon vagin, et je jouis chaque fois plus intensément.Maguy, que je ne reconnais plus tant elle est active, s’en donne à cœur-joie, se tortillant sous le joug de Paul, qui la lutine, son dard généreux la prend en levrette, ils ont franchi l’étape sodomie avec brio et elle vagit des paroles inaudibles, reflétant le plaisir qu’elle ressent…Il la prend par les hanches, ouvre ses fesses, donne les derniers coups de reins avec rage, puis glisse dans le lit, à bout de forces… Maguy est aux anges, se love dans ses bras… Je jouis à mon tour, emportée par les ardeurs de Roland… Je sens l’onde magique dans mon ventre, je râle de plaisir une ultime fois… Puis je porte le membre donateur dans ma bouche et y savoure nos sécrétions, avalant le tout avec un infini plaisir… Et une érotique gourmandise…Maguy m’a regardée « le finir »… Elle vient m’embrasser, goûtant aux sucs épars sur mes lèvres…-C’est bon, c’est divin de penser que cela c’est la vie…-Maintenant je suis pleine de vie…-Moi aussi de partout…On se rue ensemble sur Paul, se disputant la bite distendue, mais encore vivante…Ils se rhabillent en silence, viennent nous embrasser tendrement, l’une et l’autre, puis l’autre et l’une, caressant au passage nos chattes calmées, nos seins épanouis de plaisir…Ils ferment la porte sans la claquer, disparaissent dans le couloir qui mène aux dortoirs…-Magique nuit d’amour, quel entrain ! Tu me scotches… -Je te l’ai dit, j’aime le sexe, j’aime qu’on me prenne, qu’on me baise, qu’on me fasse l’amour tendresse, même à plusieurs, même n’importe où, du moment que j’ai ressenti l’envie de le faire, et surtout ressenti mon partenaire, plus encore si nous sommes sur le même niveau, le respect de l’autre, et le plaisir en point de mire… Ils étaient parfaits, volés à leurs femmes, mais parfaits…-Tu es solaire et charnelle… Tu t’éclates sans te prendre la tête, tu vis tes désirs sans la moindre hésitation, tu te donnes à des inconnus, tu fais l’amour à fond, tu partages avec moi, en toute liberté, échangeant nos amants, et moi qui t’ai suivie, sans réfléchir aux conséquences ! Pour la première fois de ma vie, j’ai baisé en toute liberté…-Depuis 1 an, je suis mieux dans ma peau, j’ai pris du recul face à mon travail et le stress qu’il me générait. Le sexe est devenu une thérapie. Je ne mélange pas travail, collègues et vie privée. La nuit je deviens mante religieuse, salope affamée, parfois pute sans remord, je me vide de mon énergie pour retrouver un comportement normal. Tu vois, nos ébats lesbiens ont attisé mon désir profond. L’envie d’un homme, d’un sexe chaud, actif, qui rassure et me vide de mes tourments, de mes craintes, de mes cauchemars. Je me sens alors calmée, comme purifiée. Le stress s’enfuit, je suis de nouveau moi, sereine, généreuse, amoureuse de la vie, de la nature qui fait aussi partie du traitement… La rencontre avec une femme comme toi m’a donné un coup de fouet, comblé mon déficit de tendresse, refait le plein d’amour, de gaieté, je me sentais amoureuse de ton corps, puis de toi… Alors le reste est arrivé, cette pulsion que je ressens parfois, même avec un homme, j’ai envie de plus, de me transformer en une créature nymphomane, vicieuse pour jouir à en crever, être défoncée, sentir l’homme, le vice, l’instinct du mâle, qui le pousse à chercher la femme et à la sauter coûte que coûte… Presque la violer parfois…Oui, j’aime sentir leur attribut contre moi, puis en moi, avec leur rage de possession, de conquête, de domination qui leur est inhérente…Une fois l’orgasme suprême atteint, partagé ou pas, je fuis et rentre dans ma coquille de femme normale, rassasiée pour un temps… J’oublie mes amants en les jetant comme un mouchoir maculé…-Ce que tu décris est une passion primaire, une addiction viscérale au mâle dans ton métabolisme. Cette force qui t’entraîne vers la perversité, vers des zones dangereuses pour ta santé, voire pour ta vie, si tu n’y prends pas garde… cela dénote un manque certain dans ta vie. La partie patriarcale de ton équilibre, le manque du père déjà, puis d’un ami, d’un homme à ton côté qui te donne son amour et sa force, et plein de choses divines sans le savoir, un ensemble comportemental, qui te rassure, te guide, te secourt, t’amène de quoi combler ce vide. Le fait d’aimer l’amour lesbien, ressentir la tendresse de la femme, ses désirs qui rejoignent les tiens dans ton corps, mais qui ne comblent pas l’autre partie déficiente, explique ta personnalité… Pas de quoi sauter au plafond, nous sommes toutes comme ça, parfois plus, parfois moins, nos priorités de vie, font que nous réagissons différemment, face au besoin d’amour, de tendresse, de sexe, de partage, de domination, de soumission qui chez toi, prennent le dessus certains soirs et t’emportent dans des actes spontanés, libérateurs…-Oui, sans doute…-J’ai envie de te donner cette part de moi, cette part maternelle et paternelle à la fois, et prendre une part de toi, celle de la folie, ce besoin de t’immerger, de te soumettre pour rechercher ce plaisir qui te manque, ou du moins assouvir cette partie de ta libido…J’aimerais te revoir pour cela, que l’on soit amies, amantes, libertines, pour nous soigner ensemble…-Je suis d’accord, tu me plais énormément, moi aussi j’apprécie ce côté calme dont j’ai besoin…Nous nous serrons étroitement, notre baiser est merveilleux d’intensité, nous passons la nuit entre caresses et rêves, avec le bonheur d’avoir rencontré une personne adorable, une amie désormais….L’ascension du Pic de la Grave est une formalité, je saute, je vole, Maguy me suit et me calme parfois lors de dangers éventuels. Elle me sourit lorsque nous sommes invisibles aux autres, mais se laisse approcher, comme moi, par nos deux fantômes nocturnes, Paul et Roland, dont les femmes nous évitent largement, puis en fin de journée, cherchent à savoir nos vues sur leurs maris, pour l’avenir de leur couple…En les prenant à part, sur le parking du village…-Mesdames, vos maris ont eu la gentillesse de nous réchauffer, et nous reconduire dans notre chambre. Ils ont été charmants, mais rassurez-vous, ils sont intacts et en bonne condition physique et morale, nos échanges ont été amicaux, entre gens de bonne compagnie. Nous avons apprécié le fait que vous les laissiez nous raccompagner, les jeunes gens venus tard cette nuit nous inquiétaient.-Oh, c’est gentil les filles, mais nous ne pensions muğla escort pas à mal, juste que nous avons aussi apprécié nos échanges furtifs dans la grande salle, et voulions vous proposer de nous revoir amicalement… Echanges de cartes, de numéros et de mails. Nous quittons le site, je suis dans une forme anatomique !!!Chapitre III – PaulePaule est une jeune femme bien sous tous rapports. Secrétaire modèle dans une entreprise de transports familiale depuis 15 ans, elle a fait ses preuves et n’a pas son pareil pour dresser un état des lieux comptable pour le banquier. Après quelques soucis, l’entreprise fonctionne, menée par un des fils du fondateur depuis 5 ans, un jeune diplômé qui après avoir croqué un peu de sable, est revenu bardé, et a remplacé le père fatigué au débotté, un matin hivernal. L’attaque subie fut presque fatale au PDG, la mère a réagi à temps, la fille, sa sœur, a entériné avec plaisir la prise de direction par son frère aîné.Parlant plusieurs langues, elle a contribué au renouveau financier, à la modernisation de la flotte, avec l’aide de la banque, et assaini un personnel habitué aux anciennes méthodes de gestion.Ils ont été gâtés, augmentés, et en contrepartie se sont intégrés dans l’entreprise, en prenant une participation aux résultats.Paule a bénéficié de ces changements et depuis c’est un plaisir d’entrer dans les bureaux remis à neuf, les garages bien rangés et propres, les camions lavés, entretenus, bichonnés par leurs chauffeurs.Cette reprise de la gestion par le fils, André, dont elle était amoureuse depuis son entrée dans l’entreprise, elle avait alors 19 ans, les avait rapprochés, et elle adorait travailler le soir tard, ou le samedi seule avec lui pour l’aider à résoudre des problèmes de gestion.Elle fut très déçue lors de ses fiançailles officielles avec la fille d’un directeur de banque, elle comprit le prêt providentiel qui avait sauvé l’entreprise…Maintenant, cinq ans plus tard, elle sait que ce n’était qu’un rapprochement arrangé entre les familles, vu le nombre de fois où il prenait un camion pour s’évader et faire une livraison urgente à l’autre bout du pays…Paule ne désespère pas un jour aller un peu plus loin que l’an passé, où il l’avait embrassée, justement un soir, assez tard, la raccompagnant chez elle après une fête du personnel de l’entreprise.Elle l’avait fait entrer dans son studio coquet, il avait accepté un cognac, elle, buvait ses yeux, et ce fut bestial, un échange fusionnel, alcool, fatigue, sensualité que Paule mettait en valeur dans une robe moulante et décolletée mirent le feu aux poudres…Il lui fit l’amour, puis partit très tard rejoindre son épouse qui détestait les repas entre employés…Paule en avait longtemps rêvé de cette étreinte rapide mais intense, elle s’était donnée avec passion, il l’avait prise avec fougue, elle avait ressenti autre chose qu’un simple élan sexuel. Il l’avait comblée, il s’était comme délivré de ses tourments…Le lundi, il lui avait parlé, dans l’intimité de son bureau. Cela n’était qu’un écart purement physique, car elle était très jolie et il pensait souvent à elle comme une proie très désirable… trop désirable…Ce soir-là il avait craqué, et s’en excusait en la vouvoyant, mais ne pouvait lui assurer un sentiment durable et profond, mais avait apprécié… -On se tutoyait avec le PDG, on le faisait aussi avant et après quand tu étais revenu. André, je continuerai à t’ouvrir ma porte quand tu en sentiras le désir… Depuis 15 ans que je suis ici, tu es parti aux States faire une longue formation dans les transports et le management, qui t’a permis de t’investir lors de l’attaque de ton père. J’ai compris tes fiançailles avec ta banquière, puis ton mariage convenu, tu ne me regardais plus ces mois-là… Ta femme Agnès, était désirable, riche, magnifique, elle te comblait. Maintenant que le désir est retombé, et tu me vois enfin au fond de mon bureau, ou lors d’un repas d’Entreprise… J’ai 35 ans, je suis encore célibataire, je me suis donnée à cette entreprise, pour moi, pour ma réussite professionnelle. Nous avons souvent lutté ensemble pour sauver ou gagner un client, tard dans la nuit car au bout du monde, mettant en commun nos connaissances des langues, des règlements, des lois. Tu en as toujours été reconnaissant, me faisant cadeaux et augmentations en fin d’année, pour compenser mon savoir et mon dévouement. Tu n’as jamais eu de geste équivoques, de regards salaces ou concupiscents, de paroles déplacées à mon égard. J’aurais tant aimé compter pour toi, te faire craquer, que parfois j’espérais… Moi aussi j’ai apprécié.-Je t’ai souvent désirée en silence, regardant la naissance de tes seins, surtout en été, mais je te respectais et gardais à l’esprit les paroles de mon père, garde-la, respecte-la surtout, c’est une perle, elle nous suit et aime son métier et nous fait du bien en silence, effacée mais si efficace…-Merci…-Merci à toi, moi aussi j’ai continué à te tutoyer, tu es mon bras droit, et tu le resteras coûte que coûte. Ma relation avec Agnès est particulière, tu l’as compris. J’ai joué le jeu de nos familles, nous avons failli être rachetés, perdant notre autonomie, Agnès s’est battue et nous a aidé personnellement. Elle a pris des parts de garantie dans la société, mais nous sommes toujours majoritaires, maman, ma sœur, et moi, mon père m’ayant tout cédé…-C’est bien, j’avais vu les statuts et compris…-Tu ne t’es jamais mariée ?-Non, j’étais souvent là, ne sortais que rarement. J’ai eu quelques bons amis, deux ans pour le plus fidèle, parti l’an passé, mais sans moi… Bof, on s’est aimés, comme pour les autres, mais je sens l’âge fatal arriver. La quarantaine est au bout, j’aimerais avoir un enfant… Vivre une vie normale… Tu m’as faite rêver samedi et surtout dimanche… Mais je savais ce que tu allais me dire lundi…-Ne t’en formalise pas. Je te disais la situation. Je suis marié avec ma banque… Pas question de divorcer, ce serait la mort de l’entreprise. Se voir en cachette ? La mort de mon mariage et divorce à la clé en perdant tout, sauf si…-Sauf si quoi ?-Sauf si c’est elle qui me trompe et que je le prouve…-Oh ? Tu as réfléchi, ça se voit… Donc tu y penses… Séparation de corps ?-Aussi, c’est pareil au fond, c’est mieux si cela vient d’elle…-Tu ne l’as jamais trompée ces cinq années ?-Si, un peu… je partais en camion, à Lille, Genève, Quimper… Des maîtresses, mais pas de sentiment… Juste pour baiser avec une autre…-C’est ce que tu viens de faire avec moi…-Toi, je t’ai chaque matin, et chaque matin tu me fais un café, tu me souris, et je plaisante avec toi, pour cacher que j’ai envie de toi depuis que j’ai vue dans ta Twingo et que tu m’as montré tes cuisses sans le vouloir, en m’ouvrant la portière passager… On allait chercher un tracteur en réparation…-Je m’en souviens, je n’y ai pas prêté attention… Tu viendrais ce soir partager mon maigre repas végétarien ?-Si je peux amener une pizza légumes pour toi et jambon chorizo pour moi…Le soir fut le plus beau soir de ma vie.Les pizzas sont restées longtemps sur la table… Je n’avais cessé de repenser à son sexe toute la journée, évitant de peu un accrochage en ville…J’allais faire l’amour avec lui, de nouveau. Un premier rendez-vous, un vrai, prouvant que je compte pour lui, que je lui plais… Et ce fut l’extase…Caressée contre la porte d’entrée, embrassée, dévêtue lentement, au fur et à mesure de son avancée dans ma découverte, je subissais ses assauts avec délice, le désirant au point de pleurer…Nue, tremblante, il me souleva et me porta dans mon lit, comme une mariée… Je le dévêtis, jusqu’au boxer très sexy, que je descendis en minaudant, et prenant la verge excitée dans ma main… Il me laissait faire, j’étais assise au bord du lit, il se redressa pour caresser mes seins…Le sexe entra dans ma bouche, bercé, soulevé, décalotté, puis mouillé par ma langue, qui n’avait pas eu le temps de le découvrir l’autre soir…Je lui fis une fellation de chienne, retardant l’issue de la chose, revenant dans ma bouche, entre mes lèvres serrées, comme un fourreau, il gémissait de plaisir…Quand il me freina, je compris, je me calmais…Il écarta mes cuisses et vint siroter mon nectar… Je m’allongeais, je coulais entre ses doigts, j’étais trempée, mon ventre allait exploser de désir…Il me prit dans ses bras, caressa chaque centimètre de ma peau, de mon corps, massa mes seins longuement, téta mes tétons, puis vint ouvrir ma chatte, goûtant tout sur son passage, mon pubis aux poils blonds épars, léchant, pinçant de ses lèvres mon clitoris exsangue…J’étais offerte, écartelée… Il s’avança…Je sentis le gland ouvrir ma grotte, j’ondulais en gémissant, je me mis à le supplier !-Oh, oui !… Viens !… Prends-moi ! Je suis tienne ! Je suis à toi !… Fais-moi l’enfant que je désire… Je t’aime !…Il s’enfonça lentement, je sentais sa progression, sa tendresse, son envie de me défoncer d’un coup de rein irraisonné, pris par la passion, par l’amour qu’il me porte, j’en suis certaine…Il me fit l’amour total, tendre, bestial, génial, savant mélange de oui et de non, de sourires et de « han » rageurs… Je me dépassais ce soir-là, feuilletant et imitant tous les pornos vus sur le net avec mes anciens amants, les soirs d’hiver…Il me tournait, me retournait, me reprenait sans cesse… Je montais sur lui, fière, m’embrochant en cavalière, grognant et rugissant mes orgasmes, le prenant en moi, serrant son sexe dans mon vagin, l’emprisonnant pour mieux la garder… Puis soumise, je lui présentais ma vulve écartée avec mes doigts, pour son plaisir, en levrette… Il entra en conquérant, me pourfendit longuement, lentement, offerte et sculpturale, ses mains sur mes hanches… Je me refusais, lui échappais, jouais les espiègles, puis le suçais de nouveau en me masturbant ouverte, frottant ma vulve sur sa cuisse, ce qui le mettait en transes, ou prenant sa tête entre mes cuisses, le bloquant à quelques centimètres de mon puis d’amour, sentant les effluves de nos ébats. Je lui offrais alors mes fesses, ma chatte détrempée pleurant son désir… Il planta sauvagement son dard, puis, m’emporta vers d’autres nuages, des rives exotiques aux senteurs poivrées… Là, je sentis son amour, je me donnais, me livrais, m’abandonnais à lui… Je sentis son jus envahir mes entrailles, allongée sur le ventre, les fesses écartées, pourfendues, il se vida avec tendresse et douceur, après tant de positions obscènes, libérant sa rage, son désir enfoui depuis tant d’années, dans un acte délibéré, un acte amoureux…Il me faisait l’enfant que je désirais, tapant encore et encore contre mon pubis, se vidant jusqu’à la dernière goutte en me serrant dans ses bras, caressant mes seins, embrassant mon cou…On resta plusieurs minutes enlacés, incapables de bouger, son sexe planté en moi, sa semence dégoulinant sur mes draps roses…J’étais sur un nuage, sur un bonheur, griffant mes draps, serrant la tête de lit, ressentant encore les spasmes de son sexe dans mon vagin…Il me prit dans ses bras, me serra si fort que j’en ai eu mal… Je ressentais son sexe toujours vivant en moi… On s’embrassait comme deux jeunes mariés en nuit de noces…-Je t’aime…Il mangea ma pizza et la sienne et partit vers 2 heures. Avant de refermer la porte, il essuya mes larmes avec sa langue et se retourna sans un mot…Je reçus un SMS dix minute plus tard : « Je t’aime aussi ».André revint souvent le premier mois…Le second, il fut moins assidu.Au travail, on parlait boulot en toute innocence, je sentais du désir parfois lorsque je croisais son regard…Il passa chez moi, à l’improviste, le lendemain…Après quelques explications sommaires sur ses absences et sa discrétion, sa femme ayant posé des questions à mon sujet, après la fête… Il fit un point de ses pensées…-J’ai une idée. On ne pourra pas en sortir si le destin ne nous aide pas… Elle me fait la tête, me répond comme à un chien. Puis m’évite, me snobe. Hier soir elle est rentrée vers minuit, sans rien dire… Cela devient pesant, on ne fait plus l’amour depuis plus d’un mois. Je pense à toi dans le lit, je me caresse… Je suis certain qu’elle a quelqu’un. Depuis une semaine, elle est coiffée d’une autre façon, a modifié son maquillage, c’est léger, plus clair.-Elle est entichée tu crois ?-Je vais la suivre, elle me ment c’est certain, je ne l’ai jamais vue comme ça…-Tu veux que je t’aide ? Je pourrais le faire, je suis chez moi, dispo, tu le sais… Appelle-moi, donne-moi une adresse, je peux planquer…-Vrai ? On peut essayer, ça ne coûte qu’un peu de temps, et puis si ça ne donne rien on trouvera autre chose.Je m’accroche à son cou, on s’embrasse, sa main remonte sous mon chandail, il me serre contre la porte d’entrée, caresse mes seins, ouvre ma chatte, il me pénètre debout, je jouis immédiatement, pendue à lui, cuisses autour de ses hanches…Deux nuits plus tard, coup de fil, 21 heures…-Elle vient de partir d’un coup après un coup de fil, sans un mot, juste un geste de dédain…-Et ?-Elle m’a dit se rendre chez son amie Mine Lalant qui a besoin de ses conseils d’urgence. Elle réside au 23 square Marina, Bat. 2, étage 3 D… Nous y allons dîner souvent, elles sont amies d’enfance.Je sors après avoir passé un Jeans et un sweat.Je repère sa voiture décrite par André dans le parking privé de la résidence. La porte d’entrée est trop belle, code digital, plantes, marbre… Je fais le tour sur une intuition… Je trouve une porte ne s’ouvrant que de l’intérieur, genre sécurité, poubelles, sortie de secours du garage intérieur ou chaufferie de l’immeuble ?Je réfléchis… J’imagine le gardien ouvrir la porte, sortir les bacs poubelle, un coup de vent et paf, il est dehors et doit faire le tour pour re-rentrer… Il a dû mette en place une astuce…Mais j’ai beau chercher, aucune trace de l’extérieur, ni trou, ni corde, sauf un œilleton… Je colle un œil, la lumière du hall s’allume, quelqu’un descend par l’ascenseur…Je fais le tour rapidement, deux couples sortent et se dirigent vers le parking. Je cours à pas de loup vers ma voiture, les ratt**** au feu suivant, je sais que c’est elle ent****rçue de loin. Elle est montée derrière avec son amie. Ils se garent sur un parking en ville, j’en fais autant. Ils s’approchent d’une porte de service avec code, un des hommes tapote, la porte s’ouvre…Mince !…Si c’est une résidence ou un établissement privé, il doit y avoir une entrée de l’autre côté.Je fais le tour et en effet « Club princesse » puis en petit « Réservé aux membres »Je gratte à la porte…-Bonsoir, vous êtes ?-Julie Du Roy, des Transports du Roy.-Ah, oui, je connais votre entreprise… Maman est entrée depuis quelques minutes, mais elle n’est pas revenue me chercher… Je suis blessée… Rien de grave qui ne m’empêche de boire un verre, et me divertir dans ce bel établissement, si chaud…-Vous devez hélas montrer patte blanche. Un nom n’est pas admis. Mais une carte de membre, ou un ami…-Une amie ? Mme Du Roy ne suffit pas, elle était avec son amie Mine Lalan et vos patrons… ?-Oh, entrez je vous prie, elles sont arrivées… Vous faites partie du spectacle ?-Heu, en effet, c’est mon premier soir…-Bon spectacle alors, venez, les loges sont là-haut…Quel bol…Je monte et trouve un couloir, avec des portes, je suis dans un théâtre, un club avec spectacle, sans doute assez privé…Des filles se promènent, très dénudées, j’ai raison… Une sorte de club de travestis, car celle-là en est un…Je les aperçois, avec les deux hommes, elles se changent, ils contemplent…Presque nues, tenue de scène, seins sortis ornés d’une étoile, jambes gainées de collant à résille.Puis un des hommes s’approche d’Agnès et la prend dans ses bras, leur baiser n’est pas équivoque, elle lui roule un patin de première, lui laissant caresser ses seins, mais ôtant celle qui s’infiltrait traîtreusement entre ses cuisses… L’autre couple se sépare aussi à regret, les deux femmes se sourient, et sautillent en sortant, remettant leurs tenues en place…Je ne vais pas rester outre mesure et risquer de me faire repérer, je redescends, je suis certaine maintenant qu’elle a un amant et de plus, elle se donne en spectacle dans un club de strip-tease…Mais un petit goût amer me pousse à me diriger vers la salle que je cherche…La voici… Petit théâtre, avec quelques tables, une quinzaine, sans doute pour un public averti et riche… Champagne et autres douceurs. Les filles passent entre les tables, seins à l’air comme se doit. Le rideau s’ouvre, la musique commence, Agnès et là avec son amie et font un ballet moderne… Quelques minutes, puis d’autres filles arrivent, des hommes et elles se mélangent… Suit alors quelque chose de spécial, Agnès en cage, nue, avec Mine… Elles sont enfermées dans cette espèce de grande cage, debout, se tenant à une barre, mais elles peuvent évoluer et s’allonger sur un petit sofa… Elles s’embrassent, se caressent, et font l’amour devant les spectateurs qui demandent la cage devant eux à coups de billets…Je suis cachée, il fait nuit, je reste abasourdie, cela devient chaud, je comprends le manège de spectateurs qui quittent leur place et montent avec une des serveuses-hôtesses…Sans doute vers les portes que j’ai aperçues en haut…Agnès et Mine ne font pas semblant de jouir, écartelées, elles se masturbent réciproquement, se frottent, jouissent, s’embrassent, ensuite léchage de chatte, et masturbation clitoridienne intense, à quelques centimètres des gagnants… Baisers de feu, louvoyantes, de vraies perverses lesbiennes, montrant tout, surtout devant les plus généreux…Ceux-là, ont droit à un baiser à travers les barreaux…J’aperçois alors les deux amis qui viennent prendre la cage, elles sont libérées et ils les accompagnent dans leur loge sans doute…Je sors de ma cachette, me faufile, et monte… Elles sont là dans le couloir, souriantes et entrent dans la loge, nues… Leurs deux amants les suivent… J’approche, j’entends nettement les gémissements de deux amies, et des bribes de paroles sans équivoque, elles se font baiser…Dans la voiture, j’attends une vingtaine de minutes… Les revoilà, habillées avec tailleur classe et chemisier en soie, ils les reconduisent…Parking, et ayant prévu, j’ai le temps d’entrer à leur suite avant que la porte se referme.Ils prennent l’ascenseur…Je monte les trois étages en courant. Une seule porte, marquée Mine Lalant…Tout semble calme, je monte un escalier caché par une porte au fond du petit couloir…Je suis au dernier étage…Mais on peut accéder plus haut par ici…La porte s’ouvre sur une terrasse vitrée, sur la gauche une annexe ascenseur. Je me porte vers un hublot, une piscine… Petite, claire, je ne sais pas par où on entre… Mais ce que je vois me suffit, les deux femmes sont prises par leurs amants, Mine les cuisses écartées, se fait tirer largement et avec fougue, l’autre s’occupe d’Agnès, accoudée à la bordure, cuisses ouvertes, et il la baise sans relâche, enfilant son énorme dard en cadence dans la chatte de la jeune femme qui gémit son plaisir… J’assite à une partie carrée en règle, ils changent de partenaire, les deux amies se godent devant eux, puis se tournent et s’offrent…Sodomie mixte, échange de macho au milieu, puis extases rugissantes pour ces dames…Et enfin, le must une double pénétration pour Agnès qui rugit de plaisir, explose, se tord, vibre, sous les deux dards qui la fouillent… Son amie, écartelée, se masturbe sans complexe à la barbe de leurs copains…Et ça recommence, elles font l’amour tendresse cette fois, menant le bal auprès des hommes.Fellations sublimes, pénétrations langoureuses, un plaisir de les voir, au point de me caresser en silence…Pour finir, elles les chevauchent de concert, excitées et heureuses, puis terminent en beauté, lentement, guidées par leurs hommes, qui jaillissent en elles, les portant à un orgasme mutuel, qui subjugue leurs amants… Allongées sur des matelas douillets, elle se lovent dans leurs bras, et s’endorment…Je ressens le froid, décontenancée, groggy, ne sachant encore ce que je vais trier pour André…Je l’appelle en arrivant, je suis ressortie sans encombre, encore sous choc.-Allo ?-Elle n’est pas rentrée, tu l’as vue ?-Oui, je les ai vues et ce n’est pas bon…-Ah ! A ce point ?-Je me suis gelée, mais ça valait le coup… Enfin, je te raconterai. Pas au téléphone.Le soir, il vient dîner. Je lui raconte tout par le menu, en commençant par la boîte.Puis j’en viens à la suite…-J’étais fière de moi, d’avoir déjoué les portes et leurs codes, trouvé mon chemin, m’être faufilée derrière eux lorsqu’ils sont rentrés à l’appartement. Enfin, tu savais qu’il y avait une piscine, genre grand SPA couvert, en terrasse ?-Non, on n’y est jamais allés. -Elle te plaît la copine ?-Elle est jolie et pas con…-Elles sont proches ?-Assez, une amitié de plus de vingt ans…-Agnès est bi ?-Pas que je sache.-Tu n’as jamais essayé de l’amener à partager, à tester, etc… ?-Pourquoi, elles se gouinaient au bord de l’eau, avant que ça dégénère…-A ce point ? Ce n’est que sexuel ?-Elle y prend goût, elles se sont livrées corps et âmes, à leurs amants, jusqu’à les faire jouir en elles avec tendresse, en fermant les yeux, criant leur plaisir ensemble. -Oh, putain !-???-Oh, la salope, elle se fait ramoner la chatte, se fait baiser en duo, et en plus se gouine avec l’autre… Elles ont fait l’amour dans la cage ?-Pas qu’un peu, en réel, ce n’était pas du bidon, écartelées devant les spectateurs qui payaient pour les avoir plein cadre devant eux !…-Il aurait fallu filmer… Agnès dans la cage avec Mine, Agnès prise en double, en train de jouir, criant son plaisir de se faire troncher par deux maquereaux…-Tu crois ? A ce point ? Je pensais à des hommes d’affaires, les propriétaires de la salle.-Merci pour tout, tu as été géniale… La prochaine fois, j’irai avec toi. Si je pouvais filmer cette pute qui se donne en spectacle les seins à l‘air et bouffe des bites à chaque séance…-Elle n’y va pas chaque soir…-Tu as raison, mais si je partais en voyage ?-Oh, oui, viens ici pendant tout un grand week-end, sans sortir, à ma faire l’amour partout, l’amour fou…-Qu’est-ce que je regrette de ne pas avoir osé… Tu étais là, devant moi, amoureuse en silence… La vie m’a poussé dans les bras de cette salope sans cœur, égoïste et frigide. Ah, elle est belle, elle porte bien les tailleurs hors de prix, les culottes en soie, cette putain, car elle ne t’arrive même pas à la cheville, côté sexe… Elle triche, ment, simule des orgasmes… J’ai mis le temps pour m’en apercevoir… Ah, elle se laisse baiser facile, mais rien en retour, un mur, nu, sans écho, elle se trémousse. Je suis certain qu’elle est capable de tout pour séduire, pour gagner, pour être vue… C’est bien son style…-Et si on la piégeait ?-Comment ?-Filmer, c’est fait mon chéri, j’avais mon sac et mon portable, ce n’est pas super net, mais l’essentiel y est, et même au-delà, pour demander un divorce. Comme tu le désirais, on la voit dans la cage, puis dans le SPA, se goussant avec son amie, puis prenant leurs bites avec fougue, se laissant démonter en beuglant (on voit la bouche, mais sans le son…).-Montre-moi, vite.-Non, j’ai préféré cacher la cacher mémoire en lieu sûr, avant de sortir de l’immeuble.-On ira la récupérer…-Il suffit de les surveiller et quand elles sortiront, on aura le temps de retourner. Où l’as-tu mise ? En haut ?-Bien sûr, j’avais trop peur de me faire pincer à filmer… Mais j’ai trouvé une cachette super.-Oh, je t’aime toi, tu vas me libérer de mes chaînes et pour ça, viens…Le reste de la nuit est monstrueux… Il pense à la trahison d’Agnès, car il est vraiment cocu et profond… Les yeux éperdus de reconnaissance, il me caresse, m’embrasse et je fonds… Je vois des lumières dans son regard…Il me prend dans ses bras, me dépose sur la table de la cuisine…Il retire mon rempart de tissu, sa langue commence un ballet érotique, jouant avec mon bouton d’amour, petit-pois grossissant, qui m’électrise et annihile mes défenses et ma lucidité.Je suis emportée dans un torrent, bercée, je me retrouve nue, il approche sa verge dressée, son gland luisant, prêt, contre ma bouche… Je porte ce trophée au sumum du désir, avec mes mains, avec ma langue, à la limite de la jouissance, m’en délecte, jusqu’à ce qu’il arrête avant, me prend dans ses bras et me porte dans la chambre…Je deviens une poupée de chiffon, il me tourne et me retourne, me fais jouir dans toutes les positions, déroulant le kamasoutra… Sa bite me laboure, me sodomise, se niche entre mes seins, reviens entre mes cuisses, je lui dédie un orgasme si intense que j’en perds le nord, effondrée, tremblante, je viens de gicler sur mes draps, femme fontaine, ivre de plaisir…Il me prend lentement, en chien de fusil, dans mon dos, je fais le grand écart, sa bite me transperce de nouveau, m’emporte jusqu’au bout, et nous jouissons ensemble, au sommet de notre amour…-Je t’aime…-Je te veux… Je veux que tu remplaces cette salope dans mon lit tous les soirs, comme tu le fais dans mon cœur… Je veux cet enfant de toi que je t’ai fait l’autre soir…-Il grandit dans mon utérus, je le sens, il est là, c’est un peu de toi, en moi…Comment ne pas pleurer après cette déclaration ?Je ne peux plus dormir, je pense trop…-Tu avais commencé à me dévoiler un plan, avant de…-Oui… J’aimerais l’anéantir. Elle te fait du mal, elle sait qu’elle te tient, donc, c’est voulu, elle cherche à t’évincer, de l’affaire et de son lit par la suite…-C’est ce que je pense aussi…. Et ce que tu viens de voir me conforte.-Je vais me rapprocher d’elle, elle ne me connaît pratiquement pas, elle sait tout juste que j’existe : « Petite fourmi qui travaille dans l’ombre, qui n’osera jamais relever le bec contre ma toute puissance… ».-Et ?-Bien j’ai bien une idée, la séduire puisqu’elle aime les femmes… Et même, je dirai, les séduire… J’ai pensé à plusieurs attaques, en douceur, soit la croiser par hasard et m’en faire une amie, baiser avec… Louer un appartement dans la résidence pour m’en rapprocher, vamper son amie, qui doit flâner pendant la journée, me faire passer pour une danseuse pour entrer dans la danse, me faire embaucher par le club…-Oui, des idées, il faut réfléchir, être à l’affût… Je fais le café, il a passé la première nuit avec moi…Chapitre IV – Agnès-Tu as oublié de me prévenir que tu ne rentrais pas cette nuit…-Si, mais tu étais ailleurs, dans tes pensées, en escort muğla train de faire je ne sais quoi… Tu t’es vengée en ne rentrant qu’au petit matin, la nuit passée… Je m’inquiétais…-Juste un service pour mon amie…-Tu es bien généreuse de ta personne avec elle ? Rester toute la nuit… Elle a un chagrin d’amour ?-En quelque sorte, oui, spleen, elle se sent vieillir. Je l’aide à penser à autre chose, on sort un peu, on voit des gens…-Tu devrais l’inviter, il y a longtemps que je ne l’ai pas vue…-Pourquoi pas ? Tu aimerais la sauter ? Tu ne me touches plus depuis quelques temps…-Cela te manque, nos parties de jambes en l’air ?-Je suis une femme, j’ai des besoins autant que vous…-Ah, c’est pour cela tes sorties nocturnes, ton changement de coiffure, ton nouveau maquillage ?-Oh, non, je trouve que ça me rajeunit… Mine aime ça. Elle aussi a changé.-Elle accepterait une soirée à trois ? Tu l’as déjà touchée ?-Mine fait partie de mon adolescence, nous avons tout découvert ensemble, les femmes, les hommes, et le reste…-Vous vous caressez ? Vous faites l’amour ?-Oui, cela nous arrivait avant nous 2. Mine aime la tendresse, un sexe soft, on partage…-Tu n’as jamais pensé à la partager avec moi ? Avec un ami à elle ? A 4 c’est plus équitable ?-Oui, je n’aime pas trop les mélanges, tu le sais. Les orgies ce n’est pas mon genre, mais prendre un autre sexe en moi que celui de mon mari… Si tu veux… Si cela peut améliorer notre libido… As-tu une maîtresse, toi ?-Non. Et toi, un amant ?-Pas plus que toi. J’aime ma vie, je profite de mon argent, je fais du sport, je vois mes amies, me fais d’autres amis parfois. Tu t’occupes de l’Entreprise avec brio, tu y passes beaucoup de temps et je ne peux te reprocher quelques écarts. Ton amour me suffit, et nos ébats me comblent toujours autant… Mais si tu ressens un peu de lassitude, si tu veux pimenter nos rapports, voire notre couple, avec d’autres, en partage, en libertinage consenti, je suis d’accord. Un peu de folie me sortira de mon train-train quotidien et m’envoyer en l’air pourrait ouvrir des perspectives pour nous 2…-Tu n’es pas fan de sexe, pourtant. Tu me l’as souvent répété… Juste de la baise pour nous rapprocher. Etre intimes et faire l’amour est nécessaire, mais tu as du mal à assouvir tes pulsions, à moins que tu ne sois plus attirée par Mine…-Mine est d’abord une amie avec qui je suis bien, nous avons beaucoup de points communs. Le sexe est venu plus tard, il n’y a pas longtemps, et ce n’est qu’un jeu pour moi, jouir, bof !… Comme avec toi, je jouis sous ses caresses, mon corps réagit, mais je ne ressens que rarement un plaisir à en rêver, à me transcender au point de le chercher auprès d’autres hommes. L’inconnu ne m’attire pas. Je suis cérébrale, donc guidée par mes pensées, et elles sont souvent elles-mêmes guidées par l’argent, la domination, le pouvoir. Baiser ne m’apporte pas de pouvoir, au contraire, je me sens soumise, avilie parfois… Si je suis vénale, par devoir ou intérêt, alors c’est dans la tête que je ressens ma victoire, pas dans mon sexe.André reste perplexe, il est là, devant moi sachant que j’ai le don de prêcher le faux pour savoir le vrai…Ma vie ? Une union faite sur un coup de tête, intriguée par mon père et la famille qui nous ont poussés l’un vers l’autre, puis dans son lit.Je profitais alors de ma vie dorée, allant juste travailler quand je le voulais dans la banque de mon père qui en était le directeur.J’avais à 25 ans, une vie de star, vacances à St Tropez, Ibiza, Courchevel ou Megève. Je sortais avec une bande de larves friquées, et plongeais sans retenue dans le sexe pour diriger mon monde, avec mon amie Mine.Que du beau monde, que des parties fines, j’étais connue en tant que fille facile, et Mine et moi, étions souvent invitées par la jeunesse locale.Alors que s’est-il passé ?André surgit dans ma vie un jour, au restaurant avec mon père qui me présenta à lui, il avait un besoin urgent, mon oreille s’était dressée, ma culotte aussi. Il était beau comme un dieu, était diplômé, arrivait des States pour prendre la direction de l’Entreprise familiale. Transports internationaux, très fiable, reconnue. Mais parc vieillissant, papa malade, il devait rajeunir, moderniser, investir d’urgence…Mon père m’expliqua, me guida et le fait qu’il me charge de ce dossier me grandit.Je tombais sous le charme, et le second soir, après une après-midi de chiffres, je passais à la signature, puis à la casserole, toute une nuit dans un 4 étoiles de la région…Cela me changeait de mon groupe d’allumés, et je connus des moments magiques, car il était un dieu au lit aussi…Il conservait la majorité de l’entreprise, on se mariait, je dis oui sans réfléchir, mon père était aux anges, il visait plusieurs millions à travers ce rapprochement.Il ne pensait pas qu’André allait réussir à ce point à redresser la barre, ses vues étaient les bonnes et les actions s’envolèrent… André avait tout gagné, doublé ses parts, mon père avait perdu… Et moi j’étais au milieu…On baissait de régime, il ressentait mon dépit, de n’avoir pu réaliser le vœu de mon père, prendre la majorité, puis l’Entreprise…Je commençais à sortir de nouveau avec Mine, qui me présentait de quoi me satisfaire et m’évader… Je couchais sans plaisir au gré de nos sorties nocturnes. Mine eut une déception, elle devint ma maîtresse, nous ne découvrions les charmes de l’amour lesbien que maintenant. Elle devenait aussi perverse et perfide que moi. Nous jouions avec les hommes lorsqu’on le pouvait. Les après-midis au tennis, au golf, à la voile, puis pour les compétitions sur plusieurs jours, partout en France. On s’éclatait. André était cocu, mais surtout par Mine ! L’an passé, on rencontra deux hommes d’affaires. Draguées, ils nous proposèrent de goûter au monde de la nuit par la danse et le strip-tease. Beaucoup d’argent à la clé, épanouissement personnel, soirées, voyages, invitations, le beau monde que j’avais fui après mon mariage.Ils nous guidèrent, nous prirent « en supplément », certains soirs pour tester de nouveaux numéros. Nous prouvions notre savoir-faire en commençant par eux, passant certaines nuits tous les quatre… Orgies à la faveur des absences de mon mari. Ils étaient deux supermen !…Je menais ma vie extra-conjugale dans le plus parfait secret… André savait mon attachement aux sports et Mine était son garant. Cela lui suffisait.L’urgence de l’autre soir, troubla ma tranquillité. J’ai dû arracher ma soirée… Et ma nuit…Cela était arrivé parfois, autant par lui que par moi. Mais jamais pour le tromper ouvertement.La nuit fut torride, après le spectacle où l’on s’éclata toutes deux, doublant le chiffre de la soirée moyenne, ils vinrent chez Mine, finir la nuit…Que de sexe dans ce SPA en terrasse, que les propriétaires réservaient selon leurs besoins. Chacun avait un accès par système informatique, et code d’accès. L’entrée était verrouillée, réservée au seul usage du copropriétaire qui avait réservé.C’était la première fois, Mine fut ravie et on s’éclata avec nos amis… Baise sans réserve, dans ce cocon, ce nid d’amour ultra sécurisé, avec une vue imprenable sur le port et la ville…J’ai adoré la regarder jouir, se donner, sous le charme de Jean. Moi aussi j’ai joui, oubliant André, l’heure, ressentant leurs queues me pilonner pendant des heures, voir et entendre ma Mine, exploser sous les assauts des deux hommes…La suite de la soirée a été sublime, toute la nuit nous rejouions le SPA, en transes, ravagées par ces deux malades, jusqu’à s’endormir toutes deux, au petit matin, dans la baignoire…Pour la première fois depuis très longtemps, j’ai ressenti des ondes qui me stimulaient… Tantôt perverse, enragée, avide, tantôt soumise, chienne, dominée, me faisant détruire la chatte et ouvrir le cul par deux pervers assoiffés.Je me suis régalée, nous étions fusionnelles, enjouées, si heureuses de notre spectacle, que nous avons tout accepté d’eux.D’abord dans la loge où ils nous ont sauté dessus après le spectacle, baisées sans ménagement, puis échangées, là ils avaient demandé à Mine si elle avait bien réservé le SPA.Quelle nuit de sexe, quelle nuit torride, nuit d’amour à la fin…Enlacée avec Mine je voulais sans cesse la caresser, la lécher, la faire jouir…Elle était comme moi, ivre, de sexe, de plaisir, de champagne, elle voulait vivre avec moi, ne plus me quitter, mener ma vie d’avant, avec prudence, mais salopes jusqu’au bout des ongles…-Tu vas lâcher ton mari, oublier les millions que tu n’auras jamais à toi, tu vas revivre enfin. Plus de parents, plus de mari, tu vas mener la vie qui te plaît, libre, femme, libertine, pendant que tu es jeune et merveilleusement belle à en crever… J’ai envie d’extrême avec toi, de connaître l’inconnu, de sublimer ma trentaine, exploser ma quarantaine, et vivre sans compter, sans morale, sans attache, juste toi…-Tu crois que ce serait le bon choix ?-Propose-lui un deal, séparation de 6 mois pour faire le point.-Je vais réfléchir, c’est tout frais… Mais je suis si bien avec toi, et nos nouveaux amants…Chapitre V – Agnès, réflexions intimes…Mon père m’a laissé suffisamment de quoi vivre jusqu’à la fin de mes jours. André ne le sait pas, je vaux beaucoup d’argent. Les parts de l’entreprise sont ridicules par rapport à mes biens propres que j’ai protégé par contrat. Je possède plusieurs immeubles, des valeurs, des placements, et je reçois plusieurs dizaines de milliers d’euros par mois de dividendes, la majorité de mes actions dans la banque.Si je quitte André, en effet, je serai entièrement libre et autonome. Avant André, j’étais sous la tutelle de mon père. Je travaillais et avais un salaire, certes au-dessus de la moyenne, mais cela suffisait à ma vie facile, de plus papa me couvrait de cadeaux, voitures, appartement, voyages, et il aimait bien Mine, nous voyant comme deux sœurs. J’étais fille unique, maman est partie dans ma dixième année environ, brutalement, ce qui n’avait pas arrangé mon caractère déjà bien trempé.Etudes, Bac, puis licence en droit, papa ne plaisantait pas avec la formation de base.Je restais à la villa ensuite, par commodité et tant que je travaillais à la banque.Le mariage me donna des ailes, elles avaient poussé lors de mes frasques nocturnes que papa me reprochait mollement, mais il valait mieux que je m’amuse, et que je vive ma vie, en oubliant le décès de ma mère.J’appelais André au bureau, lui proposais de dîner avec Mine ce soir… Elle était d’accord pour ce dont on avait parlé…L’autre soir il était rentré tard aussi, après la fête annuelle de l’entreprise, offerte au personnel, repas, orchestre, cadeaux, etc…Je me doutais d’un coup de canif, il était distant depuis quelques semaines… Je n’y mettais pas du mien non plus… Nous avions des accrochages fréquents, sur des vétilles.Mais les quelques coups de fil que j’ai passé n’ont rien donné…Il était là, tous s’en souvenaient… Mais il manquait deux heures dans son agenda… Au bureau soi-disant… A deux heures du matin ?… Il m’a menti, et je sais… Je l’ai vu… Je ne peux pas le croire encore…Je n’avais donc pas eu de scrupules lorsque Mine m’a téléphoné un matin, une occasion unique se présentait, son copain Jean nous proposait de remplacer un couple de lesbiennes dans leur numéro… Les deux propriétaires viendraient chez elle pour discuter de notre contrat. Nous avions rencontré Jean lors d’une soirée, je crois, Mine avait été séduite par cet homme au regard bleu clair, elle lui avait alors laissé entendre que l’on serait capables de danser pour eux… Elle ne l’avait plus revu, mais était accro de Jean…Après quelques minutes, je la rappelais pour donner mon accord, présentation, repas et hop, l’aventure !José et Jean ont beaucoup de classe, ils forment un duo parfait pour diriger leurs troupes, ils sont aussi très directs. Après la présentation d’un contrat type, une explication sommaire du travail à faire, la qualité du public et les moyens de sécurité, je fus impressionnée par la débauche de cadeaux apportés. Robes, colliers, tenue de scène, bijoux…José me regardait droit dans les yeux, j’étais glacée…Nous passons dans la chambre avec Mine, elle était surexcitée… Ma tenue de scène est un appel au viol… Démente…-Tu es d’accord ? Ça me tente vraiment… A moitié nue, et même complétement dans la cage… Te faire l’amour… Ils vont nous sauter dès que tu auras dit oui, tu t’en doutes ? Ils nous regardent comme des proies.-Alors, c’est avec leurs bites qu’on va signer…On leur a ouvert la porte et ce fut magique… Il ne manquait que le maquillage et quelques accessoires…José me demanda de flirter avec Mine pour nous juger…Je la pris contre moi, l’embrassais en la caressant. Puis je m’emparais de ses seins, les frottant aux miens, échangeant des baisers, puis elle écarta ses cuisses pour se caresser toute seule en minaudant son plaisir… Mine retira ma tenue, et me rendit caresse pour caresse… Nous étions nues, offertes et sans défense…José me souleva la première, et me déposa sur le lit jonché de nos vêtements éparpillés… Je vis Mine se lover dans les bras de Jean.Elle me rejoignit quelques secondes plus tard, allongée sur le dos, cuisses écartées, leurs langues donnèrent le départ de la soirée…Mine, le déshabilla lentement, se frottant contre lui, excitante et perverse, le masturba avec application, puis le mis dans la bouche et s’activa… José, glissa son membre énorme dans ma bouche, en salivant le couple devant lui… Je perdis le fil, suçant sans penser, sans voir, goûtant ce membre acre, raide, chaud…Je me sentis emportée, tournée, retournée… D’attouchements torrides, en baisers intimes, une langue essayait de me faire décoller…Je sentis la grosse queue m’éventrer… J’étais dans un état second, je trompais André…J’eus un orgasme immédiat, et il me fit l’amour sans relâche durant une heure, poupée de chiffons désarticulée. Il suait sur moi, je gémissais parfois, regardant le plafond, sentant sa grosse queue changer de trou sans ménagement, macho et prédateur… Nous entendions parfois les geignements de Mine s’intensifier, puis la passion de Jean, elle jouissait, griffait, à terre sur un épais tapis, dans des positions alternatives, obscènes, délurées, puis gémissait encore, soumise, défoncée, explosée…Ils nous laminèrent, je ne suis pas experte de la sodomie, que je pratique rarement, mais là, il m’ouvrit en deux, je sentis sa chose me défoncer, me faisant crier sous ses coups de reins…Il était l’heure d’entrer en scène, le temps d’y aller, ils nous conduisirent, nous étions vannées…Quelques caresses nous remirent d’aplomb avant de rentrer en scène, nous savions notre rôle et tout se déroula sous les applaudissements des clients, conquis par notre show, et notre hardiesse.José et Jean nous récupérèrent et nous ramenèrent à l’appartement de Mine…Je salivais la suite, le nouveau SPA qu’elle m’avait caché, une soirée tendre, très sexuelle. Je fis l’amour avec les deux hommes dans la quiétude de cet endroit atypique…Mine se libéra avec Jean, puis avec José, ils la partagèrent, moi un peu plus tard, ils étaient infatigables, pleins de ressources, très attirants, tendres, je me surpris à aimer faire l’adultère dans ces conditions.La bite d’André était oubliée, et si je ne baisais que par devoir, ou par hygiène, avec lui, je sentis du plaisir, quand le sperme gicla en moi, m’emportant dans un orgasme sublime et rare, que Mine salua avec tendresse, en venant m’embrasser passionnément…Je rentrais très tard, au matin, André dormait ou faisant semblant, je pris un bain, et le rejoignis.Mon avenir était en balance désormais, le tout serait de quitter mon mari sans trop de heurts au moment de choisir…Pour ce faire, j’eus une nouvelle opportunité le vendredi suivant. Mine m’appela, Jean venait de passer la nuit avec elle. Il lui avait raconté une partie de sa vie, après deux heures merveilleuses. Il s’était livré disant qu’il ressentait quelque chose pour elle… Je pris ma voiture et arrivais chez elle en un quart d’heure…Elle me parla de ce qu’elle ressentait pour lui, elle était éprise, pensait que c’était sexuel, mais elle en rêvait la nuit, oui, elle était tombée amoureuse. Cela ne remettait pas en cause notre couple. Elle m’aimait au-delà et Jean ne pouvait lui apporter ce que moi j’apportais à sa vie, à ses rêves….Jean était marié, elle s’en doutait, José aussi.Leurs femmes étaient atypiques. Karine, celle de Jean était romancière. Elle avait écrit quelques romans, puis s’était orientée après son mariage, vers le polar, saupoudré de sexe… Elle publiait également des romans très chauds, pris sur le vif, comme des clichés, surtout dans la Paris bourgeois des années 90 à nos jours. Elle fréquentait ce monde d’intellectuels de gauches, mais pas que, rejoints par les déçus de la politique, des vedettes, des artistes de milieux divers. Tous libertins, avouant tout de go des soirées dont l’intellectuel ne dépassait pas la ceinture et était un prétexte à la débauche. Sexe et pouvoir, tout un monde éternellement au goût du jour.Maureen, elle, était enragée de voile. Elle avait connu José lors d’une régate qu’il avait remporté de justesse. Dès lors, ce fut un combat sans merci entre eux, qui se finit un soir dans la couchette de son beau catamaran… Ils se marièrent, elle repartit de courses en courses à travers le monde. Elle croisa, lors d’une fête à Brest, la belle Karine. Elle avait lu un de ses livres, en escale le mois passé. Elle trouvait son univers assez « prenant ». Elle avait aimé découvrir ce monde féminin, et les rapports étaient décrits avec tendresse, sans vulgarité, avec toutes les facettes que la femme peut révéler pour la conquête de son rêve. Elle invita Karine à la rejoindre le lendemain dans le bateau, cadre idéal pour devenir amantes… Le soir suivant, Maureen et José, l’invitèrent avec son mari. Karine leur montra les dessous de ses histoires, le sexe sous-jacent dans toute décision, le sexe pouvoir, le sexe arme fatale… Et elle le lui prouva sur le champ en embrassant son mari !… La soirée était lancée…Les deux hommes devinrent vite amis, et partagèrent les visions de Karine. Accros au monde de la nuit, leurs vies basculaient dans l’érotisme et le libertinage. Ils décidèrent de monter un spectacle, encouragés par Karine qui leur trouva les personnes adéquates…Maureen apprit la danse, et avec Karine, elles mirent au point le show de la cage qui devint le clou du spectacle et l’attraction qu’il fallait voir… Le pari était gagné. Maureen repartit en mer, il fallait la remplacer. Une annonce, des candidates, peu de classe…Jean eut un léger accrochage. Désolé, il échangea carte et constat avec une jeune femme, laborantine…Il l’invita au spectacle pour la dédommager, signer les papiers et se faire pardonner. Elle rencontra Karine qui craqua pour ce pur diamant. Elle y goûta le soir même, en lui faisant visiter le théâtre…Mireille accepta un premier contrat, pour un soir par semaine, le vendredi…José eut un pincement au cœur en regardant sa femme et cette adorable jeune femme, faire l’amour pour la première fois dans la cage…Karine qui connaissait son mari, lui offrit la jeune femme sur un plateau, en l’invitant chez eux… José fut très content de participer…Mireille était conquise… Elle complétait ce quatuor en or, profita de ses nouveaux amis, sans se priver… Elle faisait l’amour avec Karine le vendredi soir, et avec les deux hommes qui la raccompagnaient après le spectacle, Karine préférant dîner avec la troupe et quelques clients…Oui, José et Jean avaient réussi. Ils étaient entourés de gens de métier, la cage restant une attraction particulière que leurs femmes avaient inventée.Maintenant tout fonctionnait, les clients nombreux venaient admirer le couple de lesbiennes ‘in vivo’, qui avait conquis l’ensemble du monde de la nuit et bien au-delà. Mireille était un choix judicieux, fraîche, directe, intelligente, douce, très sensuelle, dixit ses amants et amantes.Maureen repartait aux Etats-Unis où elle participait aux éliminatoires de la Coupe America, prestigieuse régate entre pays, très réputée, et faisait partie de l’équipe Suisse qui avait ses chances.Elle avait laissé sa place avec regret à la nouvelle venue, Mireille, ayant apprécié de s’être laissé séduire par Karine, et convaincre de mettre un pied dans ce monde. Son mari, lui, était ravi et ils se téléphonaient souvent. Elle savait qu’il la trompait par ennui, elle aussi, mais ils étaient unis par un sentiment profond, mélange d’amitié, d’amour, et de respect de leur liberté.Que son mari la baise tant qu’il le voulait, elle était certaine de sa sécurité et de son amour !Mireille se fit un nom, des amis, aima se fondre avec volupté dans les soirées mondaines, où elle côtoya du bon et du moins bon… Elle avait le don de ne prendre que ce qui l’intéressait, et se servit sans retenue…José l’adorait. Ce fut au tour de Karine de quitter la troupe, épuisée, voulant retrouver son monde littéraire parisien. Elle avait puisé au théâtre de quoi alimenter ses pages coquines pendant des années…Mireille était triste ce soir-là… Elle venait d’apprendre le départ prochain de sa moitié. Elle s’était habituée facilement, aimait faire l’amour à cette femme aux formes épanouies, pleines de charme… José et Jean étaient navrés. Mireille pensait à quelqu’un qui s’ennuyait dans la vie, quelqu’un qu’elle avait croisé au Pic de la Grave, dans ce chalet…Elle n’avait jamais oublié Maguy et cette complicité qui les avait réunies dans ce petit studio dans le refuge…Chapitre VI – AndréFils d’un entrepreneur local, spécialisé dans les transports scolaires, puis internationaux, je grandis dans les vapeurs de gas-oil, les coups durs, les camions en panne, les chauffeurs inconstants, et autres incidents qui affaiblirent mon père au fil du temps.Je passais mon bac, élève moyen, un peu rêveur, puis j’eus l’idée de partir à l’aventure en ce qui concerne la suite de mes études. Papa me poussait à continuer le plus loin possible afin de le remplacer un jour…Il ne s’attendait pas à ce que soit aux States, en vogue, très côté dans le monde des affaires, du transport, des stratégies.Après réflexion, il me donna sa bénédiction… Je partis après quelques semaines, inscrit à une université prestigieuse et chère, mais il tenait, après le décès de ma mère, à m’offrir le meilleur et affirmait que pour réussir dans notre métier, il fallait voir ailleurs et mettre tous les atouts de notre côté.Je passais par toutes les formations, réussissait mes examens, pour une maîtrise de mon futur poste de Directeur…Au bout de cinq ans, j’étais prêt, il me manquait quelques mois dans le domaine bancaire, je m’inscrivis donc à un stage, à New-York, dans une grande banque…Le télégramme arriva trop tôt…Je pleurais à chaudes larmes dans ma chambre…J’aurais tout donné pour le revoir, continuer à parler de notre métier…Je rentrais sur le champ, abandonnant cette vie à l’américaine où côté contacts, je fus premier…Français, pas bête, pas mal, jeune et célibataire, je multipliais les aventures, et devenais un séducteur reconnu, ce qui me poussa encore plus loin, plus haut, plus riche…Soirées, discothèques, voiture de sport, beaucoup de femmes, d’épouses tentaient de passer dans mon lit, quelques heures ou plus parfois, risquant les foudres de leurs pères ou de leurs maris.Je quittais cette vie, ce continent, avec regret, mais à temps, je crois…Après l’enterrement, je pris la direction de la société.Je retrouvais Paule, la petite secrétaire au fond à droite, qui régissais tout ou presque, adorée par mon père, elle était partout, gérait tout…Mon père avait insisté sur le fait que Paule était un élément essentiel. Qu’il ne fallait pas jouer avec, mais la respecter et surtout ses jugements, qui se sont souvent révélés exacts.Elle avait son âge, à quelques années près, était devenue jolie, mûrie, courbes sensuelles, regard moins fuyant qu’avant, et il y perçut (enfin) un intérêt affectif…Il aimait la convier aux réunions, lui demanda souvent son avis, son concours en dehors des heures, et la nomma officiellement (enfin) cadre de directionIls faisaient un point journalier vers 09H00, avec le responsable logistique et la comptable, qui étaient sous sa responsabilité, mais dépendaient du Directeur… Pas facile, mais elle évita maints crashes avec les clients du fait de son interaction dans les autres services. Non, elle ne voulait pas diriger, juste coordonner…Il la surprit un soir, au garage, avec le chef d’atelier, ils venaient de recevoir le dernier modèle de tracteur de chez Mercedes…Il faisait bon, elle était venue en robe légère, ne s’aperçut pas du trouble qu’elle faisait naître auprès du jeune homme, entré il y avait peu de temps…Excités par ce camion, il l’invita à grimper…Il ne détourna pas son regard, fis le tour rapidement, se retrouvant nez à nez avec, elle qui venait de perdre l’équilibre dans le fauteuil dont la souplesse était un argument de vente…Le décolleté s’ouvrit, et il vit l’autre face des charmes de la belle Paule, que tout le monde respectait et adorait…Elle s’aperçut enfin du rouge sur les joues de son collègue, comprit qu’elle venait de lui montrer l’arrière et le dessus…-Ce sont des pièges, ces camions… On dirait un cockpit de Boeing… Je n’ai pas l’habitude de me donner en spectacle, Freddy, alors un peu de tact…-Je le sais, mais le spectacle est au-delà de ma surprise et très… motivant… Nous avons le même âge, travaillons ensemble, nous voyons tous les jours… Je ne sais rien de vous, de toi…-C’est vrai, je suis si prise par le boulot. Le père m’a habituée à tout vérifier, même derrière les responsables, car ainsi je peux déceler des incohérences. Pas par goût d’être au-delà, mais juste par souci de mon travail, je suis tatillonne…Elle termina sur un sourire ravissant qui le fit craquer… Il avait le regard fixé sur le sein magnifique qui s’échappait sous l’effort qu’elle faisait pour se remettre sur le vaste siège…-Tu dois être le premier en en voir autant, ici, en quinze ans…-Tu ne l’as pas fait exprès ?-Que non, sauf…Leurs yeux se croisèrent, elle rata la poignée trop haute, retomba en arrière et dans un réflexe, elle se retrouva dans ses bras…Leurs lèvres se joignirent, mais le nouveau muğla escort bayan patron arrivait pour essayer ce magnifique vaisseau. Ils descendirent rapidement. Dès que le tracteur franchit le portail, ils rentrèrent dans le bureau. Il vint l’inviter à boire un verre après le travail. Le soir même ils faisaient l’amour dans le petit studio ravissant de Paule. Quand il s’en alla, elle lui demanda que ce rapprochement sexuel exceptionnel dans sa vie intime, ne sorte jamais de ce studio. Lui était marié, elle avait depuis peu, un ami, histoire de combler ses soirées et sa libido…Il était d’accord, mais avoua avoir passé un très bon moment avec ce volcan, spécialisé dans les fellations de premier choix, active, sportive, se livrant à fond pour vivre pleinement sa sexualité…André ramenait le tracteur, il croisa le responsable de l’atelier, sortant du parking vers 23 heures, il venait de récupérer sa voiture… Quelques semaines plus tard, le comptable fit un point alarmant. Paule confirma et insista sur le fait de moderniser la flotte, apporter d’autres trajets, du froid aussi, être polyvalent pour éviter de rentrer à vide…Elle avait raison. Une fois de plus !Il prit rendez-vous à sa banque, exposa son souci au directeur, ils se connaissaient…Une semaine plus tard, il rencontrait sa fille, Agnès que le banquier avait chargé de son dossier.André étudia longuement les modalités. Agnès était intervenue personnellement auprès de son père et plaidait sa cause…Il accepta le prêt dans une chambre magnifique d’un hôtel très étoilé… Elle avait su le convaincre, en donnant aussi d’elle-même, un week-end de plaisirs divins…Le vieux briscard avait gagné, et il était en passe de se retrouver à la tête de cette belle entreprise… Restaurant, et de plus, fiançailles pour appuyer le contrat, les deux jeunes gens étant tombés amoureux ce fameux week-end à la mer, lieu qu’elle avait choisi pour la remise de l’offre…Il voyait sa fille heureuse, André aux anges, il passait des nuits merveilleuses…André comprenait peu à peu, le piège dans lequel il venait de tomber. Agnès était superbe, un bonus magnifique pour son mariage…Il fut déçu rapidement, les premiers effets de la séduction passés, le naturel reprenait le dessus. Elle se montrait vénale, pas un brin sentimentale, et si elle l’avait vampé, elle n’était pas sensuelle, baisant par intérêt, criant son plaisir par devoir…Elle aimait le monde de la nuit, les sorties, il était marié avec un coffre-fort, les mains liées…Ses amies étaient de ce monde, superficielles comme elle, volages, un brin libertines, elle n’allait avec eux que pour paraître, se montrer et pavaner…Elle avait vite dit non à une possibilité d’enfanter…Elle sortait la journée, elle faisait du sport, voile, tennis, souvent avec son amie Laureen…Parfois elle rentrait tard, d’une soirée arrosée, magique, elle s’expliquait, il s’en fichait.Il prépara la fête de l’entreprise, avec Paule. Il sentait un nouveau parfum, un je ne sais quoi, des regards…Il pensa à ses cuisses quand elle était montée dans la cabine du camion…Le soir de la fête, il la vit arriver dans une robe moulante, rouge, décolletée… Elle resta proche de lui, se débrouilla pour danser un peu, jusqu’à un slow, tard, très tard…-Tu peux me ramener ?-Ta voiture ?-Demain. Je suis saoule, mais il faut pas en profiter, hein ?Une heure plus tard, elle lui faisait une fellation de folie, qu’il ressentait à travers les effluves de ce bon Cognac qu’elle lui avait servi…Putain, qu’elle est bonne !…Il la serra dans ses bras à son tour, l’embrassa, la déshabilla entièrement et la savoura comme un bonbon exquis…Il respirait sa chatte trempée de désir, goûtait cette vulve à faire pâmer un saint, empoignait deux seins pleins… Il la pénétra avec fougue et passion, elle tremblait, pleurait, se donnait.Il la prit trop tôt, trop vite… Mais il ressentit tant de choses en quelques minutes d’intimité.La fois d’après, il la baisa comme un amant, dans tout l’appartement, dans toutes les positions… Il déclencha orgasmes sur orgasmes, elle devenait chienne, pute, amante, paumée, active, éperdue de sensualité, se montrant divine, attirante, se pénétrant de sa verge avec autorité et délicatesse…Il explora sa chatte, la menant doucement vers les sommets qui la faisaient extérioriser son délire, et ils refirent l’amour tendre, passionnément, elle masquait ses orgasmes, puis criait son plaisir, avouait son bonheur, son amour…Il lui faisait l’amour chez elle, le soir après le travail, si longtemps, si passionnément qu’il tomba amoureux de ce corps sensuel, de cette femme qui l’avait attendu dans l’ombre depuis quinze ans…Il avait voulu lui dire, après la fête, qu’il ne pouvait l’aimer au grand jour…Elle était trop proche de lui, il en était accroc, mais hélas, ne pouvait la baiser ouvertement. Il devait garder ses distances et commença à penser à se défaire de sa femme, pour elle…Elle lui faisait l’amour parfait, discret, intense, sauvage, ardent, tendre…Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas autant joui du corps d’une femme comme avec Paule…Il se libérait, inventait, partageait… Amoureux, complices, il parla de sa femme, de son problème, de ce qu’il pensait… Elle avait accepté de l’aider à prendre Agnès en flagrant-délit, pour la soumettre à un divorce à ses torts…Paule gémissait depuis 10 minutes, écartelée, il sentait sa bite grossir, être avalée par le vagin détrempé, béant… Il ressentait la passion, l’amour de Paule qui le chevauchait, fière, sensuelle…Il la retourna une nouvelle fois, en levrette et planta son dard dans la chatte ouverte… Les bruits de succion couvraient son portable, elle râlait, s’offrait, écartant sa vulve pour mieux se faire empaler…Il la lutina ainsi, longuement, elle salivait, chuintait, feulait…Elle l’appela, elle le voulait, elle voulait son amour, son sperme, un enfant de lui, faire sa vie avec lui….Il se concentra, la serra par les hanches, donna des coups de reins torrides, ravageurs, faisant craquer la literie…Ils étaient en rythme, elle l’accompagnait, écartelée, il la fourrait, sentit le moment, elle pleurait, criait, prise par un dernier orgasme, il sentit son sexe exploser, se délivrer, remplir le vagin de petits bébés… Il la prit contre lui, et ils s’embrassèrent scellant ce soir-là, un véritable amour…Que je suis con… Je l’avais sous la main… Je suis allé m’enticher de cette oie frigide, alors que j’avais un bijou, un trésor, tous les jours avec moi…Il prit la résolution de se séparer d’Agnès et de vivre avec Paule, cet amour merveilleux qui venait de le saisir au cœur…Comment aborder Agnès ? Peut-elle être compréhensive ?Ce que Paule m’a raconté de cette nuit libertine entre les deux amies et leurs amants, serait le point de départ d’une nouvelle vie pour Agnès ?Agnès amoureuse ou retrouvant sa vie d’avant, se libère de ses liens matrimoniaux ?Elle pourrait venir me l’avouer assez vite alors…Pris par d’autres réflexions et mon combat au jour le jour dans l’entreprise, je retrouve ma maison avec un grand whisky glace et mon canapé face à la montagne…Mes pensées s’envolent vers Paule, douce et active, sentant le délicat parfum que j’adore…La porte s’ouvre, il est 20 heures…Elle est là, me dit bonsoir, monte dans la chambre…-Apéritif ?-Oui, un Gin-Fizz, s’te plaît…Je prépare le breuvage, quelques biscuits…-Tu veux me séduire ?-Oh, je l’ai fait, ne le regrette pas, mais il semble que nous sommes arrivés au bout de notre histoire…-Je ne sais si elle avait vraiment commencé…-Pour ma part, j’y croyais…-Le début fut haletant, tu as prouvé pas mal de choses… Bon amant ça je l’avais découvert, ensuite bon mari, puis super PDG… Mon père ne s’en est pas remis, croyant croquer ta boîte, raison pour laquelle il m’avait mise dans ton lit pratiquement…-Ce fut une bonne expérience, mais je ne ressentais pas de retour… Tu baisais par devoir, et j’ai vite compris…-Cela fait deux ans que je ne ressens plus grand-chose, la passion, car il y en a eu, est envolée… -Tu as rencontré quelqu’un ? Tu peux me le dire…-Bof, non et oui… Je me suis retrouvée un soir avec Mine, on a fait l’amour, j’avais envie de jouir… Depuis, on le fait souvent, surtout quand elle est seule, soit tous les 15 jours…-Tu n’as pas eu d’homme dans vos soirées ?-Pas qui aient comptés… Juste pour un complément de ce que je fais avec elle… Une grosse queue dans ma chatte, m’apporte du plaisir, et avec elle, j’aime partager…-Tu penses à me quitter ?-Un peu…-Tu as pour tant établi un contrat qui me lie à toi…-Oui, mais je suis prête à reconnaître mes torts, te laisser mes parts à crédit, je me fous de cette boîte, je n’en ai pas besoin pour vivre. J’avais juste le plaisir de te tenir en laisse… Cela ne m’amuse plus, d’ailleurs, tu as gagné tes galons, donc ta liberté. Et toi, tu as quelqu’un ?-Oui, ma boîte… Les trente personnes qui m’aident à gagner nos vies…-Tu bosses dur, c’est vrai… Chin !Elle boit presque d’un trait, je la regarde, avec la montagne qui se noie dans la brume montante…-Je t’ai surveillé. Je pensais à quelqu’un du bureau, mais tu as des barrières… Je n’ai trouvé personne dans mes recherches.-Moi aussi, je t’ai surveillée…-Et ?-Je sais pas mal de choses… Enfin l’essentiel, c’est pourquoi je t’en parle, de nous, de nos horizons…-Tu sais quoi ?-Mine et toi, c’est vrai, mais aussi vos prestations théâtrales, et vos nuits orgiaques…-Ce n’est que le quart de ce que faisais avant toi… Mine est adorable, nous sommes amoureuses au point de devenir lesbiennes après toutes ces années d’amitié… Sensuelle, torride parfois, elle me fait du bien. Oui, on a trouvé un complément à notre rapprochement soudain, très physique. Elle aime aussi varier, vivre sa libido complètement, donc avec des hommes…-Vous baisez à 4 ?-Oui… Mais je te le redis, mon cadeau, c’est d’entendre Mine jouir, crier son plaisir, s’envoler… Alors oui, je baise aussi pour remercier nos amants, et je jouis comme avec toi, mais pas plus…-C’est la vie… Je suis content que tu prennes ta liberté, je vais pouvoir moi aussi me libérer… J’ai des mois à ratt****r, voire des années…Ses yeux sous-entendent plein de choses…-On pourrait, si tu veux, pendant que nous sommes encore mariés…-Tu ne tromperas pas Mine…-Idiot… Elle aurait aimé… Mais c’est trop tard…-Quoi ?-Te partager. Elle sait que tu baises bien, je lui ai si souvent parlé de nos parties…-Dommage… Elle me plaît aussi.-Ce week-end ?-Je le lui demanderai…-Cela ne te fera rien de me partager ?-Tu l’as dit, c’est fini, mais pour baiser et jouir…-Alors OK… Donc on annule ce soir ?-Pas du tout chéri, à force d’en parler, j’en ai l’eau à la bouche…Ma main glisse dans son peignoir et je goûte à la moiteur de son sexe, encore humide de la douche… Mais pas que…Elle ouvre les cuisses et vient contre moi pour saisir mon sexe qui monte en un clin d’œil vers le ciel… On se glisse, se caresse, se retourne, elle s’offre, écartelée, sa bouche se referme et commence une gâterie de dame excitée… Je lape le nectar qui coule de sa chatte, puis ma langue s’insinue dans les méandres de son sexe… Elle bouge et grommelle, ses lèvres s’agitent plus vite, glissent sur le peau brûlante, descendent, et recommencent…Son bassin ondule vers ma bouche, son sexe tape, se colle, j’aspire sa chatte trempée, ses petites lèvres, l’entrée du vagin qui se détend, puis s’ouvre et ma langue passe la porte…-Oh, oui…. Encore… Je vais jouir…J’att**** ses seins et les masse, les caresse, les excite… Elle se donne, se libère, jouit…-Viens, prends-moi…Je glisse une phalange dans le fourreau ouvert, puis le doigt, puis deux doigts…-Oh ! Ouiiiii… Ravage-moi !… Je me donne à toi…Mes doigts cherchent, puis la portent à un premier orgasme, elle me sourit, me veut, s’ouvre encore, bouge…Mes doigts s’agitent, explorent son vagin, puis trouvent son point G…Elle part en tremblements, lâche un jet de liquide…-Viens, je suis tienne, j’ai joui mon humeur de femme… Encore, viens !…Je passe entre ses cuisses, la bite dure, j’ouvre ses genoux, je pousse mon gland…Elle explose…-Oh, oui, oui, oui, oui…Je la prends en capitaine de navire, je la conduits vers la haute mer, elle ondule au rythme de ma cadence, lente, longue, je m’enfonce comme dans du beurre dans son fourreau brûlant et je sens que je jouis aussi… Je baisse la cadence, relâche ses genoux, elle est belle, attend…Ma bite est énorme, je glisse contre son pubis, elle ressent l’arrivée, l’entrée, je plonge dans un océan, elle jouit, encore, pleure, gémit… Je la laboure avec mon pieu, longue route vers le port…Elle me veut, se retourne, me présente ses fesses ouvertes, sa chatte offerte…Je me glisse dedans, elle ouvre ses cuisses en ciseau, je la pourfends, la serre contre moi,la tenant par les seins, je la baise avec ardeur, elle jouit, se masturbe le clitoris et part dans un orgasme dément, tremblante, et je la positionne en levrette pour terminer cette séance magique…Elle prend toute ma fougue dans son vagin si détrempé qu’il émet des bruits de succion délirants, puis elle ouvre ses fesses…Je positionne mon dard à la porte de son anus, qu’elle vient de préparer, c’est nouveau…-Viens, encule-moi… Je suis chienne sans toi, désormais… Je suce des bites et donne mon cul dans les toilettes des discothèques, je me fais troncher, dans les entrées d’immeuble, et suis les jeunes ados dans leurs délires, à plusieurs pour mieux me sodomiser, avec Mine comme coach… Oh, oui, je te sens durcir, tu vas lâcher ton sperme, viens, je t’aime…Que c’est bon de sortir la dernière goutte, après des coups de rein violents, qui la font grimper aux rideaux, griffer le drap, se masturber le clitoris avec force et passion…Elle jouit sous moi, désarticulée, pantelante, défaite, les cheveux collés par la sueur, les yeux hagards, comme ailleurs et tombe épuisée, la main sur mon sexe qu’elle chérit lentement, puis savoure avec sa langue gourmande, et sa bouche de mangeuse d’hommes…Sevrée de caresses, étourdie et comblée, elle s’endort doucement… Je me lève et bois un whisky…Je viens de ma faire baiser dans les grandes largeurs par mon mari.Heureux de conclure ces quelques années conjugales ?Mon aveu lui a plu, semble-il. Et aussi mon invitation avec Mine…Je suis certaine qu’elle en a envie, elle devient nympho… Alors André, mon André !En effet, le lendemain nous jouons, et nous sommes seules pour rentrer… J’appelle la maison, il y est, nous nous y rendons directement, je lui dis que nous n’avons pas eu le temps de manger, il va chercher pizzas et sushis…Lorsqu’on arrive, musique douce, bougies, table mise, apéro au frais, un bon champagne.Décidément…Nous commençons par un bain, puis descendons en peignoir…-André, c’est vrai que nous ne nous sommes pas trop rapprochés pendant ces années. Par ma faute, car j’étais en couple, puis par défiance pour Agnès, car nous n’étions pas très proches. Vous baigniez dans le bonheur…-Oh, certes, mais le bain était froid, bien souvent… Je pensais alors à réchauffer nos soirées entre amis plus chauds…-Oui… -Mais nous en sommes là, happés par le travail, puis détachés tous les deux, nous pensons à revoir notre accord… Pourquoi pas tenter un dernier baroud d’honneur ?-J’étais d’accord bien avant qu’Agnès me le propose… J’aime Agnès qui est passée du stade amical, à plus intime, au point de penser aussi à vivre notre amour naissant…-Nous avons la même maîtresse alors ? Il est temps de la partager…Trouver un nouvel essor ? Je ne sais pas encore…La bouteille est presque terminée, elles deviennent sensuelles, attirées par l’autre, et Mine ouvre le peignoir d’Agnès, puis se love dans ses bras, délaissant aussi sa parure de tissu.Elle est magnifique. Belle rousse ce soir, les seins fermes, hauts, tentants…Les hanches arrondies, ventre plat, de longues cuisses qui semblent s’ouvrir sous les baisers échangés…Elles ne s’occupent plus de moi, et vivent leur passion, ce sexe qui les anime, les pousse, les taraude…Bientôt, leurs gémissements montent et me donnent de quoi nourrir mon rêve…Baiser avec deux femmes magnifiques, rien que nous trois, que cette ambiance devient torride.Les cuisses qui s’écartent, les langues qui explorent, le son s’amplifie et vient me prendre aux tripes… Mine est ouverte, Agnès la broute, salive ce sexe énorme, aux lèvres géantes, une vallée interminable, un clitoris érigé, à force d’avoir été aspiré.Agnès la veut, s’offre, s’écartèle et sa chatte est envahie par Mine qui lui rend sa caresse et la fait jouir longuement ; tendresse et volupté, deux princesses au pays de Lesbos…Elles viennent vers moi, me déshabillent, m’emportent dans la chambre. Là, à genoux, à mes pieds, elles se partagent mon mâle attribut, moment intense, je ne peux que caresser un sein ou deux, des chevelures… Puis elles m’étendent, continuent, échangent, viennent se proposer à ma bouche, ouvertes, trempées, et je découvre ces deux lesbiennes, s’embrassant et venant s’empaler sur mon membre dressé, tel un arbre d’Amazonie…Mélangeant l’homme et la femme dans l’amour, elles échangent, se trémoussent, se caressent, jouissent, puis viennent vers moi, sur moi, pieuvres d’amour, assoiffées de sexe, et j’ai du mal à suivre leur cadence… Mine devient déchaînée, entre Agnès et moi, s’ouvre aux deux, un anus parfaitement dilaté et accueillant, Agnès la masturbe, la fiste, portant son amie plus loin encore en mixant ses deux centres de plaisir…Mine jouit, crie ses orgasmes, demande encore plus… Je la prends par les hanches, son derrière offert, ses fesses écartées, lentement, je glisse mon sexe dans sa porte arrière, noble nom d’une partie intime des hommes et des femmes…Elle ronronne, bouge, gémit, ondule et se collant contre moi… Je suis au fond de son rectum, collé, mes mains empaument ses seins et les massent…Je ressorts, puis prends un rythme lent, puis j’accélère… Agnès caresse sa vulve, rentre ses doigts dans la chatte ouverte, Mine s’envole en de grandes giries, ornées d’onomatopées, et de gémissements alanguis, très sensuels…Elle se plie sous moi, relève ses fesses…-Oh, oui ! C’est bon, André ! J’aime être soumise, sodomisée, attachée, violée mais consentante… Agnès le sait, Agnès te partage, Agnès, je t’aime aussi… Branle ma chatte, donne-moi ce plaisir féminin qui nous unit quand tu me prends et me berces avec ta douceur, que tes doigts m’emportent ou que ta bouche me suce à m’en faire délirer, vidée de mon désir, comblée par le plaisir de te sentir en moi, contre moi…Agnès vient l’embrasser longuement, avec passion, se frottant contre elle, contre ses seins, et je reprends ma cavalcade et jouis en elle pour la première fois…Agnès m’embrasse aussi, un merci pour avoir fait jouir son amie, tendrement, passionnément.La nuit continue entre douceur et rêves, à trois, imbriqués…Je baise ma femme et la fais jouir aussi, comme l’autre jour…Mine vient alors me chercher, elle me veut en elle, me fait l’amour devant Agnès, rêveuse, caressante…Je lui donne le meilleur de ma virilité, en levrette, pourfendue par mon sexe requinqué grâce aux bons soins d’Agnès.Elles sentent mon plaisir arriver, grimper, je griffe ses hanches, elle tremble, jouit d’une voix grave de louve, j’explose ma semence brûlante, dans son fourreau épanoui… Elle pleure de plaisir dans les bras de son amie, enlacées, envoûtées, se frottant toutes les deux contre moi, ensemble parfait d’un trio au comble de leur art…Je pensais qu’Agnès baisait aussi avec Mine… Je me trompais…Agnès lui fait l’amour, comme moi, autant que moi, avec autant de passion et je ressens leur amour qu’elles expriment avec tant de force, comme un homme et une femme.Le sexe, l’amour, la vie…Chapitre VII – La fin du contratJe suis heureux de cette expérience, Agnès et Mine sont de belles femmes… Mais je pense à Paule… Elle aussi aime le plaisir, et peut aller le chercher partout, comme moi… Partagerait-elle ce nouveau couple ? A t’elle eut des relations lesbiennes ?Viendrait-elle se plonger dans cet univers plein de tendresse, de non-dits ?Cela ne doit pas lui faire peur, elle m’a prouvé son attachement, ses fantasmes, ses besoins…Je l’imagine avec Agnès, puis avec Mine, goûtant à ces sensations enivrantes… Elles l’accepteraient comme pour signifier leur accord ? Elles savent tout, j’en suis certain…Avant d’oublier Agnès et Mine ? Ou afin de les oublier ?Elle les a vues et filmées, cela doit remonter dans ses rêves érotiques…Si Agnès part de son plein gré, sans faire de vague, que l’on divorce à l’amiable, se retirant de l’entreprise en me cédant ses parts, oui, ce serait une façon de la remercier.Accepter ma liaison avec Paule comme j’accepte la sienne, les siennes ?Je me fiche de ce qu’elles font, avec leurs d’amants, ce n’est que superficiel et passager.Voir ces trois femmes ensemble, les partager, vivre leurs fantasmes quelques temps… Ce serait merveilleux. Mais comment intégrer Paule dans leurs fantasmes et dans leur lit ?Le lundi, au bureau, la journée est plus sereine. Je suis rassasié de sexe, Paule me sourit, je viens de lui dire que je passerai lui raconter ce soir ma discussion avec les deux amies…Ce que je fais avec Paule ce soir-là ne vous regarde pas… Après un tableau optimiste des pensées d’Agnès, je reste tout de même attentiste sur ce qu’elle me confie.-Et après ? Mine était d’accord ?-Oh, juste du sexe, je n’ai pas souffert…-Salaud de profiteur, tu les as baisées toutes deux et elles ont aimé ça !-Juste de quoi maintenir une ambiance de qualité entre trois êtres perturbés dans leur vie actuelle. Si Agnès est amoureuse de Mine, elle me l’a avoué et Mine partage, je ne suis pas certain de leur avenir au firmament des couples homosexuels… J’ai passé une excellente soirée, une nuit assez longue, mais j’ai rêvé de ta tendresse…-Vouai… Tu tournes autour de la vérité… Tu les as baisées, et tu as essayé de faire le gentil avec ta femme, en lui donnant des regrets…Tant bien que mal, elle accepte ma version soft de ma soirée et de ma nuit entre gens bien élevés et bourgeoises mal dans leur peau.C’est elle qui vient mettre un terme et trouver la solution…-Tu sais, ce matin j’ai croisé Agnès à la banque.-Ah ?-Elle m’a offert un café en sortant et nous avons discuté… Entre femmes.-Et ?-Elle a été très précise… Elle sait pour nous. Depuis la première fois, en fait… Le soir de la fête… Elle était venue pour se joindre au personnel après le repas. Nous chantions, dansions, elle n’a pas osé entrer, trouvant cela trop populo…… Mais, assise dans sa voiture sur le parking, elle m’a vue avec toi… Oh, nous ne faisions rien encore, juste bavarder après quelques slows très chauds. Quand nous sommes sortis, j’étais un peu soule, je me tenais à toi, j’étais sous ton charme et ces tendres minutes où tu me serrais contre toi, dans la pénombre de la piste de danse et mes yeux criaient mon désir… Je prétextais mon hésitation à conduire, ce n’était pas loin chez moi, tu m’as raccompagnée à pieds, elle nous a suivis. Tu n’es pas redescendu… Il ne lui a pas fallu longtemps pour comprendre… Mais elle reconnaissait que nous avions bien manœuvré, en toute discrétion. Je lui ai soutenu que c’était la première fois… Erreur que tu reconnaissais dès le lundi matin…-Et alors ?-Elle n’a pas de preuve, elle ne t’a pas vue descendre, mais elle sait que je suis amoureuse, et que tu l’es aussi, en se référant à votre dernière soirée tous les deux.-Elle est finaude, elle a beaucoup d’intuition. C’est vrai que nous étions proches toute cette soirée ensemble… -Vous avez fait l’amour et elle a ressenti ta tendresse, un reste de votre amour, quelque chose d’indéfinissable qui permet de douter… Elle va te rendre ta liberté, elle t’aime assez pour reconnaitre son échec, celui de son père. Elle veut vivre à sa guise, profiter de son argent et de cet amour qui la lie à Mine. Comme beaucoup de femmes, elle sent l’âge arriver. Elle veut revenir à ses anciennes passions, riche et libre, elle pourra assouvir ses fantasmes à sa guise. Mine, la suivra, elle partagera par amour, tant que cet amour les unira et ensuite ce sera un trou noir… Pour l’instant, elle ne veut pas penser plus loin… Elle veut un enfant après toi, puis sans doute du calme, et Mine sera là… Elle aimerait finir sa vie avec elle, vieillir avec elle, Mine est un bonheur au quotidien, toujours gaie, avide de connaissance, pleine de gentillesse…André et Paule vivent heureux dans la villa.Agnès a trouvé un équilibre, entre la sagesse de Mine et ses sorties nocturnes. Mine la laisse vivre, la calme souvent. Elle prend sur elle, lorsqu’Agnès découche. Elle se love alors contre Jean qui est toujours là pour elle…Elle apprécie aussi la nouvelle, les nouvelles…Mireille, puis Maguy… 2 jeunes femmes pleines de vie, de charme, un bonheur pour Jean et José, leurs femmes sont remplacées haut la main dans la cage, après Agnès et Mine…Mireille et Maguy habitent ensemble, dans la même résidence que Mine, elles aiment partager le SPA toutes les 4… Elles donnent un spectacle complet certains jours, ont quitté leurs emplois pour vivre leur amour et leur passion pour le spectacle…Mireille a suivi Agnès quelques temps dans ses pérégrinations nocturnes, elle s’est libérée totalement, Agnès y a trouvé un alter ego, elles ont pu vivre leurs excès en double, descendant les marches du plaisir, mêlant tous les genres, de call-girl à princesse de la nuit dans les cinq étoiles de la côte…Maguy adore rester seule avec Mine, elles sont devenues très proches de ce fait, fuyant le monde et le bruit, se consolant toutes les deux, invitant parfois une paire d’amis dans le SPA, le sexe a besoin de s’exprimer…Chapitre VIII – Une autre que moi termine ce récit…Le monde est petit, mais la vie apporte de quoi vivre et aimer. Le sexe est partout depuis la nuit des temps il gouverne, il mène le monde et ses dirigeants. Si on essaie de la garder pour soi en se mariant, il est parfois malheureux car confiné…Moi, j’aime tout. La vie, l’amour, les femmes, les hommes, ceux et celles qui font des enfants pour nous remplacer, ainsi va la vie.Mais j’aime aussi faire l’amour sans faire d’enfant, juste pour vivre des instants intenses, être emportée par des déferlantes, être secouée toute la nuit par des orgasmes indécents, comme le surfeur qui guette la prochaine vague, qui sera sans doute encore meilleure que la dernière.Mais on ne le sait que lorsque on se retrouve aspirée dans ce rouleau gigantesque, prêt à nous broyer… Puis le bout de ce tunnel liquide…Alors on retrouve la vue, la plage, le soleil, éperdue de plaisir, comme un matin d’été après une nuit d’amour…FINMarika842010décembre 2018

Ben Esra telefonda seni bosaltmami ister misin?
Telefon Numaram: 00237 8000 92 32

Bir yanıt yazın